Current evidence on integrated treatment for serious mental disorder and substance misuse

Substance misuse in people with serious mental disorders is common and has a wideranging negative impact. The multiplicity of problems suggests that this comorbidity is better conceptualized as a type of complex disorder than by ‘dual diagnosis’. Problems with sequential and parallel treatments have led to the development of integrated approaches, with one practitioner or team addressing both the substance use and mental disorder. These treatments are typically characterized by motivation enhancement, minimizing treatment-related stress, emphasizing harm reduction as well as abstinence, and assertive outreach. A review of published randomized trials demonstrates that superior effects to controls are rarely consistent across treatment foci and over time. While motivational interventions assist engagement, more intervention is usually required for integrated treatment programs to improve long-term outcomes more than control conditions. More intensive case management does not consistently improve impact, but extended cognitive-behavioral therapies have promise. Suggestions for maximizing treatment effects and improving research evidence are provided.

Housing trajectories of individuals found not criminally responsible on account of mental disorder.

Au Canada, les Commissions d'Examen des Troubles Mentaux de chaque province ont la responsabilité de déterminer les conditions de prise en charge des personnes déclarées Non Criminellement Responsables pour cause de Troubles Mentaux (NCRTM) et de rendre, sur une base annuelle une des trois décisions suivantes: a) détention dans un hôpital, b) libération conditionnelle, ou c) libération absolue. Pour favoriser la réinsertion sociale, la libération conditionnelle peut être ordonnée avec la condition de vivre dans une ressource d’hébergement dans la communauté. Parmi les personnes vivant avec une maladie mentale, l’accès aux ressources d’hébergement a été associé à une plus grande stabilité résidentielle, une réduction de nombre et de la durée de séjours d'hospitalisation ainsi qu’une réduction des contacts avec le système judiciaire. Toutefois, l’accès aux ressources d’hébergement pour les personnes trouvées NCRTM est limité, en partie lié à la stigmatisation qui entoure cette population. Il existe peu d’études qui traitent du placement en ressources d’hébergement en psychiatrie légale. Pour répondre à cette question, cette thèse comporte trois volets qui seront présentés dans le cadre de deux manuscrits: 1) évaluer le rôle du placement en ressources d’hébergement sur la réhospitalisation et la récidive chez les personnes trouvées NCRTM; 2) décrire les trajectoires de disposition et de placement en ressources d’hébergement, et 3) mieux comprendre les facteurs associés à ces trajectoires. Les données de la province du Québec du Projet National de Trajectoires d’individus trouvés NCRTM ont été utilisées. Un total de 934 personnes trouvées NCRTM entre le 1er mai 2000 et le 30 avril 2005 compose cet échantillon. Dans le premier manuscrit, l’analyse de survie démontre que les individus placés dans un logement indépendant suite à une libération conditionnelle de la Commission d’Examen sont plus susceptibles de commettre une nouvelle infraction et d’être ré-hospitalisés que les personnes en ressources d’hébergement. Dans le deuxième article, l'analyse de données séquentielle a généré quatre modèles statistiquement stables de trajectoires de disposition et de placement résidentiel pour les 36 mois suivant un verdict de NCRTM: 1) libération conditionnelle dans une ressource d’hébergement (11%), 2) libération conditionnelle dans un logement autonome (32%), 3) détention (43%), et 4) libération absolue (14%). Une régression logistique multinomiale révèle que la probabilité d'un placement en ressource supervisée comparé au maintien en détention est significativement réduite pour les personnes traitées dans un hôpital spécialisé en psychiatrie légale, ainsi que pour ceux ayant commis un délit sévère. D'autre part, la probabilité d’être soumis à des dispositions moins restrictives (soit le logement indépendant et la libération absolue) est fortement associée à des facteurs cliniques tels qu’un nombre réduit d'hospitalisations psychiatriques antérieures, un diagnostic de trouble de l'humeur et une absence de diagnostic de trouble de la personnalité. Les résultats de ce projet doctoral soulignent la valeur protectrice des ressources en hébergement pour les personnes trouvées NCRTM, en plus d’apporter des arguments solides pour une gestion de risque chez les personnes trouvées NCRTM qui incorpore des éléments contextuels de prévention du risque, tel que l’accès à des ressources d’hébergement.

Hyperreflexivity as a condition of mental disorder : A clinical and historical perspective. 'La hiperreflexividad como condici??n de los trastornos mentales : una perspectiva cl??nica'

Resumen tomado de la publicaci??n. Resumen tambi??n en ingl??s

Social support and common mental disorder among medical students

INTRODUÇÃO:Diferentes formas de sofrimento psíquico têm sido identificadas em estudantes da área da saúde, em especial no curso de Medicina.OBJETIVO:Estimar a prevalência de sofrimento psíquico entre estudantes de Medicina em uma faculdade no Sudeste do Brasil e avaliar sua associação com apoio social.MÉTODO:Trata-se de um estudo transversal. Foram aplicados questionários para alunos do 1º ao 6º ano do curso de Medicina da Universidade Estadual Paulista Júlio de Mesquita Filho, investigando-se características demográficas relacionadas ao curso e à adaptação à cidade. Sofrimento psíquico foi investigado na forma de Transtorno Mental Comum (TMC), avaliado por meio do Self-Reporting Questionnaire (SRQ-20). Apoio social foi avaliado com a Escala de Apoio Social (EAS). As associações entre o desfecho e as variáveis explanatórias foram analisadas por meio do teste do χ2 e, na análise multivariada, por meio da Regressão Logística, com p < 0,05.RESULTADOS:A taxa de resposta foi de 80,7%, não havendo diferença estatística entre a mostra e a população-alvo no que diz respeito ao gênero (p = 0,78). A média de idade foi de 22 anos (desvio padrão - DP = 2,2) com predomínio de mulheres (58,2%) e estudantes que vivem com amigos (62%). A prevalência de TMC foi de 44,9% (IC95% 40,2 - 49,6). Após a análise multivariada, mantiveram-se associados a TMC: sentir-se rejeitado no último ano (p < 0,001), ter pensado ou pensar em abandonar o curso (p < 0,001) e interação, avaliada pela EAS (p = 0,002).CONCLUSÕES:A prevalência de TMC entre estudantes de Medicina mostrou-se elevada, identificando-se o apoio social insuficiente como fator de risco. Esses achados sugerem que intervenções voltadas para propiciar melhores condições de interação social entre estudantes poderiam ser benéficas, diminuindo a prevalência de TMC nesse grupo.

Psychiatric adverse effects of zonisamide in patients with epilepsy and mental disorder comorbidities

Over the last few years, zonisamide has been proposed as a potentially useful medication for patients with focal seizures, with or without secondary generalization. Since psychiatric adverse effects, including mania, psychosis, and suicidal ideation, have been associated with its use, it was suggested that the presence of antecedent psychiatric disorders is an important factor associated with the discontinuation of zonisamide therapy in patients with epilepsy. We, therefore, set out to assess the tolerability profile of zonisamide in a retrospective chart review of 23 patients with epilepsy and comorbid mental disorders, recruited from two specialist pediatric (n=11) and adult (n=12) neuropsychiatry clinics. All patients had a clinical diagnosis of treatment-refractory epilepsy after extensive neurophysiological and neuroimaging investigations. The vast majority of patients (n=22/23, 95.7%) had tried previous antiepileptic medications, and most adult patients (n=9/11, 81.8%) were on concomitant medication for epilepsy. In the majority of cases, the psychiatric adverse effects of zonisamide were not severe. Four patients (17.4%) discontinued zonisamide because of lack of efficacy, whereas only one patient (4.3%) discontinued it because of the severity of psychiatric adverse effects (major depressive disorder). The low discontinuation rate of zonisamide in a selected population of patients with epilepsy and neuropsychiatric comorbidity suggests that this medication is safe and reasonably well-tolerated for use in patients with treatment-refractory epilepsy. Given the limitations of the present study, including the relatively small sample size, further research is warranted to confirm this finding. © 2013 Elsevier Inc.