914 resultados para cannabinoid receptor 1
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Cannabinoids are implicated in the control of cell proliferation, but little is known about the role of the endocannabinoid system in human malignant melanoma. This study was aimed at characterizing the in vitro antitumor activity of anandamide (AEA) in A375 melanoma cells. The mRNA expression of genes that code for proteins involved in the metabolism and in the mechanism of AEA action was assessed by RT-PCR. Cell viability was tested using WST-1 assay and the apoptotic cell death was determined by measuring caspase 3/7 activities. A375 cells express high levels of fatty acid amide hydrolase (FAAH), cyclooxygenase (COX)-2, cannabinoid receptor 1 (CB1), transient receptor potential cation channel subfamily V member 1 (TRPV1) and G-protein-coupled receptor 55 (GPR55) genes. AEA induced a concentration-dependent cytotoxicity with an IC50 of 5.8±0.7 µM and such an effect was associated to a caspase-dependent apoptotic pathway. AEA cytotoxicity was potentiated by FAAH inhibition (2-fold increase, p<0.05) and mitigated by COX-2 or lipoxygenase (LOX) inhibition (5- and 3-fold decrease, respectively; p<0.01). Blocking CB1 receptors partially decreased AEA cytotoxicity, whereas selective antagonism on the TRPV1 barely affected the mechanism of AEA action. Finally, methyl-β-cyclodextrin, a membrane cholesterol depletory, completely reversed the cytotoxicity induced by the selective GPR55 agonist, O-1602, and AEA. Overall, these findings demonstrate that AEA induces cytotoxicity against human melanoma cells in the micromolar range of concentrations through a complex mechanism, which involves COX-2 and LOX-derived product synthesis and CB1 activation. Lipid raft modulation, probably linked to GPR55 activation, might also have a role.
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Le cannabis produit de nombreux effets psychologiques et physiologiques sur le corps humain. Les molécules contenues dans cette plante, désignées comme « phytocannabinoïdes », activent un système endogène qu’on appelle le système endocannabinoïde (eCB). Les effets de la consommation de cannabis sur la vision ont déjà été décrits sans cependant de formulation sur les mécanismes sous-jacents. Ces résultats comportementaux suggèrent, malgré tout, la présence de ce système eCB dans le système visuel, et particulièrement dans la rétine. Cette thèse vise donc à caractériser l’expression, la localisation et le rôle du système eCB dans la rétine du singe vervet, une espèce animale ayant un système visuel semblable à celui de l’humain. Nous avons mis au point un protocole expérimental d’immunohistochimie décrit dans l’article apparaissant dans l’Annexe I que nous avons utilisé pour répondre à notre objectif principal. Dans une première série de quatre articles, nous avons ainsi caractérisé l’expression et la localisation de deux récepteurs eCBs reconnus, les récepteurs cannabinoïdes de type 1 (CB1R) et de type 2 (CB2R), et d’un 3e présumé récepteur aux cannabinoïdes, le récepteur GPR55. Dans l’article 1, nous avons démontré que CB1R et une enzyme clé de ce système, la fatty acid amide hydrolase (FAAH), sont exprimés dans les parties centrale et périphérique de la rétine, et abondamment présents dans la fovéa, une région où l’acuité visuelle est maximale. Dans l’article 2, nous avons localisé le CB2R dans des cellules gliales de la rétine : les cellules de Müller et nous avons proposé un modèle sur l’action de cette protéine dans la fonction rétinienne faisant appel à une cascade chimique impliquant les canaux potassiques. Dans l’article 3, nous avons observé le GPR55 exclusivement dans les bâtonnets qui sont responsables de la vision scotopique et nous avons soumis un deuxième modèle de fonctionnement de ce récepteur par le biais d'une modulation des canaux calciques et sodiques des bâtonnets. Vu que ces 3 récepteurs se retrouvent dans des cellules distinctes, nous avons suggéré leur rôle primordial dans l’analyse de l’information visuelle au niveau rétinien. Dans l’article 4, nous avons effectué une analyse comparative de l’expression du système eCB dans la rétine de souris, de toupayes (petits mammifères insectivores qui sont sont considérés comme l’étape intermédiaire entre les rongeurs et les primates) et de deux espèces de singe (le vervet et le rhésus). Ces résultats nous ont menés à présenter une hypothèse évolutionniste quant à l’apparition et à la fonction précise de ces récepteurs. Dans les articles subséquents, nous avons confirmé notre hypothèse sur le rôle spécifique de ces trois récepteurs par l’utilisation de l’électrorétinographie (ERG) après injection intravitréenne d’agonistes et d’antagonistes de ces récepteurs. Nous avons conclu sur leur influence indéniable dans le processus visuel rétinien chez le primate. Dans l’article 5, nous avons établi le protocole d’enregistrement ERG normalisé sur le singe vervet, et nous avons produit un atlas d’ondes ERG spécifique à cette espèce, selon les règles de l’International Society for Clinical Electrophysiology of Vision (ISCEV). Les patrons électrorétinographiques se sont avérés semblables à ceux de l’humain et ont confirmé la similarité entre ces deux espèces. Dans l’article 6, nous avons démontré que le blocage de CB1R ou CB2R entraine une modification de l’électrorétinogramme, tant au niveau photopique que scotopique, ce qui supporte l’implication de ces récepteurs dans la modulation des ondes de l’ERG. Finalement, dans l’article 7, nous avons confirmé le modèle neurochimique proposé dans l’article 3 pour expliquer le rôle fonctionnel de GPR55, en montrant que l’activation ou le blocage de ce récepteur, respectivement par un agoniste (lysophosphatidylglucoside, LPG) ou un antagoniste (CID16020046), entraine soit une augmentation ou une baisse significative de l’ERG scotopique seulement. Ces données, prises ensemble, démontrent que les récepteurs CB1R, CB2R et GPR55 sont exprimés dans des types cellulaires bien distincts de la rétine du singe et ont chacun un rôle spécifique. L’importance de notre travail se manifeste aussi par des applications cliniques en permettant le développement de cibles pharmacologiques potentielles dans le traitement des maladies de la rétine.
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Oral therapy for type 2 diabetes mellitus, when used appropriately, can safely assist patients to achieve glycaemic targets in the short to medium term. However, the progressive nature of type 2 diabetes usually requires a combination of two or more oral agents in the longer term, often as a prelude to insulin therapy. Issues of safety and tolerability, notably weight gain, often limit the optimal application of anti-diabetic drugs such as sulforylureas and thiazolidinediones. Moreover, the impact of different drugs, even within a single class, on the risk of long-term vascular complications has come under scrutiny. For example, recent publication of evidence suggesting potential detrimental effects of rosiglitazone on myocardial events generated a heated debate and led to a reduction in use of this drug. In contrast, current evidence supports the view that pioglitazone has vasculoprotective properties. Both drugs are contraindicated in patients who are at risk of heart failure. An additional recently identified safety concern is an increased risk of fractures, especially in postmenopausal women. Several new drugs with glucose-lowering efficacy that may offer certain advantages have recently become available. These include (i) injectable glucagonlike peptide-1 (GLP-1) receptor agonists and oral dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) inhibitors; (ii) the amylin analogue pramlintide; and (iii) selective cannabinoid receptor-1 (CB1) antagonists. GLP-1 receptor agonists, such as exenatide, stimulate nutrient-induced insulin secretion and reduce inappropriate glucagon secretion while delaying gastric emptying and reducing appetite. These agents offer a low risk of hypoglycaemia combined with sustained weight loss. The DPP-4 inhibitors sitagliptin and vildagliptin are generally weight neutral, with less marked gastrointestinal adverse effects than the GLP-1 receptor agonists. Potential benefits of GLP-1 receptor stimulation on P cell neogenesis are under investigation. Pancreatitis has been reported in exenatide-treated patients. Pramlintide, an injected peptide used in combination with insulin, can reduce insulin dose and bodyweight. The CB1 receptor antagonist rimonabant promotes weight loss and has favourable effects on aspects of the metabolic syndrome, including the hyperglycaemia of type 2 diabetes. However, in 2007 the US FDA declined approval of rimonabant, requiring more data on adverse effects, notably depression. The future of dual peroxisome proliferator-activated receptor-alpha/gamma agonists, or glitazars, is presently uncertain following concerns about their safety. In conclusion, several new classes of drugs have recently become available in some countries that offer new options for treating type 2 diabetes. Beneficial or neutral effects on bodyweight are an attractive feature of the new drugs. However, the higher cost of these agents, coupled with an absence of long-term safety and clinical outcome data, need to be taken into consideration by clinicians and healthcare organizations.
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Evidences have suggested that the endocannabinoid system is overactive in obesity, resulting in enhanced endocannabinoid levels in both circulation and visceral adipose tissue. The blockade of cannabinoid receptor type 1 (CB1) has been proposed for the treatment of obesity. Besides loss of body weight, CB1 antagonism improves insulin sensitivity, in which the glucose transporter type 4 (GLUT4) plays a key role. The aim of this study was to investigate the modulation of GLUT4-encoded gene (Slc2a4 gene) expression by CB1 receptor. For this, 3T3-L1 adipocytes were incubated in the presence of a highly selective CB1 receptor agonist (1 mu M arachidonyl-2'-chloroethylamide) and/or a CB1 receptor antagonist/inverse agonist (0.1, 0.5, or 1 mu M AM251, 1-(2,4-dichlorophenyl)-5-(4-iodophenyl)-4-methyl-N-1-piperidinyl-1H-pyrazole-3-carboxamide). After acute (2 and 4 h) and chronic (24 h) treatments, cells were harvested to evaluate: i) Slc2a4, Cnr1 (CB1 receptor-encoded gene), and Srebf1 type a (SREBP-1a type-encoded gene) mRNAs (real-time PCR); ii) GLUT4 protein (western blotting); and iii) binding activity of nuclear factor (NF)-kappa B and sterol regulatory element-binding protein (SREBP)-1 specifically in the promoter of Slc2a4 gene (electrophoretic mobility shift assay). Results revealed that both acute and chronic CB1 receptor antagonism greatly increased (similar to 2.5-fold) Slc2a4 mRNA and protein content. Additionally, CB1-induced upregulation of Slc2a4 was accompanied by decreased binding activity of NF-kappa B at 2 and 24 h, and by increased binding activity of the SREBP-1 at 24 h. In conclusion, these findings reveal that the blockade of CB1 receptor markedly increases Slc2a4/GLUT4 expression in adipocytes, a feature that involves NF-kappa B and SREBP-1 transcriptional regulation. Journal of Molecular Endocrinology (2012) 49, 97-106
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We have recently shown that the transient receptor potential vanilloid type 1 (TRPV1), a non-selective cation channel in the peripheral and central nervous system, is localized at postsynaptic sites of the excitatory perforant path synapses in the hippocampal dentate molecular layer (ML). In the present work, we have studied the distribution of TRPV1 at inhibitory synapses in the ML. With this aim, a preembedding immunogold method for high resolution electron microscopy was applied to mouse hippocampus. About 30% of the inhibitory synapses in the ML are TRPV1 immunopositive, which is mostly localized perisynaptically (similar to 60% of total immunoparticles) at postsynaptic dendritic membranes receiving symmetric synapses in the inner 1/3 of the layer. This TRPV1 pattern distribution is not observed in the ML of TRPV1 knock-out mice. These findings extend the knowledge of the subcellular localization of TRPV1 to inhibitory synapses of the dentate molecular layer where the channel, in addition to excitatory synapses, is present.
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The paraventricular nucleus (PVN) of the hypothalamus plays a key role in the control of appetite and energy balance. Both ghrelin and cannabinoid receptor agonists increase food intake when administered into this nucleus: this study investigated possible interactions between the two systems in relation to eating. The orexigenic effect of ghrelin (100 pmol) when infused in to the PVN was reversed by a small, systemic dose of the CB1 cannabinoid receptor antagonist SR141716 (1 mg kg(-1)). This is the first demonstration of a functional relationship between brain ghrelin and endocannabinoid systems, and, although it needs to be further investigated, the effect of ghrelin on food intake when injected into the PVN seems to be mediated by stimulation of cannabinoid release.
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BACKGROUND AND PURPOSE Epilepsy is the most prevalent neurological disease and is characterized by recurrent seizures. Here, we investigate (i) the anticonvulsant profiles of cannabis-derived botanical drug substances (BDSs) rich in cannabidivarin (CBDV) and containing cannabidiol (CBD) in acute in vivo seizure models and (ii) the binding of CBDV BDSs and their components at cannabinoid CB 1 receptors. EXPERIMENTAL APPROACH The anticonvulsant profiles of two CBDV BDSs (50–422 mg·kg −1 ) were evaluated in three animal models of acute seizure. Purified CBDV and CBD were also evaluated in an isobolographic study to evaluate potential pharmacological interactions. CBDV BDS effects on motor function were also investigated using static beam and grip strength assays. Binding of CBDV BDSs to cannabinoid CB 1 receptors was evaluated using displacement binding assays. KEY RESULTS CBDV BDSs exerted significant anticonvulsant effects in the pentylenetetrazole (≥100 mg·kg −1 ) and audiogenic seizure models (≥87 mg·kg −1 ), and suppressed pilocarpine-induced convulsions (≥100 mg·kg −1 ). The isobolographic study revealed that the anticonvulsant effects of purified CBDV and CBD were linearly additive when co-administered. Some motor effects of CBDV BDSs were observed on static beam performance; no effects on grip strength were found. The Δ 9 -tetrahydrocannabinol and Δ 9 -tetrahydrocannabivarin content of CBDV BDS accounted for its greater affinity for CB 1 cannabinoid receptors than purified CBDV. CONCLUSIONS AND IMPLICATIONS CBDV BDSs exerted significant anticonvulsant effects in three models of seizure that were not mediated by the CB 1 cannabinoid receptor and were of comparable efficacy with purified CBDV. These findings strongly support the further clinical development of CBDV BDSs for the treatment of epilepsy.
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Cannabinerge Substanzen können das Verhalten in einer dosisabhängigen, aber biphasischen Weise beeinflussen. Eine Erklärung für diese Art der Effekte könnte die Verteilung des CB1 Rezeptors auf verschiedenen Neuronentypen sein. CB1 Rezeptoren in glutamatergen und GABAergen Neuronen sind hier besonders wichtig, da die entsprechenden Neurotransmitter als Gegenspieler die neuronale Erregung kontrollieren. Spezifische Deletion des CB1 Rezeptor-Gens von einer der beiden Populationen führte zu gegensätzlichen Phenotypen, genauer gesagt, einem erniedrigten, bzw. einem gesteigerten Interaktiondrang. Tiere, bei denen der CB1 Rezeptor ausschließlich in striatalen, GABAergen „Medium Spiny“ Neuronen deletiert wurde, zeigten keinen veränderten Phänotyp. Dies legt nahe, dass der CB1 Rezeptor in kortikalen glutamatergen und GABAergen Neuronen für einen ausgeglichenen Interaktionsdrang entscheidend ist (siehe Kapitel 3).rnDiese dosisabhängigen, biphasischen Effekte auf das Verhalten können auch im „Forced Swim Test“ (FST) beobachtet werden. Ein möglicher Mechanismus, durch den Cannabinoide das Stressverhalten beeinflussen können, wäre die Regulierung der Monoaminausschüttung. Um die Abhängigkeit der Cannabinoideffekte von der Serotonintransmission zu untersuchen, wurden Dosen von CB1 Rezeptoragonisten und –antagonisten mit antidepressiv-induzierenden Eigenschaften bei gleichzeitiger Inhibition der Serotonintransmission im FST getestet. Die Ergebnisse zeigten, dass lediglich der Agonisteffekt durch die Inhibition der Serotoninauschüttung beeinflusst wird. Zusätzlich konnte die Abhängigkeit des Antagonisteneffekts von funktionsfähigen GABAergen CB1 Rezeptoren nachweisen werden. Interessanter Weise konnte der durch die Deletion von glutamatergen CB1 Rezeptoren induzierte Phänotyp durch Inhibition der Serotoninausschüttung blockiert werden (siehe Kapitel 4).rnEin indirekter Einfluss auf Serotoninausschüttung scheint also wahrscheinlich zu sein. Bis jetzt blieb jedoch unklar, inwieweit cannabinerge Substanzen direkt auf serotonerge Neuronen wirken können. Im Jahr 2007 konnte unsere Gruppe die Expression des CB1 Rezeptors in serotonergen Neuronen auf mRNA- und Proteinebene nachweisen. Die Züchtung und Analyse einer mutanten Mauslinie, in welcher der CB1-Rezeptor spezifisch in serotonergen Neuronen ausgeschaltet wurde, zeigte bei männlichen Tieren eine schwache, aber signifikante Verhaltensänderungen, die durch soziale Stimuli und lebensbedrohlichen Situationen ausgelöst wurde. So ist es erstmals gelungen nachzuweisen, dass serotonerge CB1-Rezeptoren eine physiologische Relevanz besitzen (siehe Kapitel 5).rn
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Bladder pain syndrome (BPS) is a clinical syndrome of pelvic pain and urinary urgency-frequency in the absence of a specific cause. Investigating the expression levels of genes involved in the regulation of epithelial permeability, bladder contractility, and inflammation, we show that neurokinin (NK)1 and NK2 tachykinin receptors were significantly down-regulated in BPS patients. Tight junction proteins zona occludens-1, junctional adherins molecule -1, and occludin were similarly down-regulated, implicating increased urothelial permeability, whereas bradykinin B(1) receptor, cannabinoid receptor CB1 and muscarinic receptors M3-M5 were up-regulated. Using cell-based models, we show that prolonged exposure of NK1R to substance P caused a decrease of NK1R mRNA levels and a concomitant increase of regulatory micro(mi)RNAs miR-449b and miR-500. In the biopsies of BPS patients, the same miRNAs were significantly increased, suggesting that BPS promotes an attenuation of NK1R synthesis via activation of specific miRNAs. We confirm this hypothesis by identifying 31 differentially expressed miRNAs in BPS patients and demonstrate a direct correlation between miR-449b, miR-500, miR-328, and miR-320 and a down-regulation of NK1R mRNA and/or protein levels. Our findings further the knowledge of the molecular mechanisms of BPS, and have relevance for other clinical conditions involving the NK1 receptor.
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Rimonabant (SR141716) and the structurally related AM251 are widely used in pharmacological experiments as selective cannabinoid receptor CB(1) antagonists / inverse agonists. Concentrations of 0.5-10 µM are usually applied in in vitro experiments. We intended to show that these drugs did not act at GABA(A) receptors but found a significant positive allosteric modulation instead.
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The widespread plant volatile beta-caryophyllene (BCP) was recently identified as a natural selective agonist of the peripherally expressed cannabinoid receptor 2 (CB2). It is found in relatively high concentrations in many spices and food plants. A number of studies have shown that CB2 is critically involved in the modulation of inflammatory and neuropathic pain responses. In this study, we have investigated the analgesic effects of BCP in animal models of inflammatory and neuropathic pain. We demonstrate that orally administered BCP reduced inflammatory (late phase) pain responses in the formalin test in a CB2 receptor-dependent manner, while it had no effect on acute (early phase) responses. In a neuropathic pain model the chronic oral administration of BCP attenuated thermal hyperalgesia and mechanical allodynia, and reduced spinal neuroinflammation. Importantly, we found no signs of tolerance to the anti-hyperalgesic effects of BCP after prolonged treatment. Oral BCP was more effective than the subcutaneously injected synthetic CB2 agonist JWH-133. Thus, the natural plant product BCP may be highly effective in the treatment of long lasting, debilitating pain states. Our results have important implications for the role of dietary factors in the development and modulation of chronic pain conditions.
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We thank European Commission (project “PET BRAIN: Mapping the brain with PET radiolabeled cannabinoid CB1 ligands”; FP7-People-2009-IAPP; Grant Agreement N.25142).
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We have investigated the role of 23 candidate genes in the control of bone mineral density (BMD) by linkage studies in families of probands with osteoporosis (lumbar spine [LS] or femoral neck [FN] BMD T score < -2.5) and low BMD relative to an age- and gender-matched cohort (Z score < -2.0). One hundred and fifteen probands (35 male, 80 female) and 499 of their first- or second-degree relatives (223 males and 276 females) were recruited for the study. BMD was measured at the LS and FN using dual-energy X-ray absorptiometry and expressed as age- and gender-matched Z scores corrected for body mass index. The candidate genes studied were the androgen receptor, type I collagen A1 (COLIA1), COLIA2, COLIIA1, vitamin D receptor (VDR), colony-stimulating factor 1, calcium-sensing receptor, epidermal growth factor (EGF), estrogen receptor 1 (ESR1), fibrillin type 1, insulin-like growth factor 1, interleukin-1 alpha (IL-1α), interleukin-4 (IL-4), interleukin-6 (IL-6), interleukin-11 (IL-11), osteopontin, parathyroid hormone (PTH), PTH-related peptide, PTH receptor type 1 (PTHR1), transforming growth factor-beta 1, and tumor necrosis factors alpha and beta. Sixty-four microsatellites lying close to or within these genes were investigated for linkage with BMD. Using the program MapMaker/Sibs there was suggestive evidence of linkage between BMD and PTHR1 (maximum LOD score obtained [MLS] 2.7-3.5). Moderate evidence of linkage was also observed with EGF (MLS 1.8), COLIA1 (MLS 1.7), COLIIA1/VDR (MLS 1.7), ESR1 (MLS 1.4), IL-1α (MLS 1.4), IL-4 (MLS 1.2), and IL-6 (MLS 1.2). Variance components analysis using the program ACT, correcting for proband-wise ascertainment, also showed evidence of linkage (p ≤0.05) at markers close to or within the candidate genes IL- 1α, PTHR1, IL-6, and COLIIA1/VDR. Further studies will be required to confirm these findings, to refine the location of gene responsible for the observed linkage, and to screen the candidate genes targeted at these loci for mutations.
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La période de réceptivité endométriale chez l’humain coïncide avec la différentiation des cellules stromales de l’endomètre en cellules hautement spécifiques, les cellules déciduales, durant le processus dit de décidualisation. Or, on sait qu’une transformation anormale des cellules endométriales peut être à l’origine de pertes récurrentes de grossesses. LRH-1 est un récepteur nucléaire orphelin et un facteur de transcription régulant de nombreux évènements relatif à la reproduction et comme tout récepteur, son activation promouvoit l’activité transcriptionnelle de ses gènes cibles. Nous avons déjà montré que LRH-1 et son activité sont essentiels pour la décidualisation au niveau de l’utérus chez la souris et nous savons qu’il est présent dans l’utérus chez l’humain au moment de la phase de prolifération mais aussi de sécrétion du cycle menstruel, et que son expression augmente dans des conditions de décidualisation in vitro. Notre hypothèse est alors la suivante : LRH-1 est indispensable à la décidualisation du stroma endométrial, agissant par le biais de la régulation transcriptionnelle de gènes requis pour la transformation de cellules stromales en cellules déciduales. Afin d’explorer le mécanisme moléculaire impliqué dans la régulation transcriptionnelle effectuée par l’intermédiaire de ce récepteur, nous avons mis en place un modèle de décidualisation in vitro utilisant une lignée de cellules stromales de l’endomètre, cellules humaines et immortelles (hESC). Notre modèle de surexpression développé en transfectant les dites cellules avec un plasmide exprimant LRH-1, résulte en l’augmentation, d’un facteur 5, de l’abondance du transcriptome de gènes marqueurs de la décidualisation que sont la prolactine (PRL) et l’insulin-like growth factor binding protein-1 (IGFBP-1). En outre, la sous-régulation de ce récepteur par l’intermédiaire de petits ARN interférents (shRNA) abolit la réaction déciduale, d’un point de vue morphologique mais aussi en terme d’expression des deux gènes marqueurs cités ci-dessus. Une analyse par Chromatin ImmunoPrécipitation (ou ChIP) a démontré que LRH-1 se lie à des régions génomiques se trouvant en aval de certains gènes importants pour la décidualisation comme PRL, WNT 4, WNT 5, CDKN1A ou encore IL-24, et dans chacun de ces cas cités, cette capacité de liaison augmente dans le cadre de la décidualisation in vitro. Par ailleurs, des études structurelles ont identifié les phospholipides comme des ligands potentiels pour LRH-1. Nous avons donc choisi d’orienter notre travail de façon à explorer les effets sur les ligands liés à LRH-1 de traitements impliquant des agonistes et antagonistes à notre récepteur nucléaire. Les analyses par q-PCR et Western blot ont montré que la modulation de l’activité de LRH-1 par ses ligands influait aussi sur la réaction déciduale. Enfin, des études récentes de Salker et al (Salker, Teklenburg et al. 2010) ont mis en évidence que les cellules stromales humaines décidualisées sont de véritables biocapteurs de la qualité embryonnaire et qu’elles ont la capacité de migrer en direction de l’embryon. La série d’expériences que nous avons réalisée à l’aide de cellules hESC placées en co-culture avec des embryons de souris confirme que la migration cellulaire est bien dirigée vers les embryons. Cette propriété quant à l’orientation de la migration cellulaire est notoirement diminuée dans le cas où l’expression de LRH-1 est déplétée par shRNA dans les hESC. Nos données prouvent donc que LRH-1 régule non seulement la transcription d’un ensemble de gènes impliqués dans le processus de décidualisation mais agit aussi sur la motilité directionnelle de ces cellules hESC décidualisées in vitro.
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Reduced subjective experience of reward (anhedonia) is a key symptom of major depression. The anti-obesity drug and cannabinoid type 1 receptor (CB(1)) antagonist, rimonabant, is associated with significant rates of depression and anxiety in clinical use and was recently withdrawn from the market because of these adverse effects. Using a functional magnetic resonance imaging (fMRI) model of reward we hypothesized that rimonabant would impair reward processing. Twenty-two healthy participants were randomly allocated to receive rimonabant (20 mg), or placebo, for 7 d in a double-blind, parallel group design. We used fMRI to measure the neural response to rewarding (sight and/or flavour of chocolate) and aversive (sight of mouldy strawberries and/or an unpleasant strawberry taste) stimuli on the final day of drug treatment. Rimonabant reduced the neural response to chocolate stimuli in key reward areas such as the ventral striatum and the orbitofrontal cortex. Rimonabant also decreased neural responses to the aversive stimulus condition in the caudate nucleus and ventral striatum, but increased lateral orbitofrontal activations to the aversive sight and taste of strawberry condition. Our findings are the first to show that the anti-obesity drug rimonabant inhibits the neural processing of rewarding food stimuli in humans. This plausibly underlies its ability to promote weight loss, but may also indicate a mechanism for inducing anhedonia which could lead to the increased risk of depressive symptomatology seen in clinical use. fMRI may be a useful method of screening novel agents for unwanted effects on reward and associated clinical adverse reactions.