969 resultados para Politica de saude mental
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Au cours des 30 dernières années, l’embonpoint et l’obésité infantile sont devenus de véritables défis pour la santé publique. Bien que l’obésité soit, à la base, un problème physiologique (i.e. balance calorique positive) une série de facteurs psychosociaux sont reliés à son développement. Dans cette thèse, nous avons étudié le rôle des facteurs périnataux et de la petite enfance dans le développement du surpoids, ainsi que la relation entre le surpoids et les troubles internalisés au cours de l’enfance et au début de l’adolescence. Nous avions trois objectifs généraux: 1) Modéliser le développement de l’indice de masse corporelle (IMC) ou du statut pondéral (le fait d’être en surpoids ou non) durant l’enfance, ainsi qu’estimer l’hétérogénéité dans la population au cours du temps (i.e. identification de trajectoires développementales de l’IMC). 2) Identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance pouvant accroitre le risque qu’un enfant suive une trajectoire menant au surpoids adolescente. 3) Tester la possibilité que le surpoids durant l’enfance soit associé avec des problèmes de santé mentale internalisés à l’adolescence, et vérifier la possibilité qu’une telle association soit médiatisée par l’expérience de victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle. Ce travail est mené dans une perspective de développement au cours de la vie (life span perspective), considérant l’accumulation des facteurs de risques au cours du temps ainsi que les facteurs qui se manifestent durant certaines périodes critiques de développement.1,2 Nous avons utilisé les données provenant de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ELDEQ), une cohorte de naissances de la province de Québec, Canada. L’échantillon initial était composé de 2120 familles avec un bébé de 5 mois nés au Québec en 1997. Ces familles ont été suivies annuellement ou à tous les deux ans jusqu’à ce que les enfants atteignent l’âge de 13 ans. En ce qui concerne le premier objectif de recherche, nous avons utilisé la méthode des trajectoires développementales fondée sur des groupes pour modéliser l’IMC en continu et en catégories (surpoids vs poids normal). Pour notre deuxième objectif, nous avons effectué des modèles de régression multinomiale afin d’identifier les facteurs périnataux et de la petite enfance associés aux différents groupes développementaux du statut pondéral. Les facteurs de risques putatifs ont été choisis parmi les facteurs identifiés dans la littérature et représentent l’environnement périnatal, les caractéristiques de l’enfant, ainsi que l’environnement familial. Ces facteurs ont été analysés longitudinalement dans la mesure du possible, et les facteurs pouvant servir de levier potentiel d’intervention, tels que l’usage de tabac chez la mère durant la grossesse, le sommeil de l’enfant ou le temps d’écoute de télévision, ont été sélectionnés pour l’analyse. Pour notre troisième objectif, nous avons examiné les associations longitudinales (de 6 à 12 ans) entre les scores-z d’IMC (selon la référence CDC 2000) et les problèmes internalisés avec les modèles d’équations structurales de type « cross-lagged ». Nous avons ensuite examiné comment la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle durant l’enfance peuvent médiatiser un lien potentiel entre le surpoids et les troubles internalisés au début de l’adolescence. Les contributions scientifiques de la présente thèse incluent l’identification de trajectoires distinctes du statut pondérale durant l’enfance (précoce, tardive, jamais en surpoids), ainsi que les facteurs de risques précoces et les profils de santé mentale pouvant différer selon la trajectoire d’un enfant. De plus, nous avons identifié des mécanismes importants qui expliquent une partie de l’association entre les trajectoires de surpoids et les troubles internalisés: la victimisation par les pairs et l’insatisfaction corporelle.
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Ce projet de recherche revisite la conceptualisation du logement et des ressources résidentielles pour les adultes avec un trouble mental. Les objectifs visent : (1) à identifier les attributs, dimensions et domaines ; (2) à développer un nouveau modèle ; (3) à concevoir un instrument de mesure pour décrire l’éventail des ressources résidentielles en santé mentale. Méthodologie : Phase 1: Le devis de recherche s’articule autour de la cartographie de concepts, caractérisée par une méthodologie mixte. L’échantillonnage, par choix raisonné, a permis de recueillir une pluralité de perceptions et d’expériences (p.ex. personnes utilisatrices de services, proches, responsables de ressources résidentielles, gestionnaires). Les participants proviennent de cinq régions du Québec (nombre total de participations = 722). Au cours des six étapes de la cartographie de concepts, les participants ont généré des attributs décrivant le logement (n = 221), leur ont accordé une cote numérique (n = 416) et les ont regroupés en catégories (n = 73). Douze participants ont interprété des cartes conceptuelles produites par des analyses multivariées, soit l’échelonnage multidimensionnel (MDS) et la typologie hiérarchique. Des analyses par composantes principales (PCAs) ont été utilisées pour raffiner la conceptualisation (n = 228). Phase II: L’instrument a été développé, utilisé et ajusté à la suite de deux groupes de discussions (n = 23) et d’une étude transversale auprès de ressources résidentielles (n = 258). La passation se fait via une entrevue téléphonique semi-structurée enregistrée, d’une durée moyenne de 130 minutes. Résultats : Les participants ont généré 1382 idées (99.5% de saturation). Les cartes conceptuelles issues de la cartographie de concepts comprennent 140 idées (attributs du logement), 12 dimensions et cinq domaines (indice de stress MDS = 0.2302, 10 itérations). Les analyses PCAs ont permis de retenir quatre domaines, 11 composantes (α = 0.600 à 0.933) et 81 attributs. Les domaines sont : (1) environnement géophysique; (2) atmosphère et fonctionnement du milieu; (3) soutien et interventions offerts; (4) pratiques organisationnelles et managériales. L’instrument développé comprend quatre domaines, 10 dimensions et 83 attributs. À cela s’ajoutent des variables descriptives. L’instrument résulte des Phases I et II de ce projet. Conclusion : L’instrument a été développé en collaboration avec diverses parties prenantes, à partir de considérations ontologiques, réalistes, causales et statistiques. Il dresse le profil détaillé d’une ressource résidentielle sous ses différentes facettes et s’appuie sur la prémisse qu’il n’existe pas de milieu résidentiel idéal pour tous.
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The aim of this study was to investigate service utilization by students and staff in the 18 months following the September 13, 2006, shooting at Dawson College, Montreal, as well as the determinants of this utilization within the context of Canada’s publicly managed healthcare system. Methods A sample of 948 from among the college’s 10,091 students and staff agreed to complete an adapted computer or web-based standardized questionnaire drawn from the Statistics Canada 2002 Canadian Community Health Survey cycle 1.2 on mental health and well-being. Results In the 18 months following the shooting, there was a greater incidence and prevalence not only of PTSD, but also of other anxiety disorders, depression, and substance abuse. Staff and students were as likely to consult a health professional when presenting a mental or substance use disorder, with females more likely to do so than males. Results also indicated that there was relatively high internet use for mental health reasons by students and staff (14% overall). Conclusions Following a major crisis event causing potential mass trauma, even in a society characterized by easy access to public, school and health services and when the population involved is generally well educated, the acceptability of consulting health professionals for mental health or substance use problems represents a barrier. However, safe internet access is one way male and female students and staff can access information and support and it may be useful to further exploit the possibilities afforded by web-based interviews in anonymous environments.
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Objective: The goal of this study was to identify rates, characteristies, and predictors of mental health treatment seeking by military members with posttraumatic stress disorder (PTSD). Method: Our sample was drawn from the 2002 Canadian Community Health Survey-Canadian Forces Supplement (CCHS-CF) dataset. The CCHS-CF is the first epidemiologic survey of PTSD and other mental health conditions in the Canadian military and includes 8441 nationally representative Canadian Forces (CF) members. Of those, 549 who met the criteria for lifetime PTSD were included in our analyses. To identify treatment rates and characteristics, we examined frequency of treatment contact by professional and facility type. To identify predictors of treatment seeking, we conducted a binary logistic regression with lifetime treatment seeking as the outcome variable. Results: About two-thirds of those with PTSD consulted with a professional regarding mental health problems. The most frequently consulted professionals, during both the last year and lifetime, included social workers and counsellors, medical doctors and general practitioners, and psychiatrists. Consultations during the last year most often took place in a CF facility. Treatment seeking was predicted by cumulative lifetime trauma exposure, index traumatic event type, PTSD symptom interference, and comorbid major depressive disorder. Those with comorbid depression were 3.75 times more likely to have sought treatment than those without. Conclusions: Although a significant portion of military members with PTSD sought mental health treatment, 1 in 3 never did. Trauma-related and illness and (or) need factors predicted treatment seeking. Of all the predictors of treatment seeking, comorbid depression most increased the likelihood of seeking treatment.
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Essai présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l’obtention du grade de Doctorat en psychologie option psychologie clinique
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Au Canada, les Commissions d'Examen des Troubles Mentaux de chaque province ont la responsabilité de déterminer les conditions de prise en charge des personnes déclarées Non Criminellement Responsables pour cause de Troubles Mentaux (NCRTM) et de rendre, sur une base annuelle une des trois décisions suivantes: a) détention dans un hôpital, b) libération conditionnelle, ou c) libération absolue. Pour favoriser la réinsertion sociale, la libération conditionnelle peut être ordonnée avec la condition de vivre dans une ressource d’hébergement dans la communauté. Parmi les personnes vivant avec une maladie mentale, l’accès aux ressources d’hébergement a été associé à une plus grande stabilité résidentielle, une réduction de nombre et de la durée de séjours d'hospitalisation ainsi qu’une réduction des contacts avec le système judiciaire. Toutefois, l’accès aux ressources d’hébergement pour les personnes trouvées NCRTM est limité, en partie lié à la stigmatisation qui entoure cette population. Il existe peu d’études qui traitent du placement en ressources d’hébergement en psychiatrie légale. Pour répondre à cette question, cette thèse comporte trois volets qui seront présentés dans le cadre de deux manuscrits: 1) évaluer le rôle du placement en ressources d’hébergement sur la réhospitalisation et la récidive chez les personnes trouvées NCRTM; 2) décrire les trajectoires de disposition et de placement en ressources d’hébergement, et 3) mieux comprendre les facteurs associés à ces trajectoires. Les données de la province du Québec du Projet National de Trajectoires d’individus trouvés NCRTM ont été utilisées. Un total de 934 personnes trouvées NCRTM entre le 1er mai 2000 et le 30 avril 2005 compose cet échantillon. Dans le premier manuscrit, l’analyse de survie démontre que les individus placés dans un logement indépendant suite à une libération conditionnelle de la Commission d’Examen sont plus susceptibles de commettre une nouvelle infraction et d’être ré-hospitalisés que les personnes en ressources d’hébergement. Dans le deuxième article, l'analyse de données séquentielle a généré quatre modèles statistiquement stables de trajectoires de disposition et de placement résidentiel pour les 36 mois suivant un verdict de NCRTM: 1) libération conditionnelle dans une ressource d’hébergement (11%), 2) libération conditionnelle dans un logement autonome (32%), 3) détention (43%), et 4) libération absolue (14%). Une régression logistique multinomiale révèle que la probabilité d'un placement en ressource supervisée comparé au maintien en détention est significativement réduite pour les personnes traitées dans un hôpital spécialisé en psychiatrie légale, ainsi que pour ceux ayant commis un délit sévère. D'autre part, la probabilité d’être soumis à des dispositions moins restrictives (soit le logement indépendant et la libération absolue) est fortement associée à des facteurs cliniques tels qu’un nombre réduit d'hospitalisations psychiatriques antérieures, un diagnostic de trouble de l'humeur et une absence de diagnostic de trouble de la personnalité. Les résultats de ce projet doctoral soulignent la valeur protectrice des ressources en hébergement pour les personnes trouvées NCRTM, en plus d’apporter des arguments solides pour une gestion de risque chez les personnes trouvées NCRTM qui incorpore des éléments contextuels de prévention du risque, tel que l’accès à des ressources d’hébergement.
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This is a study in criminal law. The problem probed is the relationship between mental abnormality and criminal responsibility. The subject is yet an unsolved area in criminal jurisprudence. It is of great interest to many jurists lawyers philosophers and psychiatrists. The study lays special emphasis on the Indian law .Comparative assessment wherever found necessary,especially of positions in England ,United states and Germany is made. The thesis is in six parts and sixteen chapters.
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La guía de recursos aborda ocho categorías de información referida a la atención a niños con retraso mental, salud, atención temprana, beneficios legales, educación, empleo, ocio y tiempo libre, residencias y respiro familiar, familia y asociacionismo.
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En anexos figuran las normas y formularios de inscripción a los cursos
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a) Conocer el estado y situaci??n actual de las familias con un miembro afectado de una enfermedad mental cr??nica en el Principado de Asturias; b) Establecer una comparativa entre los distintos territorios del Principado de Asturias (Oviedo, Gij??n, Avil??s, Cuenca del Nal??n, Cuenca del Caudal, Oriente y Occidente) en base a los objetivos espec??ficos del estudio; c) Se??alar pautas para la mejora de su situaci??n y orientar sobre las diferentes l??neas o proyectos de investigaci??n a desarrollar a partir de las conclusiones de este estudio. La hip??tesis global de este estudio es que la familia sufre un cambio total ante la enfermedad mental de uno de sus integrantes. La composici??n de la muestra se hizo en base a criterios estrat??gicos y estad??sticos de tal manera que resultara representativa de las familias que tienen una persona con enfermedad mental severa o grave en el Principado de Asturias. Para ello, se cont?? con la colaboraci??n de la Asociaci??n de Familiares de Enfermos Mentales de Asturias (AFESA). La muestra final la componen 213 personas. Desarrollo de un marco te??rico donde se hace un recorrido hist??rico sobre la 'locura' en Espa??a hasta llegar a la situaci??n actual y se analiza cu??l es la situaci??n de las familias que tienen a su cargo a personas afectadas por una enfermedad mental severa o grave. Al mismo tiempo, se realiza un estudio de car??cter descriptivo cuyo proceso de investigaci??n se divide en varias etapas: la elaboraci??n y planificaci??n del estudio, la recogida y an??lisis de los datos a trav??s del correo postal y, por ??ltimo, la comunicaci??n de los resultados y conclusiones. Utilizaci??n de la encuesta postal como procedimiento de recogida de informaci??n. Elaboraci??n de un cuestionario con 58 ??tems estructurados en 11 grandes bloques: datos de identificaci??n; actividades de la vida diaria; contenci??n de comportamientos alterados; gasto econ??mico extra; cambios en la rutina diaria; repercusi??n en la salud, sentimiento y sobrecarga; satisfacci??n del servicio de Salud Mental; repercusi??n global sobre el n??cleo familiar; preocupaciones, demandas y actuaciones; ayuda recibida y satisfacci??n. El tratamiento de los datos se lleva a cabo a trav??s del programa inform??tico SPSS versi??n 12.0. Dado el car??cter descriptivo, exploratorio y explicativo del mismo, se utilizan t??cnicas descriptivas e inferenciales de car??cter tanto param??trico como no param??trico. A) La madre es la cuidadora del enfermo esquizofr??nico por antonomasia mientras que el padre es quien trabaja fuera del hogar y reporta el sustento econ??mico a la familia. B) Sin atender a su parentesco, el cuidador principal del enfermo es una mujer. C) Los hombres cuidadores son, mayoritariamente, los padres que se encuentran jubilados o viudos. D) Las mujeres cuidadoras presentan una configuraci??n distinta entre ellas, especialmente las esposas de las personas enfermas. E) Las esposas que persisten al lado de la persona esquizofr??nica o afectada de otra enfermedad mental cr??nica representan un grupo de cuidadores distintivos al del resto de las mujeres. La esposa presenta una mayor intensidad de la carga subjetiva, manifiesta carecer de vida propia y ven c??mo su proyecto de vida, su proyecto de familia se derrumba y desaparece. F) Gran parte de las personas cuya enfermedad se inicia ya dentro del matrimonio est??n separados o divorciados. G) La forma de afrontar la enfermad es diferente en la madre y en la esposa del paciente. La madre ejerce el rol de cuidador como una obligaci??n, la esposa ve truncado su futuro al lado de la persona con la que se caso. H) Las hermanas cuidadoras se encuentran en una situaci??n similar al de las esposas del enfermo, por cuanto intentan mantener una vida propia al margen del cuidado de su familiar. I) El principal cuidador debe estar pendiente con gran frecuencia de que el enfermo tome correctamente la medicaci??n. J) Hay un alto porcentaje de hombres afectados de una enfermedad mental cr??nica, fundamentalmente la esquizofrenia. K) Las necesidades asistenciales y existenciales de la familia del enfermo mental est??n directamente relacionadas con la posibilidad y demanda de mejora de la asistencia de los Servicios Sociales y de Salud Mental.
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Identificar principios de procedimiento y estrategias que orienten la intervención educativa de personas con trastorno mental grave. 68 pacientes, 10 sujetos del personal auxiliar de psiquiatría y 3 del personal de enfermería de la Red de Salud Mental del Principado de Asturias asi como 2 expertos (terapeuta y antropóloga). A partir de una fundamentación teórica y una presentación del estado de la cuestión, se describe una investigación de tipo etnográfico en la que se considera el abordaje de tres dimensiones: a) Auto análisis, b) Observación participante que permita una cercamiento a esferas fundamentales de la realidad de los pacientes, y c) Acción-reflexión-acción. Los instrumentos principales de recogida de información son: a) Diario de campo, b) Registro de incidentes críticos, y c) Parrilla de evaluación, en la cual se recogen aspectos referentes a: participación, implicación, actividades realizadas, personal, resumen cuantitativo de los datos y evaluación individual. El análisis de los datos se realiza a través de un método comparativo constante utilizando el programa informático Nvivo. Las fases de este análisis son: codificación abierta, codificación axial, integración categórica y delimitación teórica. La intervención socioeducativa en la enfermedad mental es un campo profesional en formación dentro de la Pedagogía Social. Hay que trabajar por sistematizar experiencias y crear un marco teórico que sustente las diferentes actuaciones que se llevan a cabo con esta población. Población con unas características altamente específicas lo que lleva a la necesidad de definir unos criterios que fundamenten la actuación educativa con la misma.
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Conocimiento de las actitudes de los estudiantes de Enfermería antes y después de haber recibido un tratamiento experimental, con la finalidad de obtener información acerca del nivel de rechazo hacia la enfermedad mental existente en la población mencionada. Grupo de 36 sujetos universitarios, alumnos del primer curso de Enfermería, con el propósito de conseguir los objetivos propuestos. 1- Someter un grupo a una relación directa con el enfermo mental, a través de una visita a un hospital psiquiátrico. 2- Someter a otro grupo control a las clases teóricas comparar las actitudes de ambos grupos. Cuestionarios de actitudes hacia la enfermedad mental, Ruiz Ruiz, M., escala de rechazo hacia la enfermedad mental, Ruiz Ruiz, M. y Brotet E., test de Mcnemer, 1947. Análisis estadístico para cada item del cuestionario, se realiza un test de diferencias de proporciones de rechazo y no rechazo. Análisis comparativo. Los resultados en cuanto a las creencias sobre la curabilidad del enfermo mental no se aprecian diferencias significativas entre el antes y después del tratamiento. El grupo que no visito el hospital psiquiátrico opina con mayor frecuencia en la curabilidad mental, a diferencia de quienes no lo visitaron. El enfermo mental es reconocido por su comportamiento, no apreciándose diferencias significativas antes y después del tratamiento en ninguno de los dos grupos. El enfermo mental es una persona que no respeta las normas sociales. La causa de los trastornos nerviosos son las de tipo social. Es necesario un contacto directo con los enfermos mentales para conocer en profundidad la enfermedad, tratamiento, etc. La imagen del loco como persona agresiva persiste aun en nuestra sociedad, pero vemos como surge la posibilidad de cambiar estas actitudes de rechazo hacia el enfermo mental a traves de la modificacion del componente afectivo.. El cambio de actitud hacia la enfermedad mental se produce con mucha dificultad debido a la gran carga de irracionalidad y fantasías con respecto al tema que sigue vigente en nuestra sociedad. El enfermo mental, se sigue rechazando al ser considerado como incurable, con bajo rendimiento laboral, marginado y digno de lástima. Es muy difícil modificar las actitudes cuando solo se utiliza el componente cognoscitivo.
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Comprobar las actitudes y cambio de actitudes hacia la enfermedad mental debido a un desconocimiento por parte de la población de la realidad psiquiátrica y el prejuicio que hacia los enfermos psiquiátricos poseen. 49 sujetos, 37 de ellos mujeres, 12 varones y nacidos la mayoría en Málaga y provincia, con edades comprendidas entre los 20 y 25 años y estudios de segundo de Educación Especial. El grupo de control es de 17 sujetos que, voluntariamente, han visitado el Hospital Psiquiátrico San José de Málaga y el de 32 sujetos, que no realizaron la visita. Se partía de dos hipótesis: que las actitudes hacia la enfermedad mental van ser diferentes según la información recibida acerca de la situación real de los enfermos psiquiátricos; la actitud de rechazo disminuirá con la visita al psiquiátrico. La variable independiente con la que se cuenta, es la visita al psiquiátrico, en la que los que van, reciben informaciones psiquiátricas y, las variables dependientes son las puntuaciones en la primera hipótesis y la escala de rechazo en la segunda, además de motivaciones, tiempo, etc. Las actitudes hacia la enfermedad mental se van a ver a través de un cuestionario, la actitud de rechazo se mide en un escala de 16 ítems para cada sujeto. Tratamiento estadístico. Tras el estudio, se observa que no se han comprobado las hipótesis, pero parcialmente se pueden observar diferencias significativas en algunas cuestiones planteadas en 2 ítems del cuestionario, así a la pregunta de cuál es la enfermedad que más les averguenza, los dos grupos comparados contestan diferente. El grupo de control contesta que el alcoholismo, frente al experimental que considera la depresión. La otra pregunta sería sobre la ubicación de los hospitales psiquiátricos, a lo que el grupo de control opina que a las afueras de las ciudades, y el experimental que en el interior de las mismas. El hecho de que un sujeto entre en contacto con la realidad psiquiátrica, no modifica las actitudes de rechazo hacia la enfermedad mental del mismo, ya que el tipo de contacto es solamente informativo y no cambia el componente afectivo, por lo que se deriva como hipótesis, que podría ser que en un mayor contacto con la realidad psiquiátrica, mayor al establecido, habría una disminución de rechazo pero que, debido a la situación actual de los hospitales psiquiátricos, queda anulada por el rechazo a este tipo de instituciones.