921 resultados para Fictionalisation de soi
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Stable oxygen analyses and snow accumulation rates from snow pits sampled in the McMurdo Dry Valleys have been used to reconstruct variations in summer temperature and moisture availability over the last four decades. The temperature data show a common interannual variability, with strong regional warmings occurring especially in 1984/85, 1995/96 and 1990/91 and profound coolings during 1977/78, 1983/84, 1988/89, 1993/94, and 1996/97. Annual snow accumulation shows a larger variance between sites, but the early 1970s, 1984, 1997, and to a lesser degree 1990/91 are characterized overall by wetter conditions, while the early and late 1980s show low snow accumulation values. Comparison of the reconstructed and measured summer temperatures with the Southern Oscillation Index (SOI) and the Antarctic Oscillation (AAO) yield statistically significant correlations, which improve when phaserelationships are considered. A distinct change in the phase relationship of the correlation is observed, with the SOI-AAO leading over the temperature records by one year before, and lagging by one year after 1988. These results suggest that over the last two decades summer temperatures are influenced by opposing El Niho Southern Oscillation and AAO forcings and support previous studies that identified a change in the Tropical-Antarctic teleconnection between the 1980s and 1990s.
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Dans l’œuvre de Michel Butor, la frontière peut être considérée comme un équivalent de la césure, comme le pli de la double page constituait un équivalent de la césure dans Un coup de dés chez Mallarmé. Elle se retrouve dans de très nombreuses œuvres, des romans au Génie du lieu, et dans de nombreuses œuvres poétiques, dont À la frontière et Frontières. Chez Butor, la frontière a un rôle d’articulateur ; mais cette articulation ne va pas de soi, et il faut passer par des «méditations» sur la frontière, qui permettent d’établir une typologie des diverses fonctions de la frontière.]
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Le poète Ossip Mandelstam a été habité toute sa vie par un sentiment d’exil et de déracinement dont les causes sont diverses (« chaos judaïque » de son enfance, déménagements incessants, expérience de catastrophes historiques, etc.) : son ralliement au mouvement acméiste peut se comprendre comme une tentative de lutter contre ce sentiment au niveau de l’imaginaire. Le programme acméiste, contrairement au mouvement symboliste qui déprécie les choses d’ici bas au profit d’une réalité transcendante, peut en effet se définir comme une tentative de rendre au monde une certaine matérialité et hospitalité. Dans ce contexte, Mandelstam privilégie le motif architectural, qui lui fournit de nombreuses images de l’abri, du logement et de la protection, tout particulièrement dans son recueil intitulé Pierre. Néanmoins, si les images architecturales convoquées par Mandelstam apaisent momentanément sa soif d’un foyer, elles ne sont pas suffisantes : le poète invoque encore le pouvoir et le statut ontologique particuliers de la langue russe, seule langue capable selon lui de retrouver l’âme des choses et de faire que le poète se sente chez soi dans le monde.
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La réparation (« Wiedergutmachung ») comme raison d’être : les études sur l’exil (« Exilforschung ») dans l’aire germanophone La contribution se concentrera sur trois aspects des études sur l’exil (« Exilforschung ») germanophone, en donnant priorité à l’évolution en RFA. Les développements en Autriche et en Suisse pourront être abordés pendant la discussion, de même que, d’une manière moins exhaustive, ceux en RDA. 1. Genèse et professionnalisation du champ des études sur l’exil Elles naissent au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale suite à l’initiative d’écrivains exilés, qui commencent à réunir des textes littéraires écrits en exil que l’on a appelés à l’époque « Emigrantenliteratur ». Mais ce n’est que dans les années 1960 que les études sur l’exil (« Exilforschung ») se constituent comme un champ d’étude en soi. La Gesellschaft für Exilforschung est créée en 1984 sur le modèle de la North American Society for Exile Studies. Sur fond du lourd héritage des violences perpétrées par le régime nazi et de l’Holocauste, les études allemandes sur l’exil se consacrent, en premier lieu, à la commémoration des victimes du nazisme dans un désir de réparation (« Wiedergutmachung »). Cette volonté de réparation constituera pendant deux décennies un obstacle à une ouverture vers des champs voisins, tels que les études migratoires (migration studies), les études juives (Judaistik) ou encore les études sur le refuge (refugee studies). Une telle ouverture, qui prévoit aussi une expansion temporelle du concept de l’exil (réservé jusqu’ici implicitement aux temps du Nazisme), est le but de plusieurs chaires et initiatives de recherche créées dernièrement. 2. Approches et acquis Il s’agira de caractériser les approches et les acquis des études sur l’exil dans l’aire germanophone. Nous montrerons notamment comment la mission initiale de saisir l’exil des années 1933-45 dans sa totalité a fait place à des questions plus complexes, entre autre autour des concepts d’assimilation et d’acculturation. 3. Perspectives Quelles sont les perspectives des études sur l’exil dans l’aire germanophone ? Nous suggèrerons que l’Exilforschung a, par le biais de son expérience interdisciplinaire et de son approche transnationale, le statut d’un laboratoire permettant d’appréhender questionnements et approches aptes à saisir des phénomènes exiliques au sens large.
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Quelques années après la sortie du film « La Zona – propriété privée », cet article décrypte quelques éléments de la fiction pour revenir sur les causes et les conséquences socio-urbaines du développement massif des enclaves résidentielles. Le contraste du dehors et du dedans, les stratégies d’enfermement, la constitution de communautés d’intérêts et l’entre-soi sont mis à mal par la révélation de la violence inhérente à des choix court-termistes d’habitants qui se murent pour conjurer leur peur et préserver leur confort. Entre ouverture et fermeture, il existerait un entre-deux où l’on pourrait tisser des en-communs avec les fils qui relient les mondes.
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Continuous condensation particle (CP) observations were conducted from 1984 through 2009 at Neumayer Station under stringent contamination control. During this period, the CP concentration (median 258 1/cm**3) showed no significant long term trend but exhibited a pronounced seasonality characterized by a stepwise increase starting in September and reaching its annual maximum of around 10**3/cm**3 in March. Minimum values below 10**2/cm**3 were observed during June/July. Dedicated time series analyses in the time and frequency domain revealed no significant correlations between inter-annual CP concentration variations and atmospheric circulation indices like Southern Annular Mode (SAM) or Southern Ocean Index (SOI). The impact of the Pinatubo volcanic eruption and strong El Niño events did not affect CP concentrations. From thermodenuder experiments we deduced that the portion of volatile (at 125 °C) and semi-volatile (at 250 °C) particles which could be both associated with biogenic sulfur aerosol, was maximum during austral summer, while during winter non-volatile sea salt particles dominated. During September through April we could frequently observe enhanced concentrations of ultrafine particles within the nucleation mode (between 3 nm and 7 nm particle diameter), preferentially in the afternoon.
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How do sportspeople succeed in a non-collaborative game? An illustration of a perverse side effect of altruism Are team sports specialists predisposed to collaboration? The scientific literature on this topic is divided. The present article attempts to end this debate by applying experimental game theory. We constituted three groups of volunteers (all students aged around 20): 25 team sports specialists; 23 individual sports specialists (gymnasts, track & field athletes and swimmers) and a control group of 24 non-sportspeople. Each subgroup was divided into 3 teams that played against each other in turn (and not against teams from other subgroups). The teams played a game based on the well-known Prisoner's Dilemma (Tucker, 1950) - the paradoxical "Bluegill Sunbass Game" (Binmore, 1999) with three Nash equilibria (two suboptimal equilibria with a pure strategy and an optimal equilibrium with a mixed, egotistical strategy (p= 1/2)). This game also features a Harsanyi equilibrium (based on constant compliance with a moral code and altruism by empathy: "do not unto others that which you would not have them do unto you"). How, then, was the game played? Two teams of 8 competed on a handball court. Each team wore a distinctive jersey. The game lasted 15 minutes and the players were allowed to touch the handball ball with their feet or hands. After each goal, each team had to return to its own half of the court. Players were allowed to score in either goal and thus cooperate with their teammates or not, as they saw fit. A goal against the nominally opposing team (a "guardian" strategy, by analogy with the Bluegill Sunbass Game) earned a point for everyone in the team. For an own goal (a "sneaker" strategy), only the scorer earned a point - hence the paradox. If all the members of a team work together to score a goal, everyone is happy (the Harsanyi solution). However, the situation was not balanced in the Nashian sense: each player had a reason to be disloyal to his/her team at the merest opportunity. But if everyone adopts a "sneaker" strategy, the game becomes a free-for-all and the chances of scoring become much slimmer. In a context in which doubt reigns as to the honesty of team members and "legal betrayals", what type of sportsperson will score the most goals? By analogy with the Bluegill Sunbass Game, we recorded direct motor interactions (passes and shots) based on either a "guardian" tactic (i.e. collaboration within the team) or a "sneaker" tactic (shots and passes against the player's designated team). So, was the group of team sports specialist more collaborative than the other two groups? The answer was no. A statistical analysis (difference from chance in a logistic regression) enabled us to draw three conclusions: ?For the team sports specialists, the Nash equilibrium (1950) was stronger than the Harsanyi equilibrium (1977). ?The sporting principles of equilibrium and exclusivity are not appropriate in the Bluegill Sunbass Game and are quickly abandoned by the team sports specialists. The latter are opportunists who focus solely on winning and do well out of it. ?The most altruistic players are the main losers in the Bluegill Sunbass Game: they keep the game alive but contribute to their own defeat. In our experiment, the most altruistic players tended to be the females and the individual sports specialists
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A lo largo del siglo XX, y aún a comienzos del siglo XXI, la mayor parte de los estudios sobre la obra de Paul Ricoeur han enfatizado sus escritos fenomenológico-existenciales y su posterior filosofía hermenéutica. Como corolario, su legado filosófico parece mayormente limitarse a una pretensión fenomenológico-hermenéutica, ocasionalmente mediada por el estructuralismo, enraizada en el campo de una antropología filosófica. No se trata de impugnar aquí que la cuestión del "sujeto", o mejor, del "sí mismo", sea individual o colectivo -tal como aparece en el lenguaje técnico de Soi-même comme un autre (1990)-, se erige como un tema central en su vasta obra. Tampoco es cuestión de negar que si bien sus escritos constituyen, como él mismo advierte, "la estructura de recepción para la filosofía política [...] Esta filosofía política queda por hacer" (ver Ricoeur, P., "Le philosophe et le politique devant la question de la liberté", 1969). Lo que sí se intentará destacar es que, como enseña nuestro pensador en "Le paradoxe politique" (1957), "[...] la humanidad viene al hombre por medio del cuerpo político [...] que el individuo no se hace humano más que en esa totalidad que es la 'universalidad de los ciudadanos'". Sirva la cita al solo efecto de mostrar que si bien no elaboró una filosofía política metódica, que su investigación se detuvo en el umbral de lo político en el sentido preciso de una teoría del Estado y que existe escasísima bibliografía secundaria sobre el tema, su interés por la filosofía política no estuvo ausente en su obra. Como advierte y en gran parte muestra su principal biógrafo, François Dosse, "[p]or el contrario, sus trabajos siempre se nutrieron de la filosofía política". Bajo esta premisa, se rastrearán sus reflexiones políticas, primero ocasionales y dispersas, luego un poco más sistemáticas, desde el que el propio Ricoeur considera su texto seminal en la materia, el ya citado artículo "Le paradoxe politique", hasta su última obra publicada en vida, Parcours de la reconnaissance (2004). Aclarado el punto de partida, la hipótesis de este trabajo -enunciada de manera sumaria- es que si bien el hilo conductor, y a su vez el telos, de su pensamiento político es el "vivir-bien" -razón por la cual lo político y lo ético de algún modo se co-implican sin fusionarse-, mientras sus trabajos tempranos apuntan a una síntesis entre libertad e institución, en el marco de una filosofía política autonomizada de lo económico; en los textos tardíos la síntesis es entre justicia e institución, en el dominio de una filosofía política que se resiste a ser reducida a lo jurídico. Enunciada la hipótesis y dentro de una reconstrucción que podría calificarse de escalonada, se expondrán y se hará el esfuerzo cuasi inédito de articular, siguiendo un orden mayormente cronológico y en la medida de lo posible también contextual, los hitos principales del legado político de Ricoeur. Se declinará explícitamente todo intento de elaborar un sistema político orgánico porque si bien en sus escritos aparecen una y otra vez las nociones básicas de la filosofía política tradicional -Estado, poder, institución, contrato, violencia, etc.-, como dice con acierto Dauenhauer en "Ricoeur and the Tasks of Citenzenship" (2002): "Ricoeur no ha desarrollado una filosofía política comprehensiva, sistemática, que se dirija a los principales asuntos políticos [...] Aunque su pensamiento político no está desprovisto de principios afianzados que conforman una unidad genuina"
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A lo largo del siglo XX, y aún a comienzos del siglo XXI, la mayor parte de los estudios sobre la obra de Paul Ricoeur han enfatizado sus escritos fenomenológico-existenciales y su posterior filosofía hermenéutica. Como corolario, su legado filosófico parece mayormente limitarse a una pretensión fenomenológico-hermenéutica, ocasionalmente mediada por el estructuralismo, enraizada en el campo de una antropología filosófica. No se trata de impugnar aquí que la cuestión del "sujeto", o mejor, del "sí mismo", sea individual o colectivo -tal como aparece en el lenguaje técnico de Soi-même comme un autre (1990)-, se erige como un tema central en su vasta obra. Tampoco es cuestión de negar que si bien sus escritos constituyen, como él mismo advierte, "la estructura de recepción para la filosofía política [...] Esta filosofía política queda por hacer" (ver Ricoeur, P., "Le philosophe et le politique devant la question de la liberté", 1969). Lo que sí se intentará destacar es que, como enseña nuestro pensador en "Le paradoxe politique" (1957), "[...] la humanidad viene al hombre por medio del cuerpo político [...] que el individuo no se hace humano más que en esa totalidad que es la 'universalidad de los ciudadanos'". Sirva la cita al solo efecto de mostrar que si bien no elaboró una filosofía política metódica, que su investigación se detuvo en el umbral de lo político en el sentido preciso de una teoría del Estado y que existe escasísima bibliografía secundaria sobre el tema, su interés por la filosofía política no estuvo ausente en su obra. Como advierte y en gran parte muestra su principal biógrafo, François Dosse, "[p]or el contrario, sus trabajos siempre se nutrieron de la filosofía política". Bajo esta premisa, se rastrearán sus reflexiones políticas, primero ocasionales y dispersas, luego un poco más sistemáticas, desde el que el propio Ricoeur considera su texto seminal en la materia, el ya citado artículo "Le paradoxe politique", hasta su última obra publicada en vida, Parcours de la reconnaissance (2004). Aclarado el punto de partida, la hipótesis de este trabajo -enunciada de manera sumaria- es que si bien el hilo conductor, y a su vez el telos, de su pensamiento político es el "vivir-bien" -razón por la cual lo político y lo ético de algún modo se co-implican sin fusionarse-, mientras sus trabajos tempranos apuntan a una síntesis entre libertad e institución, en el marco de una filosofía política autonomizada de lo económico; en los textos tardíos la síntesis es entre justicia e institución, en el dominio de una filosofía política que se resiste a ser reducida a lo jurídico. Enunciada la hipótesis y dentro de una reconstrucción que podría calificarse de escalonada, se expondrán y se hará el esfuerzo cuasi inédito de articular, siguiendo un orden mayormente cronológico y en la medida de lo posible también contextual, los hitos principales del legado político de Ricoeur. Se declinará explícitamente todo intento de elaborar un sistema político orgánico porque si bien en sus escritos aparecen una y otra vez las nociones básicas de la filosofía política tradicional -Estado, poder, institución, contrato, violencia, etc.-, como dice con acierto Dauenhauer en "Ricoeur and the Tasks of Citenzenship" (2002): "Ricoeur no ha desarrollado una filosofía política comprehensiva, sistemática, que se dirija a los principales asuntos políticos [...] Aunque su pensamiento político no está desprovisto de principios afianzados que conforman una unidad genuina"
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En El Ser y la nada Sartre retomó la noción de Ipseidad del vocabulario de Sein und Zeit, y la desplegó como una pieza central para deslindar el para-sí, vinculado al circuito de la conciencia reflexiva y la libertad, del en-sí, como lo inerte, lo dado, la existencia de hecho. Ahora bien, Ricoeur reconsidera la categoría de Ipse en Sí mismo como otro. Pero aquí su relación con Sartre es interesante en dos direcciones: a) permite clarificar su diferencia con el desgarramiento del Ipse sartriano; b) permite ver allí el papel diferente que ambos autores dan a la noción de otredad.
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A lo largo del siglo XX, y aún a comienzos del siglo XXI, la mayor parte de los estudios sobre la obra de Paul Ricoeur han enfatizado sus escritos fenomenológico-existenciales y su posterior filosofía hermenéutica. Como corolario, su legado filosófico parece mayormente limitarse a una pretensión fenomenológico-hermenéutica, ocasionalmente mediada por el estructuralismo, enraizada en el campo de una antropología filosófica. No se trata de impugnar aquí que la cuestión del "sujeto", o mejor, del "sí mismo", sea individual o colectivo -tal como aparece en el lenguaje técnico de Soi-même comme un autre (1990)-, se erige como un tema central en su vasta obra. Tampoco es cuestión de negar que si bien sus escritos constituyen, como él mismo advierte, "la estructura de recepción para la filosofía política [...] Esta filosofía política queda por hacer" (ver Ricoeur, P., "Le philosophe et le politique devant la question de la liberté", 1969). Lo que sí se intentará destacar es que, como enseña nuestro pensador en "Le paradoxe politique" (1957), "[...] la humanidad viene al hombre por medio del cuerpo político [...] que el individuo no se hace humano más que en esa totalidad que es la 'universalidad de los ciudadanos'". Sirva la cita al solo efecto de mostrar que si bien no elaboró una filosofía política metódica, que su investigación se detuvo en el umbral de lo político en el sentido preciso de una teoría del Estado y que existe escasísima bibliografía secundaria sobre el tema, su interés por la filosofía política no estuvo ausente en su obra. Como advierte y en gran parte muestra su principal biógrafo, François Dosse, "[p]or el contrario, sus trabajos siempre se nutrieron de la filosofía política". Bajo esta premisa, se rastrearán sus reflexiones políticas, primero ocasionales y dispersas, luego un poco más sistemáticas, desde el que el propio Ricoeur considera su texto seminal en la materia, el ya citado artículo "Le paradoxe politique", hasta su última obra publicada en vida, Parcours de la reconnaissance (2004). Aclarado el punto de partida, la hipótesis de este trabajo -enunciada de manera sumaria- es que si bien el hilo conductor, y a su vez el telos, de su pensamiento político es el "vivir-bien" -razón por la cual lo político y lo ético de algún modo se co-implican sin fusionarse-, mientras sus trabajos tempranos apuntan a una síntesis entre libertad e institución, en el marco de una filosofía política autonomizada de lo económico; en los textos tardíos la síntesis es entre justicia e institución, en el dominio de una filosofía política que se resiste a ser reducida a lo jurídico. Enunciada la hipótesis y dentro de una reconstrucción que podría calificarse de escalonada, se expondrán y se hará el esfuerzo cuasi inédito de articular, siguiendo un orden mayormente cronológico y en la medida de lo posible también contextual, los hitos principales del legado político de Ricoeur. Se declinará explícitamente todo intento de elaborar un sistema político orgánico porque si bien en sus escritos aparecen una y otra vez las nociones básicas de la filosofía política tradicional -Estado, poder, institución, contrato, violencia, etc.-, como dice con acierto Dauenhauer en "Ricoeur and the Tasks of Citenzenship" (2002): "Ricoeur no ha desarrollado una filosofía política comprehensiva, sistemática, que se dirija a los principales asuntos políticos [...] Aunque su pensamiento político no está desprovisto de principios afianzados que conforman una unidad genuina"
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En El Ser y la nada Sartre retomó la noción de Ipseidad del vocabulario de Sein und Zeit, y la desplegó como una pieza central para deslindar el para-sí, vinculado al circuito de la conciencia reflexiva y la libertad, del en-sí, como lo inerte, lo dado, la existencia de hecho. Ahora bien, Ricoeur reconsidera la categoría de Ipse en Sí mismo como otro. Pero aquí su relación con Sartre es interesante en dos direcciones: a) permite clarificar su diferencia con el desgarramiento del Ipse sartriano; b) permite ver allí el papel diferente que ambos autores dan a la noción de otredad.
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How do sportspeople succeed in a non-collaborative game? An illustration of a perverse side effect of altruism Are team sports specialists predisposed to collaboration? The scientific literature on this topic is divided. The present article attempts to end this debate by applying experimental game theory. We constituted three groups of volunteers (all students aged around 20): 25 team sports specialists; 23 individual sports specialists (gymnasts, track & field athletes and swimmers) and a control group of 24 non-sportspeople. Each subgroup was divided into 3 teams that played against each other in turn (and not against teams from other subgroups). The teams played a game based on the well-known Prisoner's Dilemma (Tucker, 1950) - the paradoxical "Bluegill Sunbass Game" (Binmore, 1999) with three Nash equilibria (two suboptimal equilibria with a pure strategy and an optimal equilibrium with a mixed, egotistical strategy (p= 1/2)). This game also features a Harsanyi equilibrium (based on constant compliance with a moral code and altruism by empathy: "do not unto others that which you would not have them do unto you"). How, then, was the game played? Two teams of 8 competed on a handball court. Each team wore a distinctive jersey. The game lasted 15 minutes and the players were allowed to touch the handball ball with their feet or hands. After each goal, each team had to return to its own half of the court. Players were allowed to score in either goal and thus cooperate with their teammates or not, as they saw fit. A goal against the nominally opposing team (a "guardian" strategy, by analogy with the Bluegill Sunbass Game) earned a point for everyone in the team. For an own goal (a "sneaker" strategy), only the scorer earned a point - hence the paradox. If all the members of a team work together to score a goal, everyone is happy (the Harsanyi solution). However, the situation was not balanced in the Nashian sense: each player had a reason to be disloyal to his/her team at the merest opportunity. But if everyone adopts a "sneaker" strategy, the game becomes a free-for-all and the chances of scoring become much slimmer. In a context in which doubt reigns as to the honesty of team members and "legal betrayals", what type of sportsperson will score the most goals? By analogy with the Bluegill Sunbass Game, we recorded direct motor interactions (passes and shots) based on either a "guardian" tactic (i.e. collaboration within the team) or a "sneaker" tactic (shots and passes against the player's designated team). So, was the group of team sports specialist more collaborative than the other two groups? The answer was no. A statistical analysis (difference from chance in a logistic regression) enabled us to draw three conclusions: ?For the team sports specialists, the Nash equilibrium (1950) was stronger than the Harsanyi equilibrium (1977). ?The sporting principles of equilibrium and exclusivity are not appropriate in the Bluegill Sunbass Game and are quickly abandoned by the team sports specialists. The latter are opportunists who focus solely on winning and do well out of it. ?The most altruistic players are the main losers in the Bluegill Sunbass Game: they keep the game alive but contribute to their own defeat. In our experiment, the most altruistic players tended to be the females and the individual sports specialists
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En El Ser y la nada Sartre retomó la noción de Ipseidad del vocabulario de Sein und Zeit, y la desplegó como una pieza central para deslindar el para-sí, vinculado al circuito de la conciencia reflexiva y la libertad, del en-sí, como lo inerte, lo dado, la existencia de hecho. Ahora bien, Ricoeur reconsidera la categoría de Ipse en Sí mismo como otro. Pero aquí su relación con Sartre es interesante en dos direcciones: a) permite clarificar su diferencia con el desgarramiento del Ipse sartriano; b) permite ver allí el papel diferente que ambos autores dan a la noción de otredad.
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A lo largo del siglo XX, y aún a comienzos del siglo XXI, la mayor parte de los estudios sobre la obra de Paul Ricoeur han enfatizado sus escritos fenomenológico-existenciales y su posterior filosofía hermenéutica. Como corolario, su legado filosófico parece mayormente limitarse a una pretensión fenomenológico-hermenéutica, ocasionalmente mediada por el estructuralismo, enraizada en el campo de una antropología filosófica. No se trata de impugnar aquí que la cuestión del "sujeto", o mejor, del "sí mismo", sea individual o colectivo -tal como aparece en el lenguaje técnico de Soi-même comme un autre (1990)-, se erige como un tema central en su vasta obra. Tampoco es cuestión de negar que si bien sus escritos constituyen, como él mismo advierte, "la estructura de recepción para la filosofía política [...] Esta filosofía política queda por hacer" (ver Ricoeur, P., "Le philosophe et le politique devant la question de la liberté", 1969). Lo que sí se intentará destacar es que, como enseña nuestro pensador en "Le paradoxe politique" (1957), "[...] la humanidad viene al hombre por medio del cuerpo político [...] que el individuo no se hace humano más que en esa totalidad que es la 'universalidad de los ciudadanos'". Sirva la cita al solo efecto de mostrar que si bien no elaboró una filosofía política metódica, que su investigación se detuvo en el umbral de lo político en el sentido preciso de una teoría del Estado y que existe escasísima bibliografía secundaria sobre el tema, su interés por la filosofía política no estuvo ausente en su obra. Como advierte y en gran parte muestra su principal biógrafo, François Dosse, "[p]or el contrario, sus trabajos siempre se nutrieron de la filosofía política". Bajo esta premisa, se rastrearán sus reflexiones políticas, primero ocasionales y dispersas, luego un poco más sistemáticas, desde el que el propio Ricoeur considera su texto seminal en la materia, el ya citado artículo "Le paradoxe politique", hasta su última obra publicada en vida, Parcours de la reconnaissance (2004). Aclarado el punto de partida, la hipótesis de este trabajo -enunciada de manera sumaria- es que si bien el hilo conductor, y a su vez el telos, de su pensamiento político es el "vivir-bien" -razón por la cual lo político y lo ético de algún modo se co-implican sin fusionarse-, mientras sus trabajos tempranos apuntan a una síntesis entre libertad e institución, en el marco de una filosofía política autonomizada de lo económico; en los textos tardíos la síntesis es entre justicia e institución, en el dominio de una filosofía política que se resiste a ser reducida a lo jurídico. Enunciada la hipótesis y dentro de una reconstrucción que podría calificarse de escalonada, se expondrán y se hará el esfuerzo cuasi inédito de articular, siguiendo un orden mayormente cronológico y en la medida de lo posible también contextual, los hitos principales del legado político de Ricoeur. Se declinará explícitamente todo intento de elaborar un sistema político orgánico porque si bien en sus escritos aparecen una y otra vez las nociones básicas de la filosofía política tradicional -Estado, poder, institución, contrato, violencia, etc.-, como dice con acierto Dauenhauer en "Ricoeur and the Tasks of Citenzenship" (2002): "Ricoeur no ha desarrollado una filosofía política comprehensiva, sistemática, que se dirija a los principales asuntos políticos [...] Aunque su pensamiento político no está desprovisto de principios afianzados que conforman una unidad genuina"