995 resultados para Disruptive behavior
Resumo:
Background: The aim of this study was to examine the impact of residential respite care on disruptive behavior displayed by older people, particularly those with dementia. Methods: A quasi-experimental, repeated-measures, single-group design was used. The participants were a consecutive series of 100 older people with a mean age of 81.8 years (range 66-96 years) who had been booked for a respite admission to one of several residential aged care facilities in a provincial Australian city. A diagnosis of dementia was reported for 29% of the sample. Disruptive behaviors were rated before and after the period of respite by home caregivers (N = 100) and during the period of respite by nurses (N= 25) using the Dementia Behavior Disturbance Scale (DBDS). Results: Age, male gender and the presence of dementia were all significantly related to the frequency of reported disruptive behaviors. Residential respite care was associated with a significant reduction in the frequency of reported disruptive behaviors in older people (Wald chi(2) = 28.28, P < 0.0001). However, this improvement in behavior did not persist into the post-respite period. The deteriorating behavioral trajectory that was evident prior to respite care continued following the period of respite care. Conclusions: Residential respite care was associated with a temporary diminution in the frequency of reported disruptive behaviors in older people. This finding should be reassuring both for family carets considering placing a relative in residential respite care and for health workers considering whether to recommend such a course of action.
Resumo:
Commonly used paradigms for studying child psychopathology emphasize individual-level factors and often neglect the role of context in shaping risk and protective factors among children, families, and communities. To address this gap, we evaluated influences of ecocultural contextual factors on definitions, development of, and responses to child behavior problems and examined how contextual knowledge can inform culturally responsive interventions. We drew on Super and Harkness' "developmental niche" framework to evaluate the influences of physical and social settings, childcare customs and practices, and parental ethnotheories on the definitions, development of, and responses to child behavior problems in a community in rural Nepal. Data were collected between February and October 2014 through in-depth interviews with a purposive sampling strategy targeting parents (N = 10), teachers (N = 6), and community leaders (N = 8) familiar with child-rearing. Results were supplemented by focus group discussions with children (N = 9) and teachers (N = 8), pile-sort interviews with mothers (N = 8) of school-aged children, and direct observations in homes, schools, and community spaces. Behavior problems were largely defined in light of parents' socialization goals and role expectations for children. Certain physical settings and times were seen to carry greater risk for problematic behavior when children were unsupervised. Parents and other adults attempted to mitigate behavior problems by supervising them and their social interactions, providing for their physical needs, educating them, and through a shared verbal reminding strategy (samjhaune). The findings of our study illustrate the transactional nature of behavior problem development that involves context-specific goals, roles, and concerns that are likely to affect adults' interpretations and responses to children's behavior. Ultimately, employing a developmental niche framework will elucidate setting-specific risk and protective factors for culturally compelling intervention strategies.
Resumo:
Objective To test the hypothesis that the age at onset of bipolar disorder would identify a developmental subtype of bipolar disorder in adults characterized by increased levels of irritability, chronic course, rapid cycling, and comorbidity with attention deficit hyperactivity disorder. Methods Forty-four adult subjects diagnosed with bipolar disorder were selected from large family studies of youth with and without attention deficit hyperactivity disorder. These subjects were stratified by the age at onset in childhood (younger than 13 years; n = 8, 18%), adolescence (13–18 years; n = 12, 27%, or adulthood (older than 19 years; n = 24, 55%). All subjects were administered structure diagnostic interviews and a brief cognitive battery. Results In contrast with adult-onset bipolar disorder, child-onset bipolar disorder was associated with a longer duration of illness, more irritability than euphoria, a mixed presentation, a more chronic or rapid-cycling course, and increased comorbidity with childhood disruptive behavior disorders and anxiety disorders. Conclusion Stratification by age at onset of bipolar disorder identified subgroups of adult subjects with differing clinical correlates. This pattern of correlates is consistent with findings documented in children with pediatric bipolar disorder and supports the hypothesis that child-onset bipolar disorder may represent a developmental subtype of the disorder.
Resumo:
Tese de doutoramento, Psicologia (Psicologia Clínica), Universidade de Lisboa, Faculdade de Psicologia, 2015
Resumo:
Dissertação de Mestrado, Psicologia da Educação, especialidade de Contextos Educativos, 2 de Março de 2016, Universidade dos Açores.
Resumo:
Plusieurs études ont confirmé que certains traits de personnalité des enfants et certaines attitudes et pratiques éducatives de leurs parents constituaient des prédicteurs des comportements perturbateurs à l’adolescence. Toutefois, la majorité des recherches ont adopté un modèle postulant des relations directes et indépendantes entre ces facteurs de risque et des comportements perturbateurs. Le modèle transactionnel est plus réaliste parce qu’il postule des relations bidirectionnelles à travers le temps entre ces deux facteurs de risque. Cette étude visait à vérifier l’existence de relations bidirectionnelles entre les traits de personnalité des enfants et les attitudes parentales de leur mère mesurés à deux reprises durant l’enfance (à 6 et 7 ans), pour ensuite vérifier si les comportements perturbateurs des enfants mesurés à l’adolescence (15 ans) pouvaient être prédits par les traits de personnalité et les attitudes parentales. Les données utilisées proviennent d’une étude longitudinale prospective de 1000 garçons et 1000 filles évalués à plusieurs reprises de la maternelle à l’adolescence. Six traits de personnalité des enfants et deux attitudes parentales ont été évalués par les mères à 6 et 7 ans, alors que les diagnostics de troubles perturbateurs (trouble des conduites, trouble oppositionnel avec provocation, trouble de déficit de l’attention/hyperactivité) ont été évalués par les adolescents et les mères à 15 ans. Afin de tester les hypothèses de recherche, des analyses de cheminement (« path analysis ») multi-groupes basées sur la modélisation par équations structurales ont été utilisées. Les résultats ont confirmé la présence de relations bidirectionnelles entre les traits de personnalité de l’enfant et les attitudes parentales durant l’enfance. Toutefois, peu de relations étaient significatives et celles qui l’étaient étaient de faible magnitude. Les modèles multi-groupes ont par ailleurs confirmé la présence de relations bidirectionnelles différentes selon le sexe. En ce qui concerne la prédiction des comportements perturbateurs, de façon générale, surtout les traits de personnalité et les attitudes parentales à 6 ans (plutôt qu’à 7 ans) ont permis de les prédire. Néanmoins, peu de relations prédictives se sont avérées significatives. En somme, cette étude est une des rares à avoir démontré la présence de relations bidirectionnelles entre la personnalité de l’enfant et les attitudes parentales avec des données longitudinales. Ces résultats pourraient avoir des implications théoriques pour les modèles explicatifs des comportements perturbateurs, de même que des implications pratiques pour le dépistage des enfants à risque.
Resumo:
Récemment, un nombre grandissant de jeunes ayant des troubles du comportement ont été intégrés dans les classes régulières. Afin de soutenir cette intégration, plusieurs programmes d’intervention ont émergé et été implantés dans les écoles québécoises. Parmi ces programmes, on retrouve le programme l’Allié, qui se distingue des autres, notamment, par l’utilisation de pairs aidants. Ce cadre d’intervention prometteur soulève cependant certains questionnements sur la possibilité d’influence négative entre les jeunes. L’objectif de l’étude est de décrire, dans une approche comportementale, le processus d'influence entre pairs. Une méthodologie d’observation systématique des interactions sociales est privilégiée. Les résultats indiquent qu’il n’y a pas eu d’influence négative dans les groupes l’Allié. Les comportements perturbateurs ont eu plus de chances de cesser lorsque les participants les ont ignorés, que lorsque les pairs ont réagi à ces comportements. L’ignorance intentionnelle d’un comportement semble donc constituer un processus d’influence important dans les groupes de jeunes.
Resumo:
La relation mère-enfant a une influence sur le développement de l’enfant. Cette étude vise principalement à vérifier si la sensibilité maternelle modère l’expression du tempérament difficile de l’enfant à 9 mois. Elle vise également à vérifier si la relation d’attachement sécurisante / insécurisante modère le développement de comportements perturbateurs chez les enfants de 24 mois. Les données de l’étude La mère veille ont été employées. L’échantillon compte 96 mères adolescentes, âgées entre 14 et 19 ans, provenant de deux (2) milieux distincts : une école spécialisée pour mères adolescentes et un foyer de groupe. Des analyses de régression multiple n’ont pas confirmé l’effet modérateur de la sensibilité maternelle sur l’expression du tempérament difficile de l’enfant à 9 mois. Les analyses ont cependant montré un effet prédictif de l’attachement sécurisant / insécurisant sur le développement des comportements perturbateurs à 24 mois. En effet, un enfant qui a développé un attachement sécurisant envers sa mère est moins à risque d’émettre des comportements perturbateurs à l’âge de 24 mois. Les résultats ne permettent cependant pas de confirmer que l’effet observé est modérateur.
Resumo:
In der vorliegenden Arbeit wird ein am Strengths-Modell orientiertes Case Management-Projekt zur Prozess- und Ergebnisoptimierung der bereits bestehenden ambulanten gerontopsychiatrischen Versorgungsstruktur untersucht. Dazu arbeitete eine Krankenpflegerin mit psychiatrischer Fachausbildung in einer Berliner Sozialstation auf Basis einer professionellen Beziehung für 4-6 Wochen bei Klientinnen mit gerontopsychiatrischen Problemlagen, erstellte ein Assessment, leistete notwendige Unterstützung zunächst selbst, vermittelte gestützt auf die eigenen Erfahrungen weiterführende Dienste, leitete diese Dienste an, zog sich dann aus dem direkten Kontakt mit den Klientinnen zurück und blieb beratend für die weiterführenden Dienste verfügbar. Zur Untersuchung des Projekts wurden qualitative und quantitative Verfahren eingesetzt. Zur Beschreibung der Inhalte wurden die für jede Klientin verfasste Dokumentation und die Ergebnisse von grob strukturierten Interviews mit der Case Managerin, angelehnt an eine reduzierte Form der Methode Grounded Theory, in einem iterativen Prozess analysiert. In einem zweiten Schritt wurde dann untersucht, inwieweit die einzelnen Arbeitsinhalte des Case Managements die sozial-räumlichdingliche Umweltanpassung und Proaktivität der Klientinnen unterstützten. Die Wirkungen des Projektes auf Kognition, Aktivitäten des täglichen Lebens (ADL), Instrumentelle Aktivitäten des täglichen Lebens (IADL), Stimmung sowie soziales und störendes Verhalten wurden mittels eines standardisierten Fragebogens mit einem quasi-experimentellen prospektiven Untersuchungsdesign analysiert. Zur Analyse der subjektiven Wirkung des Projektes auf Angehörige wurden in den Ergebnissen von grob strukturierten Interviews mittels eines iterativen Prozesses Themen identifiziert. Die Klientinnen (n=11) erhielten durchschnittlich 23 Stunden Case Management. Neben den typischen Case Management-Aufgaben führte die Case Managerin, basierend auf den Gewohnheiten, Interessen und Selbsteinschätzungen der Klientinnen, therapeutische und pflegerische Maßnahmen durch und unterstützte dabei die sozial-dinglichräumliche Umweltanpassung und Proaktivität der Klientinnen. Zusätzlich wurden Hauspflegerinnen von der Case Managerin individuell in der Wohnung von Klientinnen hinsichtlich der Kommunikation mit und Unterstützung der Proaktivität von Klientinnen angeleitet. Die Hauspflegerinnen führten die von der Case Managerin eingeleiteten Maßnahmen erfolgreich fort. Bei den Klientinnen zeigten sich signifikante Verbesserungen in Gedächtnis, Stimmung, IADL-Funktionen und Sozialverhalten, aber nicht in ADL-Funktionen und störendem Verhalten. Diese Verbesserungen wurden subjektiv von den Angehörigen (n=7) bestätigt. Zusätzlich empfanden Angehörige eine zeitliche aber keine psychische Entlastung. Mit diesem Projekt wurde gezeigt, dass ein zeitlich begrenztes klientenzentriertes Case Management kognitive, soziale und emotionale Funktionen von gerontopsychiatrisch Erkrankten verbessert, Angehörige zeitlich entlastet und dass Hauspflegerinnen bei entsprechender Anleitung die vom Case Management eingeleiteten Maßnahmen fortführen können. In Folgestudien mit größerem Umfang sollten diese Ergebnisse überprüft werden um dann zu entscheiden, ob dieser Ansatz geeignet ist, die ambulante gerontopsychiatrische Versorgung gemeindenah zu verbessern.
Resumo:
O tema deste trabalho é a (in)disciplina em contexto de sala de aula, colocando - se o enfoque nas representações alunos do 3º ciclo, pais e professores sobre esta problemática e as suas perceções sobre o tipo de ocorrências e causas. Este estudo de caso procura um entendimento da indisciplina, reconhecendo-se a existência de uma miríade de fatores subjacentes a este conceito, cruzando diferentes olhares da psicologia, sociologia e pedagogia. O conceito de indisciplina é definido com referência ao conceito de disciplina traduzindo um comportamento disruptivo que emerge na relação pedagógica. A construção da relação interpessoal entre professor/aluno e a gestão do comportamento dos alunos assegura a manutenção de um clima que permite a efetividade do processo ensino – aprendizagem. Realiza-se uma abordagem numa perspetiva conceptual, procurando-se o conhecimento e natureza do conceito, a identificação das causas centrados no aluno desde as suas características psicológicas, sócio – económicas, de contexto familiar e culturais, as causas centradas no professor e na organização escolar, bem como as causas sociais que influenciam a ocorrência de (in)disciplina. Explanam-se formas de gestão e resolução de comportamentos disruptivos, atendendo a diferentes e possíveis abordagens. Efetua-se, numa perspetiva empírica, na tentativa de compreender o impacto da interação pedagógica na ocorrência de atos disruptivos, a análise e interpretação de dados obtidos por triangulação de métodos, a partir de uma população de alunos de 3ºciclo, professores e pais, permitindo uma reflexão e confrontação sobre as representações destes atores e as realidades observadas.
Resumo:
The building of the Berlin Wall on 13 August 1961 had repercussions not only on the international scene, but also for the power relationship between state and society in the German Democratic Republic. This article considers the short-, medium- and long-term reactions of the East German population to the border closure from a personal and political perspective, examining key groups such as educated elites, workers, and young people. The closed society elicited a new deference in the short term, but the author argues for considerable continuities of low-level disruptive behavior before and after 13 August. In the longer term, there was a generation born behind the Wall which by simple habituation rather than a conscious decision was forced to accept the new contours of the geopolitical landscape created by the Wall.