961 resultados para DERIVATIVE SECURITIES
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Investing in mutual funds has become more popular than ever and the amount of money invested in mutual funds registered in Finland has hit its all-time high. Mutual funds provide a relatively low-cost method for private investors to invest in stock market and achieve diversified portfolios. In finance there is always a tradeoff between risk and return, where higher expected returns can usually be achieved only by taking higher risks. Diversifying the portfolio gets rid some of the risk but systematic risk cannot be diversified away. These risks can be managed by hedging the investments with derivatives. The use of derivatives should improve the performance of the portfolios using them compared to the funds that don’t. However, previous studies have shown that the risk exposure and return performance of derivative users does not considerably differ from nonusers. The purpose of this study is to examine how the use of derivatives affects the performance of equity funds. The funds studied were 155 equity funds registered in Finland in 2013. Empirical research was done by studying the derivative use of the funds during a 6-year period between 2008–2013. The performance of the funds was studied quantitatively by using several different performance measures used in mutual fund industry; Sharpe Ratio, Treynor Ratio, Jensen's alpha, Sortino Ratio, M2 and Omega Ratio. The effect of derivative use on funds' performance was studied by using a dummy variable and comparing performance measures of derivative-users and nonusers. The differences in performance measures between the two groups were analyzed with statistical tests. The hypothesis was that funds' derivative use should improve their performance relative to the funds that don't use them. The results of this study are in line with previous studies that state that the use of derivatives does not improve mutual funds' performance. When performance was measured with Jensen's alpha, funds that did not use derivatives performed better than the ones that used them. When measured with other performance measures, the results didn’t differ between two groups.
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The objective of the study is to extend the existing hedging literature of the commodity price risks by investigating what kind of hedging strategies can be used in companies using bitumen as raw material in their production. Five different alternative swap hedging strategies in bitumen markets are empirically tested. Strategies tested are full hedge strategy, simple, conservative, and aggressive term structure strategies, and implied volatility strategy. The effectiveness of the alternative strategies is measured by excess returns compared to no hedge strategy. In addition, the downside risk of each strategy is measured with target absolute semi-deviation. Results indicate that any of the tested strategies does not outperform the no hedge strategy in terms of excess returns in all maturities. The best-performing aggressive term structure strategy succeeds to create positive excess returns only in short maturities. However, risk seems to increase hand-in-hand with the excess returns so that the best-performing strategies get the highest risk metrics as well. This implicates that the company willing to gain from favorable price movements must be ready to bear a greater risk. Thus, no superior hedging strategy over the others is found.
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Letter from the estates department to the securities department regarding the estate of H.K. Woodruff consolidated trusts. The letter states that Mr. Woodruff was still the registered owner of 15,000 shares of Manor Gold Mines. This was signed by J.B. Watkinson, June 17, 1936.
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Paul Latimer, Associate Professor, Department of Business Law and Taxation. Faculty of Business and Economics, Monash University. Présentation dans le cadre du cycle de conférences organisé par le CRDP intitulé « Le droit à la sécurité ... la sécurité par le droit ».
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La Securities and Exchange Commission vient d’étendre la possibilité pour les sociétés américaines cotées de refuser d’inclure dans les sollicitations de procuration les propositions des actionnaires concernant l’élection des administrateurs. Alors que ce thème fait débat et que l’autorité américaine ne s’était que peu prononcée, celle-ci propose une rédaction nouvelle de l’article 14a-8(i)(8) applicable depuis le 10 janvier 2008. Cette prise de position de la Securities and Exchange Commission offre l’opportunité d’analyser l’état de la gouvernance des entreprises américaines en matière d’élection de la direction et de constater que le pouvoir des actionnaires, bien que restreint par cette modification règlementaire, est revigoré en parallèle par le développement du « majority vote system ». La confrontation de ces deux orientations fait apparaître leur complémentarité sous-jacente et le fait que les actionnaires sont, au final, loin d’être dépourvus de moyens efficaces pour mettre en œuvre un activisme. C’est autour des mutations profondes que subit le paysage juridique entourant le pouvoir des actionnaires au moment de l’élection du conseil d’administration que cet écrit est orienté.
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Une des façons d’approcher la question de l’existence de raisons partiales non-dérivatives d’une quelconque sorte consiste à expliquer ce que sont les raisons partiales et ensuite à chercher à savoir s’il y a des raisons de cette sorte. Si de telles raisons existent, alors il est au moins possible qu’il y ait des raisons partiales d’amitié. C’est cette approche que j’adopterai ici, et elle produit des résultats intéressants. Le premier a trait à la structure des raisons partiales. C’est au moins une condition nécessaire pour qu’une raison soit partiale qu’elle aie une composante relationnelle explicite. Cette composante, techniquement parlant, est un relatum dans la relation d’être une raison qui elle-même est une relation entre la personne à qui la raison s’applique et la personne concernée par l’action pour laquelle il y a une raison. La deuxième conclusion de ce texte est que cette composante relationnelle est aussi requise dans de nombreuses sortes de raisons admises comme impartiales. Afin d’éviter de banaliser la distinction entre raisons partiales et impartiales nous devons appliquer une condition suffisante additionnelle. Finalement, bien qu’il pourrait s’avérer possible de distinguer les raisons impartiales ayant une composante relationnelle des raisons partiales, cette approche suggère que la question de savoir si l’éthique est partiale ou impartiale devra se régler au niveau de l’éthique normative, ou à tout le moins, qu’elle ne pourra se régler au niveau du discours sur la nature des raisons d’agir.
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La Securities and Exchange Commission a proposé au cours de l’été 2008 un guide permettant aux conseils d’administration des entreprises d’investissement d’appréhender plus complètement les devoirs qui s’imposent à eux dans la gestion – dans le meilleur intérêt des investisseurs – de leurs sociétés. Bien que n’entrainant pas de contraintes nouvelles, cette position de l’autorité boursière américaine rappelle non seulement les multiples obligations qui pèsent sur les administrateurs dans leur contrôle des conseillers en investissements, notamment en matière de « best execution » et de « soft dollars », mais encore que ce sont (encore et toujours) les conflits d’intérêts qui demeurent au centre des préoccupations.
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Les agences de notation de crédit ont permis la banalisation des véhicules de titrisation. Elles ont sous-estimé la probabilité que les émetteurs de certains instruments financiers complexes ne puissent pas honorer leurs dettes. Elles ont tardé à refléter la détérioration du marché de leurs notes. Les agences de notation ont donc été en partie responsables de la tempête que traversent les places financières mondiales et ont exposé les entreprises à un risque sérieux de défiance. Alors que les entreprises doivent à l’heure actuelle maîtriser de multiples risques, celles-ci ont été les premières victimes des professionnels de la notation. Pour apporter une réponse au risque de la notation, les régulateurs tentent de réagir. Par l’intermédiaire de leur autorité boursière, les Etats-Unis ont été les premiers à modifier le cadre règlementaire de l’activité de la notation. C’est ce cadre règlementaire, adopté au premier trimestre 2009, qui fait l’objet du présent papier.
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Près d’un quart de siècle que la Securities and Exchange Commission (SEC) ne s’était pas penchée sur le cas de l’information environnementale. C’est chose faite depuis le 8 février 2010. En effet, dans des lignes directrices rendues publiques au premier trimestre 2010, la SEC est venue offrir aux entreprises un outil pour appréhender les exigences qui pèsent sur elles en matière de divulgation concernant le changement climatique. Loin de constituer un nouveau cadre législatif ou de modifier celui existant, ce guide offre l’opportunité d’apporter de la clarté sur la manière dont le changement climatique s’intègre dans le dispositif réglementaire s’imposant aux entreprises nord-américaines. Après avoir présenté le dispositif juridique existant assurant une transparence des données relatives au changement climatique, la position de la SEC quant aux éléments à prendre en compte dans la divulgation des entreprises sera détaillée.
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new PVC membrane ion selective electrode which is highly selective towards Ni(II) ions was constructed using a Schiff base containing a binaphthyl moiety as the ionophore. The sensor exhibited a good Nernstian response for nickel ions over the concentration range 1.0 × 10–1 – 5.0 × 10–6 M with a lower limit of detection of 1.3 × 10–6 M. It has a fast response time and can be used for a period of 4 months with a good reproducibility. The sensor is suitable for use in aqueous solutions in a wide pH range of 3.6 – 7.4 and works satisfactorily in the presence of 25% (v/v) methanol or ethanol. The sensor shows high selectivity to nickel ions over a wide variety of cations. It has been successfully used as an indicator electrode in the potentiometric titration of nickel ions against EDTA and also for the direct determination of nickel content in real samples: effluent samples, chocolates and hydrogenated oils.
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Department of Applied Economics,Cochin University of Science and Technology
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The brace notation, introduced by Allen and Csaszar (1993, J. chem. Phys., 98, 2983), provides a simple and compact way to deal with derivatives of arbitrary non-tensorial quantities. One of its main advantages is that it builds the permutational symmetry of the derivatives directly into the formalism. The brace notation is applied to formulate the general nth-order Cartesian derivatives of internal coordinates, and to provide closed forms for general, nth-order transformation equations of anharmonic force fields, expressed as Taylor series, from internal to Cartesian or normal coordinate spaces.
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Acridine-4-carboxamides form a class of known DNA mono-intercalating agents that exhibit cytotoxic activity against tumour cell lines due to their ability to inhibit topoisomerases. Previous studies of bis-acridine derivatives have yielded equivocal results regarding the minimum length of linker necessary between the two acridine chromophores to allow bis-intercalation of duplex DNA. We report here the 1.7 angstrom resolution X-ray crystal structure of a six-carbon-linked bis(acridine-4-carboxamide) ligand bound to d(CGTACG)(2) molecules by non-covalent duplex cross-linking. The asymmetric unit consists of one DNA duplex containing an intercalated acridine-4-carboxamide chromophore at each of the two CG steps. The other half of each ligand is bound to another DNA molecule in a symmetry-related manner, with the alkyl linker threading through the minor grooves. The two crystallographically independent ligand molecules adopt distinct side chain interactions, forming hydrogen bonds to either O6 or N7 on the major groove face of guanine, in contrast to the semi-disordered state of mono-intercalators bound to the same DNA molecule. The complex described here provides the first structural evidence for the non-covalent cross-linking of DNA by a small molecule ligand and suggests a possible explanation for the inconsistent behaviour of six-carbon linked bis-acridines in previous assays of DNA bis-intercalation.