963 resultados para INVITRO PROGESTERONE
Resumo:
D’importantes faiblesses dans l'expérience, l'expression et la reconnaissance des émotions chez les patients souffrant de schizophrénie ont été relativement bien documentées au fil des années. Par ailleurs, les différences sexuelles dans le comportement et l'activité cérébrale associée aux processus émotionnels ont été rapportées dans la population générale. Il apparaît donc surprenant que si peu ait été publié afin d’améliorer notre compréhension des différences sexuelles dans la schizophrénie. La présente étude vise à comparer les différences dans le mode de fonctionnement d’hommes et de femmes atteints de schizophrénie. Il s’agit, avec cette population, de comprendre la réponse comportementale et électrocorticale associés au traitement des images émotionnelles. Ces données ont été enregistrées à l’aide des potentiels évoqués cognitifs (PÉC), et des temps de réponses lors du visionnement passif d’images émotionnelles. L’activation des composantes P200, N200 antérieure et P300 a été comparée chez 18 patients avec une schizophrénie stabilisée (9 femmes et 9 hommes) et 24 participants formant un groupe contrôle (13 femmes et 11 hommes) sans problème psychiatrique. L’analyse des PÉC a globalement révélé que la valence et l’activation émotionnelle influencent les composantes précoces de même que les composantes tardives de façon indépendante, ce qui prouve l’importance d’investiguer ces deux dimensions émotionnelles sur plusieurs composantes. Une découverte d’intérêt réside dans l’observation de différences sexuelles qui entrent en interaction avec le groupe, à différentes latences et attribuées tant à la valence qu’à l’activation. De plus, les données provenant des hormones gonadiques montrent que la progestérone pourrait avoir un impact fonctionnel sur les processus de traitement des émotions tant chez les femmes que chez les hommes. Cependant, d’autres études sont nécessaires pour pouvoir comprendre davantage le rôle des hormones gonadiques en neuropsychopathologie.
Resumo:
Le récepteur nucléaire Nr5a2, également connu sous le nom de liver receptor homolog-1 (Lrh-1), est exprimé au niveau de l’ovaire chez la souris, exclusivement dans les cellules lutéales et de la granulosa. La perturbation de Nr5a2, spécifique aux cellules de la granulosa chez la souris à partir des follicules primaires dans la trajectoire du développement folliculaire a démontré que Nr5a2 est un régulateur clé de l’ovulation et de la fertilité chez la femelle. Notre hypothèse veut que Nr5a2 régule les évènements péri- et post-ovulatoires dans une séquence temporelle lors de la folliculogénèse. Afin d'étudier l’implication de Nr5a2 lors de l’ovulation et de la lutéinisation à différents stades du développement folliculaire, nous avons généré deux modèles de souris knockout spécifiques aux cellules de la granulosa pour Nr5a2: 1) Nr5a2Amhr2-/-, avec une réduction de Nr5a2 à partir des follicules primaires et subséquents; 2) Nr5a2Cyp19-/-, avec une réduction de Nr5a2 débutant au stade antral de développement en progressant. L’absence de Nr5a2 à partir des follicules antraux a résulté en une infertilité chez les femelles Nr5a2Cyp19-/-, de même qu’en des structures non-fonctionnelles similaires aux structures lutéales au niveau des ovaires, en une réduction des niveaux de progestérone synthétisée ainsi qu’en un échec dans le support d’une pseudo-gestation. La synthèse de progestérone a été entravée suite à l’absence de Nr5a2 par l’entremise d’une régulation à la baisse des gènes reliés au transport du cholestérol, Scarb1, StAR et Ldlr, démontré par qPCR. Les complexes cumulus-oocytes des femelles Nr5a2Cyp19-/- immatures super-stimulées ont subi une expansion in vivo, mais l’ovulation a été perturbée, possiblement par une régulation à la baisse du gène du récepteur de la progestérone (Pgr). Un essai d’expansion du cumulus in vitro a démontré une expansion défectueuse du cumulus chez les Nr5a2Amhr2-/-, associée à un dérèglement de la protéine des jonctions communicantes (Gja1; Cx43). Cependant, l’expansion du cumulus chez les Nr5a2Cyp19-/- n’a pas été autant affectée. Des résultats obtenus par qPCR ont démontré une régulation à la baisse dans l’expression des gènes Areg, Ereg, Btc et Tnfaip6 chez les deux modèles de cellules ovariennes knockout à 2h et 4h post hCG. Nous avons observé que 85% des oocytes, chez les deux génotypes mutants, peuvent subir une rupture de la vésicule germinative, confirmant leur capacité de maturation in vivo. La technique d’injection intra-cytoplasmique de spermatozoïdes a prouvé que les oocytes des deux génotypes mutants sont fertilisables et que 70% des embryons résultants ont poursuivi leur développement vers le stade de blastocyste, et ce, indépendamment du génotype. En conclusion, Nr5a2 régule la fertilité chez les femelles tout au long du processus du développement folliculaire. Il a été démontré que Nr5a2 est essentiel à la lutéinisation et que sa perturbation dans les cellules somatiques ovariennes ne compromet pas la capacité des oocytes à être fertilisés. En vue d’ensemble, nous avons fourni une investigation inédite et complète, utilisant de multiples modèles et techniques afin de déterminer les mécanismes par lesquels Nr5a2 régule les importants processus que sont l’expansion du cumulus, l’ovulation ainsi que la formation du corps jaune.
Resumo:
Les récentes recherches suggèrent que la superovulation de vaches laitières sous une concentration élevée de progestérone permet de meilleurs résultats que la superovulation sous une basse progestéronémie pendant la première vague folliculaire. Nous émettions donc l’hypothèse qu’une basse progestéronémie pendant la phase lutéale, une problématique connue chez la vache laitière haute productrice, compromet le rendement en embryons suite à la superovulation de la deuxième vague folliculaire. Afin de tester cette hypothèse, 18 vaches laitières ont été superovulées à deux reprises avec deux protocoles distincts, dont un atteignant un niveau lutéal de progestérone (>2.5 ng/mL, le corps jaune comme source de progestérone) et l’autre un niveau sublutéal (<2.5 ng/mL, l’implant intravaginal comme unique source de progestérone). Le nombre d’embryons transférables était similaire entre les protocoles. Curieusement, nous avons obtenu un développement accéléré des follicules dans le protocole sublutéal (p = 0,002), un développement embryonnaire plus avancé (p = 0,01) et une qualité améliorée des embryons (p = 0,02) par rapport au protocole lutéal. Ces résultats suggèrent que des facteurs autres qu’une basse progestéronémie peuvent affecter le rendement en embryons. Une pulsatilité augmentée de la LH grâce à une basse progestéronémie pendant la deuxième vague folliculaire pourrait être responsable du développement folliculaire accru ainsi que du développement et de la qualité augmentés des embryons. Ces résultats indiquent que des niveaux sublutéaux de progestérone pendant la phase lutéale ne compromettent pas le résultat d’un traitement de superovulation mais, au contraire, peuvent améliorer certains aspects du rendement en embryons.
Resumo:
Au cours des dernières années, une sélection génétique importante a été faite pour améliorer la production de lait des bovins, ceci au détriment des performances reproductives. Cette diminution de performance n’a cependant pas été rapportée chez la génisse présentant un même potentiel génétique. Cette immense production de lait et les changements métaboliques qui l’accompagnent ont donc un impact négatif sur l’efficacité reproductive des vaches laitières qui subissent un stress métabolique supérieur à celui des génisses. Le but de l’étude était d’acquérir une meilleure connaissance des différences moléculaires et métaboliques entre ces deux groupes d’animaux pour amener à une meilleure compréhension de la pathogenèse de l’infertilité chez la vache laitière. Pour ce faire, les vagues folliculaires de vaches en lactation (30-50 jours en lait; N = 12) et de génisses (N = 10) ont été synchronisées par ablation écho guidée des follicules et par traitement hormonal avec injection de prostaglandine et insertion d’un implant de progestérone. L’aspiration du liquide folliculaire et des cellules de la granulosa du follicule dominant a été faite au jour 6. Les paramètres métaboliques mesurés chez les animaux à partir de prises de sang, faites au jour 6, confirment un plus grand stress métabolique chez la vache, les niveaux de BHBA, acides biliaires et cholestérol étant plus élevés et le niveau de glucose plus bas chez celles-ci. Un total de six échantillons a été utilisé pour le séquençage d’ARN et des analyses bio-informatiques ont été effectuées. Plusieurs gènes et voies de signalisation ont présenté des différences entre les deux groupes d’animaux incluant le cycle cellulaire et la production d’hormones. Une confirmation des résultats par PCR en temps réel a été faite, mais la grande variation intragroupe a nui à l’obtention de résultats significatifs. Conjointement, une culture primaire de cellules de la granulosa a été réalisée pour évaluer l’effet des acides biliaires sur la stéroïdogenèse suite à la détection d’une plus grande quantité de ceux-ci chez la vache laitière. La présence d’acide biliaire dans la culture cellulaire cause une diminution de l’accumulation d’estradiol ainsi que de l’expression des gènes CYP19A1 et CYP11A1. Les résultats présentés dans ce mémoire indiquent une différence potentielle au niveau métabolique et moléculaire des follicules dominants entre la vache laitière et la génisse pouvant avoir une responsabilité dans la diminution de l’efficacité reproductive observée chez la vache laitière.
Resumo:
Introducción: el riesgo de desarrollar cáncer de seno durante la vida es del 13,4% (1 de cada 7 mujeres) y la posibilidad de morir por la enfermedad después del diagnostico es cercana al 30%. Pacientes y Métodos: es un estudio de cohorte abierta retrospectiva en el que se analizó la sobrevida según los factores pronósticos de las pacientes con cáncer de seno del hospital militar central en el periodo de enero de 2003 a diciembre de 2008. Los factores pronósticos son: Edad, estadío del tumor al momento del diagnóstico, Grado de diferenciación del tumor, presencia de metástasis al momento del diagnóstico, presencia de metástasis, número de sitios de metástasis, erb2, presencia de ganglios afectados, número de ganglios positivos, receptores estrogénicos, receptores de progestágeno, tratamiento con trastuzumab, tratamiento con hormonoterapia; el análisis estadístico se realizó a partir de la herramienta de recolección de datos, esta base de datos fue trasladada al programa SPSS. Resultados: participaron 171 mujeres. La presencia de receptores para estrógenos positivos se correlaciona con una mayor sobrevida con una diferencia estadísticamente significativa (p=0.015). Durante el periodo de tiempo del estudio fallecieron 23 pacientes (13.4%), de las cuales 20 (86%) presentaban Carcinoma Canalicular Infiltrante y 21 (91%) presentaban estadios avanzados del carcinoma. Conclusiones: las características demográficas de nuestra población son similares a lo publicado en la literatura, sin variantes estadísticamente significativas frente a los hallazgos internacionales. En nuestro análisis hubo una fuerte correlación de la presencia de estrógenos positivos en relación al tiempo de sobrevida.
Resumo:
La incompetencia cervical corresponde a la incapacidad del cuello uterino de mantener su rigidez propia, necesaria para la mantención del embarazo. Se tiene dos teorías de la deformación cervical una por alteración en componentes del estroma que producen un reblandecimiento del cérvix por lo que explica la efectividad el cerclaje como método de manejo, pero no siempre existe utilidad, por eso se buscan alternativas no quirúrgicas para el manejo de la incompetencia cervical y se analizan los progestágenos. Método: el objetivo del estudio fue realizar una revisión sistemática de la literatura disponible en las bases de datos más importantes en medicina sobre el uso terapéutico de la progesterona en gestantes con incompetencia cervical publicados hasta Agosto del 2010. Resultados: Se seleccionaron quince estudios sobre el manejo terapéutico de la incompetencia cervical, once eran secundarios, dos eran serie de casos, y uno solo era un experimental. Conclusiones: El beneficio del uso de progesterona en mujeres gestantes no tiene suficiente evidencia, pero existe beneficio en algunas pacientes con un cuello corto en el segundo trimestre, este beneficio tiene documentación pero todavía se debe mejorar la indicaciones del uso de la progesterona, es decir tener claramente identificado a quienes se puede dar tratamiento con progesterona y quienes con cerclaje, porque no existe efecto sinérgico entre el manejo medico y el procedimiento. Los pocos estudios también evidencian beneficios en disminución de riesgo
Resumo:
Introducción: Para millones de parejas alrededor del mundo, la incapacidad de tener hijos es una tragedia personal. Por ello, no es de extrañar que la demanda de técnicas de reproducción asistida (TRA), así como la identificación de las variables que permitan discernir sobre el éxito de estos tratamientos sean crecientes a nivel mundial. Metodología: Estudio observacional, de cohorte retrospectiva. Incluyó las historias clínicas de pacientes de la Unidad de Fertilidad del Country de Bogotá (Conceptum) entre el 20 de enero de 2005 al 15 de diciembre de 2010. El objetivo fue establecer si existe diferencia en los valores séricos de progesterona de las pacientes embarazadas y las que no, así como la identificación de las variables asociadas a éxito del embarazo en pacientes tratadas con técnicas de reproducción asistida. Resultados: Edad promedio 35,7 años (25-45años). Se analizaron 352 ciclos de pacientes, 131 embarazadas (110 partos, 18 abortos y 2 ectópicos). Las variables que en el análisis multivariado tenían mayor asociación con la variable desenlace fueron: niveles séricos de progesterona, edad de la paciente y número de embriones tipo I/II. La capacidad discriminatoria del modelo final se evaluó por medio del área bajo la curva ROC la cual fue de 0,714. La sensibilidad del modelo fue del 33,3% con una especificidad del 84,3%. Discusión: Los niveles séricos de progesterona difieren en las pacientes embarazadas de las que no lo están. Se requiere de un análisis más a fondo para determinar si esta variable se asocia con la viabilidad del embarazo.
Resumo:
Introducción: La infertilidad es una patología presente en el 15% de las pacientes en edad reproductiva. Las técnicas de reproducción asistida representan el 30% de los tratamientos aplicados a estas parejas. La identificación de variables predictoras de embarazo, como los niveles séricos de progesterona se constituye como una herramienta importante en el manejo de estos pacientes. Metodología: Estudio observacional, de cohorte retrospectiva de pacientes tratados en la Unidad de Fertilidad del Country de Bogotá (Conceptum) entre el 20 de enero de 2005 al 15 de diciembre de 2010. El objetivo fue establecer si existe diferencia en los valores séricos de progesterona de las pacientes embarazadas y las que no se embarazaron, así como la identificación de las variables asociadas a éxito del embarazo en pacientes tratadas con técnicas de reproducción asistida. Resultados: Se analizaron 352 ciclos de pacientes, 131 embarazadas (110 partos, 18 abortos y 2 ectópicos). Se encontró que existe una asociación estadísticamente significativa entre los niveles séricos de progesterona y la presencia de embarazo clínico. El punto de corte para los niveles séricos de progesterona para la población en estudio fue de 15 ng/mL. Las otras variables asociadas al embarazo clínico son número de embriones transferidos y si estos se encontraban congelados o no. Discusión: Los niveles séricos de progesterona de 15 ng/mL o menos, controlando por la transferencia de un solo embrión y el hecho que no queden embriones extra para congelar se encontraron asociados con la presencia de no embarazo clínico, datos concordantes con hallazgos de estudios previamente publicados. Estos resultados son de gran utilidad en el momento de asesorar a las pacientes sometidas a estos tratamientos sobre el pronóstico de su ciclo de tratamiento. Nota: Este artículo es la continuación del estudio http://hdl.handle.net/10336/2525, el cual contiene un análisis estadístico y epidemiológico complementario.
Resumo:
El cáncer de mama en Colombia, es la tercera causa de muerte en la población en general y la segunda en mujeres. En el año 2002 el 40.5% de los casos se presentaron en mujeres menores de 50 años (Pardo, et al. 2003). El cáncer de mama resulta de múltiples factores, entre los que se incluyen cambios sucesivos en el genoma de células epiteliales originalmente normales, que pueden conducir a la activación de oncogenes, inactivación de genes supresores de tumor y pérdida de función de genes reparadores de daños al ADN. Estas alteraciones pueden también ser producto de anomalías cromosómicas tales como monosomías, trisomías, translocaciones, inversiones, pérdida de material genético y amplificaciones que también afectan la expresión de genes (1) (2) (3) (4). Sin embargo, el orden de aparición de los diferentes eventos no está completamente dilucidado. En este estudio se determinaron las anomalías cromosómicas y secuencias de ADN amplificadas en pacientes con cáncer de mama, tanto en muestras de sangre periférica como de tumor de mama de 30 pacientes. En las dos líneas celulares analizadas se observó una alta frecuencia de monosomías principalmente de los cromosomas X, 6, 7, 9, 17, 19 y 22. Hay una asociación entre las monosomías de los cromosomas 17 y 22 con el estado negativo para los receptores de estrógenos y progestágenos (p=0.027, p=0.050). También se encontró asociación entre la monosomía del cromosoma 19 con edad avanzada (p=0.034), observándose formas más agresivas de la enfermedad cuando ésta estuvo presente. Las monosomías fueron características de carcinomas ductales infiltrantes de todos los grados. En los demás tipos de carcinoma su frecuencia fue más baja. En el presente estudio se encontró una asociación significativa entre algunas anomalías cromosómicas y la enfermedad, no reportadas anteriormente, como fueron algunas monosomías, fragilidades y roturas cromosómicas y cromatídicas. La alta frecuencia de fragilidades encontradas tanto en sangre periférica (fra 9q12 p=0.001 y fra 3p14 p= 0.38) como de fragilidades expresadas espontáneamente (no inducidas por el uso de reactivos específicos) en muestras de tumor de mama (fra 1p11 p= 0.001, fra 2q11 p= 0.002), pueden ser el reflejo de una alta inestabilidad cromosómica en el genoma de estos pacientes, mostrando lautilidad de los estudios de fragilidad en la determinación de individuos en alto riesgo de desarrollar cáncer de mama. En ensayos de FISH no se observaron amplificaciones de los genes ERBb2 y c-myc en los pacientes analizados. Esto concuerda con lo encontrado en la literatura en donde se ha reportado, para este tipo de tumores, una sobre expresión de la proteína sin amplificación del gen, explicada por desregulación de la expresión del gen, a su vez posiblemente debida a mutaciones en la región promotora o a alteraciones, que conducen a un aumento de la tasa de transcripción (5) (6) (7). Los resultados obtenidos, aunque preliminares, aportan nuevos marcadores cromosómicos que pueden orientar el diagnóstico, pronóstico y tratamiento de esta patología.
Resumo:
Introducción: El cáncer de seno es la primera causa de cáncer entre las mujeres, además es la primera causa de muerte por cáncer entre las hispanas y la segunda entre otras razas, sin contar con el gran impacto social y económico que conlleva esta patología. Esto motiva la realización de estudios propios, que permitan ampliar nuestro conocimiento y aportar a la literatura colombiana, una publicación que refleje los factores asociados a la recaída en el cáncer de mama. Métodos: Estudio observacional analítico retrospectivo de casos y controles en el que se tomaron 267 historias clínicas de pacientes con diagnóstico de cáncer de seno, clasificadas según estadio clínico y expresión molecular del tumor, se analizaron los factores más fuertemente asociados a la recaída. Resultados: La población total consistió en 267 mujeres de las cuales 58 presentaron recaída, con un relación caso – control, 1:3. Al evaluar los grupos se evidencia homogeneidad en cuanto a edad, tipo de neoplasia, paridad e histología con lo que concluimos que estos grupos son comparables. Se presentó una tasa de mortalidad de 13,8 % en las pacientes que presentaron recaída tumoral vs un 0% de mortalidad en aquellas pacientes sin recaída. Adicionalmente se evidencia una relación entre la presencia del receptor HER 2 y recaída tumoral, que aunque no es estadísticamente significativa (p = 0.112) es importante tener en cuenta por su significancia clínica. Por su parte la presencia de receptor de estrógenos y progestágenos no es un predictor de recaída. La realización de cirugía se muestra como un factor de protección (OAR: 0.046 p = 0.008). Finalmente se encontró una asociación estadísticamente significativa como variables de asociación a recaída tumoral: la edad (p=0.009), el estadio clínico en el momento del diagnóstico (p= <0.001) y la clasificación molecular del tumor (p= 0.016). Conclusiones: Se identificaron como factores asociados a recaída tumoral en pacientes con cáncer de mama de una institución de Bogotá, Colombia a: la edad, el estadio clínico en el momento del diagnóstico y la clasificación molecular del tumor, confirmando la agresividad de los tumores triple negativos. Todos los hallazgos son compatibles a lo descrito en la literatura mundial. Esto permite definir la necesidad de generar en nuestro país estrategias de salud pública, que permitan la educación a todos los grupos etarios para el tamizaje en población joven que está siendo afectada, la detección en estadios tempranos del cáncer de mama, asociados a priorización del manejo y mejoras en la ruta de atención de las pacientes que permitan impactar positivamente en el desenlace y calidad de vida de las mujeres con esta patología. Adicionalmente estos resultados impulsan a la continua investigación de nuevas tecnologías y medicamentos que permitan combatir los tumores más agresivos molecularmente hablando.
Resumo:
Unidentified heats contribute to declining fertility rates in English dairy herds. Several techniques have been advocated to improve heat detection rates. Despite demonstrable technical efficacy and cost-effectiveness, uptake is low. A study in South West England used the Theory of Reasoned Action (TORA) to explore dairy farmers' attitudes and beliefs towards heat detection techniques. Few farmers were convinced that following prescribed observation times, milk progesterone testing and using pedometers would fit their system or improve on their current heat detection practices. Perceived difficulty of using a technique was not a constraint on adoption. Without promotion that addresses identified barriers and drivers to adoption, little change in current practice can be expected. (c) 2006 Elsevier B.V. All rights reserved.
Resumo:
The hypothesis that dairy cows partially suckling their calves would ovulate following removal of calves when restored to positive energy balance by a short-term increase in supplementation was investigated in 65 crossbred cows. Five treatments (T1, T2, T3, T4, and T5) that differed in the amount of total concentrate fed from calving to week 24 were involved. Calves were allowed to suck residual milk to 12 weeks of age. Energy balance was estimated by measuring intake, milk yield and organic matter digestibility. The occurrence of ovulation was determined by the analysis of milk progesterone (P4) concentration. Four groups that were receiving additional supplementation were restored to positive energy balance, while the control group (T I) remained in negative energy balance. The percentage of cows ovulating was 36%, 58%, 92%, 90% and 60% for T1, T2, T3, T4 and T5, respectively (P = 0.026). Comparison of the timing of ovulation for combined results from T1+T2 and T3+T4+T5 estimated mean time to fail to ovulate as 110 +/- 9.0 and 87 +/- 7.6 days, respectively (p = 0.023). The percentage of the cows showing oestrus was 9%, 8%, 33%, 40% and 40% for T1, T2, T3, T4 and T5, respectively (P = 0.197). Short-term increases in supplementation are unlikely to be an attractive means of reducing calving intervals.
Resumo:
Cows in severe negative energy balance after calving have reduced fertility, mediated by metabolic signals influencing the reproductive system. We hypothesised that transition diet could alter metabolic status after calving, and thus influence fertility. Multiparous dairy cows were assigned to four transition groups 6 weeks pre-calving and fed: (a) basal control diet (n = 10); (b) basal diet plus barley (STARCH, n = 10); (c) basal diet plus Soypass (high protein, HiPROT, n = 11); or (d) no transition management (NoTRANS, n = 9). All cows received the same lactational diet. Blood samples, body weights and condition scores (BCS) were collected weekly. Fertility parameters were monitored using milk progesterone profiles and were not affected by transition diet. Data from all cows were then combined and analysed according to the pattern of post-partum ovarian activity. Cows with low progesterone profiles had significantly lower insulin-like growth factor-I (IGF-I) and insulin concentrations accompanied by reduced dry matter intakes (DMIs), BCS and body weight. Cows with prolonged luteal activity (PLA) were older and tended to have lower IGF-I. Analysis based on the calving to conception interval revealed that cows which failed to conceive (9/40) also had reduced IGF-I, BCS and body weight. Fertility was, therefore, decreased in cows which were in poor metabolic status following calving. This was reflected in reduced circulating IGF-I concentrations and compromised both ovarian activity and conception. There was little effect of the transition diets on these parameters. (C) 2003 Elsevier Science Inc. All rights reserved.
Resumo:
The aim of this study was to determine whether any differences in the GH-IGF-I axis in juvenile calves were predictive of fertility problems as adult cows. Endogenous metabolic hormone profiles before and after feeding and the response to a GH-releasing factor (GRF) challenge were measured in prepubertal (6 month) dairy calves. These metabolic parameters were subsequently related to physical characteristics at puberty and to ovarian function during the first lactation. Milk progesterone analysis was used to categorize the animals into those with normal progesterone profiles following calving (n = 17) and those that developed delayed ovulation (DOV1, n = 9) or persistent corpus luteum (PCL1, n = 6) profiles. There were associations between prepubertal GH parameters, glucose and non-esterified fatty acid (NEFA) concentrations and the body condition score at which the animals attained puberty. The calves which subsequently developed DOV1 profiles as cows tended to have a higher GH pulse amplitude during fasting than normal profile animals, they did not show the anticipated decrease in circulating glucose concentrations following a post-prandial rise in insulin and they also had the lowest IGF-I concentrations. The calves that later developed PCL1 had a significantly larger GH pulse amplitude and pulse area than normal profile animals in the fed period and had the highest IGF-I concentrations. There were no differences in prepubertal insulin or NEFA concentrations or in the GH response to a GRF challenge between the different progesterone profile categories. Plasma IGF-I concentrations in prepubertal animals were positively correlated with their post-calving concentrations, whereas glucose concentrations had a negative correlation between these time-periods. These results suggested that the different juvenile endocrine profiles of the DOV1 cows may predispose them to a higher rate of tissue mobilization during lactation and a consequent reduction in fertility, while altered GH and IGF-I levels in PCL1 cows may later contribute to the maintenance of the persistent corpus luteum. Therefore metabolic differences in prepubertal calves were later reflected by altered reproductive function during the first lactation.
Resumo:
Bone morphogenetic proteins (BMPs) and their receptors are expressed in ovarian theca cells (TC) and granulosa cells (GC) and BMPs have been implicated in the regulation of several aspects of follicle development including thecal androgen production and granulosal oestrogen production. Their potential involvement in luteal function has received less attention. in this study, we first compared relative abundance of mRNA transcripts for BMPs, activin-beta A and BMP/activin receptors in bovine corpus luteum (CL) and follicular theca and granulosa layers before undertaking functional in vitro experiments to test the effect of selected ligands (BMP6 and activin A) on luteinizing bovine TC and GC. Relative to P-actin transcript abundance, CL tissue contained more BMP4 and -6 mRNA than granulosa, more BMP2 mRNA than theca but much less activin-beta A mRNA than both granulosa and theca. Transcripts for all seven BMP/activin receptors were readily detected in each tissue and two transcripts (BMPRII, ActRIIA) were more abundant in CL than either theca or granulosa, consistent with tissue responsiveness. In vitro luteinization of TC and GC from antral follicles (4-6 mm) was achieved by culturing with 5% serum for 6 days. Treatment with BMP6 (0, 2, 10, and 50 ng/ml) and activin A (0, 2, 10 and 50 ng/ml) under these conditions dose-dependently suppressed forskolin-induced progesterone (P-4) secretion from both cell types without affecting cell number. BMP6 reduced forskolin-stimulated upregulation of STAR mRNA and raised 'basal' CYP17A1 mRNA level in theca-lutein cells without affecting expression of CYP11A1 or hydroxy-Delta-5-steroid dehydrogenase, 3 beta- and steroid Delta-isomerase 1 (HSD3B1). In granulosa-lutein cells, STAR transcript abundance was not affected by BMP6, whereas forskolin-induced expression of CYP11A1, HSD3B1, CYP19A1 and oxytocin transcripts was reduced. In both cell types, follistatin attenuated the suppressive effect of activin A and BMP6 on forskolin-induced P4 secretion but had no effect alone. Granulosa-lutein cells secreted low levels of endogenous activin A (similar to 1 ng/ml); BMP6 reduced this, while raising follistatin secretion thus decreasing activin A:follistatin ratio. Collectively, these findings support inhibitory roles for BMP/activin signalling in luteinization and steroidogenesis in both TC and GC.