800 resultados para psychological distress
Resumo:
Racism continues to thrive on the Internet. Yet, little is known about racism in online settings and the potential consequences. The purpose of this study was to develop the Perceived Online Racism Scale (PORS), the first measure to assess people’s perceived online racism experiences as they interact with others and consume information on the Internet. Items were developed through a multi-stage process based on literature review, focus-groups, and qualitative data collection. Based on a racially diverse large-scale sample (N = 1023), exploratory and confirmatory factor analyses provided support for a 30-item bifactor model with the following three factors: (a) 14-item PORS-IP (personal experiences of racism in online interactions), (b) 5-item PORS-V (observations of other racial/ethnic minorities being offended), and (c) 11-item PORS-I (consumption of online contents and information denigrating racial/ethnic minorities and highlighting racial injustice in society). Initial construct validity examinations suggest that PORS is significantly linked to psychological distress.
Resumo:
Tese (doutorado)—Universidade de Brasília, Instituto de Psicologia, Programa de Pós-Graduação em Processos de Desenvolvimento Humano e Saúde, 2016.
Resumo:
Dans certains milieux syndicaux québécois, des initiatives porteuses destinées à prévenir les problèmes de santé mentale au travail ont vu le jour. Des représentants syndicaux pionniers ont mis en place des structures d’entraide opérantes, obtenu des jurisprudences importantes et développé des approches innovantes pour corriger ou bonifier l’organisation du travail, et ce depuis plus de trois décennies. Alors que la montée de l’idéologie néolibérale et les principes d’organisation du travail qu’elle sous-tend engendrent une intensification du travail qui fragilise la psyché des travailleurs et que le rapport de force des syndicats s’effrite, il apparaît porteur d’interroger l’expérience de ces représentants syndicaux pour mieux comprendre comment se structure l’action syndicale en santé mentale au travail. Cette thèse fait l’étude de réalisations syndicales québécoises en matière de santé mentale au travail visant à prévenir et à corriger les problèmes de détresse psychologique, d’épuisement professionnel, de harcèlement, de dépression, de violence, de suicides reliés au travail, etc. Pour ce faire, un cadre théorique mixte a été utilisé. D’une part, une perspective large a été adoptée pour comprendre les enjeux entourant les rapports humains au travail et l’action. Pour ce faire, quatre auteurs influents de la philosophie des Lumières et de la philosophie contemporaine ont été sélectionnés, soit Thomas Hobbes, Adam Smith, Karl Marx et Hannah Arendt. Dégager ces différentes perspectives du monde, de l’action et du lien social avait pour objectif de mettre en place une grille d’analyse susceptible de relier l’expérience de représentants syndicaux à ces visions du monde. Il est apparu essentiel de mieux saisir les bases idéologiques sur lesquelles ces derniers ont construit leur action pour comprendre comment elles ont influencé leur démarche singulière et collective. D’autre part, la théorie de l’expérience sociale a été retenue (Dubet, 2009; 1994) pour analyser plus finement le travail des représentant syndicaux. Celle-ci distingue trois logiques d’action complémentaires et en tension avec lesquelles doivent composer les acteurs sociaux : une logique d’intégration, une logique stratégique et logique appuyée sur la subjectivation. La coexistence de ces trois logiques signifie que l’expérience que les individus font du monde n’est pas une simple reproduction de déterminismes qui les précèdent. Les acteurs sont aussi sujets de leur expérience et capables de prendre une distance du social pour comprendre les significations de leur agir; ils s’inscrivent dans le monde dans une dialectique critique. Cette théorie apporte un éclairage permettant de dégager à la fois ce qui freine et ce qui facilite l’action individuelle et collective en matière de santé mentale au travail et de décrire comment des représentants syndicaux se mobilisent pour répondre aux nombreuses attentes des membres. Cette recherche qualitative s’est appuyée sur une méthodologie de récit de vie (Rhéaume 2008; Bertaux 2006). Vingt représentants syndicaux ont témoigné de la souffrance au travail (Dejours, 2008) vécue par leurs membres et ont présenté des actions déployées pour leur venir en aide. Les réalités décrites par les participants montrent comment certains éléments de l’organisation du travail sont associés à des expériences de domination (Martuccelli, 2004): les méfaits du productivisme et de l’hyperflexibilité, les accidents de travail, les maladies professionnelles et les situations d’horreur au travail, les rapports sociaux au travail devenus délétères et les utilisations abusives de l’appareil judiciaire. L’étude démontre aussi à quel point des initiatives portées par des représentants syndicaux contribuent à une résolution de problèmes dans une perspective d’interdépendance, de développement du pouvoir d’agir, de justice sociale et de lutte pour la dignité. Quatre catégories d’initiatives ont été retenues : l’entretien du lien social dans l’entraide au quotidien, la défense juridique et légale des membres, les clauses de convention collective et les actions sur l’organisation du travail. Enfin, la recherche dégage trois profils de représentants syndicaux : la militance qui tente de former un nous, la professionnalisation qui tente de faire reconnaitre son utilité et sa compétence, et l’entraide qui cherche à développer une action engageant le Je. Leur rencontre laisse entrevoir le développement d’une praxis syndicale qui vise à promouvoir et protéger la dignité du travail et des travailleurs.
Resumo:
Esta revisión sistemática de la literatura tuvo como objetivo investigar sobre la depresión en personas con epilepsia en la última década (2005-2015), enfocándose en identificar en el paciente con epilepsia: características sociodemográficas, prevalencia de la depresión, tipos de intervención para el manejo de la depresión, factores asociados con la aparición y el mantenimiento de la depresión y por último, identificar las tendencias en investigación en el estudio de la depresión en pacientes con epilepsia. Se revisaron 103 artículos publicados entre 2005 y 2015 en bases de datos especializadas. Los resultados revelaron que la prevalencia de depresión en pacientes con epilepsia es diversa y oscila en un rango amplio entre 3 y 70 %, por otro lado, que las principales características sociodemográficas asociadas a la depresión está el ser mujer, tener un estado civil soltero y tener una edad comprendida entre los 25 y los 45 años. A esto se añade, que los tratamientos conformados por terapia psicológica y fármacos, son la mejor opción para garantizar la eficacia en los resultados del manejo de la depresión en los pacientes con epilepsia. Con respecto a los factores asociados a la aparición de la depresión en pacientes con epilepsia, se identificaron causas tanto neurobiológicas como psicosociales, asimismo los factores principales asociados al mantenimiento fueron una percepción de baja calidad de vida y una baja auto-eficacia. Y finalmente los tipos de investigación más comunes son de tipo aplicado, de carácter descriptivo, transversales y de medición cuantitativa.
Resumo:
El objetivo de la presente investigación fue identificar la relación entre ideación suicida y desesperanza en 160 pacientes con cáncer. La ideación suicida se midió a través de dos ítems de una entrevista semiestructurada, la escala de ideación suicida (ISS), el ítem 9 del inventario de depresión de Beck (BDI-IA). La desesperanza se midió con la escala de desesperanza de Beck (BHS). Los resultados obtenidos indicaron una relación significativa (p=.000) entre ideación suicida y desesperanza; una prevalencia de ideación suicida en los pacientes con cáncer entre 4.4% y 13.8% y de riesgo de suicidio entre 5.6% y 30.6%; y algún grado de desesperanza en 31.9 % de los participantes. De acuerdo con lo anterior, se confirma que existe relación entre la desesperanza y la ideación suicida en pacientes oncológicos adultos. Adicionalmente, que estas variables están presentes en los pacientes y que ameritan atención en la intervención interdisciplinaria.
Resumo:
Introducción: Desde los años 80 se viene haciendo énfasis en el acoso laboral, conocido en otros países como Mobbing, describiéndose como una forma de abuso y violencia psicológica en el lugar de trabajo, realizado ya sea por una sola persona o por un grupo de personas y que por sus implicaciones se estima de alto impacto para los trabajadores, y las organizaciones. Considerando la importancia y prevalencia del mobbing en la sociedad actual, se convierte en un tema relevante para el área de salud ocupacional. Objetivo: El objetivo de este estudio fue identificar los efectos del acoso laboral generados en la salud del trabajador. Metodología: Se realizó una revisión sistemática utilizando el método PRISMA, de las publicaciones vigentes entre los años 2006 a 2016 sobre los efectos del acoso laboral en la salud del trabajador. En la búsqueda se obtuvieron 778 artículos de los cuales 27 cumplían con los criterios de inclusión. Resultados: se encontró que la prevalencia del acoso laboral puede ser diferente de acuerdo a la definición utilizada, instrumento de medida y población estudiada, la cual fluctúa entre el 7% al 88% según el estudio analizado. Además se evidenció que la prevalencia también difiere dependiendo de quién sea el perpetrador del acoso, si el líder o jefe es el acosador es mayor (60,3%) que cuando es causado por colegas o por clientes (41,5%). El impacto del acoso laboral, según la mayoría de los estudios, es que provoca efectos negativos en la salud emocional del trabajador siendo la depresión una de las principales consecuencias con una relación estadísticamente significativa (p<0,001). Las enfermedades del aparato respiratorio y del sistema musculo esquelético y del tejido conectivo fueron las que se presentaron con mayor frecuencia en los trabajadores que sufren de acoso con un 43,5% y un 37.8% respectivamente. Conclusiones: éstos resultados demuestran que el acoso laboral no solamente es un problema desde el punto de vista organizacional, sino que conlleva consecuencias en la salud mental y física de los trabajadores que lo sufren. Palabras clave: Mobbing, workplace, acoso laboral, acoso psicológico, bullying, harassment, salud ocupacional, occupational health.
Resumo:
El propósito de este estudio es realizar un estado del arte sobre estrés laboral entre los años 2005 y 2016 utilizando artículos publicados en las bases de datos Ebsco, Apa-Psychnet, Proquest, Psycodoc, Pubmed, Redalyc y Scielo las cuales están abaladas por la Universidad del Rosario. Se hallaron en total 2674 artículos utilizando 6 palabras claves como criterios de búsqueda los cuales fueron Estrés Laboral, Estrés ocupacional, Estrés en el Trabajo, Job Stress, Work Stress y Occupational Stress. El instrumento de recolección de información fue una ficha bibliográfica modificada la cual permitió sistematizar los datos de los artículos encontrados en diferentes dimensiones para así poder utilizar los artículos encontrados como unidades de análisis para la investigación. El análisis de los artículos arrojó una diferencia significativa entre el volumen de publicaciones hechas en español versus las hechas en inglés tanto de artículos empíricos como teóricos. También se encontraron indicadores que permiten ver como el estudio del estrés laboral ha aumentado desde el año 2012 hasta la actualidad, siendo este el lapso en el cual el 59% de los artículos han sido arbitrados y subidos a las diferentes bases de datos.
Resumo:
Introducción: La construcción de megaproyectos hídricos implica una reconfiguración territorial donde se ven afectadas las fuentes de agua dulce, la biodiversidad terrestre y acuática, y los asentamientos humanos que colindan con dichas construcciones. Objetivo: estimar la asociación entre las conductas proambientales con la solastalgia entre las personas que se encuentran ejerciendo un proceso de resistencia social contra la Central Hidrosogamoso en el departamento de Santander, Colombia. Metodología: se utilizó un diseño de estudio transversal en el que se entrevistaron integrantes y no integrantes de grupos ambientalistas de las zonas de influencia del proyecto. Se realizó un análisis descriptivo de las variables sociodemográficas de los dos grupos de comparación presentando frecuencias absolutas y relativas y diferencias significativas por medio de la prueba ji cuadrado, exacta de Fisher y U de Mann Whitney. Se utilizó un modelo de regresión lineal múltiple en el que la variable dependiente fue el puntaje de solastalgia y las variables independientes fueron las escalas de las conductas proambientales: altruismo, austeridad, equidad, conducta ecológica, deliberación, indignación y aprecio por lo natural, además, se ajustó por algunas variables sociodemográficas de interés. Resultados: los grupos comparados presentaron diferencias importantes en cuanto a la zona de procedencia, condiciones económicas y organización social. El incremento de 5 puntos en la escala del sentimiento de indignación incrementó 0.98 la escala de solastalgia (IC95%: 0.19; 1.78). Las personas sin pareja estable tuvieron 3.02 puntos menos de solastalgia comparadas con personas casadas o en unión libre (IC95%: -4.96; -1.44), mientras que aquellas con alto nivel educativo obtuvieron 2.02 puntos menos que las personas con primaria y bachillerato (IC95%: -3.99; -0.06). Un modelo alterno mostró que no pertenecer a un grupo ambientalista disminuye en 2.29 puntos la solastalgia, comparado con pertenecer a un grupo (IC95%: -4.31; -0.28),. Conclusión: posiblemente las motivaciones por las cuales los actores involucrados se resisten a las transformaciones territoriales ocasionadas por la construcción de las represas son más un reflejo de la condición socioeconómica que de la preocupación de los actores por el daño del medio ambiente y además, esta resistencia es un fenómeno que se limita a aquellos que están afectados directamente en el área de influencia del proyecto
Resumo:
This contribution deals with psychological vulnerability resulting from marital breakup after a long-term relationship. Despite the existing vast body of consolidated knowledge on divorce and psychological adaptation, there are still several controversies concerning the vulnerabilizing impact of marital breakup. One major issue refers to the question of whether vulnerability after marital breakup is a temporary crisis or rather a chronic strain. In this chapter we want to present two possible methodological options to tackle this question: First, comparing a sample of almost 1000 middle-aged persons, who were married on average 19 years, and who experienced a marital split within the last 5 years (4 time groups), with a group of age-matched married controls with regard to various indicators of psychological vulnerability (such as depression and hopelessness). Second, comparing within the divorced group the most vulnerable individuals (in terms of depression, hopelessness, life satisfaction) with those who were the least affected, regarding intra-personal resources (personality, resilience), divorce circumstances, post-divorce situation, and socio-economic resources. The study results underline the vulnerabilizing impact of marital breakup, but at the same time they reveal individual differences in psychological adaptation especially due to personality, new partnership, economic resources, and last but not least due to time. Furthermore our data strongly suggest that there is not a generalized psychological vulnerability after marital breakup, but that the emotional dimensions such as depression or feelings of not overcoming the loss are more affected than the more cognitive ones such as life satisfaction.
Resumo:
It is unclear which theoretical dimension of psychological stress affects health status. We hypothesized that both distress and coping mediate the relationship between socio-economic position and tooth loss. Cross-sectional data from 2915 middle-aged adults evaluated retention of < 20 teeth, behaviors, psychological stress, and sociodemographic characteristics. Principal components analysis of the Perceived Stress Scale (PSS) extracted 'distress' (a = 0.85) and 'coping' (a =0.83) factors, consistent with theory. Hierarchical entry of explanatory variables into age- and sex-adjusted logistic regression models estimated odds ratios (OR) and 95% confidence intervals [95% CI] for retention of < 20 teeth. Analysis of the separate contributions of distress and coping revealed a significant main effect of coping (OR = 0.7 [95% CI = 0.7-0.8]), but no effect for distress (OR = 1.0 [95% CI = 0.9-1.1]) or for the interaction of coping and distress. Behavior and psychological stress only modestly attenuated socio-economic inequality in retention of < 20 teeth, providing evidence to support a mediating role of coping.
Resumo:
This study examines the relationships between job demands (in the form of role stressors and emotional management) and employee burnout amongst high contact service employees. Employees in customer facing roles are frequently required to manage overwhelming, conflicting or ambiguous demands, which they may feel ill-equipped to handle. Simultaneously, they must manage the emotions they display towards customers, suppressing some, and expressing others, be they genuine or contrived. If the in-role effort required of employees exceeds their inherent capacity to cope, burnout may result. Burnout, in turn, can have serious detrimental consequences for the psychological well being of employees. We find that both emotional management and role stressors impact burnout. We also confirm that burnout predicts psychological strain. In line with the Job Demands and Resources Model, we examine the mitigating impact of perceived support on these relationships but do not find a significant mitigating impact.
Resumo:
Background Cancer can be a distressing experience for cancer patients and carers, impacting on psychological, social, physical and spiritual functioning. However, health professionals often fail to detect distress in their patients due to time constraints and a lack of experience. Also, with the focus on the patient, carer needs are often overlooked. This study investigated the acceptability of brief distress screening with the Distress Thermometer (DT) and Problem List (PL) to operators of a community-based telephone helpline, as well as to cancer patients and carers calling the service. Methods Operators (n = 18) monitored usage of the DT and PL with callers (cancer patients/carers, >18 years, and English-speaking) from September-December 2006 (n = 666). The DT is a single item, 11-point scale to rate level of distress. The associated PL identifies the cause of distress. Results The DT and PL were used on 90% of eligible callers, most providing valid responses. Benefits included having an objective, structured and consistent means for distress screening and triage to supportive care services. Reported challenges included apparent inappropriateness of the tools due to the nature of the call or level of caller distress, the DT numeric scale, and the level of operator training. Conclusions We observed positive outcomes to using the DT and PL, although operators reported some challenges. Overcoming these challenges may improve distress screening particularly by less experienced clinicians, and further development of the PL items and DT scale may assist with administration. The DT and PL allow clinicians to direct/prioritise interventions or referrals, although ongoing training and support is critical in distress screening.
Resumo:
Background: High levels of distress and need for self-care information by patients commencing chemotherapy suggest that current prechemotherapy education is suboptimal. We conducted a randomised, controlled trial of a prechemotherapy education intervention (ChemoEd) to assess impact on patient distress, treatment-related concerns, and the prevalence and severity of and bother caused by six chemotherapy side-effects. Patients and methods: One hundred and ninety-two breast, gastrointestinal, and haematologic cancer patients were recruited before the trial closing prematurely (original target 352). ChemoEd patients received a DVD, question-prompt list, self-care information, an education consultation ≥24 h before first treatment (intervention 1), telephone follow-up 48 h after first treatment (intervention 2), and a face-to-face review immediately before second treatment (intervention 3). Patient outcomes were measured at baseline (T1: pre-education) and immediately preceding treatment cycles 1 (T2) and 3 (T3). Results: ChemoEd did not significantly reduce patient distress. However, a significant decrease in sensory/psychological (P = 0.027) and procedural (P = 0.03) concerns, as well as prevalence and severity of and bother due to vomiting (all P = 0.001), were observed at T3. In addition, subgroup analysis of patients with elevated distress at T1 indicated a significant decrease (P = 0.035) at T2 but not at T3 (P = 0.055) in ChemoEd patients. Conclusions: ChemoEd holds promise to improve patient treatment-related concerns and some physical/psychological outcomes; however, further research is required on more diverse patient populations to ensure generalisability.