988 resultados para valeur culturelle


Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

[ES] Se suele afirmar que hay dos tipos de patrimonio cultural. Uno, “eterno”, “riguroso”, “irremplazable” o “global”; otro, “contingente”, “flexible”; “sustituible” o “local”. El primero es de la “humanidad”; el segundo, de la “comunidad”. Los trabajos que se presentan en esta publicación, describen y analizan procesos de activación de ese segundo tipo de patrimonio: los intereses y las valorizaciones que han conducido a la patrimonialización o puesta en valor de unos bienes culturales; qué agentes han intervenido en ese proceso; por qué, para qué y cómo lo han llevado a cabo. Se interesan más por el modus operandi que por el opus operatum. Escritos por profesores, investigadores, especialistas y técnicos, los trabajos de esta publicación presentan un conjunto de experiencias europeas y americanas, mostrando un panorama diverso y complejo del campo patrimonial y museístico, así como distintas aproximaciones en función de la posición que ocupa el autor respecto a los bienes culturales.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Cap. 1. La Nueva Museología, el patrimonio cultural y la participación ciudadana a debate. Iñaki Arrieta Urtizberea Cap. 2. Museos: del público al ciudadano. Rafael Azuar Ruiz Cap. 3. Los públicos y lo público. De mutismos, sorderas, y de diálogos sociales en museos y espacios patrimoniales. Luz Maceira Ochoa Cap. 4. La restitution du patrimoine: un rôle pour le musée? Études de cas dans les communautés innues du Québec et du Labrador (Canada). Élise Dubuc Cap. 5. El museo de territorio y sociedad, ¿una utopía? el caso del Museo Industrial del Ter. Carles García Hermosilla Cap. 6. El ecomuseo del río Caicena (Almedinilla-Córdoba): un proyecto de desarrollo rural desde el patrimonio histórico-natural, ¿y la participación ciudadana? Ignacio Muñiz Jaén Cap. 7. Mé-tisser les mémoires. Musées indiens du nordeste brésilien. Martin Soares Cap. 8. El patrimonio como proceso social. Intervención, desarrollo y consumo del patrimonio minero en Andalucía. Macarena Hernández Ramírez y Esteban Ruiz Ballesteros Cap. 9. Legislación patrimonial, intervención pública y participación ciudadana en la declaración de un conjunto histórico. Iñaki Arrieta Urtizberea Cap. 10. El castillo de Montsoriu. La participación de la sociedad civil. Joaquim Mateu Gasquet Cap. 11. El patrimonio cultural; espacio de encuentro. Daniel Arnesio Lara Montero

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Comment fonder théoriquement des indicateurs culturels? Issue de problèmes méthodologiques reliés à l’étude des rapports entre le temps de travail et le temps libre, cette question émerge à la suite du constat du déficit théorique de la statistique culturelle. En effet, l’étude du temps libre, comme du temps de travail, nécessite de questionner les fondements de cette répartition, en même temps qu’elle exige d’analyser concrètement les pratiques sociales reliées à ces catégories. Or, les ana-lyses sur l’emploi du temps libre sont souvent fondées sur des statistiques à propos des activités culturelles, statistiques dont la portée explicative est singulièrement limitée. Bien que des statistiques sur certaines de ces activités existent au moins depuis le début du XXe siècle, c’est à partir des années 1970 que les besoins de connaissance reliés à la mise en œuvre des politiques culturelles stimulent la production de statistiques plus nombreuses et plus détaillées. Afin de donner des significations à cette masse de statistiques, il est nécessaire de délimiter les frontières de ce qui est culture et communication parmi toutes les autres activités sociales. L’élaboration de cadres conceptuels de la culture par l’UNESCO et d’autres agences statistiques tente de répondre à cette exigence, tandis que les projets d’indicateurs avancés cherchent à donner un sens à l’information statistique. Ces tentatives se caractérisent toutefois par la faiblesse de leur assise théorique, problème qui se manifeste de manière aiguë dans la définition d’indicateurs qui ont nécessairement une portée normative. La résolution de cette impasse de la statistique culturelle passe au moins par une clarification des concepts reliés à la notion de culture. À cette fin, la méthodologie de la recherche repose sur une analyse critique de certains documents fondamentaux qui ont conduit à la création du cadre conceptuel pour la statistique culturelle de l’UNESCO, ainsi que sur des textes phares de Fernand Dumont, Pierre Bourdieu et Jürgen Habermas, choisis pour leur capacité à penser les activités culturelles dans l’ensemble social selon leur temporalité. La notion de temporalité est elle-même examinée sous l’angle de plusieurs approches théoriques. Il ressort de cet examen que la différenciation du temps en temps abstrait et temps concret permet d’entrevoir que les pratiques culturelles pourraient être mesurées non seulement selon la quantité de temps social qui leur est dévolue, mais aussi comme un temps qui a une valeur marchande. Les acquis de l’analyse critique des cadres conceptuels de la statistique culturelle et des textes de Dumont, Bourdieu et Habermas servent de points d’appui pour l’élaboration d’un projet d’indicateurs culturels pour le compte de l’Observatoire de la culture et des communications du Québec (OCCQ). Ce système d’indicateurs a été élaboré selon une grille qui définit ce qu’est un indicateur culturel, son objectif et sa signification. Les indicateurs ont été choisis au cours d’un processus de consultation mené par l’OCCQ auprès des agents gouvernementaux concernés et des représentants des associations professionnelles des secteurs de la culture et des communications du Québec.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Il est difficile, en sociologie, de parler des problèmes éducatifs sans remettre sur le tapis les définitions de la socialisation, des normes et des valeurs; sans faire un détour sur le passé en rapport avec l’avenir; et sans questionner le rôle des sociologues dans la société. Notre travail vise à faire état des débats sur ces questions délicates, tout en proposant d’autres pistes pouvant alimenter la réflexion. Ainsi, à partir d’une étude de terrain avec des enfants du primaire, on essayera de mettre de l’avant ce qu’on appellera des problèmes culturels, dont la résolution est fonction de la capacité humaine d’innover. Le regard tourné vers les nuisances, pratiques nocives au développement de cette capacité, on s’interrogera sur les conditions de maintien de la vie sociale humaine.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Située dans le discours actuel à la mode sur la diversité culturelle, l’objet de cette thèse consiste à comprendre l’orientation pratique d’une organisation internationale en matière de gestion de sa diversité culturelle interne. Il propose que, face aux changements qui ont modifié la configuration sociodémographique de la sphère organisationnelle, il serait intéressant de partir d’une organisation pour laquelle la diversité est une tradition tributaire de son fonctionnement. L’organisation sujet d’étude est internationale, affiliée à l’Unesco. Cette dernière étant reconnue pour son mandat qui valorise et protège les cultures. L’ancrage épistémologique de la thèse est bi-disciplinaire. Il considère deux champs théoriques sur lesquels se construit la diversité culturelle. Le premier est forgé dans les théories de management dites « occidentales » sur la diversité. Le deuxième champ, s’établit sur une approche dynamique de la culture apportée par les « Cross-Cultural Studies ». La méthodologie que nous avons mobilisée pour cette recherche est principalement qualitative. Elle est également diverse puisqu’elle veut identifier trois niveaux d’analyses. D’abord, l’étude historique réalisée se fonde sur l’analyse d’articles choisis tirés des archives de l’« organisation mère » (Unesco). Elle se veut être une étude exhaustive qui révèle l’évolution du discours « global » de cette organisation sur la diversité culturelle depuis sa création. Ensuite, afin de mieux comprendre le discours interne de l’Organisation sur la diversité culturelle, une analyse du contenu d’un « halo » de ses politiques internes a lieu. Elle nous permet de comprendre la valeur que prend la diversité culturelle dans son discours « organisationnel » dans la période de temps que nous traitons. Enfin, les histoires « individuelles » des acteurs de la diversité culturelle, apportent une description riche et, complètent l’analyse avec leurs interprétions des pratiques de gestions mises en place à leur égard. Des éléments de recherche sous adjacentes sont aussi amenés dans la thèse et font également partie du processus de l’analyse de la pratique de la diversité culturelle dans l’Organisation. En effet, la thèse se penche sur le problème conceptuel sur la « diversité culturelle ». Elle apporte des éclaircissements à la terminologie à travers l’analyse de ses différents emplois dans la littérature organisationnelle. Par ailleurs, elle clarifie la notion d’organisation internationale et propose une description du contexte unesquien défini par sa diversité culturelle interne. L’ensemble des niveaux examinés a permis de mettre en évidence une double constatation. D’une part, le paradoxe entre les trois niveaux. D’autre part, la neutralité des pratiques de gestion de la diversité culturelle pour les employés et la demande implicite de reconnaissance de leurs identités culturelles. Des recommandations sont proposées et des suggestions pour de recherches ultérieures sont formulées à la conclusion de la thèse.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Le Bətí-faŋ est une langue parlée dans la sous-région Afrique centrale, notamment au Cameroun, en Guinée Équatorial, au Gabon et à Sao Tomé et Principe. Le Bətí-faŋ est un peuple fier, avec un passé culturel à la fois important et mystérieux. Certains de ses aspects culturels aujourd'hui sont perdus, dû, en grande partie, à l'action de la religion occidentale et de la colonisation. De nombreuses pratiques alors usitées se voient interdites, à cause des idées préconçues et des interprétations subjectives qui sont accordées à ses pratiques. De même, la valeur et la place que l'Homme Bətí accorde à la femme dans la société s’en trouve pervertie, ceci pour servir les desseins de l’oppresseur. Cet aspect en particulier de la société traditionnelle Bətí-faŋ a souvent porté à polémique. Ces préjugés et interprétations, sont pour la plupart, fréquemment avancées sans que la philosophie de cette société, le contexte, l'époque, et le symbolisme des dits effets ou individus ne soient pris en compte. Cet article va s’arrêter sur la femme Bətí en particulier. Nous essaierons de faire ressortir le symbolisme qui entoure celle-ci. Nous insisterons sur la valeur, ainsi que sur la place et l'importance accordées à celle-ci dans la société traditionnelle des seigneurs de la forêt. Pour se faire, nous porterons notre attention sur les formes de mariages qui ont marquées cette époque. Nous nous étendrons aussi sur l’importance accordée au nombre, ainsi que son impact sur la vie culturelle de l'« Atí ». Nous brosserons enfin, un petit aperçu des rites spécifiques aux femmes qui dénotent de leur impact sur le quotidien des seigneurs de la forêt.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Les participes présents apparaissent, entre autres, dans des constructions à prédication seconde détachées : (1) Intervenant hier soir à Ankara, […], Vladimir Poutine s’est risqué à […]. (Le Figaro 7.12.2004 : 4) Même si les gérondifs, formes adverbiales du verbe (« converbes », cf. Haspelmath & König 1995), n’ont pas d’incidence nominale, contrairement aux participes présents, formes adjectivales du verbe, et ne sont donc pas toujours comptés parmi les constructions à prédication seconde (p.ex. Neveu 1998), les deux ont des emplois assez proches : dans des énoncés du type (2a-b), le participe adjoint peut être paraphrasé par un gérondif, même si son statut fonctionnel n’est pas le même (Halmøy, 2003 : 156-157) : (2a) Arrivant à Paris, Emile a proposé à Léa de [...]. (2b) En arrivant à Paris, Emile a proposé à Léa de[...]. (Halmøy, 2003 : 157) Le finnois ne connaît ni ce genre de constructions détachés ni de forme appelée ‘gérondif’, et les deux participes présents finnois (actif et passif) ne correspondent jamais à un participe présent détaché français : en plus de subordonnées, on trouve à leur place le deuxième infinitif, soit à l’inessif, soit à l’instructif, formes nominales qu’on trouve également dans la traduction des gérondifs : (3a) […] ? me demanda-t-elle sèchement en me montrant l’une des lignes incriminées. (Nothomb, p. 62) […] : hän kysyi minulta kuivakkaasti näyttäen erästä Unajin moittimaa riviä. (Suni, p. 4) (3b) L’espace d’un instant, il sourit, croyant que […] je m’étais trompée de commodités. (Nothomb, p. 138-139) Hetken hän hymyili luullen, että minä […] olin erehtynyt mukavuuslaitoksesta. (Suni, p. 94) : Dans cette communication, nous examinerons quatre traductions littéraires en nous demandant dans quels cas et de quelle manière la différence entre le participe et le gérondif a éventuellement été prise en considération.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Modal cohesion and subordination. The Finnish conditional and jussive moods in comparison to the French subjunctive This study examines verb moods in subordinate clauses in French and Finnish. The first part of the analysis deals with the syntax and semantics of the French subjunctive, mood occurring mostly in subordinate positions. The second part investigates Finnish verb moods. Although subordinate positions in Finnish grammar have no special finite verb form, certain uses of Finnish verb moods have been compared to those of subjunctives and conjunctives in other languages. The present study focuses on the subordinate uses of the Finnish conditional and jussive (i.e. the third person singular and plural of the imperative mood). The third part of the analysis discusses the functions of subordinate moods in contexts beyond complex sentences. The data used for the analysis include 1834 complex sentences gathered from newspapers, online discussion groups and blog texts, as well as audio-recorded interviews and conversations. The data thus consist of both written and oral texts as well as standard and non-standard variants. The analysis shows that the French subjunctive codes theoretical modality. The subjunctive does not determine the temporal and modal meaning of the event, but displays the event as virtual. In a complex sentence, the main clause determines the temporal and modal space within which the event coded by the subjunctive clause is interpreted. The subjunctive explicitly indicates that the space constructed in the main clause extends its scope over the subordinate clause. The subjunctive can therefore serve as a means for creating modal cohesion in the discourse. The Finnish conditional shares the function of making explicit the modal link between the components of a complex construction with the French subjunctive, but the two moods differ in their semantics. The conditional codes future time and can therefore occur only in non-factual or counterfactual contexts, whereas the event expressed by French subjunctive clauses can also be interpreted as realized. Such is the case when, for instance, generic and habitual meaning is involved. The Finnish jussive mood is used in a relatively limited number of subordinate clause types, but in these contexts its modal meaning is strikingly close to that of the French subjunctive. The permissive meaning, typical of the jussive in main clause positions, is modified in complex sentences so that it entails inter-clausal relation, namely concession. Like the French subjunctive, the jussive codes theoretical modal meaning with no implication of the truth value of the proposition. Finally, the analysis shows that verb moods mark modal cohesion, not only on the syntagmatic level (namely in complexe sentences), but also on the paradigmatic axis of discourse in order to create semantic links over entire segments of talk. In this study, the subjunctive thus appears, not as an empty category without function, as it is sometimes described, but as an open form that conveys the temporal and modal meanings emerging from the context.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Cap. 1. Proyectos patrimoniales y museísticos en las sociedades democráticas y capitalistas: entre la legitimación formal y la vinculación social. Iñaki Arrieta Urtizberea. Cap. 2. Musées et patrimoine immatériel au Québec : enjeux politiques et sociaux. Laurier Turgeon. Cap. 3. “El patrimonio pertenece a todos”. De la universalidad a la identidad, ¿cuál es el lugar de la participación social? Victoria Quintero Morón. Cap. 4. La legitimación social y política de los museos: dos casos del estado de Oaxaca, México. Teresa Morales Lersch y Cuauhtémoc Camarena Ocampo. Cap. 5. Reinterpretaciones de la misión social de los museos: políticas de la cultura en la red de museos de Loures, Portugal. Marta Anico. Cap. 6. La comunicación de los museos y sus relaciones con las políticas culturales de las ciudades. Entre la repetición de estrategias y la innovación. Daniel Paül i Agustí. Cap. 7. El Patrimonio de la Guerra Civil como útil de concienciación social al amparo de la Ley de la Memoria Histórica. Óscar Navajas Corral y Julián González Fraile. Cap. 8. Política y planificación museística, y participación social en Cataluña: un breve recorrido histórico y algunas reflexiones. Daniel Solé i Lladós. Cap. 9. Diagnóstico de las acciones de los museos catalanes como parte de las políticas de integración. Fabien Van Geert. Cap. 10. Los inexistentes alcornocaleños y las experiencias museísticas etnográficas en el Parque Natural Los Alcornocales. Agustín Coca Pérez.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

La recherche s'intéresse à la valeur accordée aux études par les jeunes québécois de niveau postsecondaire en se basant sur le modèle de type attente-valeur d'Eccles (2007). La perception de la valeur correspond à un jugement posé sur les études, le programme ou le cours au regard de quatre composantes : intérêt, utilité, valeur de réalisation et cout. L'objectif général de la thèse est de mieux comprendre la dynamique entourant les choix scolaires des jeunes québécois de niveau postsecondaire à l'aide du concept de perception de la valeur des études et de ses composantes. Deux objectifs spécifiques en découlent: 1. Décrire les composantes de la perception de la valeur et leur dynamique, en distinguant la perception de la valeur des études en général (le fait d'étudier), d'un programme ou d'un cours et en reliant la perception de la valeur aux choix scolaires des jeunes; 2. Identifier et décrire le lien entre les relations sociales et la perception de la valeur des études. Une analyse secondaire a été menée sur 185 entretiens semi-dirigés réalisés auprès de 36 jeunes sur une période d'environ 5 ans (données de la recherche Famille, réseaux et persévérance au collégial, de Bourdon et Charbonneau). Les résultats valident largement le modèle et les définitions d'Eccles (2007), mais remettent en question certains aspects, en particulier autour des composantes utilité, réalisation et cout. Des aspects dynamiques de la perception de la valeur par ailleurs ont été mis en évidence. Les relations sociales - parents et pairs notamment - peuvent agir, selon différentes modalités, sur la perception de la valeur des études. Le personnel enseignant est mentionné en lien avec la valeur accordée aux cours. Une compréhension plus fine de la valeur accordée aux études, aux programmes et aux cours pourra être réinvestie dans l'organisation scolaire au postsecondaire et dans les pratiques pédagogiques.