982 resultados para Political Equality
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The European Convention on Human Rights (ECHR) speaks of the importance of an “effective political democracy” in its Preamble, though it is only in Article 3 of Protocol 1 (P1-3) that we find a right to free elections. This paper discusses the role of “positive obligations” under P1-3. This paper outlines the positive obligations in P1-3 focusing on obligations where the state is required to do more than just change the law. This may mean providing resources or facilities, adopting regulatory frameworks or creating new institutions. The paper highlights specific positive obligations that need to be further developed in the jurisprudence of the European Court of Human Rights (ECtHR). Sometimes these can be developed by analogy with positive obligations recognised in other areas of ECtHR jurisprudence. However, beyond these cases, states should ensure that members of vulnerable and disadvantaged minorities are able to participate in the electoral process and should ensure that dominant political groups cannot abuse their political power to exclude other parties unfairly. This is necessary to realise equal political rights. The second section of this paper sketches some preliminary points about the Strasbourg institutions’ approach to P1-3. After that, the third section identifies circumstances where the ECtHR should apply a more intense scrutiny in P1-3 cases. The fourth, fifth and sixth sections look at positive obligations relating to the right to vote, the right to run for election and the regulation of political parties.
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Equality is a political and moral ideal that refers to some universal condition thought to be shared by human beings. Since this inherent equality is often thought to have been corrupted by a self-interested secular world, this essay shifts the emphasis from equality as a timeless concept to equalization as a historical process.
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Mark Taylor's new essay assesses the impact of the diagram on interior design from the late 19th century to the present. Taylor identifies the pop-cultural discourse of advice writing in both books and magazines as a starting point for his analysis. Drawing on diverse sources, his analysis focuses on texts relating to the dynamics of use and flexibility by Catherine Beecher, Harriet Beecher Stowe, Melusina Fay Peirce, Mary Haweis and Christine Frederick among others. The examples in these texts use the home, domestic housekeeping and kitchens as the sites and practices of intervention through which interior design innovations can be enacted. Taylor's analysis identified the innovations in both the social and the political aspects of space and the critique of static space behind these seemingly amateurish and innocuous texts. Identifying these contributions as early precursors of Modernism's open-plan and flexible, dynamic spaces, Taylor also interprets them with a critical concern for the oppositions and hierarchies that can exist in spatial design, and which are the hallmarks of recent Postmodern, phenomenological approaches to interior design and its theorisations. The progressive and subversive "paradigms for living" implicit in these diagrams can be argued to present a model of greater economic, social and political equality as well as representing a more balanced set of power relations in the home. Progressing through the 20th century to the present, Taylor's analysis shifts byond the dressed body and on to the more intimate rituals of the revealed body to further examine how diagrams of the interior, and the interior as a set of diagrams, are also mediators, sites and grounds for the design of social and sexual intimacy. Through a consideration of the link between design, indentity and intimacy (whether of the invisible, fashioned or sexualised body), the diagrms of interiors are reconfigured as radical and critical tools for an animate, material and emancipatory "redressing" of the balance between the body, identity, sexuality, gender, function, mis(use), aesthetics and the interior.
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Le but de cette thèse est de découvrir l'idéologie de l'Union des producteurs agricoles et l'utopie de l'Union paysanne et de les interpréter à la lumière de "significations imaginaires sociales" déterminantes de notre période historique. Dans la première partie de notre thèse, nous présentons l'évolution de l'imaginaire social du syndicalisme agricole québécois de 1924 à 2005. Nous distinguons quatre périodes et notre étude s'attarde à la dernière, c'est-à-dire celle qui débute en 2001 avec la naissance de l'Union paysanne. Afin d'étudier cette période nous présentons d'abord l'imaginaire social de la société, c'est-à-dire une configuration de significations imaginaires sociales (SIS) - des "idées-valeurs" générales et "englobantes" - qui fait qu'une société est ce qu'elle est et qu'elle ne pourrait être autrement compte tenu de son noyau de SIS. Ensuite, nous constatons que les travaux d'auteurs importants nous permettent de parler de niveaux et types d'imaginaires sociaux et d'établir des relations entre ces niveaux et formes d'imaginaires sociaux. C'est par l'entremise de la problématique générale agriculture-ruralité que nous démontrons, dans la deuxième partie de cette thèse, que des imaginaires sociaux "intermédiaires" - l'idéologie de l'UPA et l'utopie de la "minorité active", l'UP - permettent, en les ancrant dans quelqu'un et dans quelque chose, d'une part de découvrir les SIS de l'imaginaire social de la société et, d'autre part, de comprendre et d'interpréter ces deux imaginaires sociaux à la lumière des SIS. La problématique agriculture-ruralité est "opérationnalisée" à l'aide des trois dimensions suivantes: rapport à soi, rapport à l'autre et rapport à la nature. Le rapport à soi dévoile que la sphère du travail de l'agriculteur-éleveur dans l'idéologie de l'UPA correspond à la "sphère de la nécessité" qui implique notamment l'hétéronomie des agriculteurs, alors que l'utopie de l'UP la souhaite à la fois comme "sphère de la nécessité" et comme sphère de l'autonomie. Le rapport à l'autre permet de découvrir une utopie préconisant l'égalité des chances entre différents types d'agriculteurs et d'agricultures et entre la relève et les agriculteurs établis ainsi que l'égalité politique en territoire rural agricole. Dans l'idéologie de l'UPA, l'inégalité des chances et l'inégalité politique sont discutables mais inéluctables. Enfin, abstraction faite des nuances, la relation agriculture et nature est à l'utopie de l'UP ce que la relation agriculture ou nature est à l'idéologie de l'UPA. La construction partielle de l'idéologie et de l'utopie, nous permet, dans la troisième et dernière partie de cette thèse, d'y découvrir les SIS et de démontrer que l'utopie trouve son sens et sa cohérence en l'interprétant par l'entremise du naturalisme-écologie, de l'"autonomie" et de l'"autolimitation" comme SIS dominantes et de l'"expansion illimitée de la maîtrise rationnelle" (technique) et du capitalisme (économique) comme SIS "secondaires". Nous découvrons l'inverse dans l'idéologie de l'UPA. Les SIS dominantes et les SIS "secondaires" de l'utopie de l'UP sont respectivement les SIS secondaires et les SIS dominantes sous-jacentes à l'idéologie de l'UPA, ce qui correspond à la configuration des SIS dominantes de l'imaginaire social des sociétés constitutives de l'Occident contemporain.
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"Mémoire présenté à la faculté des études supérieures en vue de l'obtention du grade de maîtrise en droit (LL.M.)"
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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El rasgo distintivo de las sociedades precapitaslistas está dado por el hecho de que en ellas las relaciones de explotación se vehiculizan a partir de mecanismos coactivos (extraeconómicos) que aseguran la transferencia de los excedentes desde las clases productoras hacia las dominantes. Tales mecanismos suelen sostenerse por escisiones jurídicas, políticas, religiosas, etc. que delimitan y oponen claramente a los productores de los apropiadores del plusproducto. Teniendo esto en mente, en el presente trabajo se analizan las diferentes formas que adquirieron las relaciones de dependencia rural en Atenas a principios del siglo VI a.C. (hectemorazgo, endeudamiento, esclavización por deudas, etc.) y su evolución a partir las reformas encaradas por Solón. Desde nuestra perspectiva, este abordaje resulta fundamental para entender un aspecto singular de la democracia ateniense del siglo V a.C.: la igualación que se dio -en virtud de la extensión de los derechos de ciudadanía- en el plano jurídico y político entre los productores agrícolas directos y la aristocracia terrateniente y los límites que ello impuso a la posibilidad de desarrollo de relaciones de explotación entre los miembros del cuerpo cívico
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El rasgo distintivo de las sociedades precapitaslistas está dado por el hecho de que en ellas las relaciones de explotación se vehiculizan a partir de mecanismos coactivos (extraeconómicos) que aseguran la transferencia de los excedentes desde las clases productoras hacia las dominantes. Tales mecanismos suelen sostenerse por escisiones jurídicas, políticas, religiosas, etc. que delimitan y oponen claramente a los productores de los apropiadores del plusproducto. Teniendo esto en mente, en el presente trabajo se analizan las diferentes formas que adquirieron las relaciones de dependencia rural en Atenas a principios del siglo VI a.C. (hectemorazgo, endeudamiento, esclavización por deudas, etc.) y su evolución a partir las reformas encaradas por Solón. Desde nuestra perspectiva, este abordaje resulta fundamental para entender un aspecto singular de la democracia ateniense del siglo V a.C.: la igualación que se dio -en virtud de la extensión de los derechos de ciudadanía- en el plano jurídico y político entre los productores agrícolas directos y la aristocracia terrateniente y los límites que ello impuso a la posibilidad de desarrollo de relaciones de explotación entre los miembros del cuerpo cívico
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El rasgo distintivo de las sociedades precapitaslistas está dado por el hecho de que en ellas las relaciones de explotación se vehiculizan a partir de mecanismos coactivos (extraeconómicos) que aseguran la transferencia de los excedentes desde las clases productoras hacia las dominantes. Tales mecanismos suelen sostenerse por escisiones jurídicas, políticas, religiosas, etc. que delimitan y oponen claramente a los productores de los apropiadores del plusproducto. Teniendo esto en mente, en el presente trabajo se analizan las diferentes formas que adquirieron las relaciones de dependencia rural en Atenas a principios del siglo VI a.C. (hectemorazgo, endeudamiento, esclavización por deudas, etc.) y su evolución a partir las reformas encaradas por Solón. Desde nuestra perspectiva, este abordaje resulta fundamental para entender un aspecto singular de la democracia ateniense del siglo V a.C.: la igualación que se dio -en virtud de la extensión de los derechos de ciudadanía- en el plano jurídico y político entre los productores agrícolas directos y la aristocracia terrateniente y los límites que ello impuso a la posibilidad de desarrollo de relaciones de explotación entre los miembros del cuerpo cívico
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Ce mémoire explore la relation qui lie démocratie et légitimité politique, dans une perspective épistémique. La démocratie, dans son acception la plus générale, confère à chacun la possibilité de faire valoir les intérêts qu'il estime être les siens et ceux de sa communauté, en particulier à l’occasion d’un scrutin. Cette procédure décisionnelle qu’est le vote consacre ainsi en quelque sorte la liberté et l’égalité dont profitent chacun des citoyens, et confère une certaine légitimité au processus décisionnel. Cela dit, si le vote n’est pas encadré par des considérations épistémiques, rien ne garantit que le résultat politique qui en découlera sera souhaitable tant pour les individus que pour la collectivité: il est tout à fait permis d’imaginer que des politiques discriminatoires, économiquement néfastes ou simplement inefficaces voient ainsi le jour, et prennent effet au détriment de tous. En réponse à ce problème, différentes théories démocratiques ont vu le jour et se sont succédé, afin de tenter de lier davantage le processus démocratique à l’atteinte d’objectifs politiques bénéfiques pour la collectivité. Au nombre d’entre elles, la démocratie délibérative a proposé de substituer la seule confrontation d’intérêts de la démocratie agrégative par une recherche collective du bien commun, canalisée autour de procédures délibératives appelées à légitimer sur des bases plus solides l’exercice démocratique. À sa suite, la démocratie épistémique s’est inspirée des instances délibératives en mettant davantage l’accent sur la qualité des résultats obtenus que sur les procédures elles-mêmes. Au final, un même dilemme hante chaque fois les différentes théories : est-il préférable de construire les instances décisionnelles en se concentrant prioritairement sur les critères procéduraux eux-mêmes, au risque de voir de mauvaises décisions filtrer malgré tout au travers du processus sans pouvoir rien y faire, ou devons-nous avoir d’entrée de jeu une conception plus substantielle de ce qui constitue une bonne décision, au risque cette fois de sacrifier la liberté de choix qui est supposé caractériser un régime démocratique? La thèse que nous défendrons dans ce mémoire est que le concept d’égalité politique peut servir à dénouer ce dilemme, en prenant aussi bien la forme d’un critère procédural que celle d’un objectif politique préétabli. L’égalité politique devient en ce sens une source normative forte de légitimité politique. En nous appuyant sur le procéduralisme épistémique de David Estlund, nous espérons avoir démontré au terme de ce mémoire que l’atteinte d’une égalité politique substantielle par le moyen de procédures égalitaires n’est pas une tautologie hermétique, mais plutôt un mécanisme réflexif améliorant tantôt la robustesse des procédures décisionnelles, tantôt l’atteinte d’une égalité tangible dans les rapports entre citoyens.
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The research examines the problem lie in the thought of Immanuel Kant. This field of law, of the history of political morality, we seek to investigate the Kantian rejection of falsehood and unconditional obligation to be truthful. Defends the thesis of the exception to lie and not be objectionable in two cases, namely: the torture and before the murderer. Thus, it is demonstrated that it is possible the exception to lie under the law, politics and history, considering the perspective of harmony of external freedoms and the idea of moral progress. In this sense, it is argued that the source of law is established to guarantee the external freedoms. From the point of view of morality, reaffirmed the absoluteness is that for Kant the duty of veracity, but it points to the possibility of a practical rule that allows the lie based on human dignity, weighting values as political equality, respect for rational agents, as well as the principle of humanity which teaches always treat the other as an end in itself.
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Ce mémoire explore la relation qui lie démocratie et légitimité politique, dans une perspective épistémique. La démocratie, dans son acception la plus générale, confère à chacun la possibilité de faire valoir les intérêts qu'il estime être les siens et ceux de sa communauté, en particulier à l’occasion d’un scrutin. Cette procédure décisionnelle qu’est le vote consacre ainsi en quelque sorte la liberté et l’égalité dont profitent chacun des citoyens, et confère une certaine légitimité au processus décisionnel. Cela dit, si le vote n’est pas encadré par des considérations épistémiques, rien ne garantit que le résultat politique qui en découlera sera souhaitable tant pour les individus que pour la collectivité: il est tout à fait permis d’imaginer que des politiques discriminatoires, économiquement néfastes ou simplement inefficaces voient ainsi le jour, et prennent effet au détriment de tous. En réponse à ce problème, différentes théories démocratiques ont vu le jour et se sont succédé, afin de tenter de lier davantage le processus démocratique à l’atteinte d’objectifs politiques bénéfiques pour la collectivité. Au nombre d’entre elles, la démocratie délibérative a proposé de substituer la seule confrontation d’intérêts de la démocratie agrégative par une recherche collective du bien commun, canalisée autour de procédures délibératives appelées à légitimer sur des bases plus solides l’exercice démocratique. À sa suite, la démocratie épistémique s’est inspirée des instances délibératives en mettant davantage l’accent sur la qualité des résultats obtenus que sur les procédures elles-mêmes. Au final, un même dilemme hante chaque fois les différentes théories : est-il préférable de construire les instances décisionnelles en se concentrant prioritairement sur les critères procéduraux eux-mêmes, au risque de voir de mauvaises décisions filtrer malgré tout au travers du processus sans pouvoir rien y faire, ou devons-nous avoir d’entrée de jeu une conception plus substantielle de ce qui constitue une bonne décision, au risque cette fois de sacrifier la liberté de choix qui est supposé caractériser un régime démocratique? La thèse que nous défendrons dans ce mémoire est que le concept d’égalité politique peut servir à dénouer ce dilemme, en prenant aussi bien la forme d’un critère procédural que celle d’un objectif politique préétabli. L’égalité politique devient en ce sens une source normative forte de légitimité politique. En nous appuyant sur le procéduralisme épistémique de David Estlund, nous espérons avoir démontré au terme de ce mémoire que l’atteinte d’une égalité politique substantielle par le moyen de procédures égalitaires n’est pas une tautologie hermétique, mais plutôt un mécanisme réflexif améliorant tantôt la robustesse des procédures décisionnelles, tantôt l’atteinte d’une égalité tangible dans les rapports entre citoyens.
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Basada en los conceptos de Alexis de Tocqueville, esta investigación busca explicar de qué manera la cultura del trabajo influyó en la igualdad de condiciones. Para esto fue necesario analizar cómo la sociedad neogranadina acogía nuevas teorías y prácticas del mundo moderno liberal en su estructura socio-económica y política, haciendo indispensable, en primer lugar, realizar un estudio detallado de la situación de la Nueva Granada en los aspectos mencionados, durante finales del siglo XVIII y gran parte del siglo XIX. En principio se puede deducir que la cultura del trabajo no tuvo influencia en la igualdad de condiciones, porque la concepción protestante de la salvación del alma no halló en los neogranadinos la aceptación que requería para hacer de este un pueblo trabajador y tampoco se pudo garantizar una situación de igualdad de condiciones desde un aspecto cultural, sino que estuvo presente por medio de leyes que no eran respetadas.