989 resultados para Roman québécois contemporain


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Cette thèse de recherche-création comporte deux volets : Konyere ou Les trois vies d’une femme (roman), ainsi qu’un essai, Représentations de la figure de la religieuse dans le roman francophone : quatre cas québécois (essai). Le roman, fidèle à l’esthétique réaliste, est divisé en trois parties : l’enfance, la vie religieuse, la vie laïque. Konyere, la protagoniste, s’y raconte au « je », de ses premières années dans une petite bourgade du Nigéria, jusqu’à la mort tragique des membres de sa famille immédiate. Désormais seule et sans ressources, elle se réfugie au couvent, où elle poursuit des études secondaires. Encouragée par les sœurs, elle décide de prendre le voile. Cette vie la comble un temps, mais un malheureux incident oblige Konyere à ne plus travailler auprès de bambins, ce qu’elle adorait pourtant. Du coup, elle comprend la teneur du grand vide qui mine son existence. Elle quitte alors les ordres et trouve à se marier. Une grossesse tardive et une vie conjugale ponctuée d’intrusions de la part de sa belle-famille compliquent les choses. Néanmoins, Konyere, mère de deux filles, finira par trouver le bonheur. Dans l’essai qui suit, soit Représentations de la figure de la religieuse dans le roman francophone : quatre cas québécois, l’approche sociocritique est préconisée afin d’analyser quatre représentations de la figure de la religieuse, toutes tirées de la littérature québécoise, et de comparer diverses versions du personnage. Deux d’entre elles ont été élaborées en pleine Révolution tranquille ; les autres, au cours de la décennie 2000. Ainsi, le corpus à l’étude est composé des romans suivants : Le portique (1967) de Michèle Mailhot, Les enfants du sabbat (1975) d’Anne Hébert, Anna pourquoi (2003) de Pan Bouyoucas et Les filles tombées, tome 1, (2008) de Micheline Lachance. La thèse se conclut par un retour réflexif sur l’écriture de Konyere ou Les trois vies d’une femme.

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La recherche porte sur les changements que le journalisme a subis au fil du temps, et particulièrement sur les mutations de toutes sortes que connaît le journalisme sportif entre 1955 et 2006. Elle a pour objectif la mise en évidence des ressemblances et des dissemblances des pages sportives des deux époques étudiées et s'inscrit ainsi dans la lignée des recherches sur les changements paradigmatiques du journalisme, dont les théories ont été proposées par Colette Brin, Jean Charron et Jean de Bonville (1996, 2002, 2004). Le corpus est constitué des pages sportives du quotidien québécois La Presse de 1955 et de 2006. La date des deux journaux a été choisie en fonction d'un événement de référence, le match final de la Coupe Stanley, respectivement le 15 mars 1955 et le 20 juin 2006. Les méthodes retenues, une analyse de contenu et une analyse de textes, visent essentiellement à permettre l'atteinte de notre objectif principal, à savoir une étude comparative des pages sportives de 1955 et de 2006. Trois hypothèses ont été posées. La première, postulant l'existence de différences marquées entre 1955 et 2006, a été confirmée, puisque de nombreuses dissemblances ont été observées, particulièrement en ce qui a trait à l'aspect visuel des deux journaux et à la nature impressionniste du langage. La seconde hypothèse, liée à l'existence présumée d'une relation différente ente le journaliste et le lecteur, a également été largement confirmée. La troisième hypothèse, selon laquelle certains éléments caractéristiques du journalisme de communication allaient jaillir de l'analyse interprétative, a été partiellement confirmée. Les mises en garde de plusieurs chercheurs ainsi que les limites d'une telle recherche ne nous permettent pas d'affirmer l'existence effective du journalisme de communication, mais plutôt de faire ressortir certains points qui montrent que le journalisme contemporain semble aller dans la direction de la communication plutôt que celle de l'information.

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Ce mémoire comprend deux tomes : le premier consiste du texte et des figures, le deuxième consiste des annexes. Le tout est regroupé dans le document électronique présent.

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À l'aide des tout derniers modèles narratologiques développés entre autres par Ansgar Nünning, nous nous penchons sur l'oeuvre d'Eveline Hasler, une voix phare de la littérature alémanique contemporaine. À partir d’un corpus de six romans, nous examinons de façon systématique sa poétique du roman historique au regard 1) des techniques narratives, 2) de la marginalité de ses personnages en société, 3) de la conception de l’Histoire, 4) de l'image critique qu'elle présente de la Suisse. Il en ressort un portrait très nuancé de l'oeuvre de Hasler, puisqu’elle allie un récit principalement réaliste, plutôt traditionnel, mais aussi inspiré du langage cinématographique, à des passages métahistoriographiques postmodernes, où une narratrice assimilable à l’auteure fait part au « je » de ses réflexions sur l'Histoire. Même si ces brefs passages relativement rares rappellent sans contredit la posture de l’historien, ils s’inscrivent toutefois dans la fiction, laquelle actualise le passé dans la perspective historique d’un lecteur contemporain. De fait, l’œuvre de Hasler se présente comme un jeu habile avec la liberté poétique et le souci de véracité historique, ce à quoi concourt l’imbrication de documents originaux en italique dans le roman. Par ailleurs, la question de la marginalité en société joue un rôle prépondérant chez Hasler, car tous ses personnages principaux sont autant de marginaux, de Außenseiter. Cette problématique montre entre autres les limites de l’Aufklärung, étant donné que ses tenants, les adversaires des marginaux, se targuent le plus souvent d’être motivés par la pensée éclairante pour mieux la pervertir. Il en résulte la mise à l’écart des individus dérangeants — la prétendue sorcière, le géant et les femmes qui remettent en cause l’organisation patriarcale. Or, certains marginaux de Hasler parviennent à s’arracher un espace de liberté dans la marge, au prix de leurs racines helvétiques. Ainsi, ces marginaux peinent à s’inscrire dans l’Histoire dite officielle, ce que Hasler tente de rectifier en leur redonnant une voix. Sur le plan individuel, la plupart d’entre eux expérimentent une évolution circulaire, puisqu’ils ne parviennent pas à sortir de la marge (sauf peut-être Henry Dunant). Cette impression de tourner en rond s’oppose à une conception de l’Histoire humaine qui se déroule en continuum, puisque les exclusions d’hier préfigurent celles d’aujourd’hui. Au-delà de cette mesure humaine du temps, l’horizon temporel de la nature s’inscrit pour sa part dans la permanence. Ainsi, Hasler développe une conception historique qui varie selon des points de vue coexistants. Cet amalgame est le plus souvent marqué par un certain pessimisme, comme le dénote la vie d’Emily Kempin associée au mythe d’Icare. Finalement, tous les acteurs historiques de Hasler appartiennent au contexte helvétique et en présentent une image assez rétrograde, laquelle se dévoile non seulement à travers la fictionnalisation des lieux, mais aussi par des références à trois symboles nationaux : les Alpes, le réduit helvétique et la légende de Guillaume Tell. Hasler fait le procès de ces mythes, associés à la liberté et à la sauvegarde de ce « peuple de bergers », en montrant que la Suisse n’apporte pas de solution originale aux défis de l’Occident.

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La jeune génération de salariés est souvent accusée d’être moins militante, moins solidaire que les générations précédentes. L’objectif général de cette recherche est de démystifier les préjugés entourant l’engagement militant chez les jeunes syndiqués québécois d’aujourd’hui. Pour ce faire, divers concepts sont présentés, comme celui de jeunesse, de génération et d’engagement militant. Une synthèse de l’évolution historique de l’engagement militant ainsi que la situation particulière de la jeunesse contemporaine dans l’action syndicale permettent de dresser un portrait général. Notre cadre théorique repose sur les concepts d’individualisme et de conflit. L’approche qualitative et l’entrevue semi-dirigée ont été privilégiées. Le résultat de notre enquête menée auprès de dix-sept facteurs et factrices du Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes nous révèle que l’engagement militant des jeunes est à la fois le reflet d’une distanciation et une manière différente de concevoir l’engagement militant. Les jeunes syndiqués ne sont pas plus individualistes que les autres générations, mais ils connaissent peu le syndicalisme. D’une part, les jeunes adoptent une position de recul afin de mieux s’approprier la chose syndicale. Il est possible d’affirmer que l’engagement militant n’est pas un phénomène statique, il évolue en acquérant l’expérience. D’autre part, faiblement socialisés au syndicalisme et fortement socialisés au droit, au dialogue et au respect, les jeunes syndiqués appréhendent les conduites violentes et les discours martiaux. Ces derniers ont une vision modérée sans être pour autant passive, car ils valorisent l’action collective et ont plus de facilités à déposer des griefs.

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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l'Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU).

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Milan Kundera, an intellectual born in Moravia who emigrated to France in 1975, in L’Ignorance leans on the myth of Ulysses to question contemporary realities of exile and return, nostalgia and oblivion. Does the hope of returning to the place of origin really haunt the modern émigré? To what extent does the notion of homeland still have meaning for him? And what happens when the émigré, unlike Ulysses the great nostalgic, prefers to stay with Calypso his lover rather than return to his native land and faithful wife Penelope? With some cynicism, Kundera in L’Ignorance offers scenarios of exile which desecrate and destabilize historically and culturally available standards while allowing us to reflect on new paradigmatic figures of contemporary exile.

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One of the greatest challenges facing the Roman Catholic Church (the Church) across the world continues to be found in addressing complaints of child sexual abuse (csa) by clergy. The list of Catholic clergy in Australia who have been criminally processed for sexual offences against children is disturbingly long. As disturbing as this list is, more disturbing are the accounts of clergy who have not been criminally prosecuted, but protected within the cloister of the Church. It is increasingly recognised that the significant difficulty with child sexual abuse in Catholic Churches, in particular, has not been the presence of perpetrators but the response of Church leadership to allegations of csa by clergy. Those who have faced criminal charges have often done so due to the resilience of victim/survivors and not because of the support of Church structures or culture. The Church has been slow to come to terms with the realities of the perpetration of csa by its clergy and even slower to recognise the need to prioritise victims in any effective, just response. The church has been slowest of all recognising that there are significant cultural and discursive challenges to confront in addressing the management of csa by clergy. There is, however, progressive recognition of the role that discursive constructs of forgiveness have played in perpetuating the crises and ultimately in perpetuating abuse. The institutional praxis of forgiveness can be demonstrated not only in the Church, but in lessons learned from use of forgiveness as an institutional response to mass violations of human rights. This paper explores the juncture between criminality, church culture and forgiveness in responding to csa by clergy.

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This study analyses the diction of Latin building inscriptions. Despite its importance, this topic has rarely been discussed before: the most substantial contribution on the subject is a short dissertation by Klaus Gast (1965) that focuses on 100 inscriptions dating mostly from the Republican period. Marietta Horster (2001) also touched upon this theme in her thesis on imperial building inscriptions. I have collected my source material in North Africa because more Latin building inscriptions dating from the Imperial period have survived there than in any other area of the Roman Empire. By means of a thorough and independent survey, I have assembled all relevant African Latin building inscriptions datable to the Roman period (between 146 BC and AD 425), 1002 texts, into a corpus. These inscriptions are all fully edited in Appendix 1; Appendix 2 contains references to earlier editions. To facilitate search operations, both are also available in electronic form. They are downloadable from the address http://www.helsinki.fi/hum/kla/htm/jatkoopinnot.htm. Chapter one is an introduction dealing with the nature of building inscriptions as source material. Chapter two offers a statistical overview of the material. The following main section of the work falls into five chapters, each of which analyses one main part of a building inscription. An average building inscription can be divided into five parts: the starting phrase opens the inscription (a dedication to gods, for example), the subject part identifies the builder, the object part describes the constructed or repaired building, the predicate part records the building activity and the supplement part offers additional information on the project (it can specify the funding, for instance). These chapters are systematic and chronological and their purpose is to register and interpret the phrases used, to analyse reasons for their use and for their popularity among the different groups of builders. Chapter eight, which follows the main section of the work, creates a typology of building inscriptions based on their structure. It also presents the most frequently attested types of building inscriptions. The conclusion describes, on a general level, how the diction of building inscriptions developed during the period of study and how this striking development resulted from socio-economic changes that took place in Romano-African society during Antiquity. This study shows that the phraseology of building inscriptions had a clear correlation both with the type of builder and with the date of carving. Private builders tended to accentuate their participation (especially its financial side) in the project; honouring the emperor received more emphasis in the building inscriptions set up by communities; the texts produced by the army were concise. The chronological development is so clear that it enables stylistic dating. At the beginning of the imperial period the phrases were clear, concrete, formal and stereotyped but by Late Antiquity they have become vague, subjective, flexible, varied and even rhetorically or poetically coloured.

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Työ käsittelee Rooman laivaston kehitystä, toimintaa ja osallistumista laajenemispolitiikkaan, jossa Rooma kasvoi kaupunkivaltiosta Välimeren hallitsijaksi. Rooma on aikaisemmissa tutkimuksissa nähty maavaltiona vailla kiinnostusta merenkulkuun. On katsottu, että ainoa merkittävä merisota Rooman historiassa on ensimmäinen puunilaissota (264-241 eKr.) ja että siinäkin roomalaiset (jotka historioitsija Polybius kuvaa vasta-alkajiksi) menestyivät Karthagoa vastaan turvautumalla laskusiltoihin, joiden avulla he saattoivat muuttaa meritaistelun maataisteluksi. Polybiuksen kuvaukseen on aina tähän asti luotettu. On katsottu että Roomalla ei ollut laivastoa ennen ensimmäistä puunilaissotaa ja että Rooma kaikissa sodissaan panosti merisodankäyntiin mahdollisimman vähän. Tämä työ pyrkii kumoamaan nämä käsitykset. Laivasto oli osallisena ja ehdottoman välttämätön kaikissa Rooman laajenemispolitiikan käänteissä. Arkeologian tiedot osoittavat, että ennen ensimmäistä puunilaissotaa Rooma kehittyi ja siitä tuli merkittävä kaupunki nimenomaan kaupankäynnin ja ulkomaisten kontaktien seurauksena. Se ei siis ollut puhdas agraarivaltio. Roomalaisilla oli laivasto jo viimeistään 500-luvulta lähtien eKr. ja sitä käytettiin Rooman laajentaessa valtaansa Italiassa. Näin ollen ensimmäisessä puunilaissodassa läntisen Välimeren herruudesta kilpaili kaksi merivaltiota, Rooma ja Karthago. Toinen puunilaissota (218-201) tunnetaan yleensä Hannibalin tulosta Alppien yli Italiaan, mutta se oli myöskin merkittävä merisota ja karthagolaiset hävisivät sen nimenomaan merellä. Rooma osallistui kilpailuun itäisen Välimeren hallinnasta ja kukisti Makedonian ja Syyrian laivastot, jotka eivät olleet mitenkään Rooman laivaston veroisia. Kaikista Rooman vastustajista Karthagolla olisi ollut suurin mahdollisuus pysäyttää Rooman laivaston voittokulu toisessa puunilaissodassa. Laivastoa käytettiin moniin eri tarkoituksiin. Suuret meritaistelut eivät ole ainoa osoitus laivastojen mukanaolosta ja merkityksestä, vaan on myös otettava huomion sotalaivojen rakenne ja toimintaedellytykset. Sotalaivat oli rakennettu taisteluita varten ja niissä oli hyvin niukasti säilytystilaa. Niiden oli päästävä laskemaan maihin aina kun miehistö tarvitsi vettä, ruokaa ja lepoa. Laivastot saattoivat toimia vain niiden rannikoiden tuntumassa, joiden satamiin ja laskupaikkoihin niillä oli turvallinen pääsy. Roomalaiset olivat hyvin tietoisia tästä. Suuret merentakaiset sotaretket Afrikkaan, Espanjaan, Kreikkaan ja Vähän-Aasian rannikolle perustuivat kaikki siihen, että Rooman laivasto hallitsi purjehdusreittejä ja sopivia laskupaikkoja ja saattoi huolehtia joukkojen ja varusteiden kuljettamisesta kaukana taisteleville armeijoille. Samalla Rooman laivasto kävi itsenäistä sotaa merellä ja haastoi ja kukisti kaikki Välimeren merivaltiot. 130-luvulle eKr. tultaessa se oli lyönyt vihollisensa ja riisunut aseista liittolaisensa; Rooman laivasto hallitsi Välimerta yksin.

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The main aim of the study is to create a many-sided view of dancing in Roman Egypt (1st - early 4th centuries AD) and especially of the dancers who earned their living by dancing as hired performers. Even though dancers and other performers played a central part in many kinds of festivities throughout the ancient world, research on ancient professional dancers is rare and tends to rest on the ancient literature, which reflects the opinions of the elite. Documentary written sources (i.e., papyri, ostraka) the core of the present study are mentioned rather superficially, easily resulting in a stereotypical view of the dancers. This study will balance the picture of professional dancers in antiquity and of ancient dancing in a more general sense. The second aim characterizes this study as basic research: to provide a corpus of written sources from Greco-Roman Egypt on dancing and to discuss pictorial sources contemporary with the texts. The study also takes into account the theoretical discussion that centres on dancing as a nonverbal communicative mode. Dancers are seen as significant conveyors of social and cultural matters. This study shows that dancers were hired to perform especially in religious contexts, where the local associations on the village level also played an important part as the employers of the performers. These performers had a better standard of living in economic terms than the average hired worker, and dancers were better paid than other performers. In the Egyptian villages and towns, where the dancers performed and lived, the dancers do not seem to have been marginal because they were professionals or because of some ethnic or social background. However, their possible marginality may have occurred for reasons related to the practicalities of their profession (e.g., the itinerant life style). The oriental background of performers was a literary topos reflecting partly the situation in the centres of the empire, especially Rome, where many performers were of other than Roman origin. The connection of dancing, prostitution and slavery reflects the essential link between dance, body and gender: dancers are equated with such professions or socio-legal statuses where the body is the focus of attention, a commodity and a source of sensual pleasure; this dimension is clearly observable in ancient literature. According to the Egyptian documentary sources, there is no watertight evidence that professional dancers would have been engaged in prostitution and very little, if any, evidence that the disapproval of the professional dancers expressed by the ancient authors was shared by the Egyptians. From the 4th century onwards the dancers almost disappear from the documentary sources, reflecting the political and religious changes in the Mediterranean east.