998 resultados para Histoire littéraire
Resumo:
Contient : « Dictionnaire des mots et termes plus usitez et cachez en l'art spagirique, desquels les philosophes chimiques ont accoutumé de se servir, suivant les lettres de l'alphabet : Acetum philosophorum- » ; inachevé ; « Recueil de plusieurs secretz et pièces curieuses, exactement recherché ; le tout aprouvé pour estre bon et avoir esté esprouvé ; faict par moy, G. D. R., à Paris, ce 30e juillet 1666 » ; Recettes diverses ; « Le débat et question sur la grande oeuvre, entre Aaron et Marie la prophétesse » ; « Le Vade mecum, ou abrégé de l'art chimique, touchant la transmutation des mestaux et vraye pierre des philosophes, extraict des oeuvres du très docte et très vénérable RAYMOND LULLE, traduict fidellement du latin en françois, en faveur des amateurs de la philosophie hermétique... Le livre de l'art compendieuse de Raymond Lulle, qu'il a nommé Vade mecum : La teinture du feu est la plus excellente... » ; l'ouvrage ici traduit est celui qui est imprimé dans la Bibliotheca chemica curiosa de J.-J. Manget, t. I, pp. 849-852, sous le titre : Raymundi Lullii liber Artis compendiosae, quem Vade mecum nuncupavit ; n° CXI de la notice de l'Histoire littéraire de la France, t. XXIX, p. 280 ; « Claviculles de RAYMOND LULLE ; Raymondi Lullii clavicula. Chers enfans, qui voulez estre de nostre doctrine... ; et pour ce que sans ce petit livre et clavicule... » ; traduction et extraits, avec de notables différences, de l'ouvrage imprimé dans la Bibliotheca chemica curiosa de J.-J. Manget, t. I, pp. 872-875, sous le titre : Clavicula Raymundi Lullii..., quae et Apertorium dicitur ; Hist. littér., ibid., p. 284, n° CXVII ; Traités d'alchimie, en vers, probablement copie du recueil publié à Paris, en 1561, sous le titre : De la transformation métallique, trois anciens traités en rithme françoise, et comprenant : La Fontaine des amoureux de science, par Jean DE LA FONTAINE, de Valenciennes (fol. 106), — le Sommaire philosophique, de Nicolas FLAMEL (fol. 117), — et les Remontrances de Nature à l'alchimiste errant, par JEAN DE MEUNG (fol. 120 v°) ; « Du traité de Terra terrarum » ; « Christofle DE GAMON à un singulier » ; poème de C. de Gamon sur l'alchimie, connu sous le titre de « Trésor des Trésors », avec partie du commentaire
Resumo:
Contient : « Le livre des parties d'Oultre mer, lequel fu fait, ordonné et compilé par honorable et vaillant seigneur Jehan de Mandeville... Escript (fol. 62) par moy, Ogier de Caumont, en la cité de Liege, et finy le penultieme jour de juillet l'an mil CCC IIIIxx??? et XVI. » Cf. R. Röhricht, Bibliotheca geographica Palestinae, p. 79 ; On lit : « Hunc librum acquisivit monasterio Sancti Victoris prope Parisius frater Johannes Lamasse, dum esset prior ejusdem ecclesie. Scriptum anno Domini 1424 » ; Prière à la Vierge ; « Dit de la rose », pièce en l'honneur de la Vierge ; Les peines de l'enfer ; « Scriptum quoddam super degradatione et combustione quorumdam fratrum ordinis Predicatorum, qui... opinionem suam ab ecclesia damnata de conceptione purissime Virginis matris Domini Jhesu deffendere nitebantur... Actum anno Domini millesimo quingentesimo nono. » Cf. Du Boulay, Historia Universitatis Parisiensis, t. VI, p. 45 ; Pater Noster et Ave Maria, en vers ; Vers sur le plaisir de boire. « Ad primum morsum, nisi potavero mort sum... » (15 vers) ; « Statutum sacre facultatis Theologie studii Parisiensis super materia conceptionis immaculate gloriosissime Virginis... » (1497) ; Paraphrase, en vers français, de l'Ave maris stella ; « Clericus sic ethimologizatur : Per c intelligitur quod sit clarus... » ; « Almalarius (sic), qui loquitur de duobus ebdomadis passionis Christi. Due ebdomade passionis Christi significant duo tempora ante legem et sub lege... » ; Explications, en latin, du Pater et du Credo. « Elegit Dominus Deus noster Jhesus Christus septem apostolos... » ; « Tabula fidei christiane. Septem virtutes principales : fides, spes... » ; Notes de comput. « Ad habendum ciclum solarem, secundum Gallandum, sive litteram dominicalem... » ; Prière à la Vierge ; « La deputaison » ou « le mireur du corps et de l'ame. Une grant vision est en ce livre escripte... » ; Prières à la Vierge ; I ; II ; III ; Note relative à « Jehan Le Mire, jadis trésorier des guerres » (1339) ; La maison de sapience ; Poème moral sur la mort du Christ ; Vers latins, en l'honneur de S. Jean-Baptiste ; « Missa pro evitanda mortalitate, quam dominus papa Clemens sextus constituit et fecit... » ; « Le Testament maistre Jehan de Meun. » Cf. Histoire littéraire, t. XXVIII (1880), p. 416 (art. de P. Paris) ; Roman de Fauvel, par Gervais Du Bus. Cf. Histoire littéraire, t. XXXII (1898), p. 108 (art. de M. G. Paris) ; Vers latins contre les femmes ; Autre pièce contre les femmes ; Autre pièce sur les femmes. « Se j'avoye une fame qui ne me mentist point... » ; Prière. « Doulx Diex, qui es sans fin et sans initium... » ; « Les heures de la Croiz [en vers], ausquellez le pape Jehan XXII donna i an ex xl jours de vray pardon à quelconque persone, qui par devocion dira ceste office du mistère de la Passion Jhesu Crist » ; Prière à la Vierge
Resumo:
Contient : Mériadeuc ou le Chevalier aux deux épées. (Cf. Histoire littéraire, XXX, 237) ; Roman du Chevalier au lion, par CHRÉTIEN DE TROYES ; Roman d'Énéas. — Incomplet des 1,729 premiers vers ; ms. E de l'édition de Salverda De Grave (1892) ; Fragment du roman de Brut, par WACE ; Enfances Oger le Danois ; Roman de Fierabras ; Fableaux. Du vilain à la couille noire. « Un fablel vous voel commenchier... » ; « Du prestre ki abevete. Ichi après vous voel conter... » ; « Des III. avules. Unes matere contera[i]... » ; « Du vallet qui d'aise a malaise se mel. Voulés vous oïr du vallet... » ; Les quatre souhaits « de S. Martin. Un preudomme ut en Normendie... » (Incomplet de la fin) ; Dame Aubrée. (Incomplet du début) ; « Du lait de l'ombre. Je ne voel pas des aviser... » ; « Ch'est du vilain ki quida estre mors. Se fabliaus puet vérités estre... » ; « Ch' est du lai d'infier. Ahay! ha hai! je suis venus... » (Incomplet de la fin) ; « Li jouenes maires du Hamiel. » (Incomplet du début.) — Ibid. « Ch'est du priestre c'on portet. Du priestre vous di et recort... » ; « Du prestre et du chevalier. Traiiés en cha, s'oiiés i. conte, Si com Milles d'Amiens le conte... » ; De la mâle dame qui fut escoillée. « Uns riches chevaliers estoit... » ; « Ch'est du songe. En songes doit fables avoir... Voie de Paradis de RAOUL DE HOUDENC ; « Du noble lion. Li lions c'on apele nobles... » ; « De mâle Honte. En Engletere fu manans... » ; « Ch'est Ysopés en romans. Cil qui sevent de l'Escripture... » Fables de MARIE DE FRANCE. (103 fables) ; « De le femme qui cunquie sen baron. Je vous dirai s'il vous siet... » (Incomplet de la fin) ; On lit au dernier fol. 302 : « En ce volume cy y a quatre livres en rime, c'est assavoir : du roy Artus, des XII Peres de France, du Chevalier à deux espéez et des Fables de Ysopet ; lequel est monsr. Charles de Croy, comte de Chimay. CHARLES »
Resumo:
Contient : « Liber Fortunæ, » poème religieux et moral, sous forme d'un songe, daté de 1345 ; « Testament maistre JEHAN DE MEUN, que on appelle le livre du Père, et du Filz et du saint Esperit » ; Grand codicille de JEAN DE MEUNG ; Passion de Jésus-Christ, en prose. « Qui de Dieu est de Dieu parole et garde ses euvres... » ; « Estrille Fauvel ; » en deux livres (16 déc. 1314), par GERVAIS DU Bus. — Cf. G. Paris, dans Histoire littéraire, XXXII, 136
Resumo:
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
Resumo:
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
Resumo:
En raison d’un décloisonnement et d’une diffraction critiques manifestes, il n’est pas aisé de tracer les contours de la recherche québécoise portant sur la littérature française du xxe siècle. Il appert néanmoins que la recherche au Québec présente des lignes de forces, des « tangentes », que peut révéler une étude attentive tant des parcours des chercheurs, des problématiques qui les intéressent et des principaux lieux de collaboration, que des oeuvres et des corpus qui retiennent leur attention. Ainsi, tout en problématisant la pertinence qu’il y a à faire du xxe siècle la mesure d’un découpage disciplinaire, cet article propose un examen à la fois scrupuleux et subjectif de la recherche québécoise afin d’établir quels sont les points de convergence ou de démarcation susceptibles de mieux définir son apport spécifique. L’observation d’une répartition très nette entre la « littérature du xxe siècle » et celle du « contemporain » (allant des années 1980 jusqu’à aujourd’hui) permet par ailleurs de mettre en parallèle « deux » lectures du xxe siècle, mais aussi « deux » littératures relativement distinctes ayant leurs enjeux critiques spécifiques
Resumo:
Par une analyse de la topique antique, en particulier cicéronienne, et par une comparaison du traitement de Y affaire Horace chez Cicéron, Tite-Live et Corneille, il s'agit de montrer le fonctionnement et l'usage politique des lieux communs afin de créer une communauté de sens et de valeurs en des moments historiques différents.
Resumo:
Bon nombre d’ouvrages sur l’histoire littéraire de l’Afrique comportent un chapitre ou une section consacrés au passage de l’oral à l’écrit où l’on rappelle d’abord que les sociétés africaines se caractérisaient par l’expression orale avant l’arrivée des colonisateurs européens. Si les termes désignant ce « passage » sont ici intervertis, c’est pour mieux insister sur le fait que la critique littéraire, elle, a fait le cheminement inverse en supposant, dans un premier temps, que les romanciers avaient adopté les conventions de la « tradition écrite » européenne; elle s’est ensuite ravisée en affirmant que les écrivains s’inspirent en réalité depuis le début de la tradition orale africaine. [Introduction]
Resumo:
La critique américaine a produit, ces dernières années, un genre nouveau, que les convenances fondamentales qui règlent la discipline depuis ses débuts auraient dû interdire. Un genre où s'entremêlent, d 'une façon qui ne va pas sans scandale pour beaucoup, l'analyse des textes et l 'autobiographie, parfois assez impudique. Cependant, disent certains, la littérature - occasion de ces anamnèses - n'est-elle pas elle-même issue d 'une plongée comparable et tout lecteur n 'est-il pas appelé par elle à retrouver le lieu privé où repose, selon Proust, son propre livre intérieur? Et nombre d'universitaires de s'en autoriser pour travailler à leurs mémoires ou pour livrer les détails de leur OEdipe, par où ils croient ressembler à Flaubert. Parallèlement, la critique française, si longtemps insuffisante et frivole, mais qui s'était convertie non sans arrogance dans les années soixante à la théorie et à la scientificité, semble s'être faite depuis quelques années toute modestie et humilité. La voilà qui maintenant s'ensevelit volontiers dans les tâches ingrates de l'érudition, arpentant les austères et parfois désolants chantiers de la génétique ou de l'histoire, férue tout à coup de biographie et de bibliométrie, éditant à qui mieux mieux des textes de plus en plus lointains. Là où la critique américaine, entichée de « cultural studies », parcourt l'archive de façon très personnelle, à la recherche de toutes les étrangetés tout en rêvant de subversion, la critique française affecte l'air absorbé des comptables balzaciens dont tes minuties font un monde. Le divorce va s'accentuant de saison en saison. C'est de cette incompréhension réciproque croissante que je m'autoriserai pour introduire à mon tour dans les réflexions qui vont suivre une légère touche d'autobiographie, nécessaire pour saisir en quoi les évolutions séparées des deux traditions critiques posent problème à ceux qui, comme je le fais, ont beaucoup voyagé entre elles, tout en pensant longtemps les rapprocher. [Introduction]
Resumo:
La fin du XIXe siècle a connu, au Canada comme en Europe, une floraison de revues littéraires, parmi lesquelles « L'Écho des Jeunes », publié à Montréal, se distingue par son éclectisme et sa modernité. Cette revue est la création d'un groupe de jeunes qui, depuis la petite municipalité de Sainte-Cunégonde, noue des rapports étroits avec une partie de l'avant-garde française contemporaine. Elle s'efforcera pendant quelques années d'imposer un ton nouveau, entre décadence et symbolisme, parmi les jeunes poètes canadiens-français, juste avant la création de l'École littéraire de Montréal, dont beaucoup de ses collaborateurs deviendront membres. « L'écho des Jeunes » réussit à donner une expression convaincante de l'esprit fin-de-siècle répandu dans de petits milieux montréalais très originaux, trop négligés par l'histoire littéraire.
Resumo:
Il est généralement admis que le romancier et journaliste Harry Bernard (1898-1979) se rattache aux auteurs régionalistes dont les œuvres sont empreintes de l'idéologie clérico-nationaliste. Ce qu'on ne peut démentir, car les romans de Bernard ne sont en effet aucunement étrangers à un certain moule terroiriste, dictat incontournable de la production littéraire dans le Québec de la première moitié du XXe siècle. Son appartenance au mouvement régionaliste, considéré comme plus idéologique que littéraire, marquera si bien l’œuvre qu'elle s'en trouvera quasi ignorée par notre histoire littéraire. Il convient cependant de s'interroger à propos de cette place plutôt ingrate qu'elle occupe. Si ses premiers romans, L'homme tombé (1924) et La terre vivante (1925), sont en phase avec l'idéologie clérico-nationaliste, il en va autrement avec son dernier roman, Les jours sont longs (1951). Celui-ci présente un certain affranchissement de l'ordre moral catholique et une ouverture à davantage de réalisme, laissant entrevoir des transformations d'ordre identitaire, idéologique et symbolique, telles que le métissage, l'hybridation culturelle, les libertés individuelles, etc. Il s'agit donc d'analyser le déplacement discursif qui s'opère sur une période de 25 ans, des romans de jeunesse de Bernard jusqu'à un roman de maturité, démontrant ainsi que l’œuvre n'est pas que le reflet d'un unique paradigme identitaire, mais que, parallèlement à l'avènement de la modernité, elle donne à voir un discours en évolution.
Resumo:
La critique a très souvent divisé l’histoire littéraire québécoise en un avant et un après. Chez les auteurs les plus sévères, l’après se présente comme la suite endeuillée des années 1960, son prolongement moribond — topos que l’on retrouve aussi parfois dans la France de l’après mai 1968. L’après se situe donc dans un espace temporel aux contours imprécis. Il aurait un commencement — autour de 1980 — mais pas de fin, car il incarnerait le dénouement sous toutes ses formes, l’épuisement des signes de la culture, la morosité sociétale, la fin des idéologies. Le présent article interroge les présupposés d’une telle mise en récit de la littérature québécoise contemporaine et par là même de la fabrication de la borne temporelle de 1980. L’analyse porte plus précisément sur les dossiers que les revues « Spirale » et « Liberté » ont fait paraître en 1980. Elle vise certes à relever les figures de la fin, de la désillusion et du désenchantement, souvent associées au contexte politique entourant le premier référendum sur la souveraineté du Québec, mais aussi celles d’un certain ressourcement, porté entre autres par le discours féministe dans les pages du magazine culturel « Spirale ». L’examen des dossiers parus en 1980 tend à dégager d’un vaste ensemble de textes un récit minimal, lequel permet de mieux y cerner l’inscription, non pas de l’année 1980, mais des oeuvres et des réflexions sur la culture qu’elle a vu naître.
Resumo:
Pós-graduação em Letras - FCLAS