982 resultados para UTERINE ENDOMETRIUM


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A infecção por papilomavirus é a principal causa de desenvolvimento de neoplasias intraepiteliais cervicais (NIC) e câncer do colo do útero (CCU). Estudos epidemiológicos têm demonstrado que a persistência do genoma viral encontra-se associado a variantes moleculares específicas de papilomavirus humano (HPV) de alto risco. As moléculas HLA de classe II têm um importante papel na resposta imune. Associações entre HLA e CCU ou infecção por HPV tem sido demonstrado em diferentes populações. O nosso objetivo foi verificar se a variabilidade de HLA-DRB1 e DQB1 estavam associada ao CCU e NIC III em mulheres de Belém, uma população formada pelos 3 principais grupos étnicos humanos e uma área de alto risco para o CCU no Norte do Brasil. Foi investigada a existência de diferenças na distribuição de alelos HLA entre mulheres com CCU e NIC III portadoras de diferentes variantes de HPV-16 e mulheres citologicamente normais. Os genes HLA DQB1 e DRB1 foram tipados pelo método de PCR-SSO em 95 casos e 287 controles de mulheres com citologia normal atendidas em um centro de prevenção do colo do útero na mesma cidade. As variantes de HPV-16 foram tipadas por sequenciamento de um fragmento da região controladora do genoma viral (LCR). O polimorfismo na posição 350 do gene E6 foi tipado baseado em um protocolo de hibridização em pontos, para identificar a alteração na posição 350T→G. A magnitude das associações foi estimada por odds ratio (OR) e os respectivos intervalos de confiança (IC), ajustados para potenciais fatores de confusão. Uma associação positiva foi observada entre CCU e os haplótipos DRB1* 150 l-DQB1*0602, DRB1*04-DQB1*0301 e DRB1*1602-DQB1*0301. Ao contrário, DRB1*01-DQB1*0501 mostrou um efeito protetor. Os alelos DRB1*0804, DQB1*0402 apresentaram efeito protetor contra positividade por HPV. O alelo DQB1*0502 e o grupo DRB1*15 foram positivamente associados. Os nossos resultados mostram que as associações positivas de DRB1*1501 e DRB1*1602 podem ser atribuídas a variantes asiático-americanas quando comparado a variantes européias. O risco conferido a DRB1*1501 foi encontrado associado tanto a variantes E6350G quanto a variantes E6350T, entretanto, o maior efeito foi devido às variantes E6250T. A associação positiva de DRB1*1602 foi significativa somente no grupo de mulheres positivas para E6350G. Estes resultados estão de acordo com a composição étnica da população estudada bem como um maior potencial oncogênico de certas variantes. Nossos dados sugerem que a contribuição dos alelos HLA na susceptibilidade genética ao CCU difere de acordo com a distribuição das variantes de HPV em uma dada região geográfica ou grupo étnico.

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Trabalho Final do Curso de Mestrado Integrado em Medicina, Faculdade de Medicina, Universidade de Lisboa, 2014

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Problématique : Les prématurés évoluent dans l’unité néonatale qui présente une intensité lumineuse parfois forte et variable, ce qui a pour effet de provoquer une instabilité physiologique, ainsi qu’une augmentation du niveau d’activité motrice chez ces derniers. Par ailleurs, le contrôle de l’éclairage à l’unité néonatale favorise la stabilité physiologique et réduit le niveau d’activité motrice des prématurés. Deux méthodes de contrôle de l’éclairage ont été étudiées, soit l’éclairage tamisé constant et l’éclairage cyclique. Or, la méthode de contrôle de l’éclairage la plus appropriée au système nerveux immature des prématurés est inconnue et il y a ambivalence en ce qui concerne les résultats des études ayant évalué ces deux modes de contrôle de l’éclairage. But : Le but de cette étude était de mesurer les effets de l’éclairage cyclique versus l’éclairage tamisé constant sur la stabilité physiologique et le niveau d’activité motrice de prématurés nés entre 28 et 32 semaines d’âge gestationnel. Méthode : Un essai clinique randomisé a été réalisé. Les 38 prématurés recrutés dans une unité néonatale de niveaux II et III d’un hôpital universitaire, ont été randomisés dans l’un des deux groupes d’intervention, soit le groupe exposé à l’éclairage tamisé constant ou celui exposé à l’éclairage cyclique. Ces deux types d’éclairage ont été appliqués pendant 24 heures. La stabilité physiologique a été mesurée par le score Stability of the Cardio Respiratory System in Premature Infants (SCRIP) et le niveau d’activité motrice a été mesuré avec un accéléromètre (Actiwatch®). L’intensité lumineuse à laquelle les prématurés ont été exposés a été mesurée de façon continue à l’intérieur de l’incubateur à l’aide d’un photomètre. Résultats : L’analyse des données révèle qu’il n’y aucune différence significative entre les deux groupes d’intervention en ce qui a trait à la stabilité physiologique (valeur-p du score SCRIP de 0,54 à 0,96) et au niveau d’activité motrice (valeur-p de 0,09 à 0,88). Les participants des deux groupes ont manifesté une stabilité physiologique et un niveau d’activité motrice comparables. Conclusion : Des interventions de contrôle de l’éclairage doivent être adoptées à l’unité néonatale, que ce soit des interventions qui permettent la mise en œuvre de l’éclairage cyclique ou de l’éclairage tamisé constant, dans le but de favoriser l’adaptation du prématuré à l’environnement de l’unité néonatale. Des recherches additionnelles sont requises afin d’identifier la méthode de contrôle de l’éclairage (éclairage cyclique ou éclairage tamisé constant) qui doit être implantée à l’unité néonatale.

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Problématique : Les prématurés évoluent dans l’unité néonatale qui présente une intensité lumineuse parfois forte et variable, ce qui a pour effet de provoquer une instabilité physiologique, ainsi qu’une augmentation du niveau d’activité motrice chez ces derniers. Par ailleurs, le contrôle de l’éclairage à l’unité néonatale favorise la stabilité physiologique et réduit le niveau d’activité motrice des prématurés. Deux méthodes de contrôle de l’éclairage ont été étudiées, soit l’éclairage tamisé constant et l’éclairage cyclique. Or, la méthode de contrôle de l’éclairage la plus appropriée au système nerveux immature des prématurés est inconnue et il y a ambivalence en ce qui concerne les résultats des études ayant évalué ces deux modes de contrôle de l’éclairage. But : Le but de cette étude était de mesurer les effets de l’éclairage cyclique versus l’éclairage tamisé constant sur la stabilité physiologique et le niveau d’activité motrice de prématurés nés entre 28 et 32 semaines d’âge gestationnel. Méthode : Un essai clinique randomisé a été réalisé. Les 38 prématurés recrutés dans une unité néonatale de niveaux II et III d’un hôpital universitaire, ont été randomisés dans l’un des deux groupes d’intervention, soit le groupe exposé à l’éclairage tamisé constant ou celui exposé à l’éclairage cyclique. Ces deux types d’éclairage ont été appliqués pendant 24 heures. La stabilité physiologique a été mesurée par le score Stability of the Cardio Respiratory System in Premature Infants (SCRIP) et le niveau d’activité motrice a été mesuré avec un accéléromètre (Actiwatch®). L’intensité lumineuse à laquelle les prématurés ont été exposés a été mesurée de façon continue à l’intérieur de l’incubateur à l’aide d’un photomètre. Résultats : L’analyse des données révèle qu’il n’y aucune différence significative entre les deux groupes d’intervention en ce qui a trait à la stabilité physiologique (valeur-p du score SCRIP de 0,54 à 0,96) et au niveau d’activité motrice (valeur-p de 0,09 à 0,88). Les participants des deux groupes ont manifesté une stabilité physiologique et un niveau d’activité motrice comparables. Conclusion : Des interventions de contrôle de l’éclairage doivent être adoptées à l’unité néonatale, que ce soit des interventions qui permettent la mise en œuvre de l’éclairage cyclique ou de l’éclairage tamisé constant, dans le but de favoriser l’adaptation du prématuré à l’environnement de l’unité néonatale. Des recherches additionnelles sont requises afin d’identifier la méthode de contrôle de l’éclairage (éclairage cyclique ou éclairage tamisé constant) qui doit être implantée à l’unité néonatale.

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Thesis--Faculté de médecine de Paris, 1860.

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"July 1993."

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"Originally published as distinct works." - Advertisement, by the American publishers.

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1 The effects of calcium channel blockers on co-transmission from different populations of autonomic vasomotor neurons were studied on isolated segments of uterine artery and vena cava from guinea-pigs. 2 Sympathetic, noradrenergic contractions of the uterine artery (produced by 200 pulses at 1 or 10 Hz; 600 pulses at 20 Hz) were abolished by the N-type calcium channel blocker omega-conotoxin (CTX) GVIA at 1-10 nM. 3 Biphasic sympathetic contractions of the vena cava (600 pulses at 20 Hz) mediated by noradrenaline and neuropeptide Y were abolished by 10 nM CTX GVIA. 4 Neurogenic relaxations of the uterine artery (200 pulses at 10 Hz) mediated by neuronal nitric oxide and neuropeptides were reduced < 50% by CTX GVIA 10-100 nM. 5 Capsaicin (3 muM) did not affect the CTX GVIA-sensitive or CTX GVIA-resistant neurogenic relaxations of the uterine artery. 6 The novel N-type blocker CTX CVID (100-300 nM), P/Q-type blockers agatoxin IVA (10-100 nM) or CTX CVIB (100 nM), the L-type blocker nifedipine (10 muM) or the 'R-type' blocker SNX-482 (100 nM), all failed to reduce CTX GVIA-resistant relaxations. The T-type channel blocker NiCl2 (100-300 muM) reduced but did not abolish the remaining neurogenic dilations. 7 Release of different neurotransmitters from the same autonomic vasomotor axon depends on similar subtypes of calcium channels. N-type channels are responsible for transmitter release from vasoconstrictor neurons innervating a muscular artery and capacitance vein, but only partly mediate release of nitric oxide and neuropeptides from pelvic vasodilator neurons.

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Relationships of various reproductive disorders and milk production performance of Danish dairy farms were investigated. A stochastic frontier production function was estimated using data collected in 1998 from 514 Danish dairy farms. Measures of farm-level milk production efficiency relative to this production frontier were obtained, and relationships between milk production efficiency and the incidence risk of reproductive disorders were examined. There were moderate positive relationships between milk production efficiency and retained placenta, induction of estrus, uterine infections, ovarian cysts, and induction of birth. Inclusion of reproductive management variables showed that these moderate relationships disappeared, but directions of coefficients for almost all those variables remained the same. Dystocia showed a weak negative correlation with milk production efficiency. Farms that were mainly managed by young farmers had the highest average efficiency scores. The estimated milk losses due to inefficiency averaged 1142, 488, and 256 kg of energy-corrected milk per cow, respectively, for low-, medium-, and high-efficiency herds. It is concluded that the availability of younger cows, which enabled farmers to replace cows with reproductive disorders, contributed to high cow productivity in efficient farms. Thus, a high replacement rate more than compensates for the possible negative effect of reproductive disorders. The use of frontier production and efficiency/ inefficiency functions to analyze herd data may enable dairy advisors to identify inefficient herds and to simulate the effect of alternative management procedures on the individual herd's efficiency.

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Aims The major aims of the study were to compare the safety of a continuous low-dose estradiol-releasing vaginal ring (ESTring) to that of a vaginal estradiol tablet (Vagifem®) on the endometrium and the relief of subjective symptoms and signs of urogenital estrogen deficiency. Quality of life and acceptability of treatment delivery were also assessed. Study design A prospective, randomized study in which women were assigned in a 2: 1 ratio to ESTring and Vagifem and followed for 12 months. The primary endpoint was endometrial safety, based on the results of ultrasound measurement of endometrial thickness and a progestogen challenge test at baseline and week 48. Efficacy was determined by subjective assessment of urogenital estrogen deficiency symptoms at baseline and weeks 3, 12, 24, 36 and 48 and assessment of signs of vaginal epithelial atrophy by the clinician at baseline, 12 and 48 weeks. In addition, pelvic floor strength, vaginal cytological evaluation and pH, bacteruria and patient acceptability were assessed. Quality of life was assessed using a menopause-specific quality-of-life questionnire and a 2-day bladder diary at baseline and 12 and 48 weeks. The comparability of the two groups was assessed using ANOVA, χ(2) or Fisher's exact tests. Results A total of 126 women were randomized to ESTring and 59 to Vagifem. There was no statistical difference between the groups in the alleviation of symptoms and signs of urogenital estrogen deficiency. Maturation indices increased in both groups, from generally atrophic at baseline to proliferative or highly proliferative at 48 weeks. After 48 weeks of treatment, there was no statistically significant difference in endometrial thickness between the two groups. A statistically smaller proportion of bleeding/spotting occurred in the ESTring group (n = 0) compared to the Vagifem users (n = 4). Estradiol and total estrone serum levels increased during treatment in both groups but remained within the normal postmenopausal range. General health status in both groups was unchanged but the urogenital component of health burden was significantly improved in both groups. Bladder diary variables showed no differences between treatment groups. Conclusion Equivalent endometrial safety and efficacy in the relief of the symptoms and signs of urogenital estrogen deficiency were demonstrated for the 12 months' use of a low-dose estradiol-releasing vaginal ring and a vaginal estradiol tablet.

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Tamoxifen is a known hepatocarcinogen in rats and is associated with an increased incidence of endometrial. cancer in patients. One mechanism for these actions is via bioactivation, where reactive metabolites are generated that are capable of binding to DNA or protein. Several metabolites of tamoxifen have been identified that appear to predispose to adduct formation. These include alpha-hydroxytamoxifen, alpha,4-dihydroxytamoxifen, and alpha-hydroxy-N-desmethyltamoxifen. Previous studies have shown that cytochrome P450 (P450) enzymes play an important role in the biotransformation of tamoxifen. The aim of our work was to determine which P450 enzymes were capable of producing a-hydroxylated metabolites from tamoxifen. When tamoxifen (18 or 250,mu M) was used as the substrate, P450 3A4, and to a lesser extent, P450 2D6, P450 2B6, P450 3A5, P450 2C9, and P450 2C19 all produced a metabolite with the same HPLC retention time as alpha-hydroxytamoxifen at either substrate concentration tested. This peak was well-separated from 4-hydroxy-N-desmethyltamoxifen, which eluted substantially later under the chromatographic conditions used. No alpha,4-dihydroxytamoxifen was detected in incubations with any of the forms with tamoxifen as substrate. However, when 4-hydroxytamoxifen (100,mu M) was used as the substrate, P450 2B6, P450 3A4, P450 3A5, P450 1B1, P450 1A1, and P450 2D6 all produced detectable concentrations of a,4-dihydroxytamoxifen. These studies demonstrate that multiple human P450s, including forms found in the endometrium, may generate reactive metabolites in women undergoing tamoxifen therapy, which could subsequently play a role in the development of endometrial cancer.