881 resultados para Skeptics (Greek philosophy)
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From Hesiod on, Gctiywv denotes a passionate figure, useful to ffee divinity from the charge of evil. Plutarch conceives Gaiywv as an active and changeable entity between God and rnatter; he must complete a catharsis that makes him better (more akin to God; Being in a higher degree). The task of Gaiyov is to take care of oracles and to guide human lives. If this task has been done correctly, Gaipov ascends to the sun; if not, he falls down to the earth.
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El propósito de este trabajo es probar y analizar la influencia de la sabiduría de Heráclito en algunos poemas de Miguel de Unamuno tales como ‘La elegía eterna’ y ‘La flor tronchada’. En ocasiones –‘La elegía eterna’- Heráclito es para él una especie de muleta intelectual con cuya ayuda acierta a mostrar poéticamente sus angustias y, en otras, -‘La flor tronchada’- necesita realmente la filosofía de Heráclito para ilustrar su visión de Dios y de la vida humana como una lucha o guerra permanente.
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The aim of this brief article is to demonstrate and analyze the influence of Heraclitus’s thought on some of the poems written by Miguel de Unamuno, in particular ‘La elegía eterna’ and ‘La flor tronchada’. At times –as in ‘La elegía eterna’– Heraclitus merely serves as a sort of a walking stick, an aid to his efforts to poetically reveal his anxieties. On other occasions –as in ‘La flor tronchada’– he genuinely needs Heraclitus’s philosophy to illustrate his view of human life and its relation to God as unending warfare.
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Plató és autor d"uns Diàlegs fonamentals en la història d"allò que abans s"anomenava «la nostra» cultura, la cultura d"Occident; no hi deu haver ningú que ignori aquesta dada bàsica, elemental; i potser per això mateix pot semblar sorprenent que calgui reblar-ho. Ara bé, el fet de preguntar-se amb calma per quins motius el primer monument filosòfic que reconeixem en part, almenys com a «nostre» adopta la forma dialògica no constitueix cap platitud anacrònica, si es fa amb cura, ni mereix un encongiment d"espatlles com a tota resposta.
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The work by Epictetus shows a remarkable amount of allusions to unpleasant aspects of the human body. It deals with expressions which sometimes could be almost considered aischrologia and, on other occasions, they really are. Our contribution approaches this subject and asks which might be the origin of this practice. We suggest the use of those expressions describes the body in terms fitting with Epictetus" stoic philosophy aimed to establish an inner separation between body and the right use of reason leading us into virtue. Furthermore his humble origin as a slave could help him in using unpleasant words without prejudices. Also Arrian could insist on that characteristic when transmitting Epictetus" teachings.
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L'enquete sur les rapports entre les écrivains de l'époque impériale et leurs références classiques offre un champ de travall intéressant qui peut, sans doute, a comprendre le caractère scolaire, certes, de la littérature de cette période...
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The fascinating search of the inner boundaries of the Universe, has been entangled, since the birth of greek philosophy 25 centuries ago, with the main epistemological changes in the History of Science. This paper does not intend to present a systematic description of the discovery of the elementary particles. By stressing the main achievements of the knowledge of matter's structure and their dependence on symmetry arguments, it is argued that even considering profound differences in each historical period, there is a paradgima of atom shared by Chemistry and Particle Physics. This text could help High School Teachers of Chemistry and Physics, as well as motivate them, in the challenge of explaining to their pupils how the idea of atom evolved.
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[cat] Les traduccions dels primers capítols del llibre VII de la República de Plató on apareix la famosa imatge de la caverna, εἰκών, presenten una sorprenent i intrigant varietat interpretativa: “al·legoria”, “mite”, “faula”, “paràbola”, “símil”, “comparació”... Aquest article, prenent com a exemple la notable fidelitat al text del traductor victorià de Plató, B. Jowett, i mitjançant una anàlisi rigorosa dels termes que acompanyen la imatge, manté la necessitat de no interpretar ni corregir en aquest cas el gran filòsof idealista o “ideocèntric”, assenyalant alhora, si el capteniment filològic és un altre, les contradiccions resultants i l’ús d’algun terme aliè al lèxic platònic com ara “al·legoria”.
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Although Thomas Mann’s novel The Magic Mountain has been the object of innumerable studies, this paper suggests that so far none of these has given truly close attention to the significance of the classical references in this novel with regard to the search for a true humanism. This is probably owing to the generally held belief that the influence of the classical tradition is relatively inconsequential in relation to the ample conjunction of philosophical ideas on which the novel is based. This article takes a differing view and, through a close analysis and comment of the explicit and implicit classical notions in the text, concludes that these ideas are also a valuable key to a greater comprehension of the ideological design of the main character, Hans Castorp, and to a certain degree they also help to continue to reflect on the most enigmatic and controversial episode of the novel: the young protagonist’s descent to the plain from the magical mountain (Zauberberg) in order to take part in the great tragedy of World War I, alien as is any war to the prevalent but ultimately futile desire that love (Liebe) should in the end prevail in the life of humans.
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Cette étude cherche à établir un rapport entre les nombreuses références positives à l’animal présentes dans le corpus cynique et une certaine conception de l’activité philosophique mise de l’avant par ces philosophes et, plus particulièrement, incarnée par la figure de Diogène de Sinope. Comme il le sera brièvement montré dans la première partie, l’animal est un concept pratiquement absent de la pensée grecque qui tend à penser l’unité du vivant. Il ne peut faire son apparition que dans un contexte moral afin de fonder les normes de l’agir proprement humain, et dans ce contexte, les références positives à l’animal sont plutôt rares. La position des philosophes cyniques, qui exhortent fréquemment les hommes à s’inspirer des animaux afin d’atteindre la vertu, est donc, à cet égard, excessivement singulière. Comment interpréter ce renversement de perspective où l’homme ne semble plus occuper la position intermédiaire entre les immortels et les bêtes? En examinant les thèses de Thierry Gonthier, d’Ovide Florès-Junior et de Marie-Odile Goulet-Cazé sur la question, la deuxième partie de cette étude nous mettra sur la voie de la rhétorique d’exhortation qui, nous le verrons, est constitutive même de la pratique philosophique cynique. Il reste cependant à déterminer à quoi, plus précisément, les philosophes cyniques exhortent leurs concitoyens et, ce qui est pour cette étude le nœud du problème, dans quelle mesure la figure de l’animal est-elle susceptible de nous renseigner. La troisième partie de cette étude portera ainsi sur l’idéal de sagesse cynique et sur la figure emblématique du mouvement, le chien. Nous tâcherons alors de montrer, en prolongeant les lectures qu’en ont faites Jean-Marie Meilland, D. Deleule et Peter Sloterdijk, que la valorisation de l’animal chez les cyniques ne doit pas être comprise comme un vil appel à la régression en l’animalité mais plutôt comme la promotion d’une singulière conception de l’activité philosophique.
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Pour Simone Weil, le malheur est « quelque chose de spécifique, irréductible à toute autre chose, comme les sons, dont rien ne peut donner aucune idée à un sourd-muet ». Il s’apparente à un sacrement, à un rite sacré susceptible de rapprocher l’homme du divin. Et si la pensée weilienne se révèle non-conformiste pour aborder la figure du malheur, c’est parce qu’elle ne se limite pas à une tradition unique, mais trouve écho tant dans la religion chrétienne et le Nouveau Testament que dans la philosophie grecque de l’antiquité – principalement le stoïcisme et le platonisme – et dans certains textes orientaux tels que la Bhagavad-Gîtâ et le Tao Te King. Par un singulier amalgame de ces influences, Weil donne naissance à une méthode spirituelle dont une des étapes fondamentales est le malheur, thème très fécond pour dénouer et affronter le dialogue entre spiritualité et contemporanéité. Parce que cette méthode ne peut pleinement être appréhendée que sur la frontière de l’athéisme et de la croyance religieuse, approfondir ses implications permet d’interroger les traces du sacré dans les civilisations occidentales. Retracer les étapes de son développement permet également de sonder le rapport qu’entretiennent les hommes avec le malheur, ainsi que de porter un regard sensible sur une époque où l’actualité fait souvent état des malheureux alors que le malheur d’autrui semble être une réalité à fuir.
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Ma thèse montre la présence et le rôle de la métaphysique dans Vérité et méthode. Elle tente de démontrer que Gadamer s'inspire du néoplatonisme pour surmonter le subjectivisme de la modernité et propose une métaphysique à cette fin. Après avoir expliqué comment Gadamer se réapproprie l’héritage de la pensée grecque pour critiquer la modernité en situant son interprétation de Platon par rapport à celle de Heidegger, je montre que Gadamer s’approprie la conception de l’être de Plotin de façon telle qu’il peut s’y appuyer pour penser l’autoprésentation de l’être dans l’expérience herméneutique de la vérité. L’art va, pour ce faire, redevenir sous la conduite du néoplatonisme source de vérité. Gadamer redonne en effet une dignité ontologique à l’art grâce à la notion d’émanation, notion qui permet de penser qu’il y a une présence réelle du représenté dans sa représentation, celle-ci émanant du représenté sans l’amoindrir, mais lui apportant au contraire un surcroît d’être. La notion d’émanation permet ensuite à Gadamer d’affirmer le lien indissoluble qui unit les mots aux choses. En effet, la doctrine du verbe intérieur de Thomas d’Aquin implique ce lien que Platon avait occulté en réduisant le langage, comme la logique, à n’être qu’un instrument de domination du réel. L’utilisation de la notion néoplatonicienne d’émanation permet donc de dépasser la philosophie grecque du logos et de mieux rendre compte de l’être de la langue. Je montre ensuite comment Gadamer radicalise sa pensée en affirmant que l’être qui peut être compris est langage, ce qui veut dire que l’être, comme chez Plotin, est autoprésentation de soi-même. Pour ce faire, Gadamer rattache l’être du langage à la métaphysique néoplatonicienne de la lumière. Les dernières pages de Vérité et méthode rappellent en effet que la splendeur du beau est manifestation de la vérité de l’être. On rattachera alors le concept de vérité herméneutique à ses origines métaphysiques. La vérité est une manifestation de l’être dont on ne peut avoir part que si on se laisse submerger par sa lumière. Loin d’être affaire de contrôle méthodique, l’expérience de la vérité exige de se laisser posséder par ce qui est à comprendre. Je démontre ainsi que Gadamer a découvert dans le néoplatonisme des éléments permettant de s’opposer à la dictature du sujet moderne, dictature qui doit être renversée, car elle masque le réel rapport de l’homme à la vérité en faisant abstraction de la finitude de son existence concrète. La critique du subjectivisme moderne sous la conduite du néoplatonisme ouvre ainsi le chemin vers une métaphysique de la finitude.
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Ce mémoire se focalise sur la pièce Antony and Cleopatra de Shakespeare en relation avec la pensée biblique, l’humanisme de la Renaissance et les caractéristiques de la tragédie comme genre littéraire et philosophie grecque. La chute d’Adam et Eve dans la Bible, ainsi que le conflit entre le héros tragique et les dieux, sont deux thèmes qui sont au centre de ce mémoire. Le mythe de la chute d’Adam et Eve sert, en effet, d’un modèle de la chute—et par conséquent, de la tragédie—d’Antoine et Cléopâtre mais aussi de structure pour ce mémoire. Si le premier chapitre parle de paradis, le deuxième évoque le péché originel. Le troisième, quant à lui, aborde une contre-rédemption. Le premier chapitre réfère à l’idée du paradis, ou l’Éden dans la bible, afin d’examiner ce qui est édénique dans Antony and Cleopatra. La fertilité, l’épicuréisme, l’excès dionysien sont tous des éléments qui sont présents dans la conception d’un Éden biblique et Shakespearien. Le deuxième chapitre est une étude sur la tragédie comme genre fondamentalement lié à la pensée religieuse et philosophique des grecs, une pensée qui anime aussi Antony and Cleopatra. Ce chapitre montre, en effet, que les deux protagonistes Shakespeariens, comme les héros tragiques grecs, défient les dieux et le destin, engendrant ainsi leur tragédie (ou ‘chute’, pour continuer avec le mythe d’Adam et Eve). Si le deuxième chapitre cherche à créer des ponts entre la tragédie grecque et la tragédie Shakespearienne, le troisième chapitre montre que le dénouement dans Antony and Cleopatra est bien différent des dénouements dans les tragédies de Sophocle, Euripide, et Eschyle. Examinant la pensée de la Renaissance, surtout la notion d’humanisme, la partie finale du mémoire présente les protagonistes de Shakespeare comme des éternels rebelles, des humanistes déterminés à défier les forces du destin.
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Cícero é uma das poucas fontes críticas de textos do pensamento helenístico durante o período da Roma republicana. Ele atualiza a filosofia grega e, concomitantemente, reconhece a superioridade do direito romano. O espírito prático e guerreiro do povo romano afastava a filosofia, mas a emergência de novos problemas exigia reflexão. Nas disputas políticas e jurídicas, a retórica era um instrumento indispensável. O reaparecimento de estudos retóricos no século XX permitiu que alguns comentadores reconsiderassem a relação entre a retórica e a filosofia, propiciando algumas reflexões sobre o papel de Cícero na historiografia da filosofia.
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O presente artigo pretende chamar a atenção para o papel representado por Rodolfo Mondolfo, com sua teoria da dependência da primeira filosofia grega em relação a uma reflexão anterior sobre o homem e a vida social, na viragem que reinseriu na história o início da filosofia.