980 resultados para Anglo-Irish literature
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Les polémiques ont joué un rôle important dans la réception des romans de Mordecai Richler au Québec francophone. Contrairement à l’idée reçue voulant que cet antagonisme ait empêché la lecture de l’oeuvre richlérienne, c’est plutôt à partir de la publication des essais sur le nationalisme québécois que la critique commencera à s’intéresser à l’écrivain. En effet, que ce soit avant ou après les polémiques, c’est au nom d’un rapport de correspondance au collectif que sera jugée l’oeuvre de Richler. L’abandon d’une conception restreinte de l’identité québécoise ouvre la porte à la relecture contemporaine des romans de Richler, même si cette relecture ne fait pas pour autant l’économie d’un rapport au collectif et cherche plutôt à opposer une identité québécoise exclusivement francophone à une identité prête à inclure un auteur longtemps identifié comme un ennemi public. Les mécanismes de ce rapatriement peuvent être mis en parallèle avec les conflits identitaires qui marquent le personnage richlérien. Dans Son Of A Smaller Hero (1955), Noah Adler tente de se définir en tant qu’être humain et de trouver une morale qui lui est propre en fuyant ses origines. Toutefois, cette fuite ne peut se solder que par un échec et le héros apprend que son idéal d’émancipation passe par une réinterprétation de son héritage plutôt que par l’abandon de celui-ci. Barney’s Version (1997) est en partie le récit de formation d’un écrivain tardif. Si Barney Panofsky s’en prend aux impostures collectives dans le roman, son incapacité à être totalement honnête par rapport à lui-même et à plonger dans une création et une défense sincères de ce en quoi il croit le poussera à s’aliéner ceux à qui il tient véritablement. Cette situation laisse le narrateur avec une oeuvre inachevée qui ne pourra s’accomplir que par l’intervention de ses héritiers. Dans les deux romans, la définition du personnage passe par une réappropriation herméneutique de son héritage qui rappelle, dans son rapport à la trace, au collectif et à l’illégitimité, les relectures francophones de l’oeuvre richlérienne.
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Cette lecture, tant critique, comparative, et théorique que pédagogique, s’ancre dans le constat, premièrement, qu’il advient aux étudiantEs en littérature de se (re)poser la question des coûts et complicités qu’apprendre à lire et à écrire présuppose aujourd’hui; deuxièmement, que nos pratiques littéraires se trament au sein de lieux empreints de différences, que l’on peut nommer, selon le contexte, métaphore, récit, ville; et, troisièmement, que les efforts et investissements requis sont tout autant couteux et interminable qu’un plaisir et une nécessité politique. Ces conclusions tendent vers l’abstrait et le théorique, mais le langage en lequel elles sont articulées, langage corporel et urbain, de la dépendance et de la violence, cherche d’autant plus une qualité matérielle et concrète. Or, l’introduction propose un survol des lectures et comparaisons de Heroine de Gail Scott qui centre ce projet; identifie les contextes institutionnels, historiques, et personnels qui risquent, ensuite, de décentrer celui-ci. Le premier chapitre permet de cerner le matérialisme littéraire qui me sert de méthode par laquelle la littérature, à la fois, sollicite et offre une réponse à ces interrogations théoriques. Inspirée de l’œuvre de Gail Scott et Réjean Ducharme, premièrement, et de Walter Benjamin, Elisabeth Grosz, et Pierre Macherey ensuite, ‘matérialisme’ fait référence à cette collection de figures de pratiques littéraires et urbaines qui proviennent, par exemple, de Georges Perec, Michel DeCerteau, Barbara Johnson, et Patricia Smart, et qui invitent ensuite une réflexions sur les relations entre corporalité et narrativité, entre la nécessité et la contingence du littéraire. De plus, une collection de figures d’un Montréal littéraire et d’une cité pédagogique, acquis des œuvres de Zygmunt Bauman, Partricia Godbout, et Lewis Mumford, constitue en effet un vocabulaire nous permettant de mieux découvrir (et donc enseigner) ce que lire et apprendre requiert. Le deuxième chapitre propose une lecture comparée de Heroine et des romans des auteures québécoises Anne Dandurand, Marie Gagnon, et Tess Fragoulis, dans le contexte, premièrement, les débats entourant l’institutionnalisation de la littérature (anglo)Québécoise et, deuxièmement, des questions pédagogiques et politiques plus larges et plus urgentes que nous pose, encore aujourd’hui, cette violence récurrente qui s’acharna, par exemple, sur la Polytechnique en 1989. Or, cette intersection de la violence meurtrière, la pratique littéraire, et la pédagogie qui en résulte se pose et s’articule, encore, par le biais d’une collection de figures de styles. En fait, à travers le roman de Scott et de l’œuvre critique qui en fait la lecture, une série de craques invite à reconnaître Heroine comme étant, ce que j’appelle, un récit de dépendance, au sein duquel se concrétise une temporalité récursive et une logique d’introjection nous permettant de mieux comprendre la violence et, par conséquent, le pouvoir d’une pratique littéraire sur laquelle, ensuite, j’appuie ma pédagogie en devenir. Jetant, finalement, un regard rétrospectif sur l’oeuvre dans son entier, la conclusion de ce projet se tourne aussi vers l’avant, c’est-à-dire, vers ce que mes lectures dites matérialistes de la littérature canadienne et québécoise contribuent à mon enseignement de la langue anglaise en Corée du Sud. C’est dans ce contexte que les propos de Jacques Rancière occasionnent un dernier questionnement quant à l’historique des débats et des structures pédagogiques en Corée, d’une part, et, de l’autre, les conclusions que cette lecture de la fiction théorique de Gail Scott nous livre.
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La rápida modernización de la sociedad española y el gran cambio en la condición social de la mujer han modificado la vida familiar que ya no se corresponde con el de la familia tradicional. Ha crecido el número de rupturas familiares: separaciones y divorcios ¿Implica eso una verdadera crisis de la familia? Esta, sin embargo goza de buena prensa al haber adquirido en la imaginación colectiva las dimensiones de una utopía privada de felicidad. Pero se ha demostrado que el matrimonio es una institución frágil. La familia al ser un hecho social y producirse la ruptura traerá consecuencias sociales. Primero, para los hijos. Es el momento de dedicar más investigación a esta consecuencia de la crisis inicial de los niños ante la separación de los padres. Lo más factible no es evitar la ruptura, sino intentar minimizar los costes de dicha ruptura familiar en sus repercusiones sobre los hijos. Actualmente, las instituciones educativas y la familia, han de construir valores. Con esfuerzo hay que ir construyendo ámbitos donde la confianza mutua, la tolerancia ante el fracaso vayan apoyando la formación de identidades socialmente constructivas, en unas circunstancias diferentes. Y éstas pueden ser las de la ruptura familiar; socialmente inevitable, pero suponiendo el mínimo de costes para sus participantes.
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This special issue of Nordic Journal of English Studies is devoted to the research in Irish Studies being carried out in Scandinavia by a group of scholars based in Denmark, Norway and Sweden, as well as scholars associated—in one way or another—with Scandinavia. Denmark is represented by the University of Aalborg; Norway, by scholars affiliated to the Universities of Agder, the Artic University of Norway, Bergen, and Stavanger; and Sweden is represented by scholars from the universities of Dalarna, Göteborg, Stockholm, Södertörn and Umeå. Included also in this special issue is the work of two former students, who completed their Masters’ degree in Irish literature at DUCIS (Dalarna University Centre for Irish Studies), Sweden—from Norway and China respectively. The collection also contains an article by Dara Waldron, Limerick Institute of Technology, Ireland, whof recently presented his research at the Higher Seminar in Dalarna. Contributions by the Irish poet, Mary O’Donnell, who participated in the Nordic Irish Studies Network (NISN) conference, hosted by DUCIS in December 2012, are also included.
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Esta dissertação mapeia a rede de relações intertextuais em Half a Life (2001) e sua continuação Magic Seeds (2004), os romances mais recentes do Prêmio Nobel de Literatura de 2001, V. S. Naipaul, como contribuição para o estudo da obra do autor. A noção de intertextualidade permeia os estudos literários, e o termo tem sido largamente empregado desde que foi cunhado por Julia Kristeva nos anos sessenta. Desde então as mais variadas, e muitas vezes divergentes, teorias sobre intertextualidade compartilham a idéia de que um texto só adquire significado pleno na interação com outros textos. A abordagem metodológica proposta é baseada na teoria da transtextualidade de Gérard Genette. Esta escolha implica o estudo de intertextos, paratextos, metatextos, arquitextos e hipertextos que constituem a interface entre os dois romances e outros escritos. O nome do protagonista "William Somerset Chandran" constitui o fio que guia o estudo das várias relações transtextuais nos dois romances. A partir do prenome do protagonista – William – este estudo situa os romances no contexto da tradição do Bildungsroman, e argumenta que estes estabelecem uma paródia arquitextual do gênero na medida em que subvertem seu cerne, ou seja, a formação do caráter do protagonista. O nome do meio do protagonista – Somerset – remete à ficcionalização do escritor Somerset Maugham na narrativa, ao mesmo tempo em que esta desmistifica a ótica ocidental sobre o hinduísmo popularizada por Maugham em The Razor's Edge. O sobrenome do protagonista – Chandran – leva ao estudo do conjunto de referências à origem indiana de Naipaul e o papel desta na produção do autor. Este nome se reporta ao romance de Narayan The Bachelor of Arts, cujo protagonista também é nomeado Chandran. Narayan é um escritor de destaque na literatura anglo-indiana e referência recorrente na obra de Naipaul. Os temas de migração e choque cultural apresentados nos dois romances têm sido presença constante na obra de Naipaul. Esta pesquisa mapeia a relação de continuidade entre os dois romances em questão e o conjunto da obra de Naipaul, salientando o papel da ambientação geográfica da narrativa, marcada pela jornada do protagonista através de três continentes. A teoria da transtextualidade é uma ferramenta operacional para a pesquisa, a qual examina a densidade das referências geográficas, históricas e literárias em Half a Life e Magic Seeds, visando aportar elementos para o estudo da produção literária de Naipaul, na medida em que estes romances recentes condensam e revisitam a visão de mundo deste autor.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Der irische Buchmarkt als Teil des englischsprachigen Buchmarktes ist stark von der Geschichte des Landes geprägt. Die Fremdbestimmung im Rahmen des Commonwealth unterdrückte eine eigenständige Verlagslandschaft bis weit ins 20. Jahrhundert hinein. Mit der Unabhängigkeit des irischen Staates stieg die Anzahl der Verlage langsam aber stetig an. In den 70er Jahren kam die irische Verlagslandschaft zu einem fast explosionsartigen Erblühen. Die Gründung des Verlegerverbandes Clé war einer von vielen Schritten, um den nationalen Buchmarkt von der Dominanz britischer Bücher in Buchhandlungen und Bibliotheken zu emanzipieren. Die Nachfrage nach Irish-Interest-Titeln ist im Inland hoch. Britische Verlage hatten bis dato diesen Bedarf übersehen, und so füllten irische Verlage diese Nische. Die Einführung eines von Großbritannien unabhängigen Lehrplans führte zur Etablierung eines eigenständigen Schulbuchmarktes, inklusive Lehrwerke zur irischen Sprache bzw. Titel auf Irisch. Irische Verlage sind in ihrem Programm größtenteils breit aufgestellt und selten spezialisiert. Sie sind erstaunlich häufig unabhängige mittelständische Unternehmen. Nur wenige Verlage sind staatlich geführt oder gehören ausländischen Konzernen an. Auch der stationäre Buchhandel ist überwiegend eigenständig, da die – vor dem Wirtschaftsboom wenig kaufkräftige - Republik von den expandierenden britischen Buchhandelsketten vernachlässigt wurde. Erst nach dem Wirtschaftsboom und dem damit verbundenen soziokulturellen Wandel von einer traditionellen Agrar- hin zu einer modernen Informationsgesellschaft stiegen die Umsätze mit Büchern stark an. Sobald der Buchmarkt eine nennenswerte wirtschaftliche Größe erreichte, eröffneten britische Buchhandlungen Filialen in irischen Städten. Sie vermochten jedoch nicht, die Sortimentsvielfalt der irischen Buchhandelslandschaft zu zerstören. Die fehlende Buchpreisbindung ist keine Bedrohung der Titelvielfalt, da Handelsformen wie Buchclubs, Supermärkte und Internethandel – die mit teils aggressivem Preismarketing arbeitenden Nebenmärkte – hier nur eine Randexistenz führen. In diesem Fall wandelt sich die geringe (Umsatz-) Größe und damit Attraktivität des Buchmarktes zum Vorteil. Die staatliche Kulturförderung ist ein bedeutender Beitrag zum Verlegen von Literatur, die wirtschaftlich gerechnet keine Daseinsberechtigung hätte. Irische Verleger mit relativ geringem Budget sind nicht in der Lage, solche unökonomischen Titel mit dem finanziellen Erfolg eines Bestsellers in Mischkalkulation aufzufangen. Hier greift die staatliche Unterstützung. Die Subventionierung von Titeln über die irischen Sprache bzw. von Literatur auf Irisch führte zur Herausbildung eines Marktsektors, der vor der Staatsgründung nicht existierte. Die Übersetzungsförderung verstärkt die Verbreitung von bis dato unbekannter irischer Literatur im Ausland und stimuliert das Lizenzgeschäft. Die aktuelle staatliche Kulturpolitik setzt ihren Schwerpunkt auf Marketing, PR sowie Nachfolgeregelung und fördert so nachhaltig statt bloß in Form einer kurzlebigen Titelsubvention. Eine noch mehr in die Zukunft gerichtete Förderung würde genauso wie die Unterstützung von Fortbildungsmaßnahmen zu besseren wirtschaftlichen Rahmenbedingungen führen. Auch wenn die nationale Verlagsszene im Aufschwung begriffen ist, befindet sich der irische Buchmarkt insgesamt in fester Hand der britischen Verlagsproduktion. Der britische Buchmarkt mit seinen multinationalen und finanzkräftigen Verlagen lebt vom Export. Aus Sicht von Großbritannien ist heutzutage der Nachbar Irland, einst Teil des britischen Buchmarktes, einer der besten Kunden. Dieser Aspekt bezieht sich nicht nur auf die langjährig entwickelten Handelsbeziehungen. In kulturellen Aspekten orientiert sich Irland stark am britischen Vorbild: Ein britischer Bestseller wird fast immer auch ein Bestseller in Irland. Lediglich Irish-Interest-Titel durchbrechen diesen Automatismus. Während Irish Interest im Inland hohe Umsätze vorweist, sind diese Titel im Ausland lediglich ein Nischenprodukt. Zusätzlich müssen irische Verlage außerhalb des Landes mit britischen und US-amerikanischen Verlagen in Konkurrenz treten, die ebenfalls Irish-Interest-Titel für die irische Diaspora anbieten. Es besteht daher nur eine geringe Chance, erfolgreich am globalen englischsprachigen Buchmarkt mitzuwirken. Bis dato haben Versuche, dem irischen Buchmarkt durch Export zu Umsatzwachstum zu verhelfen, keinen nennenswerten Erfolg gebracht. Lediglich auf dem Gebiet der populären Literatur und in Form von Kooperationen mit britischen Verlagskonzernen vermögen irische Verlage, am internationalen Buchhandel teilzuhaben.
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Includes rules, list of publications, etc., names and addresses of members.
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Mode of access: Internet.
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Mode of access: Internet.
Catalogue of early Belfast printed books, 1694 to 1830. Supplementary to the 3d ed., published 1890.
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Xerox copy.
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Includes section "Review of books."
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Thesis--Leipzig.
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Kavanagh.--Driftwood: Ancient French romances. Frithiof's saga. Twice told tales. The great metropolis. Anglo-Saxon literature. Paris in the seventeenth century. Table talk.