984 resultados para Roman inscriptions
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Mode of access: Internet.
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Este trabajo se ha desarrollado a partir de la edición de las inscripciones romanas del País Vasco dentro del proyecto PETRAE Hispaniarum (Université Michel de Montaigne-Bordeaux III, Francia).
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[ES] Se analizan las posibilidades del Image based modeling (IBM), como técnica de escaneado 3D de bajo coste para la modelización de inscripciones romanas, a partir del trabajo realizado en el Museo Arqueológico Nacional de Madrid sobre una amplia tipología de soportes epigráficos (piedra, bronce, arcilla), con resultados óptimos para la catalogación, estudio y difusión de este tipo de documentación histórica. Los resultados obtenidos permiten obtener inscripciones romanas en 3D que se pueden incorporar a los proyectos de epigrafía digital en curso, permitiendo su acceso a través de ordenadores y dispositivos móviles, sin coste añadido para los investigadores.
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[ES] Se estudia la diversidad de contextos de exhibición de las inscripciones romanas en la provincia Hispania citerior en época augustea, atendiendo a la importancia que adquirieron las ciudades en el proceso de romanización del territorio, así como a la configuración de nuevos espacios de exposición de las inscripciones, en algunos casos dentro de las estrategias de promoción y autorrepresentación de las elites locales.
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Los avances experimentados en los últimos años en las tecnologías basadas en el procesamiento de las fotografías digitales, permite abordar proyectos de modelización 3D de inscripciones romanas, como el realizado en el Museo Arqueológico Nacional (Madrid). La utilización de esta tecnología innovadora aporta a los especialistas mejores reproducciones que la fotografía convencional, que supondrán un enriquecimiento de las bases de datos epigráficas, pero su utilidad se extiende también a la propia enseñanza de la Epigrafía.
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En 1789, a instancias del prior Antonio Tavira, Juan Antonio Fernández se trasladó a Uclés (Cuenca) para llevar a cabo la ordenación y clasificación del archivo de la Orden de Santiago. Allí supo de la existencia de las ruinas romanas de Cabeza del Griego (Segobriga) y llevó a cabo con Tavira las primeras excavaciones. Durante ese tiempo, descubrieron un buen número de inscripciones romanas y Juan Antonio Fernández llevó a cabo la primera recopilación de las inscripciones de Segobriga. Después de su muerte en 1814, muchos de los documentos fueron comprados por la Real Academia de la Historia.
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O latim das inscrições romanas no território português não foi até à data alvo de um estudo individualizado. A única obra na qual o assunto foi tratado analisa o latim de toda a Península Ibérica e foi publicada há pouco mais de cem anos, estando desactualizada. As inscrições romanas do território português estão publicadas em diferentes obras. O Corpus Inscriptionum Latinarum continua a ser uma referência fundamental, mas, ao longo do século XX, foram publicados novos estudos, que actualizam leituras ou divulgam novas epígrafes. Desta forma, para caracterizar o latim das inscrições romanas no território português, é necessário constituir um corpus que inevitavelmente terá de incluir epígrafes provenientes de diversas publicações. A análise do latim das inscrições compreende aspectos fonéticos, morfológicos, sintácticos e lexicais. São seleccionados apenas aspectos relevantes para o estudo do texto epigráfico. O tratamento de cada um dos aspectos está dividido numa componente teórica, na qual se faz um balanço das conclusões da literatura científica, e numa componente prática, na qual se relatam os dados das inscrições do território português. O latim das inscrições do território português pode ser caracterizado como conservador, predominando nele o respeito pela correcção da língua. Para esta caracterização conservadora, contribui a presença de arcaísmos nas desinências nominais e verbais, alguns no século II. Por outro lado, não deixa de manifestar, à semelhança do latim de outras regiões, nomeadamente de Pompeios, algumas particularidades inovadoras, como a monotongação do ditongo ae ou a oscilação na grafia das vogais. Além destes aspectos, são ainda perceptíveis ténues diferenças internas, visto que há fenómenos documentados apenas em algumas regiões.
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[I] Memphis I, 1908, by W.M.F. Petrie and J.H. Walker.--[II] The Palace of Apries (Memphis II) 1909.--[III] Meydum and Memphis III, 1910, by Petrie, E. Mackay, and G. Wainwright.--[IV] Roman portraits and (Memphis IV) 1911.--[V] Tarkhan I and Memphis V, 1912.--[VI] Riqqeh and Memphis VI, 1913, by R. Engelbach and W.M.F. Petrie, 1915.
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El interés del humanista italiano Alessandro Geraldini (1455-1524) por los monumenta antiquitatis (y especialmente por las inscripciones romanas) se pone de manifiesto en su Itinerarium ad regiones sub aequinoctiali plaga constitutas, compuesto al final de su vida. Analizamos aquí la información anticuaria contenida en su obra; señalamos por primera vez las fuentes epigráficas utilizadas como hipotexto en su Itinerarium, identificamos la síloge epigráfica de donde conoció dichos textos y, finalmente, valoramos su participación efectiva en los estudios epigráficos llevados a cabo durante su larga permanencia en España (ante 1475-1519).
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La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
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La dynastie des Flaviens est souvent mal connue et appréciée en raison de sa situation chronologique, « coincée » entre la famille des descendants de César et d’Auguste et celle allant de Trajan à Marc Aurèle. Elle passe parfois pour une simple dynastie de « transition » qui aurait uniquement servi de passerelle entre deux familles considérées comme plus brillantes qui ont par ailleurs laissé un souvenir plus durable. En un peu plus d’un quart de siècle (69-96), Vespasien, Titus et Domitien ont pourtant davantage fait pour la stabilité de Rome et de l’Empire que certains de leurs prédécesseurs ou successeurs. Sorti vainqueur des troubles civils de l’année des quatre empereurs (68-69), Vespasien ramena la paix en Orient et en Italie en plus de s’attacher à stabiliser les institutions et de reconstituer les finances de l’État, passablement écornées par les dernières années du Principat de Néron (54-68) et la guerre civile elle-même. Plus que la paix et la stabilité à l’intérieur et aux frontières de l’Empire, il fit cependant en sorte de refonder les bases institutionnelles du Principat en assumant sa transformation en un régime monarchique et héréditaire. Un principe parfaitement admis puisque ses deux fils adultes, Titus et Domitien, lui succédèrent sans difficulté. Davantage peut-être que les récits laissés par les sources littéraires anciennes, les inscriptions romaines et italiennes ainsi que les monnaies émises par l’atelier de Rome sont probablement le meilleur témoignage permettant de saisir le plus précisément et le plus profondément l’idée que les Flaviens se faisaient d’eux-mêmes et du pouvoir dont ils étaient investis. Le contenu de leur titulature officielle comme leurs choix iconographiques permettent ainsi de dégager leurs différents thèmes de propagande qui laissent finalement apparaitre une vraie continuité dans leur idéologie du pouvoir et leur manière de gouverner. Vespasien a ainsi posé des fondations idéologiques et politiques que ses fils ont globalement poursuivies et respectées, ce qui renforce l’idée selon laquelle les Flaviens ont effectivement suivi un « programme » qui les distinguait de leurs prédécesseurs et de leurs successeurs. Malgré des différences parfois importantes dans leurs pratiques, les inscriptions et l’iconographie monétaire permettent ainsi de mettre en lumière le fait que Titus et Domitien ont finalement moins cherché à faire preuve d’originalité qu’à s’inscrire dans la continuité de l’œuvre de leur père afin de garantir le maintien de la paix et avec elle la prospérité et la stabilité de l’État, et avec elles la satisfaction et la tranquillité de l’ensemble de la société.
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This study analyses the diction of Latin building inscriptions. Despite its importance, this topic has rarely been discussed before: the most substantial contribution on the subject is a short dissertation by Klaus Gast (1965) that focuses on 100 inscriptions dating mostly from the Republican period. Marietta Horster (2001) also touched upon this theme in her thesis on imperial building inscriptions. I have collected my source material in North Africa because more Latin building inscriptions dating from the Imperial period have survived there than in any other area of the Roman Empire. By means of a thorough and independent survey, I have assembled all relevant African Latin building inscriptions datable to the Roman period (between 146 BC and AD 425), 1002 texts, into a corpus. These inscriptions are all fully edited in Appendix 1; Appendix 2 contains references to earlier editions. To facilitate search operations, both are also available in electronic form. They are downloadable from the address http://www.helsinki.fi/hum/kla/htm/jatkoopinnot.htm. Chapter one is an introduction dealing with the nature of building inscriptions as source material. Chapter two offers a statistical overview of the material. The following main section of the work falls into five chapters, each of which analyses one main part of a building inscription. An average building inscription can be divided into five parts: the starting phrase opens the inscription (a dedication to gods, for example), the subject part identifies the builder, the object part describes the constructed or repaired building, the predicate part records the building activity and the supplement part offers additional information on the project (it can specify the funding, for instance). These chapters are systematic and chronological and their purpose is to register and interpret the phrases used, to analyse reasons for their use and for their popularity among the different groups of builders. Chapter eight, which follows the main section of the work, creates a typology of building inscriptions based on their structure. It also presents the most frequently attested types of building inscriptions. The conclusion describes, on a general level, how the diction of building inscriptions developed during the period of study and how this striking development resulted from socio-economic changes that took place in Romano-African society during Antiquity. This study shows that the phraseology of building inscriptions had a clear correlation both with the type of builder and with the date of carving. Private builders tended to accentuate their participation (especially its financial side) in the project; honouring the emperor received more emphasis in the building inscriptions set up by communities; the texts produced by the army were concise. The chronological development is so clear that it enables stylistic dating. At the beginning of the imperial period the phrases were clear, concrete, formal and stereotyped but by Late Antiquity they have become vague, subjective, flexible, varied and even rhetorically or poetically coloured.
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Raybould, Marilynne, and Sims-Williams, Patrick, The geography of Celtic personal names in the Latin inscriptions of the Roman Empire (Aberystwyth: CMCS publications, 2007) RAE2008
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Raybould, M. and Sims-Williams, P. (2007). A Corpus of Latin Inscriptions of the Roman Empire containing Celtic personal names. Aberystwyth: CMCS publications. RAE2008
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This article for the first time considers all extant ancient evidence for the habit of carving inscriptions on tree trunks. It emerges a picture that bears remarkable resemblances to what is known from the habit of graffiti writing (with important addition to that latter field to be derived from the findings), for individual and technical texts.