115 resultados para Naturalism.


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I distinguish two ways that philosophers have approached and explained the reality and status of human social institutions. I call these approaches “naturalist” and “post-naturalist”. Common to both approaches is an understanding that the status of mind and its relation to the world or “nature” has implications on a conception of the status of institutional reality. Naturalists hold that mind is explicable within a scientific frame that conceives of mind as a fundamentally material process. By proxy, social reality is also materially explicable. Post-naturalists critique this view, holding instead that naturalism is parasitic on contemporary science—it therefore is non-compulsory and distorts how we ought to understand mind and social reality. A comparison of naturalism and post-naturalism will comprise the content of the first chapter. The second chapter turns to tracing out the dimensions of a post-naturalist narrative of mind and social reality. Post-naturalists conceive of mind and its activity of thought as sui generis, and it transpires from this that social institutions are better understood as a rational mind’s mode of the expression in the world. Post-naturalism conceives of social reality as a necessary dimension of thought. Thought requires a second person and thereby a tradition or context of norms that come to both structure its expression and become the products of expression. This is in contrast to the idea that social reality is a production of minds, and thereby derivative. Social reality, self-conscious thought, and thought of the second person are therefore three dimensions of a greater unity.

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the article explores the putatively non-metaphysical – non-voluntarist, and even non-causal – concept of freedom outlined in Hegel’s work and discusses its influential interpretation by robert Pippin as an ‘essentially practical’ concept. I argue that Hegel’s affirmation of freedom must be distinguished from that of Kant and Fichte, since it does not rely on a prior understanding of self-consciousness as an originally teleological relation and it has not the nature of a claim ‘from a practical point of view’.

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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.

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I argue (1) that Alvin Plantinga’s theory of warrant is plausible and (2) that, contrary to the Pandora’s Box objection, there are certain serious world religions that cannot successfully use Plantinga’s epistemology to demonstrate that their beliefs could be warranted in the same way that Christian belief can be warranted. In arguing for (1), I deploy Ernest Sosa’s Swampman case to show that Plantinga’s proper function condition is a necessary condition for warrant. I then engage three objections to Plantinga’s theory of warrant, each of which attempts to demonstrate that his conditions for warrant are neither necessary nor sufficient. Having defended the plausibility of Plantinga’s theory of warrant, I present and expand his key arguments to the effect that naturalism cannot make use of it. These arguments provide the conceptual tools that are needed to argue for (2): that there are certain world religions that cannot legitimately use Plantinga’s theory of warrant to demonstrate that their beliefs could be warranted in the same way that Christian belief can be warranted.

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En este trabajo se han utilizado fundamentalmente técnicas y conocimientos adquiridos en la carrera de Artes Escénicas impartida en la Universidad de Cuenca. De esta manera buscamos crear un personaje a partir de varias nociones y referentes del Naturalismo Teatral con el objetivo de lograr una organicidad del personaje en escena. Es por esto que empezaremos analizando el concepto de organicidad de Konstantin Stanislavski, director ruso del siglo XX. Esta noción nos servirá como introducción a la técnica de William Layton, actor, director y profesor de teatro, quien creó una técnica que ayuda al actor a lograr la organicidad en escena. Finalmente nos introduciremos al movimiento tomando la propuesta teórica de Ernesto Ortiz, profesor de Danza contemporánea en la carrera de Artes Escénicas de la Universidad de Cuenca, ya que él busca conseguir una danza contemporánea que responda a las necesidades e instintos corporales del bailarín mas no del coreógrafo o director, lo que se ha podido interpretar como una búsqueda por lograr la organicidad del bailarín en escena. Así, se emprendió un proceso de laboratorio en el que se creó un personaje, el cual fue interpretado en varias escenas.

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Pretendo explicitar algumas implicações epistemológicas do debate entre Putnam e Habermas acerca da objetividade dos valores. Inicialmente, gostaria de construir, recorrendo a reflexões em filosofia da linguagem e no neopragmatismo, o horizonte teórico no qual se possa entender de maneira menos unilateral a relação entre naturalismo e a normatividade das “formas de vida” (1). Tais considerações devem funcionar como uma explanação do contexto filosófico em que se desenvolve o debate Habermas/Putnam. Em seguida, gostaria de resumir a posição de Putnam (2). Em terceiro lugar, a partir daquilo que parece ser a direção argumentativa compartilhada, pretendo evidenciar a pertinência do debate para os atuais questionamentos em filosofia prática, delineando os contornos do “pragmatismo ético” (3). Finalmente, procuro mostrar que Habermas escapa à crítica de Putnam aderindo implicitamente à tese da vinculação da moral deontológica a uma orientação axiológica em termos de vulnerabilidade (4). ______________________________________________________________________________ ABSTRACT

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In this paper, I take inspiration from some themes in Ann Murphy’s recent book, Violence and the Philosophical Imaginary, especially her argument that philosophy’s identity and relation to itself depends on an intimate relationship with that which is designated as not itself (e.g. other academic disciplines and non-philosophy in general), the latter of which is a potential source of shame that calls for some form of response. I argue that this shame is particularly acute in regard to the natural sciences, which have gone on in various ways to distance themselves from their progenitor discipline and to achieve both agreement and technical progress in a way that could never be said of philosophy. I trace out some of the reactions to this shame that have dominated in the twentieth century and been a factor in the so-called analytic-continental ‘divide’. The options here are many and varied, but they range from cannibalism (philosophy as queen of the sciences, thus conferring some of the prestige of science upon the philosophy, which alone can unite or ground the various ontic sciences), scientific naturalism (the philosopher defers to the sciences, and most forms of meta-philosophy are rejected as an outmoded remnant of first philosophy), or some kind of irenic separatism about methods or domains such that science and philosophy do not encroach upon the territory of each other. My aims here are mainly diagnostic, but I will indicate where I think that certain responses to this shame are unproductive and unhelpful, with divergent weaknesses associated with the traditions that have come to be labelled ‘analytic’ and ‘continental’ respectively. My tacit suggestion, then, is that philosophy needs to become post-analytic and meta-continental, but I will also briefly criticize some recent efforts to do precisely this in what is sometimes called the ‘scientific turn’ in contemporary continental (or post-continental) philosophy.

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Une des questions centrales de la métaéthique est celle de savoir si les propriétés morales sont des propriétés naturelles ou non-naturelles. Ce mémoire fait valoir que nous ferions bien de remettre en question une constellation d’arguments en faveur du non-naturalisme moral : l’argument de la question ouverte, l’intuition normative et l’argument du gouffre. L’influent argument de la question ouverte de Moore, d’abord, ne soutient le non-naturalisme que s’il commet une pétition de principe. L’intuition normative commet ou bien le sophisme d’inférer sur la base de sa différence spécifique qu’une chose n’appartient pas à un genre donné, ou bien sous-estime la panoplie de propriétés naturelles qui possèdent les caractéristiques censées être distinctives des propriétés morales et normatives. L’argument du gouffre, quant à lui, sous-estime l’ubiquité du fossé logique et conceptuel censé marquer une discontinuité métaphysique profonde entre les domaines normatif et naturel.

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Une des questions centrales de la métaéthique est celle de savoir si les propriétés morales sont des propriétés naturelles ou non-naturelles. Ce mémoire fait valoir que nous ferions bien de remettre en question une constellation d’arguments en faveur du non-naturalisme moral : l’argument de la question ouverte, l’intuition normative et l’argument du gouffre. L’influent argument de la question ouverte de Moore, d’abord, ne soutient le non-naturalisme que s’il commet une pétition de principe. L’intuition normative commet ou bien le sophisme d’inférer sur la base de sa différence spécifique qu’une chose n’appartient pas à un genre donné, ou bien sous-estime la panoplie de propriétés naturelles qui possèdent les caractéristiques censées être distinctives des propriétés morales et normatives. L’argument du gouffre, quant à lui, sous-estime l’ubiquité du fossé logique et conceptuel censé marquer une discontinuité métaphysique profonde entre les domaines normatif et naturel.

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El objetivo de la tesis es identificar una familia de argumentos que comparten una estructura con el principio de dualidad de la geometría proyectiva. Esta familia la denomino "argumentos duales". Para lograr este objetivo, tomo cuatro argumentos importantes de la filosofía analítica e identifico en ellos la estructura que comparten. Los cuatro argumentos son: (i) el acertijo de la inducción de Goodman; (ii) la indeterminación de la referencia Putnam; (iii) la indeterminación de la traducción de Quine; (iv) la paradoja del seguimiento de reglas de Wittgenstein.