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"Mémoire présenté à la Faculté des études supérieures En vue de l'obtention du grade de maître en droit Option droit des affaires"
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RÉSUMÉ Forme littéraire développée dès les débuts du IVe siècle, l’hagiographie, plus tard sanctionnée par l’Église catholique romaine, se déploie avec tout le rituel et le décorum requis par le genre institué, dévoilant les modalités du savoir et du croire qui la distingue. Cette forme fixe fut réactivée, contre toute attente, dans une somme étoffée durant la seconde moitié du XXe siècle par le Collège de ‘Pataphysique, aréopage de philosophes, littérateurs et plasticiens, qui n’est pas un conclave d’excentriques, pas davantage qu’un nouvel « isme », mais une institution qui résolument emblématise la Science. Ce réemploi générique de l’hagiographie est caractérisé par une hétérogénéité bien peu canonique s’inscrivant dans une continuité problématique par rapport au sous-texte. Une première traversée du Calendrier inviterait à croire à une entreprise parodique et iconoclaste. La parodie, qui est aussi une imitation, pose un problème de visée. Le second degré de Gérard Genette implique deux grands régimes discursifs : le sérieux (le sérieux proprement dit et le satirique) et le ludique. Ces régimes nous ont été utiles pour arrimer la question de l’humour. Il y a là en somme deux possibilités, soit la parodie sérieuse conduisant à ridiculiser l’hagiographie et le Calendrier des Saints qui seraient sérieusement visés, néantisés, tournés en dérision; soit la parodie ludique, à portée nulle, simple jeu, farce farfelue, « pour rire ». Or, nous avons tenté de démontrer dans ce mémoire que, même s’il y a lieu d’avancer des arguments en faveur de l’un et de l’autre type de parodie, le partage ne fonctionne pas, précisément peut-être parce qu’il est possible de montrer à la fois que c’est sérieux et pas sérieux. Dans un troisième temps, on peut aussi faire la démonstration que le pas-sérieux est sérieux. Les jeux de mots, d’homophonie n’engagent-ils pas le Verbe? L’imitation impossible ne réfléchit-elle pas les imitabile de la Sainte Église? La situation énonciatrice tributaire de l’hagiographie pataphysique est non différentiable d’un souci de didactisme qui place la composante moralisatrice au centre des enjeux discursifs. Elle induit de ce fait des attentes en matière d’ethos consistant à mettre au même diapason une représentation sociale de l’énonciateur et une représentation intradiscursive au ton didactique. Elle adjoint un autre ton, savant celui-là, érudit, qui vient défaire la belle convergence et fait disjoncter la rhétorique du genre. Cette rhétoricité problématique de l’hagiographie pataphysique a été abordée sous l’angle de l’ethos. L’ethos est l’instance de validation par laquelle nous renvoyons non pas au caractère de l’orateur, mais, suivant en cela Dominique Maingueneau, au type de parole engendrée par le discours et qui, en retour, rend ce discours crédible. Que devient cette instance lorsque la visée persuasive du discours est remise en question, que l’ethos se démultiplie de façon hétérogène sans véritablement assurer la cohésion du propos ni garantir sa portée? La parodie posant incidemment un problème de visée, est-ce du côté d’un ethos parodique que se trouve la réponse? Il nous a convenu de mesurer, d’articuler, de déplacer cette postulation. Nous nous sommes saisi, pour les besoins de notre argumentation, d’une discipline historiquement lourde d’investissement théorique, soit la rhétorique. Celle-ci constitue à la fois une méthode de composition d’un discours reposant sur des lieux susceptibles de susciter l’adhésion et l’émulation de l’énonciataire et une méthode d’analyse. Guidé par une définition étendue du texte, traversant les littératures non narrative et narrative, il nous a importé enfin de restituer la pratique cymbaliste à partir d’un corpus qui est resté l’apanage du « seul » pataphysicien. Nous nous sommes ainsi situé dans l’horizon plus global de la réceptivité d’un discours qui évacue l’idéologique, qui jamais ne se laisse saisir tout à fait, ni enferrer par le fétiche du sens au profit des potentialités qu’il recèle, et cela à partir d’axiomes arbitraires soumis à l’unique exigence de cohérence interne.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les innovations en matière variétale et de biotechnologie végétale sont présentées comme un moyen efficace et approprié susceptible de favoriser l'amélioration de la production alimentaire et des conditions de travail et de vie des agriculteurs ainsi que celles des collectivités coutumières dans les pays membres de l'Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI). Sur le plan juridique, il se pose le problème de la protection juridique de ces innovations ou obtentions végétales. Le législateur OAPI de 1977 n'avait pas envisagé de protection pour les obtentions végétales. À la différence de certains États industrialisés qui organisaient un régime de protection sui generis ou par le système des brevets, il n'évoquait les variétés végétales et les procédés d'obtention des végétaux que pour les exclure du domaine brevetable. L'accord sur les aspects des droits de propriété intellectuelle qui touchent au commerce (ADPIC) de l'organisation mondiale du commerce (OMC) est venu modifier la donne en imposant que les obtentions végétales puissent être protégées par les brevets, par un système sui generis ou par une combinaison des deux moyens. Le législateur OAPI de 1999 a voulu intégrer ces nouvelles exigences internationales en révisant l'Accord de Bangui. Ce faisant, l'exclusion de la brevetabilité des variétés végétales a été maintenue. Il ne restait plus au législateur qu'une seule option, l'adoption d'un régime de protection sui generis. Son choix s'est matérialisé par l'adoption de l'annexe X de l'Accord de Bangui de 1999 consacrée à « la protection des obtentions végétales ». Cette annexe est calquée sur la version de 1991 de la Convention Internationale pour la protection des obtentions végétales, mise en place par les pays européens. Il s'agit là d'un choix discutable. En effet, l'annexe X introduit dans l'espace OAPI une législation désincarnée, parce que à la fois incomplète et inadaptée à l'environnement socio-économique des pays membres de l'OAPI.
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De grandes enquêtes en milieu scolaire, au Québec comme ailleurs, ont documenté depuis les années 2000 la portée des violences homophobes, particulièrement à l’école secondaire, ainsi que leurs impacts négatifs sur les élèves qui en sont victimes, qu’ils s’identifient ou non comme lesbiennes, gais, bisexuel(le)s ou en questionnement (LGBQ). La diffusion des résultats de ces enquêtes, ainsi que les constats similaires d’acteurs sur le terrain, ont fait accroitre les appels à la vigilance des écoles quant aux discriminations homophobes pouvant prendre forme en leur enceinte. Plusieurs des responsabilités résultant de cette mobilisation ont échoué par défaut aux enseignants, notamment en raison de leur proximité avec leurs élèves. Cependant, malgré la panoplie de publications et de formations visant explicitement à les outiller à ce sujet, les enseignants rapportent de manière consistante manquer de formation, d’habiletés, de soutien et d’aise à l’idée d’intervenir contre l’homophobie ou de parler de diversité sexuelle en classe. Cette thèse de doctorat vise à comprendre les pratiques d’intervention et d’enseignement que rapportent avoir les enseignants de l’école secondaire québécoise, toutes orientations sexuelles confondues, par rapport à la diversité sexuelle et à l’homophobie. Dans une perspective interdisciplinaire, nous avons interrogé la sociologie de l’éducation, les études de genre (gender studies) et les études gaies et lesbiennes, ainsi qu’emprunté aux littératures sur les pratiques enseignantes et sur l’intervention sociale. Les données colligées consistent en des entrevues semi-structurées menées auprès de 22 enseignants du secondaire, validées auprès de 243 enseignants, par le biais d’un questionnaire en ligne. Étayés dans trois articles scientifiques, les résultats de notre recherche permettent de mieux saisir la nature des pratiques enseignantes liées à la diversité sexuelle, mais également les mécanismes par lesquels elles viennent ou non à être adoptées par les enseignants. Les témoignages des enseignants ont permis d’identifier que les enseignants sont globalement au fait des attentes dont ils font l’objet en termes d’intervention contre l’homophobie. Ceci dit, en ce qu’ils sont guidés dans leurs interventions par le concept limité d’homophobie, ils ne paraissent pas toujours à même de saisir les mécanismes parfois subtils par lesquels opèrent les discriminations sur la base de l’orientation sexuelle, mais aussi des expressions de genre atypiques. De même, si la plupart disent condamner vertement l’homophobie dont ils sont témoins, les enseignants peuvent néanmoins adopter malgré eux des pratiques contribuant à reconduire l’hétérosexisme et à alimenter les mêmes phénomènes d’infériorisation que ceux qu’ils cherchent à combattre. Sauf exception, les enseignants tendent à comprendre le genre et l’expression de genre davantage comme des déterminants de type essentialiste avec lesquels ils doivent composer que comme des normes scolaires et sociales sur lesquelles ils peuvent, comme enseignants, avoir une quelconque influence. Les stratégies de gestion identitaire des enseignants LGB influencent les pratiques qu’ils rapportent être en mesure d’adopter. Ceux qui optent pour la divulgation, totale ou partielle, de leur homosexualité ou bisexualité peuvent autant rapporter adopter des pratiques inclusives que choisir de se tenir à distance de telles pratiques, alors que ceux qui favorisent la dissimulation rapportent plutôt éviter autant que possible ces pratiques, de manière à se garder de faire face à des situations potentiellement délicates. Également, alors que les enseignants LGB étaient presque exclusivement vus jusqu’ici comme ceux chez qui et par qui se jouaient ces injonctions à la vie privée, les enseignants hétérosexuels estiment également être appelés à se positionner par rapport à leur orientation sexuelle lorsqu’ils mettent en œuvre de telles pratiques. Nos résultats révèlent un double standard dans l’évocation de la vie privée des enseignants. En effet, la divulgation d’une orientation hétérosexuelle, considérée comme normale, est vue comme conciliable avec la neutralité attendue des enseignants, alors qu’une révélation similaire par un enseignant LGB est comprise comme un geste politique qui n’a pas sa place dans une salle de classe, puisqu’elle se fait au prix du bris d’une présomption d’hétérosexualité. Nos résultats suggèrent qu’il existe de fortes prescriptions normatives relatives à la mise en genre et à la mise en orientation sexuelle à l’école. Les enseignants s’inscrivent malgré eux dans cet environnement hétéronormatif. Ils peuvent être amenés à y jouer un rôle important, que ce soit en contribuant à la reconduction de ces normes (par exemple, en taisant les informations relatives à la diversité sexuelle) ou en les contestant (par exemple, en expliquant que certains stéréotypes accolés à l’homosexualité relèvent d’aprioris non fondés). Les discours des enseignants suggèrent également qu’ils sont traversés par ces normes. Ils peuvent en effet choisir de se conformer aux attentes normatives dont ils font l’objet (par exemple, en affirmant leur hétérosexualité), ou encore d’y résister (par exemple, en divulguant leur homosexualité à leurs élèves, ou en évitant de conforter les attentes dont ils font l’objet) au risque d’être conséquemment pénalisés. Bien entendu, cette influence des normes de genre diffère d’un enseignant à l’autre, mais semble jouer autant sur les enseignants hétérosexuels que LGB. Les enseignants qui choisissent de contester, explicitement ou implicitement, certaines de ces normes dominantes rapportent chercher des appuis formels à leurs démarches. Dans ce contexte, une telle quête de légitimation (par exemple, la référence aux règlements contre l’homophobie, la mobilisation des similitudes entre l’homophobie et le racisme, ou encore le rapprochement de ces enseignements avec les apprentissages prescrits pour leur matière) est à comprendre comme un outillage à la contestation normative. La formation professionnelle des enseignants sur l’homophobie et sur la diversité sexuelle constitue un autre de ces outils. Alors que les enseignants québécois continuent d’être identifiés comme des acteurs clés dans la création et le maintien d’environnements scolaires non-discriminatoires et inclusifs aux réalités de la diversité sexuelle, il est impératif de les appuyer en multipliant les signes formels tangibles sur lesquelles leurs initiatives peuvent prendre appui (politiques explicites, curriculum scolaire inclusif de ces sujets, etc.). Nos résultats plaident en faveur d’une formation enseignante sur la diversité sexuelle, qui ferait partie du tronc commun de la formation initiale des maîtres. Chez les enseignants en exercice, il nous apparait préférable de miser sur une accessibilité accrue des formations et des outils disponibles. En réponse toutefois aux limites que pose à long terme une approche cumulative des formations spécifiques portant sur différents types d’oppressions (l’homophobie, le racisme, le sexisme, etc.), nous argumentons en faveur d’un modèle d’éducation anti-oppressive au sein duquel les élèves seraient invités à considérer, non seulement la multiplicité et le caractère situé des divers types d’oppressions, mais également les mécanismes d’attribution de privilège, de constitution de la normalité et de la marginalité, et de présentation de ces arbitraires culturels comme des ordres naturels.
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Travail dirigé présenté à la Faculté des sciences infirmières en vue de l’obtention du grade de Maître ès sciences (M.Sc.) en sciences infirmières option expertise-conseil en soins infirmiers
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Rapport de stage présenté à la Faculté des sciences infirmières en vue de l'obtention du grade de Maître ès sciences (M.Sc.) en sciences infirmières option formation
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Low-lying coastal areas are more vulnerable to the impacts of climate change as they are highly prone for inundation to SLR (Sea-Level Rise). This study presents an appraisal of the impacts of SLR on the coastal natural resources and its dependent social communities in the low-lying area of VellareColeroon estuarine region of the Tamil Nadu coast, India. Digital Elevation Model (DEM) derived from SRTM 90M (Shuttle Radar Topographic Mission) data, along with GIS (Geographic Information System) techniques are used to identify an area of inundation in the study site. The vulnerability of coastal areas in Vellar-Coleroon estuarine region of Tamil Nadu coast to inundation was calculated based on the projected SLR scenarios of 0.5 m and 1 m. The results demonstrated that about 1570 ha of the LULC (Land use and Land cover) of the study area would be permanently inundated to 0.5 m and 2407 ha for 1 m SLR and has also resulted in the loss of three major coastal natural resources like coastal agriculture, mangroves and aquaculture. It has been identified that six hamlets of the social communities who depend on these resources are at high-risk and vulnerable to 0.5 m SLR and 12 hamlets for 1 m SLR. From the study, it has been emphasized that mainstreaming adaptation options to SLR should be embedded within a coastal zone management and planning effort, which includes all coastal natural resources (ecosystem-based adaptation), and its dependent social communities (community-based adaptation) involved through capacity building
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The inferences obtained from the study are presented in coherent area-specific levels so as to understand the ecotourism and its sub-sector areas for the researchers and policy makers about the issues, importances and potentialities of the sector. An analysis of the tourism sector in Kerala has shown tremendous growth both in terms of tourist arrivals and in terms of revenue generation from direct and indirect sources. The foreign tourist visitors in Kerala in 2014 was 9,23,336 which shows 7.60 percent increase from the last year and the domestic tourist visitors were 1,16,95,411 which again shows 7.71 percent increase, is a clear evidence of its potential. In 2014 the industry contributed revenue of 24885.44 crores from direct and indirect sources giving rise to an increase of 12.11 percent from the last year. A dichotomy of tourists and ecotourists shows that tourists in the ecotourism destinations come to 42.6 percent of the total, shows the scope, significance and its potential. Correlation of zone-wise tourist arrivals based on the ecotourism destinations highlights the fact that with only 19 of the 64 destinations that come in the central zone are the most preferred centres (around 54 percent) for the domestic as well as foreign tourists. The north zone encompassing 6 districts with rich biodiversity shows that the tourists‟ arrival patterns exhibit less promising results. Though the north zone has 31 ecotourism destinations of the state receives only 6.19 percent of the foreign visitors. The ecotourism activities in the state are primarily managed by the Eco-Development Committees (EDCs) and the Vana Samrakshana Samithies (VSS) under the Forest Development Agency of Kerala. Social class-wise categorization of membership shows that 13142 families have membership in 190 EDCs with SC (28 percent), ST (33 percent) and other marginalised communities (39 percent). But this in the VSS shows that 400 VSS have 59085 members actively engaged in ecotourism activities and social category of the VSS makes clear that majority are from the other marginalized fringe households with 62 percent where as the participation of SC is 12 percent and ST is 26 percent. An evaluation of the socio-economic and demographic matrix of the community members involved in ecotourism activities brings out region specific differences. About 75.70 percent of the respondents are males and the rest are females. Majority of the respondents (about 60 percent) are in the age group of 20 to 40 years, followed by the age group of 40-50 (20 percent). The average age of respondents in the three zones is between 35 and 37 years. The majority of the respondents are married, a few are unmarried. Average family size is 4-5 members and differences are identified among zones. Average number of adults per household is 3 and child per household is 2. Majority have an education of 10th class and below i.e. about 60 percent of the sample have only basic school education like primary, secondary and high school (i.e. up to SSLC but not passed) level. About 18 percent are SSLC passed, 10 percent are undergraduates whereas 6 percent constitute respondents having qualification of graduation and above. Majority of the „graduates and above‟ are from south and central zone. Inter-zone differences in educational profile are also identified with lesser number of „graduates and above‟ are identified in the north zone compared to the other two zones. Investigating into the income and livelihood options of the respondents gives insight about the prominence of ecotourism as an employment and livelihood option for the community members, as more than 90 percent of the respondents have cited tourism sector as their main employment option. Most (49.30 percent) of respondents get 100 percent income from tourism related activities, followed by 37.30 percent of community members have income between 75-99 percent from tourism whereas the rest (13 percent) have less than 74 percent of their income from tourism and there exists difference between zones and percentage of income. Financial habit shows that about 49.7 percent hold active bank accounts, 61 percent have savings behaviour and 73.8 percent have indebtedness. Analysis about the ownership of house brings to light that 37 percent of respondents live in their own house followed by 25.7 percent in government funded/provided house and 21 percent in their parent‟s house and 3.5 percent in rented house. About 12 percent of the respondents have other kinds of accommodation facilities such as staff quarters, etc. But in the case of north zone majority i.e. 52 percent primarily depend on the government funded house indicating the effectiveness of government housing programme. Standard of living measured in SLI frameworks shows that majority of the respondents have medium SLI values (42.3 percent); the remaining 47.7 percent have low SLI and 10 percent have high SLI. The community members have been benefitted immensely from forest and its resources. Since the ecotourism destinations are located amidst the wildlife settings, majority of them depend on forest for their livelihood. The information on the tourist‟s demographic characteristics like age, sex, educational qualification and annual income show that the age category of domestic and foreign tourists falls below the age group of less than 35 years (about 65 percent), whereas only 16 percent of tourists are aged above 46 years. The age group below 25 years consists of more international tourists (31.3 percent) compared to the proportion of domestic tourists (12.5 percent). Male-female ratio shows that the males constitute 56 percent of the sample and females with 44 percent. The factors determining the impact of ecotourism programmes in the community was evaluated with the aid of a factor analysis with 12 selected statements. The worries and concerns of the community members about the impact of ecotourism on the environment are well understood from this analysis. It can be drawn that environment protection and the role of ecotourism in improving the income and livelihood options of the local communities is the most important factor concerning the community members.
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The Kerala model of development mostly bypassed the fishing community, as the fishers form the main miserable groups with respect to many of the socio-economic and quality of life indicators. Modernization drive in the fishing sector paradoxically turns to marginalization drives as far as the traditional fishers in Kerala are concerned. Subsequent management and resource recuperation drives too seemed to be detrimental to the local fishing community. Though SHGs and cooperatives had helped in overcoming many of the maladies in most of the sectors in Kerala in terms of livelihood and employment in the 1980s, the fishing sector by that time had been moving ahead with mechanization and export euphoria and hence it bypassed the fishing sector. Though it has not helped the fishing sector in the initial stages, but because of necessity, it soon has become a vibrant livelihood and employment force in the coastal economy of Kerala. Initial success made it to link this with the governmental cooperative set up and soon SHGs and Cooperatives become reinforcing forces for the inclusive development of the real fishers.The fisheries sector in Kerala has undergone drastic changes with the advent of globalised economy. The traditional fisher folk are one of the most marginalized communities in the state and are left out of the overall development process mainly due to the marginalization of this community both in the sea and in the market due to modernization and mechanization of the sector. Mechanization opened up the sector a great deal as it began to attract people belonging to non-fishing community as moneylenders, boat owners, employers and middle men which often resulted in conflicts between traditional and mechanized fishermen. These factors, together with resource depletion resulted in the backwardness experienced by the traditional fishermen compared to other communities who were reaping the benefits of the overall development scenario.The studies detailing the activities and achievements of fisher folks via Self Help Groups (SHGs) and the cooperative movement in coastal Kerala are scant. The SHGs through cooperatives have been effective in livelihood security, poverty alleviation and inclusive development of the fisher folk (Rajasenan and Rajeev, 2012). The SHGs have a greater role to play as estimated fall in demand for marine products in international markets, which may result in reduction of employment opportunities in fish processing, peeling, etc. Also, technological advancement has made them unskilled to work in this sector making them outliers in the overall development process resulting in poor quality of physical and social infrastructure. Hence, it is all the more important to derive a strategy and best practice methods for the effective functioning of these SHGs so that the
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Die Untersuchung betrifft die deutsche öffentliche Verwaltung. Untersucht werden soll, ob eine Intensivierung des Organisationslernens Möglichkeiten zur Optimierung von Strukturen und Prozessen der öffentlichen Verwaltung bietet, mithin das Organisationslernen eine zweckmäßige Option für die Bürokratie darstellt. Untersucht wird diese Frage am Beispiel der Kommunalverwaltungen, die im Vergleich zu staatlichen Verwaltungen über größere Handlungsspielräume verfügen. Die Kommunalverwaltungen befinden sich derzeit in einem Reformprozess, der 1993 von der Kommunalen Gemeinschaftsstelle für Verwaltungsvereinfachung (KGSt) durch die Vorlage eines "Neuen Steuerungsmodells" (NSM) angestoßen wurde. Am Beispiel dieses Reformprozesses soll mit der vorliegenden Untersuchung zunächst geprüft werden, ob unter Berücksichtigung von Verlauf und Ergebnis dieses Prozesses ein Bedarf an einer Optimierung der Programme oder der Prozesse zur Verwaltungsentwicklung erkennbar ist. Sofern ein Bedarf zur Optimierung der Programme oder der Prozesse zur Verwaltungsentwicklung erkennbar wird, ist weiter zu fragen, ob dieser Bedarf durch das Organisationslernen befriedigt werden kann. Unter der Voraussetzung, dass die Modell-Vorstellung von der lernenden Organisation prinzipiell geeignet erscheint, in einem Entwicklungsprozess förderlich zu wirken, ist abschließend zu prüfen, ob dies auch unter der besonderen Aufgabenstellung und den besonderen Handlungsbedingungen der öffentlichen Verwaltung gelten könnte. Nach einer inzwischen mehr als 10-jährigen Einführungsphase wird ungeachtet einiger positiver Veränderungen die Gesamtbilanz zum NSM verhalten beurteilt. Im einzelnen lassen sich sowohl bezüglich des Modells problematische Lücken und Beschränkungen erkennen als auch Defizite in dem Implementationsverfahren. Insgesamt ist also die Frage nach dem Optimierungsbedarf zu bejahen. Die Intensivierung des Organisationslernens als Möglichkeit zur Optimierung von Implementationsprozessen kann nach dem Ergebnis der vorgenommenen Analysen grundsätzlich auch für die öffentliche Verwaltung in Betracht gezogen werden. Sowohl die grundlegenden Lernvoraussetzungen für das Organisationslernen als auch die grundlegenden verwaltungswissenschaftlich begründeten Anforderungen an die praktische Verwaltungsentwicklung erscheinen erfüllt. Zur Klärung der Frage, ob das Organisationslernen unter den besonderen Handlungsbedingungen der öffentlichen Verwaltung zur Optimierung des Verwaltungshandelns geeignet erscheint, wurde zusätzlich eine Expertenbefragung in ausgewählten Kommunalverwaltungen durchgeführt. Im Ergebnis dieser Befragung zeigt sich, dass die Vorstellung von einer lernenden Organisation zur Optimierung des Verwaltungshandelns durchaus auf Interesse stößt, jedoch die Einführungs- und Betriebsbedingungen zur Intensivierung des Organisationslernens noch nicht in allen Behörden gegeben sind und möglicherweise auch nicht in allen Behörden hergestellt werden können, so dass im Ergebnis das Organisationslernen als Option für die Bürokratie zwar Chancen verspricht, jedoch unter Berücksichtigung der Handlungsbedingungen in der öffentlichen Verwaltung differenziert zu beurteilen ist.
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Der Name einer kleinen Internatsschule im Berner Oberland taucht zunehmend in den Diskussionen über die Gestaltung von selbst organisiertem Lernen auf: Institut Beatenberg. Der Direktor des Instituts, Andreas Müller, und seine Mitarbeiter sind gefragte Referenten auf Veranstaltungen über die Einführung einer Lehr-Lernkultur, die den Lernenden und seine Lernprozesse in den Mittelpunkt der pädagogischen Arbeit stellt. Zudem finden ihre Publikationen zunehmendes Interesse im gesamten deutschsprachigen Raum. Ein Schlüsselinstrument wurde dabei zum Schlagwort: Kompetenzraster. Doch die stellen nur eines der Instrumente dar, die den ‚Wirkungskreislauf des Lernerfolgs’ in Beatenberg stützen. Berufliche Schulen in Hessen und Hamburg haben im Rahmen von Modellprojekten mit der Erarbeitung von Kompetenzrastern nach den Vorbildern in Beatenberg begonnen und versprechen sich damit eine neue, auf selbst organisiertem Lernen aufbauende kompetenzorientierte berufliche Bildung. In dem Beitrag werden die Arbeit mit Kompetenzrastern und den dahinter liegenden ‚Lernlandschaften’ sowie der ‚Wirkungskreislauf den Lernerfolgs’ in Beatenberg kompetenzorientiert dargestellt. Die Dimensionen Definition, Beschreibung, Ordnung, Erwerb, Messung und Anerkennung von Kompetenzen werden herausgearbeitet und die Möglichkeiten von Kompetenzrastern in der beruflichen Bildung kritisch gewürdigt. Der Beitrag ist entlang der genannten Dimensionen gegliedert.
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Resumen tomado de la publicaci??n
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