362 resultados para Fracturas faciales
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The aim of the present study was to analyze the etiology, type and treatment employed in the orbito-zygomatic fractures (OZ). Also, postoperative complications are described and correlated with the type of treatment used. Fifty patients with OZ fractures were evaluated. Orbital fractures in which the zygomatic bone was not involved were excluded. Epidemiologic data and characteristics of treatment such as the type of material used for osteosynthesis, number of anatomical sites on which rigid internal fixation (RIF) was applied, surgical approaches and associated complications were recorded. The main causes of trauma were motorcycle and bicycle accidents, constituting 52% of the sample. The osteosynthesis system used was the 2.0 mm, except in four patients in whom the 1.5mm system was used for fixation at the infra-orbital rim. A total of 18% of the patients required reconstruction of the internal orbit and in all cases titanium mesh was used. 46% of the patients received RIF in three anatomical sites, most in the fronto-zygomatic suture, infra-orbital rim and zygomatic-maxillary buttress. The most frequent complication was paresthesia of the infra-orbital nerve (34 patients, 68%). Other findings were also discussed with the intent of better understanding the treatment of the OZ fractures.
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Tesis [Especialidad en Traumatología y Ortopedia] UANL
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Tesis (Maestría en Ortopedia y Traumatología) U.A.N.L.
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Tesis (Maestría en Educación Odontológica) U.A.N.L.
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Tesis (Maestría en Ciencias en Nutrición) UANL, 2013.
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Les données sont analysées par le logiciel conçu par François Courtemanche et Féthi Guerdelli. L'expérimentation des jeux a eu lieu au Laboratoire de recherche en communication multimédia de l'Université de Montréal.
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L’aptitude à reconnaitre les expressions faciales des autres est cruciale au succès des interactions sociales. L’information visuelle nécessaire à la catégorisation des expressions faciales d’émotions de base présentées de manière statique est relativement bien connue. Toutefois, l’information utilisée pour discriminer toutes les expressions faciales de base entre elle demeure encore peu connue, et ce autant pour les expressions statiques que dynamiques. Plusieurs chercheurs assument que la région des yeux est particulièrement importante pour arriver à « lire » les émotions des autres. Le premier article de cette thèse vise à caractériser l’information utilisée par le système visuel pour discriminer toutes les expressions faciales de base entre elles, et à vérifier l’hypothèse selon laquelle la région des yeux est cruciale pour cette tâche. La méthode des Bulles (Gosselin & Schyns, 2001) est utilisée avec des expressions faciales statiques (Exp. 1) et dynamiques (Exp. 2) afin de trouver quelles régions faciales sont utilisées (Exps. 1 et 2), ainsi que l’ordre temporel dans lequel elles sont utilisées (Exp. 2). Les résultats indiquent que, contrairement à la croyance susmentionnée, la région de la bouche est significativement plus utile que la région des yeux pour discriminer les expressions faciales de base. Malgré ce rôle prépondérant de la bouche, c’est toute de même la région des yeux qui est sous-utilisée chez plusieurs populations cliniques souffrant de difficultés à reconnaitre les expressions faciales. Cette observation pourrait suggérer que l’utilisation de la région des yeux varie en fonction de l’habileté pour cette tâche. Le deuxième article de cette thèse vise donc à vérifier comment les différences individuelles en reconnaissance d’expressions faciales sont reliées aux stratégies d’extraction de l’information visuelle pour cette tâche. Les résultats révèlent une corrélation positive entre l’utilisation de la région de la bouche et l’habileté, suggérant la présence de différences qualitatives entre la stratégie des patients et celle des normaux. De plus, une corrélation positive est retrouvée entre l’utilisation de l’œil gauche et l’habileté des participants, mais aucune corrélation n’est retrouvée entre l’utilisation de l’œil droit et l’habileté. Ces résultats indiquent que la stratégie des meilleurs participants ne se distingue pas de celle des moins bons participants simplement par une meilleure utilisation de l’information disponible dans le stimulus : des différences qualitatives semblent exister même au sein des stratégies des participants normaux.
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Déterminer si quelqu’un est digne de confiance constitue, tout au long de notre vie, une décision à la base de nos interactions sociales quotidiennes. Des études récentes chez les jeunes adultes ont proposé que le jugement de confiance basé sur un visage constituerait une extension des processus de reconnaissance des expressions faciales, particulièrement de la colère et de la joie (Todorov, 2008). Bien que le jugement de confiance soit d’une grande importance tout au long de notre vie, à notre connaissance, aucune étude n’a tenté d’explorer l’évolution de ce processus au cours du vieillissement. Pourtant, sachant que les personnes âgées saines sont moins efficaces que les jeunes adultes pour reconnaître les expressions faciales émotionnelles (Ruffman et al., 2008; Calder et al., 2003), des différences pourraient exister dans les capacités de ces deux groupes d’âge à poser un jugement de confiance. Le présent travail a permis d’explorer, pour une première fois, les processus perceptifs sous-jacents au jugement de confiance chez une population âgée saine ainsi que chez une population présentant une démence fronto-temporale. Les résultats démontrent que les représentations de colère, de joie et de confiance sont similaires chez les jeunes et les âgés sains et suggèrent qu’il existe bel et bien un lien entre le jugement de confiance et les jugements de joie et de colère. De plus, ils révèlent que ce lien persiste au cours vieillissement, mais que les adultes âgés sains se fient davantage à leur représentation de la colère que les jeunes adultes pour déterminer si un visage est digne de confiance ou non. Enfin, les patients présentant une démence fronto-temporale possèdent des représentations différentes des âgés sains en ce qui concerne la colère, la joie et la confiance, et ils semblent se fier davantage à leur représentation de la joie que les âgés sains pour déterminer le niveau de confiance d’un visage.
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Introducción: Las fracturas supracondileas ocupan el segundo lugar en frecuencia de las fracturas en los niños y no se ha realizado una descripción epidemiológica y un análisis de las características que rodean al trauma en este tipo de lesiones en nuestro país. Metodología: Se realiza un estudio transversal de prevalencia analítica. De los pacientes con fracturas supracondileas de humero entre el 1 de enero de 2.008 y el 30 de junio de 2.009. Se realizo análisis univariado, bivariado y multivariado por medio de regresión logística. Resultados: Encontramos 260 pacientes con fracturas supracondileas en el periodo del 1 de Enero de 2.008 al 30 de junio de 2.009. Con una mayor frecuencia en niños (63%), con una edad media de 6 años ±3,0, el mecanismo del trauma predominante fue el de caída de su propia altura (47,3%), la caída de pasamos tuvo un menor presencia (6%), al revisar el sitio donde se presento el trauma, la mayor frecuencia fue en la casa (53%), seguido de el parque (35,8%). El miembro mas afectado en frecuencia fue el izquierdo (60,8 %), las fracturas abiertas correspondieron al 0,4% y el mecanismo de fractura en extensión fue del 93,8%. Siguiendo la clasificación de Gartland se encontró una frecuencia de grado I (42,3%), Grado II (18,5%) y grado III (39,2%). El 1,9% presento fractura de antebrazo asociada y el 3% presento lesión neurológica. El tratamiento mas frecuente fue la inmovilización con un 48% y la reducción abierta mas osteosíntesis fue necesaria en el 13,7% de las fracturas grado III. Discusión: Los hallazgos sobre la descripción de la población en cuanto a la edad, el género, el lado afectado, el mecanismo y las lesiones asociadas se encuentra en general dentro de los parámetros encontrados en la revisión de la literatura relacionada. La severidad del tipo de fracturas, dados por el compromiso presentado el las tipo III de Gartland es frecuente, lo que conlleva con un importante numero de pacientes que requieren tratamiento quirúrgico.
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Introducción: el tratamiento usual para fracturas del tercio medio de la clavícula es el ortopédico, sin embargo recientemente se ha propuesto que el tratamiento quirúrgico podría ser una mejor opción para los pacientes jóvenes laboralmente activos afectados por este tipo de fractura. Métodos: este es un estudio retrospectivo analítico de corte transversal comprendido en un periodo de cuatro años (2006-2009) en el servicio de Ortopedia del Hospital Kennedy E.S.E. Los desenlaces que se evaluaron fueron la función del hombro, el reintegro laboral, lesión neurológica y alteración cosmética. Resultados: en total se evaluaron 204 pacientes, de los cuales solo 103 cumplieron con los criterios de inclusión (17 mujeres y 86 hombres), de los cuales 83 recibieron tratamiento ortopédico y 20 requirieron manejo quirúrgico con promedio de edades de 28.4 años manejados ortopédicamente y 30.4 años en tratamiento quirúrgico predominando el género masculino. Conclusión: para los pacientes con fractura de clavícula de tercio medio, sin importar el tipo de tratamiento al que fueron sometidos, el resultado desde el punto de vista funcional, lesión neurológica y reintegro laboral fueron similares con excepción de la alteración cosmética.
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El tratamiento de las fracturas de tercio medio de antebrazo en niños de 6-12 años es controversial, debido a las diferentes opciones de manejo que existen en la actualidad. Objetivo: realizar una revisión sistemática de la literatura para determinar cuál es el mejor tratamiento de las fracturas diafisiarias del tercio medio del antebrazo en niños de 6-12 años. Materiales y métodos: se realizó una búsqueda sistemática y ampliada de estudios descriptivos comparativos sobre los diferentes tratamientos para fracturas tercio medio antebrazo en niños de 6-12 años de edad. Resultados: se identificaron en total 16 artículos, seis de los cuales cumplieron los criterios de inclusión, con cinco diferentes opciones de tratamiento. No se encontraron diferencias en los resultados funcionales de los diferentes tipos de tratamiento y se evidencio un mayor número de complicaciones por angulación de las fracturas en los grupos de tratamiento con clavos endomedulares. Los estudios presentan sesgos de selección y hay varias diferencias en la medición de sus respectivos desenlaces. Conclusiones: la evidencia evaluada en esta revisión sistemática no permite determinar cuál es el mejor tratamiento para este tipo de fracturas, sin importar el tipo de material de osteosíntesis utilizado. Se requieren ensayos clínicos controlados que evalúen los diferentes tipos de tratamiento para poder determinar el mejor manejo de estas.
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Introducción:. Para el tratamiento de pacientes con fractura del tercio medio de clavícula encontramos el ortopédico y quirúrgico, se desconoce a nivel local cuál alternativas ofrece un mejor desenlace. Materiales y Métodos: Estudio de cohorte retrospectiva, en pacientes con fractura del tercio medio de la clavícula comparando pacientes expuestos a tratamiento quirúrgico versus tratamiento ortopédico evaluando alteración estética, dolor, sesiones de fisioterapia, reintegro laboral y puntaje del DASH a los 3 meses de tratamiento. Resultados: 91 pacientes tratados ortopédicamente y 24 tratados quirúrgicamente. Mediana de edad 34.1 años para ambos tratamientos. El 20.2% de los pacientes sometidos al tratamiento quirúrgico presentaron dolor mientras que ningún paciente del grupo ortopédico presentó dolor después del tratamiento. El 79.1% de pacientes tratados ortopédicamente y el 20.9% tratados quirúrgicamente referían alteración estética. La medina de sesiones de fisioterapia realizadas para el tratamiento ortopédico fue 8.04 y 9.04 del quirúrgico. El promedio de reintegro laboral fue de 5 semanas para ambos tratamientos Discusión: Tanto el tratamiento ortopédico como el quirúrgico obtuvieron resultados muy similares para todas las variables medidas sin que se pueda concluir que uno sea mejor que el otro. Los pacientes con desplazamientos iniciales menores de 2 cm son candidatos para manejo ortopédico con buenos resultados con puntajes del DASH de 35 a los 3 meses tratamiento, los pacientes con desplazamientos iniciales mayores de 2 cm son los que con mayor frecuencia son sometidos a tratamientos quirúrgicos también encontrándose buenos resultados con puntajes del DASH de 38 a los 3 meses de tratamiento.
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Las fracturas proximales del húmero en tres y cuatro partes en mayores de 65 años son un reto diagnóstico y de tratamiento por su complejidad. La clasificación de Neer ha sido una herramienta de ayuda para la caracterización y el tratamiento de las fracturas proximales del húmero y se basa en la evaluación radiográfica la cual puede no dejar claros patrones fractuarios complejos; la tomografía computarizada logra identificar estos patrones complejos los cuales son comunes en pacientes mayores de 65 años, aun así, no es claro el impacto de realizar la tomografía. Este estudio está diseñado para evidenciar si existe un cambio en la clasificación e indicación de manejo en fracturas proximales del húmero en tres y cuatro partes interpretadas con radiografías al ser posteriormente valoradas con tomografía. 15 expertos interpretan e indican manejo de 20 estudios radiográficos de fracturas en tres y cuatro partes del húmero proximal de pacientes mayores de 65 años, previamente asintomáticos, funcionales con única fractura, se realiza la valoración tomográfica y se relaciona a los resultados radiográficos, allí se evidencia si existe o no el cambio de clasificación y manejo de las fracturas. Mediante un estudio observacional, descriptivo y retrospectivo se encuentra que la valoración de la tomografía puede variar la clasificación y el tratamiento indicados inicialmente por los estudios radiográficos en un 60.3% y 54.3% respectivamente, siendo una variación de conducta en más de la mitad de los casos se aprecia la necesidad de realizar el estudio tomográfico.
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El trauma de codo y la fractura de cúpula radial resultan ser un motivo de consulta frecuente en nuestro medio. Es común en nuestro medio que a pesar de tener radiografías de codo en las que se evidencia fractura de cúpula radial se solicite un TAC de codo. Consideramos que el TAC es una herramienta útil en algunos casos de fracturas de la cúpula radial, es decir, no se debe tomar de forma rutinaria el TAC de codo en los pacientes con fracturas de cúpula radial como es usual en nuestro medio. Existen pocos estudios que comparan la concordancia inter observador de las clasificaciones utilizadas para las fracturas de cúpula radial, pero, no existe en la literatura mundial un estudio que evalué las diferencias entre la clasificación de la fractura en base a radiografías y tomografía entre un grupo ortopedistas traumatólogos y sub-especialistas de miembro superior. La realización de este estudio permite elaborar guías de manejo de pacientes con fractura de cúpula radial en la que se racionalizara el uso del TAC de codo.