802 resultados para Neuro-ophhtalmology
Resumo:
As culturas celulares apareceram no século XX e têm vindo a evoluir como método de estudo e análise de patologias e de novos medicamentos para as combater. Com o passar dos anos surgiram diferentes métodos de cultivo de células diversificando assim as culturas celulares em mono-camada, suspensas e imobilizadas. Um dos propósitos das culturas celulares é a manipulação das células de modo a permitir a visualização das alterações celulares como o envelhecimento da célula (senescência), a apoptose, a necrose e a autofagia da célula. Este método tem provado ser útil tanto no diagnostico e tratamento de várias patologias como em doenças oncológicas, neuro-degenerativas ou do sistema imunitário.
Resumo:
On categorization and symbolic power in social work: The myth of the resourceful parents to children with neuro-psychiatric diagnoses Social workers often use the term resourceful about a certain group of parents to children with neuro-psychiatric diagnoses, e.g. autism spectrum disorder and ADHD. This paper discusses the consequences of this sort of stereotyping/categorization with particular regard to the collaboration between these parents and the social workers as they meet in the social services system, when the parents apply for help for their children. Drawing upon Pierre Bourdieu, it is suggested that the categorization resourceful is not only overly simplistic and a myth, but is straight out misguiding and complicates the interaction – in fact it represents an act of symbolic power. Based upon a six months long sociological field-work study it is shown, that even though social workers seem to acknowledge the difficult and grueling life-situation of the parents, they are first and foremost perceived as resourceful and knowledgeable but hence also as annoying, insufferable, demanding and basically unjustified, even though they have obvious legal rights. Parents and social workers alike described the collaboration as being conflictual and a struggle and the complex power-relations are discussed in the light of Bourdieu.
Resumo:
Cette recherche vise à étudier l’impact d’interventions réalisées par les parents dans l’unité néonatale de soins intensifs. Plus spécifiquement, le premier objectif est de documenter les effets différentiels de la Méthode Mère Kangourou « MMK » accompagnée ou non du Massage en incubateur «MI » ou du Massage en Position Kangourou « MPK » et des Soins Traditionnels «ST » accompagnés ou non du massage dans l’incubateur sur la croissance physique mesurée par le poids, la taille et le périmètre crânien pendant une période de 5 et 15 jours dans l’unité néonatale et l’impact à 40 semaines d’âge gestationnel. Le second objectif est de comparer, chez des enfants qui bénéficient de la « MMK » la valeur ajoutée du « MPK » ou du «MI » sur le neuro-développement à 6 et 12 mois d’âge corrigé de l’enfant. Un échantillon total de 198 enfants et leur famille a été recruté de la façon suivante dans trois hôpitaux de Bogota. Dans chaque hôpital, 66 sujets ont été répartis aléatoirement à deux conditions. Ces hôpitaux ont été choisis afin de tester les effets de diverses conditions expérimentales et de diminuer les bais de sélection. Dans chaque hôpital, deux techniques ont été assignées aléatoirement. Il s’agit, dans le premier, de la « MMK & MPK » vs « MMK & MI ». Dans le second, « MMK sans massage » vs « MMK & MI ». Dans le troisième, « MI » a été comparé aux « ST » ce qui implique une absence de contact physique continu des bébés avec leurs parents. Les résultats rapportés dans le premier article sont à l’effet que, dans le premier hôpital, il y a un effet compensatoire de l’intervention « MMK & MPK » sur la perte physiologique du poids de l’enfant prématuré dans les 15 premiers jours de vie avec un impact sur le poids à 40 semaines d’âge gestationnel, sur la durée du portage kangourou et sur la durée d’hospitalisation totale. Aucun effet sur le périmètre crânien ou la taille n’est apparu. Dans le deuxième hôpital, aucune différence significative n’est rapportée pour le poids sauf quand l’intervention est commencée après le 10ième jours de vie alors que l’enfant « MPK» semble grossir mieux que le «MMK avec MI». Finalement, dans le troisième hôpital il n’y a aucun effet du massage sur les variables anthropométriques, le groupe avec MI grossissant moins vite avec un léger impact sur le poids à 40 semaines. Cela pourrait être dû à la perte de chaleur due à l’ouverture de l’incubateur quand l’enfant est très immature. Dans le second article, les 66 enfants de l’hôpital sont répartis aléatoirement dans le groupe « MMK & MPK» vs le groupe « MMK & MI», ont complété, à 6 et 12 mois d’âge corrigé, un test de neuro-développement, le Griffiths. Les résultats à 6 mois ne montrent aucune différence entre les 2 interventions, mais a 12 mois le IQ semble dépendant du nombre de jours d’hospitalisation de l’enfant, cette durée d’hospitalisation correspond au temps que met l’enfant à se stabiliser physiquement et correspond également au temps que mettent la mère et l’enfant à s’adapter à la méthode kangourou. Une fois, l’adaptation kangourou réussie, la dyade mère enfant sort avec l’enfant toujours en position kangourou. Le temps d’hospitalisation correspond au temps que met l’enfant à être éligible à l’apprentissage de la MMK par la mère. À 12 mois les deux groupes montrent des résultats équivalents, mais des différences positives sont apparues pour le groupe « MMK & MPK» dans les sous échelle Coordination Oculo Manuelle et Audition et Langage du test Griffiths. Dans l’ensemble, les résultats suggèrent que la pratique des deux interventions non traditionnelles peut contribuer à une meilleure croissance physique dans nos cohortes. Le gain de poids du bébé, notamment, est affecté par l’intervention MPK (Hôpital 1) ou sans l’ajout du Massage (Hôpital 2). Par ailleurs, le massage en incubateur n’a pas de différence significative en comparaison aux soins traditionnels, ces interventions ont toutefois un impact mineur (tendances) sur le neuro développement à 6 et 12 mois d’âge corrigé dans cette étude.
Resumo:
La asfixia perinatal es la principal causa de muerte en la primera semana de vida la nivel mundial, los niños que sufren esta complicación y sobreviven pueden presentar trastornos neurológicos de diferente nivel de compromiso que inciden en su desarrollo personal y social. Las cifras de muerte por este problema de salud han disminuido de manera importante, sin embargo en el reporte de la Organización Mundial de Salud (OPS) del 2010, la asfixia perinatal es causa del 29% de muertes infantiles en los países de América Latina y el Caribe 2. Es necesario conocer además la extensión del daño neurológico que sufren estos niños, con este fin se desarrolló un estudio piloto en el Hospital Universitario Mayor Mederi de Bogotá, en el cual se determinó la concentración de un marcador metabólico de daño cerebral, la proteína S100B en suero de 60 recién nacidos sanos, con el objetivo de analizar la asociación del mismo con el peso al nacer, la edad gestacional y el diagnóstico. Los resultados no mostraron diferencias significativas entre este marcador y las variables analizadas que puede asociarse al pequeño número de pacientes, sin embargo han sentado las bases para el desarrollo de un estudio que incluya varios hospitales de Bogotá y sobre todo la determinación del mismo en recién nacidos con diagnóstico de hipoxia en el período perinatal, lo cual aportará información del grado de la alteración que puedan tener a nivel cerebral y contribuya al mejor manejo evolutivo con la aplicación de medidas de intervención en estadios tempranos de la vida.
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Introducción: En la población pediátrica los tumores cerebrales son la segunda causa de cáncer, la dificultad en su identificación produce tardanza en su diagnóstico y pocos estudios de caracterización han sido realizados en Colombia. Se realizó un estudio para identificar las características en el curso de la enfermedad. Materiales y Métodos: Estudio observacional, descriptivo, de corte transversal con pacientes pediátricos con tumores cerebrales primarios en la clínica infantil Colsubsidio entre 2007-2014. Se revisaron sistemáticamente las historias clínicas de niños con este diagnóstico en patología y posteriormente se desarrolló un análisis univariado de estos. Resultados: 56 niños fueron incluidos, encontrando que el número de consultas previas al diagnóstico fueron más de 4 con un promedio de tiempo entre la evolución de los síntomas y el diagnóstico de 161,1 días. Para la clasificación de la OMS los más frecuentes fueron los embrionarios y astrocíticos, entre estos el meduloblastoma es el más común por histología (14,29%), 50% de los pacientes presentaron remisión y 29,41% fallecieron. Discusión: Los tumores cerebrales primarios son una patología frecuente y con alta morbimortalidad. Este estudio mostró datos epidemiológicos y clínicos similares a la literatura respecto al sexo, edad, tipo de tumor y amplios rangos de tiempo en la evolución de síntomas lo que muestra la naturaleza variable de la enfermedad; se evidencia el diagnóstico tardío en pacientes reconsultantes por el mismo síntoma lo que es frecuente en estos pacientes al igual que en otros estudios nacionales.
Resumo:
El presente trabajo tuvo como objetivo evaluar la existencia de la relación entre la atrofia cortical difusa objetivada por neuroimagenes cerebrales y desempeños cognitivos determinados mediante la aplicación de pruebas neuropsicológicas que evalúan memoria de trabajo, razonamiento simbólico verbal y memoria anterógrada declarativa. Participaron 114 sujetos reclutados en el Hospital Universitario Mayor Méderi de la ciudad de Bogotá mediante muestreo de conveniencia. Los resultados arrojaron diferencias significativas entre los dos grupos (pacientes con diagnóstico de atrofia cortical difusa y pacientes con neuroimagenes interpretadas como dentro de los límites normales) en todas las pruebas neuropsicológicas aplicadas. Respecto a las variables demográficas se pudo observar que el grado de escolaridad contribuye como factor neuroprotector de un posible deterioro cognitivo. Tales hallazgos son importantes para determinar protocoles tempranos de detección de posible instalación de enfermedades neurodegenerativas primarias.
Resumo:
La enfermedad de Alzheimer (EA) es la demencia más frecuente y su prevalencia continúa en aumento tanto en Colombia como en el mundo. Esta investigación tuvo como objetivo explorar si las actitudes hacia la EA varían según la edad y género de 450 personas adultas colombianas. Se realizó un estudio exploratorio de corte transversal en el que se aplicó un cuestionario autodiligenciado. Se encontró que efectivamente hay algunas diferencias según la edad y el género en el componente cognoscitivo (creencias y conocimiento) y conductual (intención conductual y conducta) de las actitudes; y diferencias según el género en el componente afectivo. Se concluye que los conocimientos sobre la EA son escasos, que la tristeza es la emoción predominante hacia la EA y que es un tema de interés en el que predomina la idea de que afecta especialmente la memoria. Se discutieron los resultados reconociendo que esta es una aproximación inicial a las actitudes hacia la EA.