1000 resultados para gestion du risque
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Au Canada, les Commissions d'Examen des Troubles Mentaux de chaque province ont la responsabilit de dterminer les conditions de prise en charge des personnes dclares Non Criminellement Responsables pour cause de Troubles Mentaux (NCRTM) et de rendre, sur une base annuelle une des trois dcisions suivantes: a) dtention dans un hpital, b) libration conditionnelle, ou c) libration absolue. Pour favoriser la rinsertion sociale, la libration conditionnelle peut tre ordonne avec la condition de vivre dans une ressource dhbergement dans la communaut. Parmi les personnes vivant avec une maladie mentale, laccs aux ressources dhbergement a t associ une plus grande stabilit rsidentielle, une rduction de nombre et de la dure de sjours d'hospitalisation ainsi quune rduction des contacts avec le systme judiciaire. Toutefois, laccs aux ressources dhbergement pour les personnes trouves NCRTM est limit, en partie li la stigmatisation qui entoure cette population. Il existe peu dtudes qui traitent du placement en ressources dhbergement en psychiatrie lgale. Pour rpondre cette question, cette thse comporte trois volets qui seront prsents dans le cadre de deux manuscrits: 1) valuer le rle du placement en ressources dhbergement sur la rhospitalisation et la rcidive chez les personnes trouves NCRTM; 2) dcrire les trajectoires de disposition et de placement en ressources dhbergement, et 3) mieux comprendre les facteurs associs ces trajectoires. Les donnes de la province du Qubec du Projet National de Trajectoires dindividus trouvs NCRTM ont t utilises. Un total de 934 personnes trouves NCRTM entre le 1er mai 2000 et le 30 avril 2005 compose cet chantillon. Dans le premier manuscrit, lanalyse de survie dmontre que les individus placs dans un logement indpendant suite une libration conditionnelle de la Commission dExamen sont plus susceptibles de commettre une nouvelle infraction et dtre r-hospitaliss que les personnes en ressources dhbergement. Dans le deuxime article, l'analyse de donnes squentielle a gnr quatre modles statistiquement stables de trajectoires de disposition et de placement rsidentiel pour les 36 mois suivant un verdict de NCRTM: 1) libration conditionnelle dans une ressource dhbergement (11%), 2) libration conditionnelle dans un logement autonome (32%), 3) dtention (43%), et 4) libration absolue (14%). Une rgression logistique multinomiale rvle que la probabilit d'un placement en ressource supervise compar au maintien en dtention est significativement rduite pour les personnes traites dans un hpital spcialis en psychiatrie lgale, ainsi que pour ceux ayant commis un dlit svre. D'autre part, la probabilit dtre soumis des dispositions moins restrictives (soit le logement indpendant et la libration absolue) est fortement associe des facteurs cliniques tels quun nombre rduit d'hospitalisations psychiatriques antrieures, un diagnostic de trouble de l'humeur et une absence de diagnostic de trouble de la personnalit. Les rsultats de ce projet doctoral soulignent la valeur protectrice des ressources en hbergement pour les personnes trouves NCRTM, en plus dapporter des arguments solides pour une gestion de risque chez les personnes trouves NCRTM qui incorpore des lments contextuels de prvention du risque, tel que laccs des ressources dhbergement.
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Ce mmoire vise tablir la complexit de la relation thrapeutique entre linfirmire et le couple en salle daccouchement. Sachant que la relation thrapeutique est essentielle la russite du processus de soins, sa conceptualisation demeure primordiale pour une meilleure comprhension de son impact et pour mener bien les soins. Cette recherche ethnographique a voulu documenter les relations des infirmires avec des couples en salle daccouchement dans un hpital de lle de Montral. Ce mmoire aborde un thme central de lanthropologie : les relations humaines. La question clef de ce mmoire questionne les facteurs qui entravent et qui favorisent la relation thrapeutique entre linfirmire et le couple en salle daccouchement. Cette recherche dmontre des lacunes thoriques qui technicisent la relation thrapeutique et indique que la notion du risque, les normes institutionnelles, lhgmonie du savoir obsttrical et le pouvoir mdical sont des facteurs qui semblent avoir une grande influence dans la relation thrapeutique.
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Depuis les annes 1990, de nombreuses recherches ont port sur le dvoilement de lagression sexuelle chez lenfant et sur les caractristiques y tant associes. Outre les facteurs lis lenfant et au contexte, le type de questions utilis par lintervieweur (notamment les invitations et les questions ouvertes) est une variable dterminante pour le dvoilement de lenfant et la quantit de dtails qui sera fournie entourant lagression sexuelle. Bien que plusieurs enquteurs reoivent une formation sur lutilisation des questions ouvertes dans les entrevues avec les enfants, peu dentre eux utilisent un style de question appropri une fois sur le terrain. Lobjectif de cette recherche vise dterminer si certaines caractristiques personnelles des enquteurs sont associes leur adhsion un protocole dentrevue structur pour lequel ils ont t forms, lutilisation de questions ouvertes dans des entrevues denqute auprs denfants souponns davoir vcu une agression sexuelle et la quantit de dtails dvoils par lenfant lors de ces entrevues. Deux tudes ont t menes pour rpondre cette question. La premire tude a t effectue l'cole nationale de police du Qubec auprs de 24 enquteurs de police ayant suivi une formation d'une semaine visant lapprentissage du protocole dentrevue structur du National Institute of Child Health and Human Development (NICHD). Le genre fminin, les habilets cognitives et le trait de personnalit Ouverture lexprience sont trois caractristiques personnelles qui ont t relies positivement la performance des enquteurs lors dune entrevue simule avec un comdien jouant le rle dun enfant victime dagression sexuelle, tandis que le nombre dannes dexprience et la capacit de gestion du stress de ces enquteurs ont montr une relation ngative avec cette performance. Dans la seconde tude effectue sur le terrain auprs de 13 enquteurs du Service de police de la Ville de Montral, 114 entrevues conduites auprs denfants ayant dvoil une agression sexuelle ont t recueillies et cotes pour mesurer ladhsion au protocole dentrevue du NICHD, le ratio de questions ouvertes et la quantit de dtails dvoils par lenfant par question pose par lenquteur. Lintelligence motionnelle et les traits de personnalit Extraversion, Esprit consciencieux et Agrabilit ont t trouvs comme des caractristiques personnelles positivement associes ladhsion au protocole dentrevue et lutilisation de questions ouvertes, tandis que le nombre dannes dexprience et le trait de personnalit Nvrosisme ont t ngativement associs ces deux critres de performance. Le niveau dhabilets cognitives des enquteurs a quant lui montr une association positive avec la quantit de dtails dvoils par lenfant. La signification et linterprtation de ces rsultats, de mme que les implications potentielles pour la slection et la formation des enquteurs sont finalement discutes.
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Les inondations, comme tous les risques naturels, ont t un thme qui est revenu souvent au long de l'histoire de la gographie franaise, mais toujours et contrairement ce qui se passe dans la gographie anglo-saxonne , en relation la gographie physique. Dans cet article, nous voulons expliquer les raisons de la prsence de la gographie physique dans le traitement du risque d'inondation : nous mettons en relation les diffrents moments de la gographie franaise avec l'analyse du risque d'inondation et rvisons le contenu des rfrences aux inondations entre les gographes ou coles gographiques les plus reprsentatifs
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Notre article aborde la question du rationnement de loffre deau potable dans la capitale jordanienne Amman. Il tudie la gestion publique-prive du rationnement, ainsi que ses impacts socio-conomiques sur les usagers. Si 98 % de la population jordanienne jouit dun raccordement au rseau deau potable, cet accs demeure assujetti une intermittence en quantit et en qualit. Une situation explique par le discours gouvernemental, qui qualifie les villes du pays dassoiffes, par la raret hydrique et la croissance dmographique. Or, ltude du cas dAmman, travers la dlgation, de 1999 2006, de la gestion du service au secteur priv, montre que le rationnement de loffre incombe de faon importante ltat technique du rseau dfaillant, aggrav par les pratiques de connexions illgales et le gaspillage. Cet article met en outre laccent sur les ingalits dans les usages de leau entre pauvres et riches, accrues par le rationnement inadapt aux caractristiques socio-conomiques des mnages. Ainsi, le cot des stratgies alternatives pour un accs adquat leau devient inabordable pour lensemble des familles, confrontes une tarification progressive dont les effets sont pervers, et met en avant le rle discriminatoire du revenu.
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Contexte: La douleur chronique non cancreuse (DCNC) gnre des retombes conomiques et socitales importantes. Lidentification des patients risque lev dtre de grands utilisateurs de soins de sant pourrait tre dune grande utilit; en amliorant leur prise en charge, il serait ventuellement possible de rduire leurs cots de soins de sant. Objectif: Identifier les facteurs prdictifs bio-psycho-sociaux des grands utilisateurs de soins de sant chez les patients souffrant de DCNC et suivis en soins de premire ligne. Mthodologie: Des patients souffrant dune DCNC modre svre depuis au moins six mois et bnficiant une ordonnance valide dun analgsique par un mdecin de famille ont t recruts dans des pharmacies communautaires du territoire du Rseau universitaire intgr de sant (RUIS), de lUniversit de Montral entre Mai 2009 et Janvier 2010. Ce dernier est compos des six rgions suivantes : Mauricie et centre du Qubec, Laval, Montral, Laurentides, Lanaudire et Montrgie. Les caractristiques bio-psycho-sociales des participants ont t documentes laide dun questionnaire crit et dune entrevue tlphonique au moment du recrutement. Les cots directs de sant ont t estims partir des soins et des services de sant reus au cours de lanne prcdant et suivant le recrutement et identifis partir de la base de donnes de la Rgie dAssurance maladie du Qubec, RAMQ (assureur publique de la province du Qubec). Ces cots incluaient ceux des hospitalisations relies la douleur, des visites lurgence, des soins ambulatoires et de la mdication prescrite pour le traitement de la douleur et la gestion des effets secondaires des analgsiques. Les grands utilisateurs des soins de sant ont t dfinis comme tant ceux faisant partie du quartile le plus lev de cots directs annuels en soins de sant dans lanne suivant le recrutement. Des modles de rgression logistique multivaris et le critre dinformation dAkaike ont permis didentifier les facteurs prdictifs des cots directs levs en soins de sant. Rsultats: Le cot direct annuel mdian en soins de sant chez les grands utilisateurs de soins de sant (63 patients) tait de 7 627 CAD et de 1 554 CAD pour les utilisateurs rguliers (188 patients). Le modle prdictif final du risque dtre un grand utilisateur de soins de sant incluait la douleur localise au niveau des membres infrieurs (OR = 3,03; 95% CI: 1,20 - 7,65), la rduction de la capacit fonctionnelle lie la douleur (OR = 1,24; 95% CI: 1,03 - 1,48) et les cots directs en soins de sant dans lanne prcdente (OR = 17,67; 95% CI: 7,90 - 39,48). Les variables sexe, comorbidit, dpression et attitude envers la gurison mdicale taient galement retenues dans le modle prdictif final. Conclusion: Les patients souffrant dune DCNC au niveau des membres infrieurs et prsentant une dtrioration de la capacit fonctionnelle lie la douleur comptent parmi ceux les plus susceptibles dtre de grands utilisateurs de soins et de services. Le cot direct en soins de sant dans lanne prcdente tait galement un facteur prdictif important. Amliorer la prise en charge chez cette catgorie de patients pourrait influencer favorablement leur tat de sant et par consquent les cots assums par le systme de sant.
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Plusieurs facteurs de risque de dveloppement de troubles intrioriss, tels que les troubles danxit et de lhumeur, ont t identifis dans la littrature. Les deux plus importants facteurs de risques regroupent ladversit vcue durant lenfance (par exemple la maltraitance) et le risque parental (cest--dire la prsence dun trouble intrioris chez lun ou les deux parents). Ces facteurs de risque ont t lis des changements neuroanatomiques similaires ceux observs en lien avec les troubles intrioriss. Ainsi, en prsence de ces facteurs de risque, des anomalies anatomiques pourraient laisser prsager lapparition prochaine dune symptomatologie de troubles intrioriss chez des individus encore asymptomatiques. Chez les quelques populations de jeunes investigues, les participants prsentaient des comorbidits et/ou taient sous mdication, ce qui rend difficile linterprtation des atteintes crbrales observes. Ce travail de thse sest intress aux liens entre ces deux facteurs de risque et les substrats neuroanatomiques associs chacun deux, chez des adolescents asymptomatiques et ntant sous aucune mdication. Une premire tude a examin le lien entre le niveau de pratiques parentales coercitives et le niveau de symptmes danxit, mesurs de manire longitudinale depuis la naissance, et les diffrences neuroanatomiques observes ladolescence (voir Chapitre 2). Une deuxime tude a examin le lien entre le risque parental de dvelopper des troubles danxit et les diffrences neuroanatomiques observes ladolescence (voir Chapitre 3). Une troisime tude sest intresse au lien entre le risque parental de dvelopper un trouble de dpression ou un trouble bipolaire et les diffrences neuroanatomiques observes ladolescence (voir Chapitre 4). Les rsultats dmontrent des diffrences de volume et/ou dpaisseur corticale dans plusieurs structures cls impliques dans le traitement et la rgulation des motions. Cest le cas du cortex prfrontal, de lamygdale, de lhippocampe et du striatum. Ces rsultats suggrent que certaines des diffrences neuroanatomiques observes dans les troubles intrioriss peuvent tre prsentes avant que le trouble ne se manifeste, et reprsenter des marqueurs neuronaux du risque de dvelopper le trouble. Les implications thoriques et les limites de ces trois tudes sont finalement discutes dans le Chapitre 5.
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Les dficits cognitifs sont centraux la psychose et sont observables plusieurs annes avant le premier pisode psychotique. Latteinte de la mmoire pisodique est frquemment identifie comme une des plus svres, tant chez les patients quavant lapparition de la pathologie chez des populations risque. Chez les patients psychotiques, ltude neuropsychologique des processus mnsiques a permis de mieux comprendre lorigine de cette atteinte. Une altration des processus de mmoire de source qui permettent dassocier un souvenir son origine a ainsi t identifie et a t associe aux symptmes positifs de psychose, principalement aux hallucinations. La mmoire de source de mme que la prsence de symptmes sous-cliniques nont pourtant jamais t investigues avant lapparition de la maladie chez une population haut risque gntique de psychose (HRG). Or, leur tude permettrait de voir si les dficits en mmoire de source de mme que le vcu dexpriences hallucinatoires sont associs lapparition de la psychose ou sils en prcdent lmergence, constituant alors des indicateurs prcoces de pathologie. Afin dtudier cette question, trois principaux objectifs ont t poursuivis par la prsente thse : 1) caractriser le fonctionnement de la mmoire de source chez une population HRG afin dobserver si une atteinte de ce processus prcde lapparition de la maladie, 2) valuer si des manifestations sous-cliniques de symptmes psychotiques, soit les expriences hallucinatoires, sont identifiables chez une population risque et 3) investiguer si un lien est prsent entre le fonctionnement en mmoire de source et la symptomatologie sous-clinique chez une population risque, linstar de ce qui est document chez les patients. Les rsultats de la thse ont permis de dmontrer que les HRG prsentent une atteinte de la mmoire de source cible lattribution du contexte temporel des souvenirs, ainsi que des distorsions mnsiques qui se manifestent par une fragmentation des souvenirs et par une dfaillance de la mtacognition en mmoire. Il a galement t observ que les expriences hallucinatoires sous-cliniques taient plus frquentes chez les HRG. Des associations ont t documentes entre certaines distorsions en mmoire et la propension halluciner. Ces rsultats permettent didentifier de nouveaux indicateurs cliniques et cognitifs du risque de dvelopper une psychose et permettent de soulever des hypothses liant lattribution de la source interne-externe de linformation et le dveloppement de la maladie. Les implications empiriques, thoriques, mthodologiques et cliniques de la thse sont discutes.
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La transplantation de cellules souches hmatopotiques (CSH) constitue une avenue thrapeutique potentiellement curative pour plusieurs cancers hmatologiques comme la leucmie. Lutilisation dune thrapie immunosuppressive pour prvenir la maladie du greffon contre lhte (GvHD) est un dterminant majeur du succs de la greffe. Malgr tout, cette complication survient chez 25 50% des transplants et est une cause majeure de mortalit. Loptimisation du rgime dimmunosuppression est un facteur facilement modifiable qui pourrait amliorer le pronostic des patients. Particulirement, les polymorphismes du gnome du donneur ou du receveur dans les voies pharmacognomiques des immunosuppresseurs pourraient influencer lexposition et laction de ces mdicaments, de mme que le pronostic du patient. Le profilage de 20 pharmacognes prioritaires chez des paires de donneurs-receveurs en greffe de CSH a permis didentifier des variations gntiques lies au risque de la GvHD aigu. Principalement, le statut gntique du receveur pour les protines ABCC1 et ABCC2, impliques dans le transport du mthotrexate (MTX), ainsi que des cibles molculaires de ce mdicament (ATIC et MTHFR) ont t associes au risque de GvHD aigu. Similairement, le NFATc1, codant pour une cible molculaire de la cyclosporine, augmentait lui aussi le risque de la maladie. Les porteurs de deux gnotypes risque et plus taient particulirement prdisposs dvelopper cette complication. Par surcrot, le statut gntique du donneur influenait galement le pronostic du receveur aprs la greffe. Entre autres, des allles protecteurs ont t identifis dans les voies lies au transport (SLC19A1) et laction du MTX (DHFR). Inversement, NFATc2 a t associ une augmentation du risque de GvHD aigu. Afin de mieux comprendre les associations observes entre ces marqueurs gntiques et le risque de GvHD aigu, une tude prospective innovante est en cours chez des greffs de CSH. Cette tude permettra dtudier comment la gntique du patient ou du donneur peut influencer la pharmacocintique et la pharmacodynamie des immunosuppresseurs, de mme que leurs liens avec la GvHD aigu. Ces paramtres sont quantifis grce des approches analytiques que nous avons mises au point afin de rpondre aux besoins spcifiques et uniques de cette tude. Les approches proposes dans cette thse sont complmentaires aux mthodes classiques de suivi des immunosuppresseurs et pourraient aider optimiser la pharmacothrapie du patient. Une meilleure identification des patients haut risque de GvHD aigu avant la greffe, base sur des marqueurs pharmacognomiques identitaires, pourrait guider le choix de la prophylaxie immunosuppressive, et ainsi amliorer lissue clinique de la greffe.
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Les individus porteurs dune mutation des gnes BRCA1/2 sinquitent gnralement du risque de leurs enfants davoir hrit de la mutation gntique familiale. Malgr labsence davantages mdicaux pour les enfants mineurs et limpossibilit pour eux dtre tests avant dtre adultes, une majorit des parents leur communiquent nanmoins le rsultat du test gntique BRCA1/2. Les parents confronts cette situation disent avoir besoin dtre accompagns dans cette dcision. Lobjectif de ce projet, devis qualitatif, tait de dvelopper un outil daide la dcision lintention des individus porteurs quant la communication du rsultat de test BRCA1/2 leurs enfants mineurs. Dvelopp conformment aux critres de lInternational Patient Decision Aids Standards, le prototype a t valu lors de groupes de discussion et dentrevues individuelles mens auprs de mres porteuses dune mutation des gnes BRCA1/2 (n=9). Des professionnels de la sant lont galement comment (n=3). Une analyse thmatique a t effectue partir des transcriptions des entrevues. Globalement, les rsultats de cette tude suggrent que les mres ne prsentent pas de besoin quant la dcision de communiquer ou non le rsultat BRCA1/2 leurs enfants mineurs, puisquelles semblent dj avoir choisi den parler. Elles dsirent un outil pour les prparer et les aider communiquer linformation leurs enfants. La vise de loutil a donc t modifie afin de rpondre aux besoins des mres. Loutil daide la communication est prsent sous la forme dun livret. Il comprend les avantages et les inconvnients de communiquer, des tapes afin de sy prparer, des conseils et des tmoignages de parents. Dautres tudes seront ncessaires afin dvaluer leffet de cet outil pour les parents porteurs dans leur processus de communication.
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Cette recherche a pour objectif de mesurer la valeur marginale estime par les investisseurs canadiens la suite de lajout de 1 dollar dencaisse, pour la priode trimestrielle stalant de 2001 2013. Autrement dit, nous tentons dvaluer si linvestisseur dprcie, estime sa juste valeur nominale ou apprcie la valeur de 1 dollar de trsorerie, et ce travers son impact sur la valeur marchande de lquit. Paralllement, nous tentons danalyser linfluence des variables lies la rentabilit, le financement, la croissance et le risque sur la valeur que place linvestisseur lajout de 1 dollar dencaisse. Leffet sectoriel sera notamment explor sur lensemble de ces priodes. Des tudes passes ont dmontr quil existe une asymtrie entre la valeur nominale de 1 dollar dencaisse et celle estime par les investisseurs. Plus prcisment que lajout de 1 dollar de liquidit est valu prime. Somme toute, ces analyses affinent leurs rsultats en tenant compte de linfluence des autres variables telles que mentionnes plus haut, afin de dterminer celles qui entranent une apprciation de lencaisse de celles qui conduisent sa dprciation. Nous avons conclu quen moyenne la valeur marginale de 1 dollar de liquidit est value 2,13$ par les investisseurs. Nous avons galement pu prouver que les anticipations des investisseurs et le risque total influencent significativement cette estimation. Pour tenter de mesurer la valeur que place linvestisseur lajout de 1 dollar dencaisse, nous avons utilis la mthodologie de Pinkowitz et Williamson (2002). Ce faisant, nous avons dans un premier temps mesur limpact net de lencaisse sur la valeur marchande de lquit en limant du modle les variables tenant compte des variations trimestrielles t-2 et t+2. Lhypothse vrifier en ce qui concerne limpact net de lencaisse est quil existe une asymtrie significative entre la valeur de 1 dollar et celle estime par linvestisseur qui nest pas uniquement provoque par linfluence des variations passes et futures de lencaisse. Les rsultats obtenus nous ont permis de prouver que la valeur de 1 dollar dencaisse est apprcie par linvestisseur, et ce malgr la suppression ou la prsence des variables tenant compte des variations. Dans la mme lign, nous avons pu dmontrer que, conjointement lencaisse au temps t, seules les variations lies aux anticipations des investisseurs impactaient significativement la valeur marchande de lquit. En ce qui concerne le risque dont lanalyse sest effectue en dissociant le risque systmatique du risque systmique. Lhypothse vrifier est quune augmentation du risque systmatique entrane une augmentation de la valeur de lencaisse estime par linvestisseur. Les rsultats obtenus viennent appuyer cette affirmation. Quant au risque systmique, lhypothse vrifier tente affirmer quen priode de crise lencaisse est sous-estime par linvestisseur et son impact sur la VME non significatif. Nos rsultats nous conduisent dmontrer que pour la crise financire de 2006, cette hypothse est justifie, mais nous ne permettent pas de la vrifier pour chaque crise. Finalement, nous tenions vrifier que dpendamment du secteur tudi, lencaisse pouvait tre plus apprcie par les investisseurs. Or, nos rsultats ont montr quen prsence de la liquidit aucun secteur ne se distingue significativement de ses pairs.
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La biodiversite et les ecosystemes font parties dun ensemble qui confere des biens et services essentiels a la survie et au bien-etre des populations. Laction humaine et ses interactions avec lenvironnement generent des pressions qui le poussent vers sa degradation. Afin deviter la perte irremediable delements de cet environnement, des aires protegees viennent reduire de maniere importante limpact de ces pressions sur le territoire quelles couvrent. Le reseau daires protegees du Quebec conserve actuellement 9,32 % du territoire, et cherche a atteindre 12 % dici 2020. Base sur le Cadre ecologique de reference du Quebec, il vise a representer lensemble de la biodiversite de la province et a reduire les pressions exercees sur ses ecosystemes. A ce jour, la majorite des aires protegees sont developpees dans le nord du Quebec et en terres publiques. Or, le Sud est principalement compose de territoires prives, et recele de la plus grande biodiversite de la province. Afin de corriger cette problematique, les outils de planification du reseau doivent etre repenses pour rendre compte de lurgence de proteger les territoires du Sud et recreer une connectivite dans le paysage fragmente, tout en conservant les principes de representativite et defficacite qui font leur force. Pour y parvenir, la mission et les parametres de suivi du reseau doivent etre egalement revus. Les acteurs locaux, dont les municipalites regionales de comtes et les municipalites, doivent etre mis a profit pour considerer les enjeux propres aux terres privees du sud de la province. Ces derniers possedent deja plusieurs outils legaux et administratifs pour participer activement a la protection du territoire, qui sont cependant souvent mal connus ou mal compris. Un effort doit etre fait pour agencer ces actions avec celles du gouvernement provincial de maniere a agir dans une logique densemble. De meme, tous les intervenants gagneraient a disposer de meilleurs outils concernant la diffusion des donnees sur la connaissance du territoire, notamment dune plateforme centralisee, de protocoles dacquisition de donnees standardises et dune saine gestion du cycle de vie de ces donnees. Lapplication de la geomatique dans la planification et le suivi du reseau daires protegees, de meme que dans lamenagement general du territoire pour la conservation et pour la diffusion des donnees, presente des avantages qui devraient etre integres plus largement au Quebec, notamment par les acteurs locaux du sud de la province.
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Lentreprise Rio Tinto effectue la gestion du systme hydrique de la rivire Nechako, situ en Colombie-Britannique (Canada), partir de rgles de gestion optimises laide dun algorithme de programmation dynamique stochastique (PDS) et de scnarios dapports historiques. Les rcents dveloppements en recherche oprationnelle tendent dmontrer que la mise jour des rgles de gestion en mode prvisionnel permet damliorer la performance des rgles de gestion lorsque des prvisions densemble sont utilises pour mieux cerner les incertitudes associes aux apports venir. La modlisation hydrologique permet de suivre lvolution dun ensemble de processus hydrologiques qui varient dans le temps et dans lespace (rserve de neige, humidit du sol, etc.). Lutilisation de modles hydrologiques, en plus doffrir la possibilit de construire des prvisions densemble qui tiennent compte de lensemble des processus simuls, permet de suivre lvolution de variables dtat qui peuvent tre utilises mme lalgorithme doptimisation pour construire les probabilits de transition utiles lvaluation de la valeur des dcisions futures. partir dun banc dessais numriques dans lequel le comportement du bassin versant de la rivire Nechako est simul laide du modle hydrologique CEQUEAU, les rsultats du prsent projet dmontrent que la mise jour des rgles avec lalgorithme de PDS en mode prvisionnel permet une amlioration de la gestion du rservoir Nechako lorsque compare aux rgles optimises avec lalgorithme en mode historique. Le mode prvisionnel utilisant une variable hydrologique combinant un modle autorgressif dordre 5 (AR5) et la valeur maximale de lquivalent en eau de la neige (ENM) a permis de rduire les dversements non-productifs et les inondations tout en maintenant des productions similaires celles obtenues laide de rgles optimises en mode historique utilisant lENM comme variable hydrologique. De plus, les rsultats du projet dmontrent que lutilisation de prvisions hydrologiques densemble en mode historique pour construire une variable hydrologique permettant dmettre une prvision du volume dapport mdian pour les huit mois venir (PVAM) ne permettait pas dobtenir des rsultats de gestion suprieurs ceux obtenus avec la variable dENM.
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Le prsent essai explique la conception dun dispositif dautoformation visant amliorer le dveloppement de la comptence de mise jour continue des savoirs chez les tudiantes et les tudiants du programme Techniques dintgration multimdia. Lide de ce dispositif prend racine dans des proccupations en lien avec le dveloppement des comptences du 21e sicle et la mise en place de plans de littratie numrique travers le monde afin de relever les comptences chez la citoyenne et le citoyen qui on demande de sadapter, apprendre et matriser les changements de manire rapide et efficiente (OCDE, 2000). La littratie numrique regroupe les comptences associes aux savoir-faire relis lutilisation des technologies, mais aussi aux savoir-tre ncessaires leur utilisation critique et thique, en plus de savoir-apprendre ncessaires une utilisation innovante et crative de ces mmes technologies. Cest ce savoir apprendre qui nous intresse particulirement dans le contexte o les tudiantes et les tudiants du programme Techniques dintgration multimdia sont confronts des exigences leves et constantes de mise jour continue de leurs savoirs. Le cadre de rfrence de notre essai permet didentifier les comptences et les habilets qui sont en lien avec le dveloppement de la comptence de mise jour continue des savoirs dans quatre plans de littratie numrique internationaux et nationaux, dont Le profil TIC des tudiants du collgial propos par le Rseau REPTIC (2015). Nous tayons ensuite la dfinition de la mise jour continue des savoirs grce aux travaux fondateurs de Knoles (1975), Straka (1997a), Carr (1997), Long (1988), Foucher (2000) et Tremblay (2003) qui sintressent aux concepts de l apprentissage autodirig et de l autoformation . De ces deux concepts, nous dgageons trois dimensions principales considrer afin damliorer le dveloppement de la mise jour continue des savoirs: la dimension sociale, la dimension psychologique et la dimension pdagogique. Premirement, pour la dimension sociale, nous rfrons aux enjeux contemporains du dveloppement de la littratie numrique et au concept de sujet social apprenant support par les travaux de Roger (2010) et de Piguet (2013). Deuximement, la dimension psychologique renvoie aux aspects motivationnels appuys par la thorie de lautodtermination de Deci et Ryan (2000) et aux aspects volitionnels supports par la thorie de lautorgulation de Zimmerman (1989). Finalement, pour la dimension pdagogique nous prsentons la thorie du socioconstructivisme, la perspective pdagogique du connectivisme (Siemens, 2005) et la classification des stratgies dapprentissage propose par Boulet, Savoie-Zajc et Chevrier (1996). Nous poursuivons notre rflexion thorique en considrant divers modes dapprentissage laide des outils du Web 2.0 dont les blogues, les communauts et lapprentissage en rseau. Nous concluons notre cadre de rfrence par la prsentation du systme dapprentissage de Paquette (2002), du modle des sept piliers de lautoformation de Carr (1992, 2005) auxquels nous superposons les recommandations de Debon (2002) et finalement la prsentation du modle dingnierie pdagogique ADDIE de Lebrun (2007), tous quatre utiles lapplication dun processus systmique de dveloppement de notre dispositif dautoformation. Notre recherche dveloppement sinscrit dans un paradigme interprtatif avec une mthodologie qualitative. Les collectes de donnes ont t effectues auprs dtudiantes et dtudiants du programme Techniques dintgration multimdia. Ces participantes et participants volontaires ont t utiles la tenue dun groupe de discussion en cours dimplantation et dun questionnaire lectronique utile lvaluation du dispositif dautoformation. la lumire de nos rsultats, nous pensons que notre dispositif dautoformation permet datteindre son objectif damliorer le dveloppement de la comptence de mise jour continue des savoirs des tudiantes et des tudiants du programme Techniques dintgration multimdia. Linterprtation de nos rsultats permet daffirmer que notre dispositif dautoformation, conu par lapplication dun processus systmique fidle aux constats dgags par notre cadre de rfrence, permet de couvrir les trois dimensions que nous avons identifies comme essentielles lautoformation, soit la dimension sociale, la dimension psychologique et la dimension pdagogique, mais surtout de confirmer leur relle importance dans le dveloppement de la comptence de la mise jour continue des savoirs. Tel que nous le prsentons dans notre cadre de rfrence, nous constatons que la dimension sociale dclenche les processus motivationnels et volitionnels qui sont propres la dimension psychologique de lapprentissage autodirig ou de lautoformation. Nous sommes mme de constater quil existe en effet un lien entre la dimension sociale et la thorie de la motivation autodtermine qui accorde une importance aux facteurs sociaux qui facilitent la motivation en rpondant des besoins psychologiques fondamentaux. De plus, nous constatons que les outils dvelopps dans le cadre de notre essai, tels que le plan de travail et le rapport de temps, jouent un rle dautorgulation crucial pour les tudiantes et les tudiants dans leur processus de surveillance et dajustement cognitif tel par la fixation dobjectifs, lauto-valuation, lajustement stratgique de ses mthodes dapprentissage et la gestion du temps quils permettent. Nous pensons que notre essai prsente des retombes pour le programme Techniques dintgration multimdia principalement en lien avec des pistes concrtes damlioration de la comptence de mise jour continue des savoirs pour les tudiantes et les tudiants du programme et le dveloppement dune expertise dans lapplication rigoureuse dune ingnierie pdagogique pour le dveloppement futur de diffrents dispositifs dapprentissage. Nous identifions deux perspectives de recherches futures en lien avec notre essai. Premirement, nous pensons quil serait intressant dexplorer la capacit heuristique de lapprentissage en rseau dans une perspective sociale, psychologique et pdagogique de lautoformation, linstar des travaux de Henri et Jeunesse (2013). Deuximement, nous pensons quil serait intressant damliorer le dveloppement de la littratie numrique sous ses aspects de crativit et dinnovation dans un contexte o notre programme denseignement outille nos tudiantes et nos tudiants une utilisation experte des technologies, leur permettant ainsi de mettre ces comptences contribution dans une exploitation crative et innovante des technologies.
Resumo:
Contexte: La douleur chronique non cancreuse (DCNC) gnre des retombes conomiques et socitales importantes. Lidentification des patients risque lev dtre de grands utilisateurs de soins de sant pourrait tre dune grande utilit; en amliorant leur prise en charge, il serait ventuellement possible de rduire leurs cots de soins de sant. Objectif: Identifier les facteurs prdictifs bio-psycho-sociaux des grands utilisateurs de soins de sant chez les patients souffrant de DCNC et suivis en soins de premire ligne. Mthodologie: Des patients souffrant dune DCNC modre svre depuis au moins six mois et bnficiant une ordonnance valide dun analgsique par un mdecin de famille ont t recruts dans des pharmacies communautaires du territoire du Rseau universitaire intgr de sant (RUIS), de lUniversit de Montral entre Mai 2009 et Janvier 2010. Ce dernier est compos des six rgions suivantes : Mauricie et centre du Qubec, Laval, Montral, Laurentides, Lanaudire et Montrgie. Les caractristiques bio-psycho-sociales des participants ont t documentes laide dun questionnaire crit et dune entrevue tlphonique au moment du recrutement. Les cots directs de sant ont t estims partir des soins et des services de sant reus au cours de lanne prcdant et suivant le recrutement et identifis partir de la base de donnes de la Rgie dAssurance maladie du Qubec, RAMQ (assureur publique de la province du Qubec). Ces cots incluaient ceux des hospitalisations relies la douleur, des visites lurgence, des soins ambulatoires et de la mdication prescrite pour le traitement de la douleur et la gestion des effets secondaires des analgsiques. Les grands utilisateurs des soins de sant ont t dfinis comme tant ceux faisant partie du quartile le plus lev de cots directs annuels en soins de sant dans lanne suivant le recrutement. Des modles de rgression logistique multivaris et le critre dinformation dAkaike ont permis didentifier les facteurs prdictifs des cots directs levs en soins de sant. Rsultats: Le cot direct annuel mdian en soins de sant chez les grands utilisateurs de soins de sant (63 patients) tait de 7 627 CAD et de 1 554 CAD pour les utilisateurs rguliers (188 patients). Le modle prdictif final du risque dtre un grand utilisateur de soins de sant incluait la douleur localise au niveau des membres infrieurs (OR = 3,03; 95% CI: 1,20 - 7,65), la rduction de la capacit fonctionnelle lie la douleur (OR = 1,24; 95% CI: 1,03 - 1,48) et les cots directs en soins de sant dans lanne prcdente (OR = 17,67; 95% CI: 7,90 - 39,48). Les variables sexe, comorbidit, dpression et attitude envers la gurison mdicale taient galement retenues dans le modle prdictif final. Conclusion: Les patients souffrant dune DCNC au niveau des membres infrieurs et prsentant une dtrioration de la capacit fonctionnelle lie la douleur comptent parmi ceux les plus susceptibles dtre de grands utilisateurs de soins et de services. Le cot direct en soins de sant dans lanne prcdente tait galement un facteur prdictif important. Amliorer la prise en charge chez cette catgorie de patients pourrait influencer favorablement leur tat de sant et par consquent les cots assums par le systme de sant.
