18 resultados para Honte


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Dans le récit de la transformation de Gauvain en nain, la honte est à la fois la conséquence d'une culpabilité mise en avant par un interlocuteur féminin, et l'instrument de la purgation de la faute commise par le héros. La gestion narrative de cet épisode à la fois dramatique et comique interroge autant les valeurs chrétiennes que les principes de conduite chevaleresques. La nature de la faute et son intériorisation personnelle importent moins que sa dimension sociale et collective.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Para celebrar el 40º aniversario de la publicación del emblemático dosier «Une autre Belgique», donde se lanzó el neologismo belgitude, analizamos su impacto en el contexto de búsqueda de legitimación por parte de los escritores francófonos de Bélgica. Queriendo destacar el interés de textos menos citados, articulamos los numerosos discursos teóricos a partir del sintomático testimonio autobiográfico de Anne-Marie La Fère, titulado «Confession d’une Belge honteuse» (1980). Examinar las mutaciones entre 1950 y los 80 en la paradigmática evolución literaria de Jean Muno –que se proclama habitante de «Malaise»– permite ilustrar el proceso de afirmación identitaria en la periferia del Hexágono.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

The aim of the article is to present the place and the role of contemporary Francophone Sub-Saharan African literature in Sweden. This study attempts to compare three levels in the circulation of literary works: translation, reception, and content. These dimensions converge in the analysis in order to pin down the place and the role of this literature in the Swedish context. The study is delimited to writers born after the independencies. The results show that contemporary francophone novels translated and categorized as African are dominated by female writers. The critique reveals a semantic field stressing the theme of shame in the novels by these six female authors, which is examined through in-depth analysis of one novel from each author. Preliminary conclusions are that Francophone African literature is present on the Swedish market since the independencies and even before, though, contemporary works translated into Swedish are produced in the diaspora. A comparison between the three studied levels show that female writers contribute to the shaping of African literature in Sweden to a great extent, even though literary critics sometimes judge them severely. Their explorations of aesthetic forms marry a new discretely engaged literature, constructive rather than vindictive. In this literature, the core issue of facing the shame is presented as a way to reach individual and collective dignity.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : « Ci commence le Chastoiement que li peres ensaigne à son filz. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, II, 40 ; Fables de MARIE DE FRANCE. « Ci commence de Ysopes. Cil qui sevent de l'estreure... » ; «... Que ge li puisse l'ame rendre. Explicit de Ysopes » ; « Ci commence des XV signes. Se ne vos quidasse annuier... » ; «... Explicit des XV signes. » Cf. Romania, VI, 23 ; « Ci commence de seinte Leocade, qui fu dame de Tolete, et du saint arcevesque », par GAUTIER DE COINCY. Barbazan et Méon, I, 270, et Poquet, Les Miracles de la sainte Vierge, col. 77 ; « De quoi viennent li traitor et li mauvés. Or escoutez, et cler et lai... » Cf. Paulin Paris, Hist. littér. de la France, XXIII, 285 ; « Du cors et de l'ame. Cors en toi n'a point de savoir... » ; « D'un preudome qui rescolt son compere de noier. » Montaiglon, Recueil général et complet des fabliaux, I, 301 ; « Du segretain moine. » Montaiglon et Raynaud, Recueil... des fabliaux, V, 215 ; « Des eles de cortoisie», par RAOUL DE HOUDAN . Cf. Romania, IX, 150 ; « Ci commance de Florance et Blancheflor. » Barbazan et Méon, IV, 358 ; « D'un mercier. » G.-A. Crapelet, Proverbes et dictons populaires aux XIIIe et XIVe siècles (1831), p. 149 ; cf. Hist. littér. de la France, XXIII, 184 ; « Ci commence de la dame escolliée. » Montaiglon et Raynaud, Recueil... des fabliaux, VI, 95 ; « D'un jugleor qui ala en enfer et perdi les ames as dez. » Ibid., V, 65 ; Du vilain qui conquist paradis par plait. » Ibid., III, 209 ; « De II Angloys et de l'agnel. » Ibid., II, 178 ; « Du foteor. » Ibid., I, 304 ; « Du prestre et d'Alison », par GUILLAUME LE NORMAND. Ibid., II, 8 ; « Del convoiteus et de l'envieus », titre erroné pour « Estula ». Ibid., IV, 87 ; « Du convoitox », par JEAN DE BOVES. Ibid., V, 211 ; « De Haimet et de Barat, etc. » Ibid., IV, 93 ; « De Bérangier au lonc cul », par GUERIN. Ibid., III, 253 ; « De la pucele qui abevra le polain. » Ibid., IV, 199 ; « Du vilain asnier. » Ibid., V, 40 ; « Du provoire qui menga les meures. » Ibid., IV, 53 ; « De la damoiselle à la grue », par GARIN, Ibid., V, 151 ; « Du prestre qui ot mere malgré sien. » Ibid., V, 143 ; « Du chevalier qui fist les c... parler », par GUERIN. Ibid., VI, 68 ; « De Guillaume au faucon. » Ibid., II, 92 ; « De la male honte », par GUILLAUME LE NORMAND. Ibid., IV, 41 ; « Du c... Guautiers li leus dit a devise... » ; « ... Mais que ce fust li rois de France. Explicit du c... » ; « Du prestre qui dist la Passion. » Ibid., V, 80 ; « Du prestre et de la dame. » Ibid, II, 235 ; « De Audigier. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, IV, 217 ; « De II bordeors ribauz. » Montaiglon, Recueil général... des fabliaux. I, 1 ; « La response de l'un des II ribauz. » Ibid, I, 7 ; « Du chevalier tort. » Barbazan et Méon, III, 444 ; « De l'apostoile. » G.-A. Crapelet, Proverbes et dictons populaires..., pp. 1-123 ; « D'Alixandre et d'Aristote. » Lai d'Aristote, par HENRI D'ANDELI. Montaiglon et Raynaud, Recueil, etc., V, 243 ; manuscrit C de l'édition des OEuvres d'Henri d'Andeli, par A. Héron, 1880, p. 1 ; « Des proverbes et du vilain. Qui vult oïr bons dis, Bons proverbes, bons ris... » Le texte est en grande partie différent de celui qu'a publié Le Roux de Lincy, Le Livre des Proverbes français, t. II (1859), pp. 459-470 ; « De Constant Du Hamel. » Montaiglon et Raynaud, Recueil, etc., IV, 166 ; « D'Auberée la vielle maquerel[le]. » Ibid., V, 1 ; « Ci comence le cortois d'Artois. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, I, 356 ; « Ci comence de l'onbre et de l'anel. » Cf. Legrand d'Aussi, Fabliaux (1829), I, 256 ; « Ci comence l'erberie. » Rutebeuf, édit. Ach. Jubinal, 1839, t. I, Notes et éclaircissements, pp. 468-475, et 1875, t. III, Notes et éclaircissements, pp. 182-192 ; « Ci comence la bataille de quaresme et de charnage. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, IV, 80 ; « Ci comence de Ovide, de Arte. Entendez tuit, grant et petit, Ce que maistre ÉLIE nos dit... » ; «... Que de cest mal, par s. Johan, N'aurez vos jà fors que l'ahan. » Cf. Gaston Paris, Hist. littér. de la France, XXIX, 458-461 ; « Ci commence de Piramo et de Tisbe. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, IV, 326 ; cf. Gaston Paris, Hist. littér. de la France, XXIX, 498 ; « Ci commence Doctrinal de latin en roumans » [Doctrinal sauvage]. Cf. P. Meyer, Romania, VI, 20-22, et Notices et extraits des manuscrits, t. XXXIII, 1re partie, pp. 45-46 ; « Ci commence de la chante-pleure. » Cf. P. Meyer, Romania, VI, 26, et IX, 510 ; « Ci commence chastie-musart. » Cf. P. Meyer, Romania, XV, 604 et suiv ; « Ci commence la desputoison du juyf et du chrestien. Omnis credencium letetur populus... » ; «... Puis que j'ay I juyf à creance amené. Explicit. » Cf. Hist. littér. de la France, XXIII, 217 ; « Ci coumence d'amors et de jalousie. Comencer vueil I poi d'afaire, Que plus ne s'en puet mon cuer taire... » ; «... Ou jamais nul n'i faudrai. Explicit » ; « La bataille des VII arz », par HENRI D'ANDELI. A. Héron, OEuvres d'Henri d'Andeli, p. 43 ; « Ci commencent les proverbes au conte de Bretaigne. » G.-A. Crapelet, Proverbes et dictons populaires, p. 169 ; cf. Hist. littéraire de la France, XXIII, 686-688 ; « Ci coumence de Marcoul et de Salemon, que li cuens de Bretagne fist. » G.-A. Crapelet, Ibid., p. 189 ; cf. Hist. littér. de la France, XXIII, 688-689 ; « Ci coumence de Narciso le roumanz. » Barbazan et Méon, Fabliaux et contes, IV, 143 ; cf. Gaston Paris, Hist. littér. de la France, XXIX, 498-499 ; « C'est li romanz des braies » [les braies du Cordelier]. Montaiglon et Raynaud, Recueil général... des fabliaux, III, 275 ; « Commence des tresces. » Ibid., IV, 67 ; Partonopex de Blois. Ms. utilisé dans l'édition G.-A. Crapelet, 1834 ; « C'est le romanz de Blanchandin et de Orgueillose d'amors. » Cf. l'édition Michelant, 1867, et Romania, XVIII, 290 ; « Ci commence le romanz de Floire et de Blanche-Flor. » Seconde version d' Édélestand Du Méril ; édition Éd. Du Méril (1856), pp. CCVII-CCVIII et 125-227

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : 1° L'« Ymage dou monde » [par GAUTIER DE METZ] ; 2° Les Fables d'« ISOPET », traduites en vers [par MARIE DE FRANCE] ; 3° Le Fabliau de la male Honte, par « GUILLAUME » ; 4° Le Dit de la femme ; 5° De celle qui fu foutue sur la fosse de son mari ; 6° Du Prêtre crucifié ; 7° De la Vieille qui oint la paume au chevalier

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : Mériadeuc ou le Chevalier aux deux épées. (Cf. Histoire littéraire, XXX, 237) ; Roman du Chevalier au lion, par CHRÉTIEN DE TROYES ; Roman d'Énéas. — Incomplet des 1,729 premiers vers ; ms. E de l'édition de Salverda De Grave (1892) ; Fragment du roman de Brut, par WACE ; Enfances Oger le Danois ; Roman de Fierabras ; Fableaux. Du vilain à la couille noire. « Un fablel vous voel commenchier... » ; « Du prestre ki abevete. Ichi après vous voel conter... » ; « Des III. avules. Unes matere contera[i]... » ; « Du vallet qui d'aise a malaise se mel. Voulés vous oïr du vallet... » ; Les quatre souhaits « de S. Martin. Un preudomme ut en Normendie... » (Incomplet de la fin) ; Dame Aubrée. (Incomplet du début) ; « Du lait de l'ombre. Je ne voel pas des aviser... » ; « Ch'est du vilain ki quida estre mors. Se fabliaus puet vérités estre... » ; « Ch' est du lai d'infier. Ahay! ha hai! je suis venus... » (Incomplet de la fin) ; « Li jouenes maires du Hamiel. » (Incomplet du début.) — Ibid. « Ch'est du priestre c'on portet. Du priestre vous di et recort... » ; « Du prestre et du chevalier. Traiiés en cha, s'oiiés i. conte, Si com Milles d'Amiens le conte... » ; De la mâle dame qui fut escoillée. « Uns riches chevaliers estoit... » ; « Ch'est du songe. En songes doit fables avoir... Voie de Paradis de RAOUL DE HOUDENC ; « Du noble lion. Li lions c'on apele nobles... » ; « De mâle Honte. En Engletere fu manans... » ; « Ch'est Ysopés en romans. Cil qui sevent de l'Escripture... » Fables de MARIE DE FRANCE. (103 fables) ; « De le femme qui cunquie sen baron. Je vous dirai s'il vous siet... » (Incomplet de la fin) ; On lit au dernier fol. 302 : « En ce volume cy y a quatre livres en rime, c'est assavoir : du roy Artus, des XII Peres de France, du Chevalier à deux espéez et des Fables de Ysopet ; lequel est monsr. Charles de Croy, comte de Chimay. CHARLES »

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Contient : 1 « Cronicques abbregées, lesquelles commencent à la creation du monde et durent jusques à Philippes de Valois, qui fut couronné roy de France en l'an 1328 ». Premiers mots : « Au commencement, ainsy comme la saincte Escripture tesmoigne, Dieu crea le ciel et la terre, selon les docteurs et les sains, en une masse confuse... » ; derniers mots : «... dont il nous fut bien figuré par Aynâm (sic), qui fit faire ung gibet pour pandre Mardoichée et les autres juifz, mais par l'ordonnance de Dieu il fut celluy qui premierement fut pandu à celluy gibet qu'il avoit fait faire, et cetera » ; 2 « Ordonnances... sur les gaiges de bataille... faictes... par PHILIPPE » LE BEL. Ces ordonnances, qui sont précédées des lettres dudit roi données à Paris, le mercredi après la Trinité 1306, les concernant, commencent par : « La premiere que il soit chose notoire, certaine et evidante que la chose soit advenue, et ce signiffie la clause, où il apperra evidanment homicide...» et finissent par : «... Quant aux liches, le roy, qui les a fait faire à ses despens, les reprent pour les autres gaiges qui survenir porroient. Éxplicit » ; 3 « Cy commance le Breviaire des nobles, fait par maistre ALAIN CHARTIER ». Premier vers : « Je noblesse, dame de bon-vouloir » ; dernier vers : « Nobles hommes en ce livre » ; 4 « Cy commance le Psaultier des villains, fait par MICHAULT TAILLEVANT ». Premier vers : « Des nobles ay veu le breviaire » ; dernier vers : « La fin de tout est vraye experience » ; 5 Recueil de contes appelés moralités, parce que chaque conte est suivi de sa moralité ; Autre conte, sans titre. Premier vers : « Enmy l'eaue ung crout, le jour » ; dernier vers : « Auquel ilz firent deshonneur » ; « Compte des coulons, qui demendent seignour ». Premier vers : « Coullons demendent seigneur » ; dernier vers : « Jà n'en aura se honte non » ; « Compte du larron qui embla brebis ». Premier vers : « D'un larron compte qui ala » ; dernier vers : « Com le chien fist du larron » ; « Compte du loup et de la truye prains ». Premier vers : « Jadis advint que loup entra » ; dernier vers : « Ne laissent peril (sic) leur enffant » ; « Compte des lievres ». Premier vers : « Cy dit que les lievres s'assemblerent » ; dernier vers : « Ou sans traveil ou sans doulour » ; « Compte du lyon et de l'aigle ». Premier vers : « D'un lyon dist qui assembla » ; dernier vers : « Et si ne doit en court parler » ; « Compte du serf qui vit ses cornes en beuvant ». Premier vers : « Aussi advint qu'ung serf vivoit » ; dernier vers : « Forment amer se tant savoient » ; « Compte du larron et du chevalier ». Premier vers : « D'um homme compte ly escrips » ; dernier vers : « Tant faulx est le monde et fautif » ; « Compte du lyon ». Premier vers : « D'un lyon dist qu'il voult aler » ; dernier vers : « Com fist le loup du serment » ; « Compte du mire qui seigna l'omme ». Premier vers : « D'un mire compte, qui seigna » ; dernier vers : « Lors sont encombrez et occis » ; « Compte de l'omme et de l'escarbote ». Premier vers : « D'un villain dist qui se gisoit » ; dernier vers : « Ou vanité les trait et muet » ; « Compte de l'omme qui vit sa femme avec I. autre homme ». Premier vers : « D'un villain dit qu'il esgarda » ; dernier vers : « Que son avoir ne ses parens » ; « Compte du villain qui vit sa femme avec son amy ». Premier vers : « D'un villain vueil ycy raconter » ; dernier vers : « Plus ont ung art que ly diable » ; « Compte du Breton qui occist les brebis ». Premier vers : « Jadis advint qu'en I. patis » ; dernier vers : « Jusques ad ce qu'ilz en ont du pis » ; « Compte du singe et de l'empereur ». Premier vers : « Ung empereur nourry jà » ; dernier vers : « Et par mensonge formigier » ; « Compte de l'asne et du lyon » (sic). Premier vers de ce qui n'est qu'un fragment du conte indiqué plus bas sous la cote fol. 142-3 : « Puis a pensé à son couraige » ; dernier vers : « Dont il est mort et affolez » ; « Compte du loup, du corbel et de la brebis ». Premier vers : « D'un loup compte qui vit jadis » ; dernier vers : « Qu'il ne tourne ses fays à mal » ; « Compte du coq et du goupil ». Premier vers : « D'un coq racompte qui estoit » ; dernier vers : « Pour les nouvelles escouter » ; « Compte du lyon et du villain ». Premier vers : « Cy nous raconte d'un lyon » ; dernier vers : « Qui la verité en desqueuvre » ; « Compte d'une puce et d'ung chamel ». Premier vers : « Une puce, ce dit, monta » ; dernier vers : « Ne qu'elle luy feist ennuy » ; « Compte du timon et du fourmy ». Premier vers : « D'un timon compte la maniere » ; dernier vers : « Que se à autruy se veult actendre » ; « Compte des oyseaulx qui voulurent avoir pour roy le quoqu ». Premier vers : « Des oyseaulx dist qui s'asemblerent » ; dernier vers : « Et larges com doit estre roys » ; « Compte du larron et de la sorciere ». Premier vers : « D'un larron compte qui estoit » ; dernier vers : « Et l'ame va en grant peril » ; « Compte de la congnie et du boys et du fevre ». Premier vers : « Ung feuvre fist une congnie » ; dernier vers : « Qui plus les a au dessus mys » ; « Compte du villain qui vouloit vendre son cheval ». Premier vers : « D'un villain nous racompte cy » ; dernier vers : « Tourne souvent son tort à droit » ; « Compte du loup et du moton ». Premier vers : « Jadis advint qu'un loup promest » ; dernier vers : « Ne garderay veu ne promesse » ; « Compte de la singesse qui monstroit son faon aux autres bestes ». Premier vers : « Une singesse ala monstrant » ; dernier vers : « N'est pas li siecles trop loyaulx » ; « Compte du villain et du dragon ». Premier vers : « Cy nous racompte d'ung dragon » ; dernier vers : « Ne se doit nulz homs fier » ; « Compte d'un reclus et du villain ». Premier vers : « D'un reclus compte qui avoit » ; dernier vers : « Que mieulx devroit reprendre luy » ; « Compte du villain et de son cheval ». Premier vers : « D'un villain compte, qui entra » ; dernier vers : « Sy lui souffise en loyaulté » ; « Compte d'un villain qui prioit pour sa femme et ses enfans ». Premier vers : « Ung villain ala (sic) moustier » ; dernier vers : « Et qui à Dieu soit acceptable » ; « Compte du villain et de la choue ». Premier vers : « D'un villain compte qui avoit » ; dernier vers : « Car sa droicture en est perie » ; « Compte de goupil et de la lune ». Premier vers : « D'un goupil dit que par une nuyt » ; dernier vers : « Dont en la fin en est courcez » ; « Compte du loup et du mouton ». Premier vers : « D'ung loup nous raconte cy » ; dernier vers : « Et sans que... ». La fin de ce vers manque ; « Compte de la grue et du loup ». Premier vers, le seul qui soit écrit : « D'ung loup dit ly escris... ». L'écriture des feuillets 143-4 est postérieure à celle des feuillets précédents

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Confrontée à des familles devant faire face à des questions reliées à l'honneur, l'ethnopsychiatrie ne peut faire l'économie de s'interroger sur cette notion. C'est l'un des objectifs de cette thèse qui se donne pour mission, non seulement de réaliser une revue de la littérature sur ce thème, mais aussi de dégager l'intérêt de ce concept pour cette discipline.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Dans Creep show, un narrateur présente ses creeps, les malades de son entourage, des schizophrènes inadéquatement nommés, afin de les ramener à la vie par ses mots. En se souvenant de certains moments où la folie se manifestait à lui, il veut déterrer ses ensevelis, les faire parler en leur prêtant son écriture. Dans un récit morcelé pouvant évoquer une galerie de portraits en mouvement, les protagonistes sont présentés comme des monstres, des rêveurs ou des sources d’inspiration selon le moment relaté par un narrateur affecté qui se replonge littéralement dans un passé s’échelonnant entre l’enfance et l’âge de dix-huit ans. Portant autant sur la maladie mentale que sur la honte et la peur des mots, Creep show est un texte sur le silence et l’impuissance, sur l’incapacité de nommer adéquatement la folie ; il s’agit d’un court récit de dix-sept scènes encadrées par un prologue et un épilogue où l’écriture d’un traumatisme se vit comme une histoire d’amour. L’essai intitulé “Je est des autres.” De l’esthétique borderline chez Marie-Sissi Labrèche décrit la genèse d’une esthétique « borderline ». Dans une approche à la fois psychanalytique et narratologique, fondée sur les concepts de la mélancolie, du kitsch et de la crypte, l’analyse tente de montrer quel type de construction thématique et formelle soutient cette esthétique. À partir d’éléments représentatifs de l’univers de Marie-Sissi Labrèche (la question de la limite, la pulsion de mort, le rapport au corps et l’instabilité), l’essai s’intéresse à la façon dont la narratrice de Borderline (2000) donne à lire une identité sédimentaire, un autoportrait masqué-fêlé, où « Je est [des] autre[s] ». En regard de ces éléments, l’hypothèse d’une machine textuelle fonctionnant – thématiquement et formellement – dans et par l’instabilité et l’altérité oriente la réflexion vers l’idée d’une écriture du trauma qui pourrait représenter une tentative de réappropriation identitaire passant par l’esthétique dite « borderline ».

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Cette thèse met en place un modèle permettant d'éclairer les relations entre certaines émotions et la conception que l'individu a de lui-même. En accord avec plusieurs auteurs contemporains, il est ici défendu que la conception que nous avons de nous-mêmes prend la forme d'une identité narrative, c'est-à-dire d'un récit à l'intérieur duquel nous tentons de structurer une image cohérente de nous-mêmes. Dans cette perspective, il est proposé qu'un certain groupe d'émotions, comme la honte, la fierté et la culpabilité, occupe une place cruciale dans la formation et le maintien de cette image de soi. Ces émotions, que nous pouvons qualifier d'auto-évaluatives, conditionnent l'évaluation que nous avons de nous-mêmes et participent ainsi à l'élaboration de la représentation de soi. De plus, cette identité narrative, à travers un certain aspect normatif et motivant, vient à son tour influencer la manifestation et l'interprétation de ces mêmes émotions. Ainsi, la relation entre les émotions auto-évaluatives et l'identité narrative serait une relation complexe d'influences réciproques. L’analyse proposée devrait permettre de clarifier de nombreux aspects de l’économie mentale de l’individu et plus particulièrement de sa motivation morale.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Rapport de stage présenté à la Faculté des sciences infirmières en vue de l’obtention du grade de Maître ès sciences (M.Sc.) option expertise-conseil en soins infirmiers

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Cette thèse propose une analyse de la question de la survivance – notion ayant retenu l’attention de penseurs issus de différentes disciplines tels que Janine Altounian, Jacques Derrida et Georges Didi-Huberman – dans l’œuvre de Sarah Kofman, plus particulièrement dans son récit autobiographique intitulé Rue Ordener, rue Labat, paru en 1994. Quatre grandes orientations guident ce travail dont l’approche théorique se situe à la croisée de la littérature, de la philosophie, de la psychanalyse, de l’histoire (tant sociale que de l’art) et du juridique. Premièrement, nous nous intéressons à ce qu’implique non seulement le fait d’« échapper à la mort », en observant les moyens mis en œuvre pour y parvenir, mais aussi celui de « continuer à vivre » après l’événement de la Shoah. Deuxièmement, nous étudions les différentes manifestations de « la survivance active de l’enfant en nous » (J.-B. Pontalis) de même que celle de « l’objet perdu » dans le travail de deuil impossible, encore autrement « interminable », qui a pris corps dans l’œuvre de Sarah Kofman. Troisièmement, nous abordons la « survivance » au sens du Nachleben d’Aby Warburg et repérons la trace des autres écrits de la philosophe, elliptiquement condensés dans son récit par la reprise de thèmes, le retour de sujets antérieurement évoqués. Quatrièmement, nous interrogeons la locution pronominale « se survivre » et la portée de ses compléments : « dans son œuvre », « dans son témoignage », « dans les mémoires ». Parmi les points qui sont analysés en profondeur dans les chapitres de cette thèse, notons les motifs du ressentiment, du double tragique, du pardon et de l’oubli, de la « disgrâce », de la honte et de la culpabilité, ainsi que les différentes modalités de la survivance – la capacité d’adaptation et le rôle des mères, la lecture, le rire, les arts visuels – mises en œuvre par Sarah Kofman. Dans cette « œuvre-vie » (Pleshette DeArmitt), ce corpus singulier et unique, il s’est toujours agi de ceci, quoi qu’il lui en coûta : « affirmer sans cesse la survie », selon l’expression de Derrida.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Cette thèse porte sur trois textes autobiographiques qui questionnent, à travers l’élaboration d’une pensée de l’événement, les oppositions convenues entre fiction et témoignage. L’Événement (2000) d’Annie Ernaux, Le jour où je n’étais pas là (2000) d’Hélène Cixous et L’Instant de ma mort (1994) de Maurice Blanchot présentent le récit autoréférentiel d’un événement traumatique, soit un avortement clandestin pour Ernaux, la mort en bas âge d’un enfant trisomique pour Cixous et la mise en joue par un soldat nazi lors de la Seconde Guerre mondiale pour Blanchot. Ce corpus, quoique hétérogène à plusieurs égards, loge à l’enseigne d’une littérature placée sous le signe de l’aveu, de la confession et de la révélation ; cette littérature porterait au jour ce qui était jusque-là demeuré impossible à dire. Partant de la figure de la honte inscrite dans ces trois œuvres, mais aussi dans d’autres textes de ces écrivains qui permettent de déployer ce qui se trame de secret et d’événement dans le corpus principal, cette thèse a pour objectif d’analyser les déplacements et les retours d’un trauma gardé secret pendant une quarantaine d’années et qui remonte, par la voie de l’événement, à la surface de l’écriture. Sous la double impulsion de la pensée de Jacques Derrida et de l’approche psychanalytique, cette thèse s’intéresse à la question de l’événement à l’œuvre chez Ernaux, Cixous et Blanchot. Dans chacune de ces œuvres, un événement traumatique intervient comme révélateur de l’écriture et d’un rapport singulier à la pensée de l’événement, marqué soit historiquement et politiquement (Blanchot), soit intimement (Cixous et Ernaux). Par l’écriture, ces auteurs tentent en effet de rendre compte de l’authenticité de l’événement ressenti, problématisant du même coup la nature et la fonction de l’événement tant réel que psychique dans le récit de soi. L’événement est ainsi abordé dans son caractère historique, psychanalytique mais également philosophique, ontologique ; la pensée de l’événement mise à l’épreuve des textes d’Ernaux, de Cixous et de Blanchot permet d’explorer les figures de la date, de l’archive, de la mort et du deuil qui lui sont liées, en plus de donner lieu à une poétique singulière chez chacun. Enfin, la thèse traite du rapport entre l’aveu de l’événement et la langue qui, défiant l’opposition traditionnelle du constatif et du performatif, entraîne l’événement du récit, cet autre événement qui arrive en même temps que le récit de l’événement traumatique.