355 resultados para Descartes
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Ce mémoire analysera une des thèses majeures de l’œuvre d’Emmanuel Levinas, à savoir le primat de l’éthique sur l’ontologie. L’argumentation se penchera surtout sur la description phénoménologique de l’approche de l’altérité, incarnée dans la concrétude du visage du prochain et dans laquelle se retrouve l’idée de l’infini, inspirée dans sa formulation de Descartes. Cette idée, n’étant pas qu’un simple concept mais plutôt une réalité phénoménale transcendante, amène Levinas à questionner le rôle de la conscience thématisante dans l’expérience morale, caractérisée par son immédiateté et par la présence d’un Autre. Est-ce que l’essentiel de la conscience se comprend comme liberté et savoir ? Y aurait-il un autre aspect, oublié par la rationalité que Levinas qualifie de grecque, qui serait plus propre à décrire la conscience ? L’ontologie ne repose-t-elle pas sur une conception de l’homme comme un sujet autonome et en contrôle ? Par ses fines analyses plutôt ontologiques dans Totalité et infini, et par sa prose plus déconstructrice d’Autrement qu’être, ou au-delà de l’essence, Levinas ébranle les fondations du sujet moderne tout en ramenant au centre des préoccupations philosophiques une idée que la tradition occidentale a eu tendance à évacuer, c’est-à-dire l’altérité. Et cette altérité, irréductible aux concepts immanents de la conscience d’un sujet, est ce qui justifie le primat de l’éthique, posant devant le je un tu qui appelle et demande une responsabilité absolue. Plusieurs auteurs et commentateurs seront mis à contribution, dont surtout Husserl et Heidegger, ainsi que S. Critchley, B. Bergo, J.-M. Salanskis et Jacques Roland.
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Très peu d’études ont été consacrées à l’œuvre de la romancière française Lydie Salvayre, dont le premier roman a paru en 1990. Il me semble pertinent de me pencher plus sérieusement sur son travail, qui manifeste une véritable exigence d’écriture. Un trait de l’œuvre de Salvayre m’intéresse plus spécifiquement : son rapport à l’héritage. J’envisage ce rapport à la fois dans la thématique, dans l’écriture et dans la forme de deux de ses romans, soient La Puissance des mouches (1995) et La Méthode Mila (2005). Dans chacun de ces deux romans, le narrateur a un rapport trouble à la fois avec son héritage familial et avec son héritage culturel, plus spécialement celui de la philosophie et de la satire classiques. Tiraillé entre le monde du quotidien (trivial) et le monde des idées (sublime), le personnage cherche une issue : il cherche comment vivre. Dans La Puissance des mouches, le narrateur voue une haine à son père et avoue un amour pour Pascal. Dans La Méthode Mila, il est déchiré entre sa mère sénile dont il a la charge et Descartes dont il est obsédé. J’étudierai comment se vit cette déchirure et comment le texte la travaille. La façon dont l’auteure met l’héritage en éclats — elle pastiche, bouscule, malmène, détourne les classiques — n’a rien du respect servile. Cette manière d’hériter, de rompre avec l’évidence d’une continuité avec le passé, pose une question essentielle : comment hériter aujourd’hui, et pourquoi ?
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Quello che mi propongo in queste pagine è una breve analisi del debito che Levinas ha nei confronti di Cartesio per quanto concerne l'elaborazione del concetto di infinito in « Totalità e infinito ». [...]
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Vuillemin a toujours lu Descartes comme un intuitionniste avant la lettre, si l’on entend par « intuitionniste » un mathématicien qui adopte la philosophie de Brouwer et la logique de Heyting. On se propose dans l’Introduction et la première section de cet article de montrer que cette lecture que Vuillemin fait de Descartes est parfaitement justifiée en expliquant pourquoi les Méditations peuvent être lues comme une application de la logique intuitionniste. La seconde et la troisième section sont respectivement consacrées à l’analyse logique de la preuve du Cogito (Méditation seconde) et de la première preuve de l’existence de Dieu (Méditation troisième). On montre que les deux preuves fondamentales des Méditations métaphysiques de Descartes sont toutes les deux valides en logique intuitionniste. Du point de vue logique, la première preuve de l’existence de Dieu que donne Descartes pourrait être considérée comme un progrès par rapport à la preuve d’Anselme qui est concluante en logique classique mais qui échoue en logique intuitionniste. Cependant on nuance ce jugement en conclusion en insistant sur le fait que le concept de Dieu sur lequel Descartes fonde sa preuve est indiscutablement un élément réaliste et non constructif.
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La présente étude a pour but d’examiner le rapport de la philosophie cartésienne à la méditation dévotionnelle chrétienne. Une perspective nouvelle s’ouvre en effet dès lors que l’on considère les liens qui unissent la pensée de Descartes à la spiritualité de son temps, marquée par le courant dévotionnel (représenté notamment par la spiritualité ignacienne et l’École française de spiritualité). Cette présentation, centrée sur les Méditations touchant la première philosophie, doit permettre d’évaluer et, le cas échéant, de consolider les preuves qui soutiennent qu’une telle liaison existe – avec pour corollaire d’accorder entre elles les hypothèses d’une influence ignacienne et d’une influence augustinienne.
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A medida que pasa el tiempo; la ciencia, el desarrollo tecnológico y la constante búsqueda de encontrar nuevas verdades, más fehacientes y que logren responder más asertivamente los diferentes cuestionamientos de la humanidad, han logrado redefinir las teorías y los axiomas que, en su momento, se tomaron como el dogma a seguir en diferentes disciplinas y cuestionamientos de la sociedad y la industria. La concepción tradicional que se tiene de la mente y el comportamiento del consumidor tenía vacios importantes en términos de aplicabilidad y generalización de sus teorías, pues pensar que la humanidad desarrolla sus decisiones de compra bajo análisis netamente racionales y apegados a estructuras temporales para manejar su dinero es un supuesto que no se emplea de manera general y concienzuda por el común. Antes que agentes 100% racionales, con un completo flujo de información y en un mercado perfecto bajo todos los preceptos económicos, somos personas de sentimientos y sentidos. Reaccionamos ante situaciones, estados de ánimo y estímulos, donde es nuestro cerebro quien recibe todo el contexto cognitivo que nos brinda el entorno y entonces actúa (y compra) de diferentes maneras. Es allí donde el Neuromarketing nace como un claro ejemplo de esa búsqueda por una nueva verdad. Una donde entender al consumidor no deje de lado su faceta más real; sus reacciones, pues son estas las que realmente definen qué le gusta o no y qué despierta en él un impulso lo suficientemente importante como para incidir en su decisión de compra. Es por ello que el Neuromarketing se ha adentrado a estudiar lo más profundo y verídico del consumidor, su cerebro. Alejándose de las técnicas tradicionales de investigación de mercados, donde el consumidor puede desvirtuar la información que percibe de un producto o una campaña publicitaría por diferentes razones sociales y psicológicas. El Neuromarketing se ha adentrado al estudio del consumidor y su cerebro mediante técnicas biométricas, en las cuales expone al consumidor al marketing y analiza sus reacciones cerebrales en términos de interés, adrenalina, memoria activa y sentimientos, apoyado por técnicas como el ¨eye tracking¨, donde las interacciones visuales del consumidor permiten identificar los puntos calientes y de interés en determinada pieza publicitaria. Pero el estudio, entendido por algunos como ¨invasivo¨ frente a las libertades en términos de privacidad y libertad de elección del consumidor deben ser responsablemente dirigidos y puestos bajo un contexto científico, donde el único fin sea el de generar nuevas hipótesis y teorías que permitan tener un mejor conocimiento del comportamiento del consumidor sin traspasar los límites del control del mismo. El Neuromarketing debate su existencia misma entre la creación de nuevas metodologías de acercamiento al pensamiento del consumidor, la efectividad de sus conocimiento dados a la industria y el yugo social que acarrea esta ciencia debido a la potencial coerción a los consumidores debido a sus hallazgos.
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Este ensayo versa sobre el deporte como una de las instituciones más poderosas e influyentes en la sociedad actual. En él la exigencia por el máximo rendimiento aunada a la enorme importancia dada al ganar y al espectáculo es aceptada y celebrada. Estos factores confluyen para que la mejora de las capacidades humanas sea objeto de continua búsqueda y para tal fin el inobjetable papel de la tecnología ha sido admitido sin mayores resistencias. La evolución ya no desempeña de forma exclusiva esa tarea y la tecnología ha pasado a compartir el proceso, acelerando de forma dramática el rediseño de la especie ofreciendo un prometedor escenario. Naturalmente en el mismo deporte es posible encontrar excepciones a este arrollador influjo.
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Los hechos ocurridos durante el 11 de septiembre de 2001 se constituyeron como un momento fundamental en los intentos de conceptualización del terrorismo internacional dentro de la disciplina de las Relaciones Internacionales. A raíz del 9/11 tuvo lugar la resemantización del concepto de terrorismo internacional en función del terrorismo religioso y del fundamentalismo islámico. Lo anterior, marco una ruptura en el campo de experiencia y en el horizonte de expectativas del concepto mismo, pues este último adquirió un nuevo uso discursivo, y por ende, político. Por eso, ante la necesidad de emprender un análisis discursivo de los usos del concepto de terrorismo internacional, se evidencia cómo al estar inmersos en determinados juegos del lenguaje, el uso discursivo de este concepto termina por convertirse en una herramienta de acción política que promueve una forma de vida.
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Resumen tomado de la publicaci??n. Incluye im??genes de capturas de pantalla del ordenador de las herramientas comentadas
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El estudio de la neurología y la psiquiatría se consideró casi por 2000 años como una ciencia única, donde el estudio anatomo-patológico del sistema nervioso iba de la mano con la investigación de la conducta, basándose en el precepto teórico propuesto por Hipócrates que postulaba al cerebro como el origen de la conducta. Sin embargo, no sería sino hasta el siglo XV donde el filósofo y matemático francés René Descartes, propone su teoría dualista de mente y cuerpo, considerando a estas dos entidades como distintas e independientes, dando origen a una forma de pensamiento que hasta el día de hoy genera debate. Esta dicotomía sería más evidente en el siglo XIX con el grupo de la Salpetriere en París, cuna tanto de neurólogos como de psiquiatras dirigidos bajo la batuta de Charcot y sus investigaciones sobre la histeria, posicionándose como un representante igualmente importante en estas dos ciencias, que a partir de allí tomarían caminos cada vez más divergentes, unos centrando su objeto de estudio en enfermedades del sistema nervioso que comprometen la cognición y el comportamiento, los cuales se manifiestan somáticamente (eventos cerebrovasculares, enfermedad de Parkinson, esclerosis múltiple, entre otros); mientras que otros centrarían sus investigaciones en trastornos del afecto y del pensamiento, sin importar que estas presenten o no síntomas somáticos.
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En la literatura sobre las emociones, una de las teorías con mayor fuerza es la llamada teoría James-Lange. Este texto intenta hacer una crítica a esta teoría a partir de algunas observaciones de Wittgenstein sobre el uso de conceptos psicológicos, sacando a la luz dos confusiones gramaticales que surgen en ella. Para ello, se construye primero la categoría de «programa de naturalización de las emociones» que recoge las teorías de Descartes, James y Prinz, siguiendo la metodología de Lakatos. Luego, se identifica como problema central el de la naturalización de la intencionalidad. Con esto en mente, se exponen algunas herramientas wittgensteinianas para estudiar la gramática de la pregunta por el objeto y la intencionalidad de las emociones, mostrando que las respuestas del programa de naturalización no son satisfactorias y no respetan las reglas de ciertos usos de lenguaje.
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El espacio es una noción ineludible de la experiencia humana pero difícil de dilucidar. Su existencia misma es cuestionable. Hay entornos, emplazamientos, territorios, ambientes, ciudades, campos, paisajes, superficies, interiores y exteriores, términos todos que remiten al espacio pero no lo definen. De hecho, hay una dificultad epistémica en la posibilidad de definirlo: todos estos términos y otros sinónimos remiten a lugares específicos en donde es posible encontrar un conjunto de cosas que de una u otra manera se relacionan entre sí; todos ellos cabrían dentro de la categoría espacio pero cada uno no puede ser sustituido por el otro; y, es más, cada uno tiene su definición específica que incluso puede llegar a ser un caso opuesto al de otra. El espacio sería una categoría que abarcaría conjuntos de cosas cuyas definiciones podrían ser opuestas entre sí. ¿Qué puede relacionar el espacio de la ciudad con el espacio del paisaje? ¿Qué condiciones de definición comparten un territorio estatal y un interior arquitectónico? ¿Bajo qué criterio se puede hablar de espacio tanto en el caso de la superficie pictórica como en el de la superficie del cuerpo enfermo? Los siglos XVII y XVIII problematizaron el concepto de espacio desde diferentes ángulos. Al menos dos pueden ser señalados con facilidad. Por una parte, la física clásica planteó un espacio de dimensiones controladas donde sería posible medir los fenómenos del mundo físico. Es un espacio absoluto que abstrae las condiciones variables que circunscriben los fenómenos dados a una mirada no científica, en el cual, por ejemplo, dos objetos de pesos disímiles caen a la misma velocidad, en el que los objetos pueden permanecer en un movimiento continuo y en el que pueden definirse las relaciones de vectores con una exactitud geométrica. Por otra parte, la filosofía de Descartes a Kant ha esquematizado un espacio epistémico que define las condiciones de posibilidad del conocimiento del mundo exterior, ya sea mediante la afirmación de la extensionalidad de un espacio cuyas dimensiones pueden ser diagramadas geométricamente, o ya como una condición necesaria y a priori de la percepción de las cosas que relativiza sus posiciones de acuerdo al punto de vista del observador. Ambos desarrollos ampliaron considerablemente la posibilidad de hablar sobre el espacio y definirlo.
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Los grandes aportes generados por las antiguas civilizaciones y los filósofos más destacados a lo largo del tiempo, permiten entender la procedencia de algunos términos de los que hoy en día se hace uso. Estas contribuciones comienzan a través de la concepción del término tiempo, desde la antigüedad hasta los tiempos modernos, las cuales conllevan a entender que el tiempo es aquel que define la durabilidad de las cosas. De acuerdo a esto, se propone un acercamiento sobre el origen del término perdurabilidad, el cual será la base de la presente investigación. Entender la procedencia del término y el uso que se le da a sí mismo, facilita la aplicación el ámbito empresarial; el cual, a partir de diferentes posturas de autores nacionales e internacionales y basados en los parámetros que ha establecido la Universidad del Rosario, se establece un marco teórico de apoyo para futuras investigaciones dedicadas a la perdurabilidad empresarial. Asimismo, se establecen o se plasman algunos principios o factores de éxito que ayudan a que una empresa logre traspasar fronteras en tiempo y en rentabilidad; es decir que no solo permanezca muchos años en el mercado, sino que además se mantenga en constante crecimiento y rentabilidad.
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El presente ensayo explora un concepto de ‘nosotros’ que sin rechazar el uso gramatical de la enunciación se enfoca en la pragmática que le subyace, desde la cual las condiciones de colectividad y exclusividad del enunciado se confrontan con su alteridad ontológica fundamental. A la luz de la tesis sobre la antropología postestructural del etnólogo brasilero Eduardo Viveiros de Castro, se examinan, de un lado, la necesidad de enunciar al ‘nosotros’ en su calidad de radical diferenciador y, de otro, la imposibilidad de constituirlo sustancialmente en tanto remite inexorablemente a la otredad. En la primera parte, se expone que las teorías socioculturales no triviales de la antropología son realmente una coproducción entre el antropólogo y la comunidad estudiada. En segunda instancia, se presenta el modo por el cual el ‘nosotros’ da lugar a una diferencia irreductible no sólo previa al Mismo, sino esencial y afirmativa. En tercer lugar, se plantea una colectividad inmanente caracterizada por la multiplicidad que permanece por debajo de cualquier enunciación organizativa del ‘nosotros’ y compuesta por la alteridad maquínica. A modo de conclusión, el ensayo afirma al ‘nosotros’ en su devenir en cuanto un-otro-por-venir, el cual funciona como acto político existencial.
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Analizar y valorar el aparato conceptual creado por Hegel, y también en el ámbito espiritual que caracteriza a las sociedades modernas, sociedades con aparato de Estado central fijo, poder global e instituciones políticas especializadas