874 resultados para vitamin D
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Problématique : L'allergie au lait de vache (ALV) est reconnue comme une condition transitoire qui disparaît chez la majorité des enfants avant l’âge de 3-5 ans, mais des données récentes révèlent une persistance de l’ALV. Les enfants souffrant d’une ALV sont à risque d’apports insuffisants en calcium et en vitamine D, deux nutriments impliqués dans la santé osseuse. Une première étude transversale portant sur la santé osseuse d’enfants prépubères ALV a observé que la densité osseuse (DMO) lombaire était significativement inférieure à celle d’enfants sans allergie au lait de vache (SALV). Objectifs : Sur la base de ces résultats, nous désirons documenter l’évolution longitudinale de la santé osseuse, du statut en vitamine D, des apports en calcium et en vitamine D et de l’adhérence à la supplémentation des enfants ALV (n=36) et de comparer ces données aux enfants SALV (n=19). Résultats : Le gain annualisé de la DMO lombaire est similaire entre les enfants ALV et SALV. Bien qu’il n’y ait pas de différence significative entre les deux groupes, la DMO lombaire des enfants ALV demeure cependant inférieure à celle des témoins. Qui plus est, le score-Z de la DMO du corps entier tend à être inférieur chez les enfants-cas comparé aux témoins. Au suivi, la concentration de 25OHD et le taux d’insuffisance en vitamine D sont similaires entre les deux groupes tout comme les apports en calcium et en vitamine D. Davantage d’enfants ALV prennent un supplément de calcium au suivi comparativement au temps initial (42% vs. 49%, p<0,05), mais le taux d’adhérence à la supplémentation a diminué à 4 jours/semaine. Conclusion : Une évaluation plus précoce ainsi qu’une prise en charge de la santé osseuse des enfants ALV pourraient être indiquées afin de modifier l’évolution naturelle de leur santé osseuse. Les résultats justifient aussi le suivi étroit des apports en calcium et vitamine D par une nutritionniste et la nécessité d'intégrer la supplémentation dans le plan de traitement de ces enfants et d’assurer une surveillance de l’adhérence à la supplémentation.
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Thesis (Master's)--University of Washington, 2016-06
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Evidence for the presence of the vitamin D receptor in brain implies this vitamin may have some function in this organ. This study investigates whether vitamin D-3 acts during brain development. We demonstrate that rats born to vitamin D-3-deficient mothers had profound alterations in the brain at birth. The cortex was longer but not wider, the lateral ventricles were enlarged, the cortex was proportionally thinner and there was more cell proliferation throughout the brain. There were reductions in brain content of nerve growth factor and glial cell line-derived neurotrophic factor and reduced expression of p75(NTR), the low-affinity neurotrophin receptor. Our findings would suggest that low maternal vitamin D3 has important ramifications for the developing brain. (C) 2003 IBRO. Published by Elsevier Science Ltd. All rights reserved.
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We have observed that vitamin A levels, deficient in patients with severe disease, returned to normal post lungtransplant independent of oral supplementation or pancreatic sufficiency. We hypothesised that vitamin A is associated with disease severity and the inflammatory marker C-related peptide (CRP). Data from RCH paediatric and TPCH adult CF clinic subjects (ns138 CF, 138 control, aged 5–56 yr), who had participated in a study of bone mineral density (BMD) in which vitamins A, E, D, and CRP, height, weight and lung function had been measured was used. Groups were compared using t- or Wilcoxon-tests, and predictors of vitamin A examined usingmultiple regression. Vitamin A was lower in CF subjects (1.23"0.5 vs. 1.80"0.6 mmolyl, P-0.0001), increasingwith age in paediatric subjects but to a lesser extent in the CF group (Ps0.0007). CRP was correlated with age (rs0.6, P-0.0001). FEV1% predicted (FEV) (57.93"23.0 vs. 70.63"21.8, Ps0.0014), weight z-score (WTZ) (y0.76"0.9 vs. y0.12"1.0, Ps0.0002), lumbar spine BMD z-score (y1.08"1.3 vs. y0.50"1.2, Ps0.009) were lower, and CRP higher (median 7.0, IQR 2–4 vs. median 1.0, IQR 1–3 mgy l, P-0.0001) in vitamin A insufficient CF subjects (61 insufficient vs. 71 sufficient). In all subjects, control status (P-0.0001), WTZ (Ps0.02), vitamin E (Ps 0.0003), CRP (Ps0.001), 1,25 dihydroxy vitamin D (1,25 vit. D) (Ps0.0007), and child, adolescent or adult grouping (all P-0.0001) were predictive of vitamin A. In the CF group, CRP (Ps0.01), Vitamin E (P-0.0001) and 1.25 vit. D (Ps 0.006), but not FEV, were predictive. The normal increase in vitamin A with age was not observed in CF subjects, who had lower levels at any age. This failure of normal increase in vitamin A had a consistent association with increasingCRP , supportingthe hypothesis that increased inflammation may result in increased vitamin A consumption.
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Thesis (Master's)--University of Washington, 2016-08
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ANTECEDENTES: Las Ingestas Dietéticas de Referencia (IDR) son 4 valores que sirven de guía para la ingesta adecuada de un nutriente específico, de acuerdo con la edad, género y condición fisiológica concreta, con el fin de mantener un buen estado de salud. OBJETIVO: Determinar los valores de IDR para las vitaminas A, B y D en niños de 1 a 5 años de edad los subcentros del Ministerio de Salud Pública, del área urbana, de la ciudad de Cuenca, en el año 2015. MATERIALES Y MÉTODO: Es un estudio descriptivo transversal realizado en todos los niños que acudieron a los subcentros de salud urbanos del Ministerio de Salud Pública de Cuenca, durante el período de 6 meses. Mediante el software en línea de nutrición “Nutrimind” 2012, se aplicó el Recordatorio de 24 horas. En el programa estadístico SPSS 19, se tabularon los datos, se calculó el promedio de la ingesta de las vitaminas A, B y D por grupo etario y por sexo. Se compararon estos resultados con las IDR internacionales. RESULTADOS: De los 580 niños estudiados el 64.7% fueron lactantes y el 35.3% escolares, el 49.8% fueron de sexo masculino y el 50.2% femenino. El promedio de ingesta de las vitaminas A, B1, B2 y B3 sobrepasa las ingestas recomendadas. Para las vitaminas B6, B9 y D está por debajo de las recomendaciones. El promedio de ingesta para la vitamina B12 cubre las necesidades diarias recomendadas
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Les patients atteints de maladies inflammatoires de l'intestin (MII) ont un risque accru de développer un cancer colorectal dû aux lésions épithéliales secondaires à l’inflammation chronique. La vitamine D (vD) régule NOD2, gène impliqué dans la réponse inflammatoire et dans la susceptibilité aux MII, et induit son expression dans les monocytes et dans l’épithélium intestinal. Dans ce projet, nous avons d’abord induit le cancer colorectal associé à la colite ulcéreuse (CAC) en administrant un traitement combiné d’azoxyméthane (AOM) et de dextran de sulfate de sodium (DSS) aux souris C57BL/6J. Par la suite, nous avons étudié l'effet d’une carence en vD3 sur le développement du CAC et évalué la capacité préventive d’une supplémentation en vD3 sur la tumorigenèse, et vérifié si cet effet est médié par NOD2, en utilisant les souris Nod2-/-. Les C57BL/6J et les Nod2-/-, ayant reçu une diète déficiente en vD3, étaient moins résistantes au CAC par rapport aux souris supplémentées. Le pourcentage de perte de poids, l’indice d’activation de la maladie (DAI), le taux de mortalité et le poids relatif du côlon (mg/cm) chez les souris déficientes en vD3 étaient plus élevés en comparaison avec celles supplémentées en vD3. Une augmentation du score d'inflammation et de la multiplicité tumorale corrélait avec une expression accentuée de l’Il6 dans les colonocytes des souris déficientes en vD3. La vD3 régulait l’expression génétique de Cyp24, Vdr et de gènes pro-inflammatoires chez les C57BL/6, comme chez les Nod2-/-. En conclusion, la supplémentation en vD3 peut prévenir le développement du CAC indépendamment de NOD2.
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Les patients atteints de maladies inflammatoires de l'intestin (MII) ont un risque accru de développer un cancer colorectal dû aux lésions épithéliales secondaires à l’inflammation chronique. La vitamine D (vD) régule NOD2, gène impliqué dans la réponse inflammatoire et dans la susceptibilité aux MII, et induit son expression dans les monocytes et dans l’épithélium intestinal. Dans ce projet, nous avons d’abord induit le cancer colorectal associé à la colite ulcéreuse (CAC) en administrant un traitement combiné d’azoxyméthane (AOM) et de dextran de sulfate de sodium (DSS) aux souris C57BL/6J. Par la suite, nous avons étudié l'effet d’une carence en vD3 sur le développement du CAC et évalué la capacité préventive d’une supplémentation en vD3 sur la tumorigenèse, et vérifié si cet effet est médié par NOD2, en utilisant les souris Nod2-/-. Les C57BL/6J et les Nod2-/-, ayant reçu une diète déficiente en vD3, étaient moins résistantes au CAC par rapport aux souris supplémentées. Le pourcentage de perte de poids, l’indice d’activation de la maladie (DAI), le taux de mortalité et le poids relatif du côlon (mg/cm) chez les souris déficientes en vD3 étaient plus élevés en comparaison avec celles supplémentées en vD3. Une augmentation du score d'inflammation et de la multiplicité tumorale corrélait avec une expression accentuée de l’Il6 dans les colonocytes des souris déficientes en vD3. La vD3 régulait l’expression génétique de Cyp24, Vdr et de gènes pro-inflammatoires chez les C57BL/6, comme chez les Nod2-/-. En conclusion, la supplémentation en vD3 peut prévenir le développement du CAC indépendamment de NOD2.
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Vitamin D insufficiency and deficiency have been associated with an increased risk of adverse pregnancy outcomes. Controversy remains as findings have been inconsistent between disparate populations. The aim of this study was to investigate the relationship between vitamin D status and pregnancy outcomes in a large, prospective pregnancy cohort. 25-Hydroxyvitamin D concentration was analysed in serum samples collected at 15 weeks of gestation from 1710 New Zealand women participating in a large, observational study. Associations between vitamin D status and pre-eclampsia, preterm birth, small for gestational age (SGA) and gestational diabetes were investigated. The mean 25-hydroxyvitamin D concentration was 72·9 nmol/l. In all, 23 % had 25-hydroxyvitamin D concentrations <50 nmol/l, and 5 % of participants had concentrations <25 nmol/l. Women with 25-hydroxyvitamin D concentrations <75 nmol/l at 15 weeks of gestation were more likely to develop gestational diabetes mellitus than those with concentrations >75 nmol/l (OR 2·3; 95 % CI 1·1, 5·1). However, this effect was not significant when adjustments were made for BMI and ethnicity (OR 1·8; 95 % CI 0·8, 4·2). 25-Hydroxyvitamin D concentration at 15 weeks was not associated with development of pre-eclampsia, spontaneous preterm birth or SGA infants. Pregnancy complications were low in this largely vitamin D-replete population.
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Se basant sur les données d’un large registre américain, le National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES) des années 2005-2006, nous avons réalisé une étude transversale où 3406 hommes et femmes âgés entre 20 et 69 ans ont été retenus. L’objectif était d’évaluer l’association entre l’arthrite et les maladies cardiovasculaires (MCV) ainsi que les effets du sexe et de la vitamine D sur cette association. L’arthrite et les maladies cardiovasculaires étaient rapportées dans un questionnaire médical, et l’exposition à la vitamine D était mesurée à partir des concentrations sériques de la 25-hydroxyvitamine D (25(OH)D). Des ajustements pour diverses variables confondantes ont été considérés dans les modèles multivariés. Les analyses statistiques ont été stratifiées par niveau sérique de vitamine D (déficient et suffisant) et appliquées séparément chez les hommes et les femmes. La régression logistique multiple a été utilisée pour évaluer l’association entre l’arthrite et les MCV ; des rapports de cotes (RC) avec leurs intervalles de confiance à 95% ont été calculés. Le modèle complet comprenait un terme d’interaction triple entre l’arthrite, le sexe et la vitamine D, et ce, dans le but d’étudier les possibles effets modifiants du sexe et des concentrations sériques de vitamine D sur l’association entre l’arthrite et les MCV. Pour mesurer ces effets, nous avons calculé des rapports des RC (RRC) avec leurs intervalles de confiance à 95% ; un RRC de 1 signifiant une absence d’effet modifiant. Nous avons observé une double association statistiquement significative entre le diagnostic auto-déclaré de l’arthrite et celui des MCV, mais cette association n’a pas été différente en fonction des concentrations sériques de vitamine D, ni en fonction du sexe.
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Introducción: El cáncer colorrectal es una patología con alto impacto en la salud pública, debido a su prevalencia, incidencia, severidad, costo e impacto en la salud mental y física del individuo y la familia. Ensayos clínicos realizados en pacientes con antecedente de infarto al miocardio que consumían ácido acetil salicílico (asa), calcio con y sin vitamina D, mostraron asociación entre el consumo de estos medicamentos y disminución en la incidencia en cáncer colorrectal y pólipos adenomatosos. Objetivo: Evaluar la literatura sobre el uso de asa, calcio con y sin vitamina D con relación a su impacto en la prevención del cáncer colorrectal y pólipos adenomatosos. Métodos: Se realizó revisión sistemática buscando ensayos clínicos realizados en pacientes con factores de riesgo para cáncer colorrectal y pólipos adenomatosos que usaron asa, calcio con y sin vitamina D fueron incluidos. Resultados: se escogieron 105 para la revisión sistemática. Conclusiones: Es necesario desarrollar más estudios que lleven a evaluar el efecto protector de la aspirina, calcio y vitamina D. En los artículos revisados la aspirina a dosis de 81 a 325 mg día se correlaciona con reducción de riesgo de aparición de CRC aunque la dosis ideal, el tiempo de inicio y la duración de la ingesta continua no son claros. Hacen falta estudios que comparen poblaciones con ingesta de asa a diferentes dosis.
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OBJECTIVE: To evaluate the association between quantitative ultrasonography at hand phalanges (QUS) and dual energy X-ray absorptiometry (DXA), and between these methods with food intake and history of bone fractures. SUBJECTS AND METHODS:After two years of follow up of 270 schoolchildren, 10 of them, who showed bone mass below - 2 SD in QUS, were included in the present study. Laboratory results and DXA data were analyzed. RESULTS: Bone mass evaluated by DXA at L1-L4 ranged from -2.8 to -1.1 SDS, and whole body bone mass, from -2.9 to -1.2 SDS. Three children had history of non-pathological bone fractures. Dietary assessment showed low intake of calcium in 10 cases, of phosphorus in 6, and of vitamin D in 8 cases. There were no differences among the cases of bone mass below-2 SD in any of the three used methods. There was no association between history of bone fractures and food intake, and between these evaluations and bone mass. CONCLUSION: In this small group of schoolchildren there was an association between the methods QUS and DXA. However, there was no association between bone mass and the history of bone fractures, or calcium, phosphorus and vitamin D intake.
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OBJECTIVE: To analyze if female Wistar rats at 56 weeks of age are a suitable model to study osteoporosis. MATERIALS AND METHODS: Female rats with 6 and 36 weeks of age (n = 8 per group) were kept over a 20-week period and fed a diet for mature rodents complete in terms of Ca, phosphorous, and vitamin D. Excised femurs were measured for bone mass using dual-energy x-ray absorptiometry, morphometry, and biomechanical properties. The following serum mar-kers of bone metabolism were analyzed: parathyroid hormone (PTH), osteocalcin (OC), osteoprotegerin (OPG), receptor activator of nuclear factor Κappa B ligand (RANKL), C-terminal peptides of type I collagen (CTX-I), total calcium, and alkaline phosphatase (ALP) activity. RESULTS: Rats at 56 weeks of age showed important bone metabolism differences when compared with the younger group, such as, highest diaphysis energy to failure, lowest levels of OC, CTX-I, and ALP, and elevated PTH, even with adequate dietary Ca. CONCLUSION: Rats at 26-week-old rats may be too young to study age-related bone loss, whereas the 56-week-old rats may be good models to represent the early stages of age-related changes in bone metabolism.
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CONTEXT AND OBJECTIVES: Osteoporosis has frequently been observed in patients with rheumatoid arthritis. The present study was undertaken in order to evaluate factors associated with osteoporosis among women with rheumatoid arthritis. DESIGN AND SETTING: Cross-sectional study, carried out in a public hospital in São Paulo. METHODS: The participants were 83 women with rheumatoid arthritis (53.7 ± 10.0 years old). Bone mineral density (BMD) and body composition were measured by dual energy X-ray absorptiometry. The patients were divided into three groups according to BMD: group 1, normal BMD (n = 24); group 2, osteopenia (n = 38); and group 3, osteoporosis (n = 21). Tests were performed to compare differences in means and correlations, with adjustments for age, duration of disease and cumulative corticosteroid. The relationships between clinical factors, physical activity score, dietary intake, body composition and biochemical parameters were analyzed using linear regression models. RESULTS: Mean calcium, vitamin D and omega-6 intakes were lower than the recommendations. Associations were found between BMD and age, disease duration, parathyroid hormone concentration and fat intake. The linear regression model showed that being older, with more years of disease and lower weight were negatively correlated with BMD [Total femur = 0.552 + 0.06 (weight) + 0.019 (total physical activity) - 0.05 (age) - 0.003 (disease duration); R² = 48.1; P < 0.001]. CONCLUSION: The present study indicates that nutritional factors and body composition are associated with bone mass in women with rheumatoid arthritis.