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Les travailleurs sociaux font partie des professionnels de la santé et des services sociaux, de plus en plus nombreux, qui choisissent d’immigrer au Québec afin d’y vivre et d’y poursuivre leur carrière. La reconnaissance des diplômes obtenus à l’étranger et l’obtention d’un permis de pratique délivré par l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec constituent un passage obligé afin d’exercer la profession en contexte québécois. Une fois ces étapes franchies, les travailleurs sociaux immigrants disposent de connaissances acquises dans leur pays d’origine pour intervenir dans un nouvel univers professionnel et culturel. Prenant la forme d’un mémoire par articles et prenant appui sur les données obtenues dans le cadre d’une recherche qualitative pancanadienne sur l’adaptation professionnelle des travailleurs sociaux issus de l’immigration (Pullen Sansfaçon, Brown et Graham, CRSH 2011-2012, CRSH 2012- 2015), ce mémoire explore les enjeux inhérents au transfert des connaissances, des expériences professionnelles et des valeurs acquises à l’étranger vers un contexte de pratique québécois. L’expérience vécue par 26travailleuses sociales immigrantes, diplômées à l’étranger et pratiquant actuellement dans la grande région montréalaise, a permis de rendre compte des aspects transférables ou moins transférables du travail social. Ainsi, la mission et les valeurs du travail social, les expériences professionnelles, les connaissances théoriques et les habiletés cliniques apparaissent comme des connaissances se transférant bien au-delà des frontières nationales. Par contre, le récit des participantes indique que les connaissances relatives aux lois, aux politiques sociales, aux procédures organisationnelles et à la langue se transfèrent plus difficilement, ce qui peut générer certaines lacunes dans un contexte de pratique différent de celui où la formation en travail social a été obtenue. Dans ce contexte, il ressort que la contribution des milieux de pratique et le soutien des collègues de travail sont des éléments centraux favorisant l’acquisition de connaissances locales.
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Les travailleurs sociaux font partie des professionnels de la santé et des services sociaux, de plus en plus nombreux, qui choisissent d’immigrer au Québec afin d’y vivre et d’y poursuivre leur carrière. La reconnaissance des diplômes obtenus à l’étranger et l’obtention d’un permis de pratique délivré par l’Ordre des travailleurs sociaux et des thérapeutes conjugaux et familiaux du Québec constituent un passage obligé afin d’exercer la profession en contexte québécois. Une fois ces étapes franchies, les travailleurs sociaux immigrants disposent de connaissances acquises dans leur pays d’origine pour intervenir dans un nouvel univers professionnel et culturel. Prenant la forme d’un mémoire par articles et prenant appui sur les données obtenues dans le cadre d’une recherche qualitative pancanadienne sur l’adaptation professionnelle des travailleurs sociaux issus de l’immigration (Pullen Sansfaçon, Brown et Graham, CRSH 2011-2012, CRSH 2012- 2015), ce mémoire explore les enjeux inhérents au transfert des connaissances, des expériences professionnelles et des valeurs acquises à l’étranger vers un contexte de pratique québécois. L’expérience vécue par 26travailleuses sociales immigrantes, diplômées à l’étranger et pratiquant actuellement dans la grande région montréalaise, a permis de rendre compte des aspects transférables ou moins transférables du travail social. Ainsi, la mission et les valeurs du travail social, les expériences professionnelles, les connaissances théoriques et les habiletés cliniques apparaissent comme des connaissances se transférant bien au-delà des frontières nationales. Par contre, le récit des participantes indique que les connaissances relatives aux lois, aux politiques sociales, aux procédures organisationnelles et à la langue se transfèrent plus difficilement, ce qui peut générer certaines lacunes dans un contexte de pratique différent de celui où la formation en travail social a été obtenue. Dans ce contexte, il ressort que la contribution des milieux de pratique et le soutien des collègues de travail sont des éléments centraux favorisant l’acquisition de connaissances locales.
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Resumo: Neste texto trato da ideia de representação, discutindo como essa se traslada para a da representação linguística e em que esse movimento contribui para a compreensão do objeto língua como um território de saber atravessado por uma perene reformulação e ressignificação de sentidos. Para tanto, revisito o próprio conceito de representação (Far, 2011; Jodelet, 2000, 2001; Moscovici, 1976, 1978, 2009; Sá, 1996; Zarate, 2010) e passo a problematizar o seu deslocamento para o de representação linguística (Arnoux e Del Valle, 2010; Boyer, 1996, 2003; Calvet,1998; Houdebine-Gravaud,2002; Petitjean, 2009), articulando conceitos como o de imaginário (Pesavento,1995;) e atitudes linguísticas (Dominique Lafontaine,1997; Fasold, 1984; Saville-Troike,1989). Interessa-me, ao longo deste texto, levantar algumas questões de natureza teórica e conceitual com o fim de promover um debate em torno da dimensão simbólica e, mais notadamente, de como essa pode ser relevante para a redefinição das práticas dos sujeitos, no caso de professores de línguas, situando-as no âmbito da educação linguística de professores.Palavras-chaves: Representação; educação linguística; língua
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Ao ler a correspondência de João Guimarães Rosa com seu tradutor francês, Jean-Jacques Villard, surpreendi-me ao descobrir que um de seus contos mais conhecidos, A terceira margem do rio, havia sido publicado na revista Planète, editada pelos pais do realismo fantástico Louis Pauwels e Jacques Bergier. A revista, criada na esteira da comoção provocada por O despertar dos mágicos, colocava-se, antes de tudo, contra o positivismo científico dominante na época e levava em conta os fenômenos paranormais, a alquimia, as capacidades inexploradas do cérebro humano. “Rien de ce qui est étrange ne nous est étranger ” era o lema da revista. Neste artigo, pretendemos, por um lado, contar a estória da publicação e da tradução desse conto e, por outro, pensar esse fenômeno como integrado ao modo como as obras de Guimarães Rosa foram recebidas na França dos anos 1960.