237 resultados para Artaud, Antonin
Resumo:
Antonin Artaud (1896-1948) est un poète, acteur, dramaturge et écrivain français né à Marseille, mais dont la vie artistique se développe principalement à Paris. Artaud est l'auteur de la notion bien connue de Théâtre de cruauté, qui inspire encore aujourd'hui de nombreux groupes de théâtre dans différents coins du monde. Il a écrit sur le théâtre, la poésie, l'art, la philosophie, entre autres. De 1924-1935 est également dédié au cinéma, à la fois dans son théorique et pratique. Une étape un peu inconnu et peu exploré dans sa vie. Elle a joué dans 22 films avec certains des réalisateurs les plus importants dans le monde, et a laissé huit scénarios, dont un seul a été realizé, et huit écrits théoriques sur le cinéma. Cette thèse cherche à examiner précisément cette période insuffisamment étudié dans sa carrière, à partir de trois questions initiales: Artaud développé un sens de la cruauté au-delà du théâtre? Nous pouvons penser à la culture de la cruauté envers les films, en d‘autres termes, un cinéma de la cruauté ? Nous pouvons penser sur le sujet contemporain de cette culture? La réponse à ces trois questions est oui. L'idée de la pensée de la cruauté au cinéma est intervenue concomitamment à leurs expériences et élaborations de ce qu'il a appelé Théâtre de la cruauté. Les deux réflexions sont donnés concomitamment et de manière récursive. Plus que cela, toutes ses productions artistiques, dont la poésie et la peinture, ont été traversés par la notion de cruauté. Nous concluons que leurs élaborations sur un cinéma de la cruauté a eté interrompu au moment même que le développement technique a souligné la possibilité de sa réalisation. De plus, à l'enquête de son travail, nous pouvons voir que presque toute sa pensée a été préparé sous les images, de sorte que nous pouvons même parler d'une pensée cinématographique d‘Antonin Artaud. En conséquence, nous ne concevons pas sa théorie au septième art comme secondaire à leurs intérêts, comme le rapporte la plupart de ses commentateurs, mais absolument essentiel dans le développement de ses écrits, qui jusqu'à maintenant accumulé plus de deux mille pages. En outre, Artaud ne pense pas l'art pour l'art, mais seulement comme un dialogue fructueux et intensif avec l'homme et la culture. L‘art était l'instrument privilégié de proposer un diagnostic et une nouvelle façon de voir la société contemporaine. À travers le film il a imaginé la possibilité d'une reprise de forces éthico-esthétique-politiques perdus sous les décombres de la civilisation occidentale. L'établissement d'une nouvelle relation avec l'image, le sujet de la (post-) modernité pourrait sauver une puissance esthétique du corps et de la pensée que, réinterprété, agiraient envers eux-mêmes et le monde à réinventer.
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Antonin Artaud (1896-1948) est un poète, acteur, dramaturge et écrivain français né à Marseille, mais dont la vie artistique se développe principalement à Paris. Artaud est l'auteur de la notion bien connue de Théâtre de cruauté, qui inspire encore aujourd'hui de nombreux groupes de théâtre dans différents coins du monde. Il a écrit sur le théâtre, la poésie, l'art, la philosophie, entre autres. De 1924-1935 est également dédié au cinéma, à la fois dans son théorique et pratique. Une étape un peu inconnu et peu exploré dans sa vie. Elle a joué dans 22 films avec certains des réalisateurs les plus importants dans le monde, et a laissé huit scénarios, dont un seul a été realizé, et huit écrits théoriques sur le cinéma. Cette thèse cherche à examiner précisément cette période insuffisamment étudié dans sa carrière, à partir de trois questions initiales: Artaud développé un sens de la cruauté au-delà du théâtre? Nous pouvons penser à la culture de la cruauté envers les films, en d‘autres termes, un cinéma de la cruauté ? Nous pouvons penser sur le sujet contemporain de cette culture? La réponse à ces trois questions est oui. L'idée de la pensée de la cruauté au cinéma est intervenue concomitamment à leurs expériences et élaborations de ce qu'il a appelé Théâtre de la cruauté. Les deux réflexions sont donnés concomitamment et de manière récursive. Plus que cela, toutes ses productions artistiques, dont la poésie et la peinture, ont été traversés par la notion de cruauté. Nous concluons que leurs élaborations sur un cinéma de la cruauté a eté interrompu au moment même que le développement technique a souligné la possibilité de sa réalisation. De plus, à l'enquête de son travail, nous pouvons voir que presque toute sa pensée a été préparé sous les images, de sorte que nous pouvons même parler d'une pensée cinématographique d‘Antonin Artaud. En conséquence, nous ne concevons pas sa théorie au septième art comme secondaire à leurs intérêts, comme le rapporte la plupart de ses commentateurs, mais absolument essentiel dans le développement de ses écrits, qui jusqu'à maintenant accumulé plus de deux mille pages. En outre, Artaud ne pense pas l'art pour l'art, mais seulement comme un dialogue fructueux et intensif avec l'homme et la culture. L‘art était l'instrument privilégié de proposer un diagnostic et une nouvelle façon de voir la société contemporaine. À travers le film il a imaginé la possibilité d'une reprise de forces éthico-esthétique-politiques perdus sous les décombres de la civilisation occidentale. L'établissement d'une nouvelle relation avec l'image, le sujet de la (post-) modernité pourrait sauver une puissance esthétique du corps et de la pensée que, réinterprété, agiraient envers eux-mêmes et le monde à réinventer.
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« Dieu est mort » proclame à l’envi le fou nietzschéen. C’est sous l’égide inquiète de cette assertion paroxystique, traduisant ce «malaise de la culture» qu’évoquait Freud, que la pensée, la littérature et l’art du XXe siècle européen évoluent. Cependant, le christianisme dont ce cri signe l’extrême décadence, n’est pas seul à imprégner les productions artistiques de ce siècle, même les plus prétendument athées, mais avant tout la figure du Christ - autour de laquelle sont structurés tant cette religion que son système de croyance – semble, littéralement et paradoxalement, infester l’imaginaire du XXe siècle, sous des formes plus ou moins fantasmatiques. Ce travail se propose ainsi précisément d’étudier, dans une optique interdisciplinaire entre littérature, art et cinéma, cette dynamique controversée, ses causes, les processus qui la sous-tendent ainsi que ses effets, à partir des œuvres de trois auteurs : Artaud, Beckett et Pasolini. L’objectif est de fournir une clé de lecture de cette problématique qui mette en exergue comment « la conversion de la croyance », comme la définit Deleuze, à laquelle ces auteurs participent, n’engendre pas un rejet purement profanatoire du christianisme mais, à l’inverse, la mise en œuvre d’un mouvement aussi violent que libératoire qualifié par Nancy de « déconstruction du christianisme ». Ce travail entend donc étudier tout d’abord à la lumière de l’expérience intérieure de Bataille, l’imaginaire christique qui sous-tend leurs productions ; puis, d’en analyser les mouvements et les effets en les questionnant sur la base de cette dynamique ambivalente que Grossman nomme la « défiguration de la forme christique ». Les excès délirants d’Artaud, l’ironie tranchante de Beckett et la passion ambiguë de Pasolini s’avèrent ainsi participer à un mouvement commun qui, oscillant entre reprise et rejet, débouche sur une attitude tout aussi destructive que revitalisante des fondements du christianisme.
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La literatura en el pensamiento deleuziano, es decir la "literatura menor", es revolucionaria en tanto que posibilita crear nuevas formas de vidas, de percepciones, de resistencias. En este sentido, Deleuze explora y encuentra un particular interés por diferentes escritores como Virginia Woolf, Scott Fitzgerald, Marcel Proust, Franz Kafka, Antonin Artaud, Herman Melville, entre otros. A partir de una reflexión sobre sus textos, Deleuze crea conceptos que juegan dentro de su máquina. Podemos decir que toda la filosofía de Gilles Deleuze está fuertemente atravesada, entre otras cosas, por la literatura. Nuestro trabajo se sitúa en el cruce entre la producción deleuziana y la literatura, más concretamente en el encuentro entre Artaud y Deleuze. A partir del (re)encuentro entre Artaud y Deleuze, este trabajo trata sobre la "vida" de Artaud, de cómo Artaud perfora la escritura, perforando su cuerpo; de cómo Artaud atraviesa el cuerpo de Deleuze produciendo al mismo tiempo su devenir. Si escribir, en el pensamiento deleuziano, siempre implica escribir con (alguien), escribir con Artaud no significa interpretarlo, comentarlo, sino, atravesar(se) el mismo cuerpo deleuziano
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La literatura en el pensamiento deleuziano, es decir la "literatura menor", es revolucionaria en tanto que posibilita crear nuevas formas de vidas, de percepciones, de resistencias. En este sentido, Deleuze explora y encuentra un particular interés por diferentes escritores como Virginia Woolf, Scott Fitzgerald, Marcel Proust, Franz Kafka, Antonin Artaud, Herman Melville, entre otros. A partir de una reflexión sobre sus textos, Deleuze crea conceptos que juegan dentro de su máquina. Podemos decir que toda la filosofía de Gilles Deleuze está fuertemente atravesada, entre otras cosas, por la literatura. Nuestro trabajo se sitúa en el cruce entre la producción deleuziana y la literatura, más concretamente en el encuentro entre Artaud y Deleuze. A partir del (re)encuentro entre Artaud y Deleuze, este trabajo trata sobre la "vida" de Artaud, de cómo Artaud perfora la escritura, perforando su cuerpo; de cómo Artaud atraviesa el cuerpo de Deleuze produciendo al mismo tiempo su devenir. Si escribir, en el pensamiento deleuziano, siempre implica escribir con (alguien), escribir con Artaud no significa interpretarlo, comentarlo, sino, atravesar(se) el mismo cuerpo deleuziano
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La literatura en el pensamiento deleuziano, es decir la "literatura menor", es revolucionaria en tanto que posibilita crear nuevas formas de vidas, de percepciones, de resistencias. En este sentido, Deleuze explora y encuentra un particular interés por diferentes escritores como Virginia Woolf, Scott Fitzgerald, Marcel Proust, Franz Kafka, Antonin Artaud, Herman Melville, entre otros. A partir de una reflexión sobre sus textos, Deleuze crea conceptos que juegan dentro de su máquina. Podemos decir que toda la filosofía de Gilles Deleuze está fuertemente atravesada, entre otras cosas, por la literatura. Nuestro trabajo se sitúa en el cruce entre la producción deleuziana y la literatura, más concretamente en el encuentro entre Artaud y Deleuze. A partir del (re)encuentro entre Artaud y Deleuze, este trabajo trata sobre la "vida" de Artaud, de cómo Artaud perfora la escritura, perforando su cuerpo; de cómo Artaud atraviesa el cuerpo de Deleuze produciendo al mismo tiempo su devenir. Si escribir, en el pensamiento deleuziano, siempre implica escribir con (alguien), escribir con Artaud no significa interpretarlo, comentarlo, sino, atravesar(se) el mismo cuerpo deleuziano
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Dissertação de Mestrado em Filosofia Estética
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Dissertação de mestrado em Estética
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Tese apresentada para cumprimento dos requisitos necessários à obtenção do grau de Doutor em Filosofia (especialidade em Ontologia e Filosofia da Natureza)
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Com esta dissertação parte-‐se de uma evolução cronológica do pensamento de Artaud salientando a inequívoca relação entre o autor e a sua obra como uma e a mesma coisa. Artaud procurou sempre uma nova linguagem para o seu teatro, uma linguagem que não tivesse aparência de ficção, que fosse viva. Neste sentido, Wittgenstein emerge nesta relação através das suas considerações acerca da linguagem, espraiando-‐se num sentido mais amplo, a própria vida. Partimos da análise do próprio pensar para a origem e finalidade da criação artística. Na apologia da apresentação em detrimento da representação as palavras parecem ser insuficientes e parte-‐se na busca de uma linguagem sólida, física, que culmina no corpo-‐sem-‐órgãos, conceito desenvolvido por Deleuze. Do corpo liberto, em acção, surge-‐nos agora a palavra-‐sem-‐órgãos, pautada por uma revolução da sintaxe e da gramática; é a linguagem mutável e viva que renasce. Através de Wittgenstein procura-‐se o sentido desta linguagem e a sua receptividade. É nesta íntima relação entre a ética e a estética, na lucidez, na determinação e no rigor com que ambos os autores abordam a linguagem enquanto vida, que vemos espelhada a crueldade, essa força inelutável de viver sempre mais.
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Resum en castellà: Partiendo de la necesidad de dar a conocer un rostro nuevo para Alejandra Pizarnik, que no olvidara el resto pero que se singularizara de ellos, en este ensayo se ha buscado sobre todo trazar un recorrido de lectura diferente, donde la voz de Antonin Artaud resuena como intertexto fundamental, y donde las posibilidades de un cuerpo troceado y resignificado constituyen el escenario exclusivo de un tipo de expresividad que no olvida las existencia de un sujeto doble: mujer y escritora, cuerpo y lenguaje. Resum en català: Partint de la necessitat de donar a conèixer un rostre nou d’Alejandra Pizarnik, que no oblidi la resta però que se singularitzi d’ells, en aquest assaig s’ha buscat sobretot traçar un recorregut de lectura diferent, en elq ue la veu d’Antonin Artaud ressona com a intertexto fonamental, i on les possibilitats d’un cos trossejat i resignificat conformen l’escenari exclusiu d’un tipus d’expressivitat que no oblida l’existència d’un subjecte doble: dona i escriptora, cos i llenguatge.
Resumo:
The subject of this bachelor's thesis has its origins in the frequently asked question of an author; whether any of their own theatrical techniques correlate with those of any well-known theatrical personality. The aim of this bachelor's thesis, consequently, was to find out the true nature of the author as an actor and theatrical professional. The author started to put together a puzzle, from different fields of acting techniques, and came up with a solid picture. Different acting techniques and the basics of them were clarified and tested in practice. Techniques were reflected on, through great personalities in the field of theatre, via discussion. The selected personalities were Jouko Turkka, Antonin Artaud, Konstantin Stanislavski, Kaisa Korhonen and Bertolt Brecht. The toughness and physicality of acting played a strong role in this thesis. "Black pedagogy" was strongly criticized. The methods of Jouko Turkka were thoroughly investigated and, surprisingly to the author, turned out usable, although the author questioned the brutal ways that Turkka used them. The author carried out some of the physical exercises that corresponded to the different acting methods, and did "human tests" to understand the true meaning of the methods. Antonin Artaud abandoned all of his past life and sacrificed himself to art, which the author refuses to even consider it. The author found a soul-mate in Kaisa Korhonen and agreed with most of her methods. Many people who had worked with Kaisa Korhonen were interviewed to find out if she actually used the techniques. The author debated objectivity with Bertolt Brecht but, whereas Brecht saw it as the basis of everything, the author couldn't even consider it a usable technique. The author also had a discussion with Konstantin Stanislavski concerning the basics of acting, the study of singing, dancing and oral expression, and other beneficial skills. In the end, the author put herself on a plate, chopped herself into tiny pieces, started to study the pieces, and found out how she became as she is.