976 resultados para Political science|Organizational behavior
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Since independent regulatory agencies (IRAs) became key actors in European regulatory governance in the 1990s, a significant share of policy-making has been carried out by organizations that are neither democratically elected nor directly accountable to elected politicians. In this context, public communication plays an important role. On the one hand, regulatory agencies might try to use communication to raise their accountability and thereby to mitigate their democratic deficit. On the other hand, communication may be used with the intent to steer the behavior of the regulated industry when more coercive regulatory means are unfeasible or undesirable. However, empirical research focusing directly on how regulators communicate is virtually non-existent. To fill this gap, this paper examines the public communication of IRAs in four countries (the United Kingdom, Germany, Ireland, and Switzerland) and three sectors (financial services, telecommunications, and broadcasting). The empirical analysis, based on qualitative interviews and a quantitative content analysis, indicates that the organization of the communication function follows a national pattern approach while a policy sector approach is helpful for understanding the use of communication as a soft tool of regulation.
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As a result of the growing interest in studying employee well-being as a complex process that portrays high levels of within-individual variability and evolves over time, this present study considers the experience of flow in the workplace from a nonlinear dynamical systems approach. Our goal is to offer new ways to move the study of employee well-being beyond linear approaches. With nonlinear dynamical systems theory as the backdrop, we conducted a longitudinal study using the experience sampling method and qualitative semi-structured interviews for data collection; 6981 registers of data were collected from a sample of 60 employees. The obtained time series were analyzed using various techniques derived from the nonlinear dynamical systems theory (i.e., recurrence analysis and surrogate data) and multiple correspondence analyses. The results revealed the following: 1) flow in the workplace presents a high degree of within-individual variability; this variability is characterized as chaotic for most of the cases (75%); 2) high levels of flow are associated with chaos; and 3) different dimensions of the flow experience (e.g., merging of action and awareness) as well as individual (e.g., age) and job characteristics (e.g., job tenure) are associated with the emergence of different dynamic patterns (chaotic, linear and random).
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The topic is white collar crime in its organizational form. The research question is why otherwise law-abiding people engage in wrongful behavior within legitimate organizations and what kinds of dynamics are involved in wrongful organizational processes. This is a theoretical inquiry the method of which is to bring together relevant literature on organizational behavior regardless of the branch of science. In addition to criminological and sociolegal writings, I mostly refer to works of social psychology and organization theory. At first, I discuss the terminological multiplicity related to organizational white collar crime. In conclusion from a critical analysis of the dominant terms and definitions, I argue for the concept of organizational wrongdoing. The approach of organizational wrongdoing captures unethical, illegal and criminal organizational behavior. Thus, it is not retricted by legislative categories but ethical reasoning. The approach aims at grasping a behavioral entity, and state law crimes do not constitute an ontology of behavior. In order to understand organizational wrongdoing, the dominant criminological theories applied to white collar crime are discussed. To a surprisingly large extent, they lack a sophisticated organizational perspective and do not offer viable frameworks for building a plausible theory of organizational white collar crime. In order to fill the gap, I incorporate the social psychological dynamics of organizational behavior and present several findings on collective behavior that criminological theorization must come to terms with. ------ This publication has been first presented and accepted as a master's thesis at the Faculty of Law, University of Turku. It has been published on the series: Criminal Law and Judicial Procedure, Series B: 15, in print format. The publication was digitized in 2015 and published online.
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À une époque où l'immigration internationale est de plus en plus difficile et sélective, le statut de réfugié constitue un bien public précieux qui permet à certains non-citoyens l'accès et l'appartenance au pays hôte. Reposant sur le jugement discrétionnaire du décideur, le statut de réfugié n’est accordé qu’aux demandeurs qui établissent une crainte bien fondée de persécution en cas de retour dans leur pays d'origine. Au Canada, le plus important tribunal administratif indépendant, la Commission de l'immigration et du statut de réfugié du Canada (CISR), est chargé d’entendre les demandeurs d'asile et de rendre des décisions de statut de réfugié. Cette thèse cherche à comprendre les disparités dans le taux d’octroi du statut de réfugié entre les décideurs de la CISR qui sont politiquement nommés. Au regard du manque de recherches empiriques sur la manière avec laquelle le Canada alloue les possibilités d’entrée et le statut juridique pour les non-citoyens, il était nécessaire de lever le voile sur le fonctionnement de l’administration sur cette question. En explorant la prise de décision relative aux réfugiés à partir d'une perspective de Street Level Bureaucracy Theory (SLBT) et une méthodologie ethnographique qui combine l'observation directe, les entretiens semi-structurés et l'analyse de documents, l'étude a d'abord cherché à comprendre si la variation dans le taux d’octroi du statut était le résultat de différences dans les pratiques et le raisonnement discrétionnaires du décideur et ensuite à retracer les facteurs organisationnels qui alimentent les différences. Dans la lignée des travaux de SLBT qui documentent la façon dont la situation de travail structure la discrétion et l’importance des perceptions individuelles dans la prise de décision, cette étude met en exergue les différences de fond parmi les décideurs concernant les routines de travail, la conception des demandeurs d’asile, et la meilleure façon de mener leur travail. L’analyse montre comment les décideurs appliquent différentes approches lors des audiences, allant de l’interrogatoire rigide à l’entrevue plus flexible. En dépit des contraintes organisationnelles qui pèsent sur les décideurs pour accroître la cohérence et l’efficacité, l’importance de l’évaluation de la crédibilité ainsi que l’invisibilité de l’espace de décision laissent suffisamment de marge pour l’exercice d’un pouvoir discrétionnaire. Même dans les environnements comme les tribunaux administratifs où la surabondance des règles limite fortement la discrétion, la prise de décision est loin d’être synonyme d’adhésion aux principes de neutralité et hiérarchie. La discrétion est plutôt imbriquée dans le contexte de routines d'interaction, de la situation de travail, de l’adhésion aux règles et du droit. Même dans les organisations qui institutionnalisent et uniformisent la formation et communiquent de façon claire leurs demandes aux décideurs, le caractère discrétionnaire de la décision est par la nature difficile, voire impossible, à contrôler et discipliner. Lorsqu'ils sont confrontés à l'ambiguïté des objectifs et aux exigences qui s’opposent à leur pouvoir discrétionnaire, les décideurs réinterprètent la définition de leur travail et banalisent leurs pratiques. Ils formulent une routine de rencontre qui est acceptable sur le plan organisationnel pour évaluer les demandeurs face à eux. Cette thèse montre comment les demandeurs, leurs témoignages et leurs preuves sont traités d’une manière inégale et comment ces traitements se répercutent sur la décision des réfugiés.
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A través de un caso de estudio se explora cómo la construcción de sentido de un grupo de directivos, bajo una misma inspiración, generó el inicio de un cambio estratégico en una prestigiosa y reconocida universidad colombiana, la Universidad del Rosario. Una institución que en un momento determinado notó que estaba siendo percibida dentro del sector de la educación superior como pequeña, estática en el avance de algunas disciplinas del conocimiento y conservadora; en otras palabras, que estaba perdiendo el reconocimiento que usualmente la había acompañado. A través del estudio de este caso se utilizó la técnica de análisis de discurso para comprender la construcción de sentido del inicio de un cambio estratégico en las organizaciones. Esta técnica permitió analizar la información cualitativa derivada de las entrevistas que se realizaron en profundidad a la cúpula de directivos de la institución y a algunos destacados representantes del sector de la Educación Superior en Colombia. Los resultados sugieren que se hicieron presentes, efectivamente, algunas condiciones específicas que marcaron el inicio de un cambio estratégico en la institución y un viraje en su identidad e imagen. Hechos que se sustentaron en los miembros de un equipo que procuró interpretar y comprender los cambios existentes en el entorno global y local, y asimilar, igualmente, algunos destacados retos que se planteaban por aquella época, al interior de la propia Universidad
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Aunque el concepto de sabiduría ha sido ampliamente estudiado por expertos de áreas como la filosofía, la religión y la psicología, aún enfrenta limitaciones en cuanto a su definición y evaluación. Por esto, el presente trabajo tiene como objetivo, formular una definición del concepto de sabiduría que permita realizar una propuesta de evaluación del concepto como competencia en los gerentes. Para esto, se realizó un análisis documental de tipo cualitativo. De esta manera, se analizaron diversos textos sobre la historia, las definiciones y las metodologías para evaluar tanto la sabiduría como las competencias; diferenciando la sabiduría de otros constructos y analizando la diferencia entre las competencias generales y las gerenciales para posteriormente, definir la sabiduría como una competencia gerencial. Como resultado de este análisis se generó un prototipo de prueba denominado SAPIENS-O, a través del cuál se busca evaluar la sabiduría como competencia gerencial. Como alcances del instrumento se pueden identificar la posibilidad de medir la sabiduría como competencia en los gerentes, la posibilidad de dar un nuevo panorama a las dificultades teóricas y empíricas sobre la sabiduría y la posibilidad de facilitar el estudio de la sabiduría en ambientes reales, más específicamente en ambientes organizacionales.
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La monografía presenta la auto-organización sociopolítica como la mejor manera de lograr patrones organizados en los sistemas sociales humanos, dada su naturaleza compleja y la imposibilidad de las tareas computacionales de los regímenes políticos clásico, debido a que operan con control jerárquico, el cual ha demostrado no ser óptimo en la producción de orden en los sistemas sociales humanos. En la monografía se extrapola la teoría de la auto-organización en los sistemas biológicos a las dinámicas sociopolíticas humanas, buscando maneras óptimas de organizarlas, y se afirma que redes complejas anárquicas son la estructura emergente de la auto-organización sociopolítica.
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Las capacidades dinámicas constituyen un aporte importante a la estrategia empresarial. De acuerdo con esta premisa se desarrolla el siguiente documento, al reconocer que la generación de competencias se consolida como la base teórica para el logro de sostenibilidad ante eventos de cambio que puedan afectar la estabilidad y la toma de decisiones de las organizaciones. Dada la falta de aplicación empírica del concepto se ha elaborado este paper, en el que se demuestran e identifican las herramientas que la aplicación empiríca puede dar a las organizaciones y los instrumentos que proveen para la generación de valor. A través del caso de estudio ASOS.COM se ejemplifica la necesidad de detección y aprovechamiento de oportunidades y amenazas, así como la reconfiguración, renovación y generación de competencias de segundo orden para enfrentar el cambio. De esta manera por medio de las habilidades creadas al interior de las empresas con enfoque en el aprendizaje e innovación se logra la comprensión del negocio y el afianzamiento de mejores escenarios futuros.
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Hoy en día, el emprendimiento se ha convertido en uno de los factores esenciales para promover el desarrollo y fomentar la evolución de la sociedad a nivel mundial. Enfocándonos en Colombia y más específicamente en una población delimitada, el centro de emprendimiento de la Universidad del Rosario desarrolló un estudio que permitiera medir la caracterización del perfil emprendedor de sus estudiantes, éste con el objetivo de identificar diferentes variables que inciden en el entorno de los estudiantes al momento de edificar su perfil emprendedor. Por lo anterior, esta investigación se centró en realizar un análisis de la caracterización del comportamiento del perfil emprendedor de los estudiantes de Pregrado de la Facultad de Jurisprudencia de la Universidad del Rosario, la cual permitió comprender un perfil mucho más detallado a la luz de variables identificables. Para su desarrollo, se utilizó la herramienta homologada a nivel internacional conocida como "Características del Comportamiento Emprendedor" o CCE de EMPRETEC basándose en la teoría de McClelland donde se observaron los factores motivacionales que se asocian directamente al comportamiento emprendedor. La metodología usada permitió caracterizar el comportamiento de los estudiantes de la facultad de Jurisprudencia de 1° a 10° semestre mediante la evaluación de 10 factores asociados a necesidades de logro, poder y afiliación.
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Contenido Introducción 1. Inteligencia emocional, liderazgo transformacional y género: factores que influencian el desempeño organizacional / Ana María Galindo Londoño, Sara Urrego Mayorga; Director: Juan Carlos Espinosa Méndez. 2. El rol de la mujer en el liderazgo / Andrea Patricia Cuestas Díaz; Directora: Francoise Venezia Contreras Torres. 3. Liderazgo transformacional, clima organizacional, satisfacción laboral y desempeño. Una revisión de la literatura / Juliana Restrepo Orozco, Ángela Marcela Ochoa Rodríguez; Directora: Françoise Venezia Contreras Torres. 4. “E-Leadership” una perspectiva al mundo de las compañías globalizadas / Ángela Beatriz Morales Morales, Mónica Natalia Aguilera Velandia; Director: Juan Carlos Espinosa. 5. Liderazgo y cultura. Una revisión / Daniel Alejandro Romero Galindo; Directora: Francoise Venezia Contreras Torres. 6. La investigación sobre la naturaleza del trabajo directivo: una revisión de la literatura / Julián Felipe Rodríguez Rivera, María Isabel Álvarez Rodríguez; Director: Juan Javier Saavedra Mayorga. 7. La mujer en la alta dirección en el contexto colombiano / Ana María Moreno, Juliana Moreno Jaramillo ; Directora: Françoise Venezia Contreras Torres. 8. Influencia de la personalidad en el discurso y liderazgo de George W. Bush después del 11 de septiembre de 2011 / Karen Eliana Mesa Torres; Director: Juan Carlos Espinosa. 9. La investigación sobre el campo del followership: una revisión de la literatura / Christian D. Báez Millán, Leidy J. Pinzón Porras; Director: Juan Javier Saavedra Mayorga. 10. El liderazgo desde la perspectiva del poder y la influencia. Una revisión de la literatura / Lina María García, Juan Sebastián Naranjo; Director: Juan Javier Saavedra Mayorga. 11. El trabajo directivo para líderes y gerentes: una visión integradora de los roles organizacionales / Lina Marcela Escobar Campos, Daniel Mora Barrero; Director: Rafael Piñeros. 12. Participación emocional en la toma de decisiones / Lina Rocío Poveda C., Gloria Johanna Rueda L.; Directora: Francoise Contreras T. 13. Estrés y su relación con el liderazgo / María Camila García Sierra, Diana Paola Rocha Cárdenas; Director: Juan Carlos Espinosa. 14. “Burnout y engagement” / María Paola Jaramillo Barrios, Natalia Rojas Mancipe; Director: Rafael Piñeros.
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Previous research has shown that often there is clear inertia in individual decision making---that is, a tendency for decision makers to choose a status quo option. I conduct a laboratory experiment to investigate two potential determinants of inertia in uncertain environments: (i) regret aversion and (ii) ambiguity-driven indecisiveness. I use a between-subjects design with varying conditions to identify the effects of these two mechanisms on choice behavior. In each condition, participants choose between two simple real gambles, one of which is the status quo option. I find that inertia is quite large and that both mechanisms are equally important.
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Abstract Managers face hard choices between process and outcome systems of accountability in evaluating employees, but little is known about how managers resolve them. Building on the premise that political ideologies serve as uncertainty-reducing heuristics, two studies of working managers show that: (1) conservatives prefer outcome accountability and liberals prefer process accountability in an unspecified policy domain; (2) this split becomes more pronounced in a controversial domain (public schools) in which the foreground value is educational efficiency but reverses direction in a controversial domain (affirmative action) in which the foreground value is demographic equality; (3) managers who discover employees have subverted their preferred system favor tinkering over switching to an alternative system; (4) but bipartisan consensus arises when managers have clear evidence about employee trustworthiness and the tightness of the causal links between employee effort and success. These findings shed light on ideological and contextual factors that shape preferences for accountability systems.
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The Survivability of Swedish Emergency Management Related Research Centers and Academic Programs: A Preliminary Sociology of Science Analysis Despite being a relatively safe nation, Sweden has four different universities supporting four emergency management research centers and an equal and growing number of academic programs. In this paper, I discuss how these centers and programs survive within the current organizational environment. The sociology of science or the sociology of scientific knowledge perspectives should provide a theoretical guide. Yet, scholars of these perspectives have produced no research on these related topics. Thus, the population ecology model and the notion of organizational niche provide my theoretical foundation. My data come from 26 interviews from those four institutions, the gathering of documents, and observations. I found that each institution has found its own niche with little or no competition – with one exception. Three of the universities do have an international focus. Yet, their foci have minimal overlap. Finally, I suggest that key aspects of Swedish culture, including safety, and a need aid to the poor, help explain the extensive funding these centers and programs receive to survive.
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This work aims to study the institucional environment for the implementation of financing policies directed to familiar agriculture. The central hypothesis is that, although all changes occured in the credit norms, in order to reduce the existing obstacles for the access of outsiders, the same institucional arrangement remains which gave support to the modernization - crystallizer of strengthening structures of this exclusion. The most relevant pressuposition is that the poor agriculturists are the most displayed to the institucional limitations. The concepts of institucional arrangements and environments used in this work had been constructed with support of the institucional school, contemplating itself the economic dimension, the organizational sociology and political science. In the relation of the institucional changes with the state performance, the theorist reading was important that reflect on the relative autonomy of the State and studious of the Brazilian State. The empirical part consisted of a research which had been applied questionnaires with benefited and non-benefited agriculturists with PRONAF B, in thirteen cities of Rio Grande do Norte. In each city, interviews with four of its main mediators had been carried out. The research results had ratified the hypothesis of the work of that the conception of the public policies does not take in account the institution role in the behavior and the choices of the individual and collective agents, inferring itself that this policy, as others, lacks of mediation that exceed the rationality of legal landmarks