762 resultados para Postcolonial HCI
Reassessing Postcolonial Criticism for (Northern) Ireland and Scotland: Rewriting National Paradigms
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Secularism has emerged as a central category of twenty-first century political thought that in many ways has replaced the theory of secularization. According to postcolonial scholars, neither the theory nor the practice of secularization was politically neutral. They define secularism as the set of discourses, policies, and constitutional arrangements whereby modern states and liberal elites have sought to unify nations and divide colonial populations. This definition is quite different from the original meaning of secularism, as an immanent scientific worldview linked to anticlericalism. Anthropologist Talal Asad has connected nineteenth-century worldview secularism to twenty-first century political secularism through a genealogical account that stresses continuities of liberal hegemony. This essay challenges this account. It argues that liberal elites did not merely subsume worldview secularism in their drive for state secularization. Using the tools of conceptual history, the essay shows that one reason that “secularization” only achieved its contemporary meaning in Germany after 1945 was that radical freethinkers and other anticlerical secularists had previously resisted liberal hegemony. The essay concludes by offering an agenda for research into the discontinuous history of these two types of secularism.
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This research assesses the various aspects of Child and Youth Care (CYC) work and how relationships between child or youth and care provider are limited and constricted within greater political, social and historical contexts. Specifically, this research takes place internationally in Rio de Janeiro, Brazil within a favela (slum) and unveils the entangled and complex relationship that I, not only as an ethnographer, but also as a CYC worker had with the many young people that I encountered. It will address a variety of theories that demonstrate the potentials of reproducing oppressive relationships, and argue that it is imperative for CYC workers to critically reflect on the greater contexts in which their work is situated in order to gain forces with those young people whom they are attempting to serve.
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Cette dissertation traite des (re)configurations postcoloniales de la résistance et de la négociation comme concepts permettant d’aborder les représentations des conflits nationaux dans les littératures Africaines contemporaines. Ensemble, ces concepts ouvrent de nouvelles voix et possibilités de se remémorer, de raconter, et de lire la violence en problématisant non seulement les discours sur la guerre civile en Afrique, mais aussi les conceptions d’histoire nationale, de la mémoire, et de leur représentation. Si cette étude cherche à reconfigurer la négociation et la résistance au-delà des définitions qui tendent à les opposer, elle se consacre surtout à développer la notion de négociation comme stratégie de dépassement, de lecture, et d’écriture, qui, néanmoins, ne vise pas de résolution. La négociation implique ainsi une conception pluraliste d’un pouvoir d’action sociale, politique, et culturelle. Cette dissertation avance que la négociation est un concept d’écriture et de lecture qui intervient dans les événements, discours, et pratiques de remémoration en prenant compte de leurs multiplicités et définitions instables. Cette étude explore les manières selon lesquelles Nuruddin Farah, Chenjerai Hove, Yvonne Vera, Chimamanda Adichie, et Sefi Atta déploient la négociation et la résistance comme outils d’engagement esthétique et sociopolitique dans la narration de la violence en Somalie, au Zimbabwe, et au Nigeria. En outre, la négociation marque mon analyse de l’intervention des textes dans les discours d’historiographie et de représentation. Si ces romans mettent en exergue la généalogie complexe du conflit postcolonial, ils négocient aussi les implications multiples, incluant la leur, dans les questions problématiques de la responsabilité et de la représentation. La vii négociation représente un acte conscient à travers lequel nous reconnaissons l’instabilité de toute bataille politique, morale, ou éthique sans pour autant céder à un cynisme paralysant. De par son approche négociée et interdisciplinaire, cette dissertation ne fait pas qu’entrer en débat avec des discours multiples des études postcoloniales, Africaines, et littéraires. Elle intervient aussi dans les conceptions de la nation, la violence, la mémoire, la responsabilité, et la justice selon les études philosophiques, politiques, et culturelles. Outre les critiques littéraires, les chapitres interrogent les théories de penseurs tels Ngugi wa Thiong’o, David Jefferess, Pheng Cheah, et Wole Soyinka. Cette approche éclectique reflète l’attention des romans à la complexité irréductible des responsabilités individuelles et collectives dans les récits d’histoire et d’appartenance nationales. Cet engagement négocié avec les questions entourant la postcolonialité, malgré la dominance actuelle des discours de la globalisation, permet de reconceptualiser l’approche postcoloniale pour contrer les analyses déhistorisées et décontextualisées des conflits sociopolitiques en Afrique. Le chapitre 1 élabore les concepts clés de la dissertation. Le chapitre 2 explore la résistance et la négociation dans le langage figuré métonymique dans les représentations de la guerre en Somalie. Le chapitre 3 se consacre à l’analyse de la figure de la spectralité dans la narration de l’histoire et de la violence nationales au Zimbabwe. Finalement, le chapitre 4 négocie les concepts de représentation et de responsabilité dans les récits du trauma postcolonial au Nigeria. viii Mots-clés : négociation, résistance, littératures africaines, violence, responsabilité, nation, représentation
Le néak sraè, riziculteur khmer : mobilité paysanne, localité et communauté au Cambodge postcolonial
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Dans le Cambodge angkorien, les souverains khmers administraient une paysannerie mouvante par le biais de temples-palais. Lorsque les Français prennent le contrôle, en 1845, ils se retrouvent devant une « masse paysanne inorganisée, inorganique même » (Delvert, 1961 : 201) et restent « confondus devant la mobilité des Cambodgiens » (Forest, 1980 : 30). À l’époque postcoloniale, les ethnologues feront essentiellement le même constat, pendant que John F. Embree (1950) proposera de catégoriser les sociétés indianisées du Sud-Est asiatique comme étant « loosely structured » : postulant une faible intégration individuelle des structures sociales donnant lieu à une prévalence de comportements individualistes ad hoc et à des communautés sans réelle organisation. La proposition fera école. Ces observations paraissent justes, mais l’analyse infructueuse. La structure dont parle Embree s’appuie sur une culture hautement syncrétique qui se reflétait aléatoirement dans les comportements. Mais l’organisation sociale khmère se trouve ailleurs : dans les solutions organisationnelles qui gouvernent les choix des individus lorsqu’ils doivent se regrouper afin d’effectuer des tâches récurrentes. À ce titre, les paysans khmers évoluaient dans une organisation sociale rigoureusement minimaliste et flexible. La maisonnée était l’élément essentiel, tandis que la communauté territoriale locale était contingente et fluctuante. Dans l’environnement naturel généreux du Cambodge, un petit groupe d’individus mobiles réunis sous un même toit pouvait aisément accomplir toutes les tâches nécessaires à sa survie. Alors on ne s’attachait jamais indéfiniment à une localité : seulement à des communautés sans cesse en évolution, centrées autour de pagodes agissant comme des ports d’ancrage.
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Cette dissertation traite la danse comme une catégorie d’analyse permettant de réorienter ou de ré-chorégraphier les théories postcoloniales du corps. Mon étude montre qu’ Edward Said, par exemple, décrit la danse seulement à travers le regard impérial, et que Homi Bhabha et Gayatri Spivak négligent complètement le rôle de la dance dans la construction de la subjectivité postcoloniale. Mon étude explique que Stavros Karayanni récemment explore la danse masculine et féminine comme espaces de résistance contre la domination coloniale. Toutefois, l’analyse de Karayanni met l’accent seulement sur le caractère insaisissable de la danse qui produit une ambigüité et une ambivalence dans le regard du sujet impériale. Contrairement aux approches de Said et de Karayanni, ma dissertation explore la danse comme un espace ou le corps du sujet colonisé chorégraphie son histoire collective que l’amnésie coloniale ne cesse de défigurer au moyen de l’acculturation et de marchandisation. Je soutiens que la danse nous offre la possibilité de concevoir le corps colonisé non seulement dans son ambiguïté, comme le souligne Karayanni, mais aussi dans son potentiel de raconter corporellement sa mémoire collective de l’intérieur de la domination impériale. Ma dissertation soutient que les catégories de l’ambiguïté et de l’insaisissabilité mystifient et fétichisent le corps dansant en le décrivant comme un élément évasif et évanescent. Ma dissertation inclut plusieurs traditions culturelles de manière à réorienter la recherche ethnographique qui décrit la dance comme articulation codée par une culture postcoloniale spécifique. Mon étude montre comment le corps colonisé produit un savoir culturel à partir de sa différence. Cette forme de savoir corporelle présente le corps colonisé en tant que sujet et non seulement objet du désir colonial. Méthodologiquement, cette dissertation rassemble des théories occidentales et autochtones de la danse. Mon étude considère aussi les théories postcoloniales du corps dansant à partir des perspectives hétérosexuelles et homosexuelles. En outre, mon étude examine les manières dont les quelles les théories contemporaines de la danse, postulées par Susan Foster et André Lepecki par exemple, peuvent être pertinentes dans le contexte postcolonial. Mon étude explore également le potentiel politique de l’érotique dans la danse à travers des représentations textuelles et cinématographiques du corps. L’introduction de ma dissertation a trois objectifs. Premièrement, elle offre un aperçu sur les théories postcoloniales du corps. Deuxièmement, elle explique les manières dans lesquelles on peut appliquer des philosophies contemporaines de la danse dans le contexte postcoloniale. Troisièmement, l’introduction analyse le rôle de la dance dans les œuvres des écrivains postcoloniales célèbres tels que Frantz Fanon, Wole Soyinka, Arundhati Roy, et Wilson Harris. Le Chapitre un remet en question les théories de l’ambiguïté et de l’insaisissabilité de la danse à partir de la théorie de l’érotique postulé par Audre Lorde. Ce chapitre examine le concept de l’érotique dans le film Dunia de Jocelyne Saab. Le Chapitre deux ouvre un dialogue entre les théories occidentales et autochtones de la danse à partir d’une étude d’un roman de Tomson Highway. Le Chapitre trois examine comment l’écrivain Trinidadien Earl Lovelace utilise la danse de carnaval comme espace culturel qui reflète l’homogénéité raciale et l’idéologie nationaliste à Trinidad et en les remettant également en question.
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Réalisé à l'aide de données harmonisées par le Integrated Public Use Microdata Series (IPUMS).
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Resumen basado en el de la publicaci??n
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Postcolonial literature is often depicted as a form of cultural translation, a privileged space from which to rewrite history and retroactively reflect upon the colonial experience. Based on this notion of cultural translation, the article seeks to examine, respectively, Aimé Césaire’s Une Tempête (1969) and J. M. Coetzee’s Foe (1986) as regards the “written-back” characters Caliban and Friday. Both characters will be compared and contrasted concerning their peculiar use of language as an instrument of power, subversion, and rejection of the European ruling.
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In this brief essay I shall obviously draw from my reflections which I shared over the past three decades and to which I have provided some bibliographical references. It is clear from them that I had several opportunities to share my views beyond the Anglo-Saxon world, and some of them in events organized by K. Koschorke himself in the German academic circles as Munich-Freising Conferences. It is important that we do not get misled by words. We also need clarity of the concepts involved. Koschorke’s emphasis on “ploycentric structures” requires to be discussed and analysed critically to sort out its geographic components and its political-cultural implications, in order to be clear where lie the priorities. Without such exercise we will run the risk of hiding behind the ambiguity of words and concepts. My gut feelings make me believe that “polycentric structures” is just what the West needs in the postcolonial era to replace the control it has lost with decolonization.
La noción de "derecho" o las paradojas de la modernidad postcolonial: indígenas y mujeres en Bolivia
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Este artículo intentará realizar una lectura de "género” de la historia de la juridicidad boliviana, para proponer algunos temas de debate que considero pertinentes a la hora de discutir los "derechos de los pueblos indígenas", y su estrecho vínculo, tal como yo los veo -con el tema de los "derechos de las mujeres" (indí-genas, cholas, birlochas o refinadas). En un primer momento, me interesarán los aspectos masculinos y letrados de este proceso, que son los que han producido los documentos conocidos como leyes de la República. El derecho y la formación histórica moderna de lo que se conoce como "espacio público", tienen en Europa un anclaje renacentista e ilustrado a través del cual re-nace el ser humano como Sujeto Universal (y masculino) de la noción misma de "derecho". No otra cosa significa el que "derechos humanos" de hoy, hayan sido llamados en el siglo XVIII, "derechos del hombre" (droits de J'homme). A esto se han referido autores como Derrida y Butler, que nos hablan de una versión "falogocéntrica" del Sujeto de la modernidad, el individuo ilustrado. Esta versión estaría inscrita en la historia de occidente y habría sido proyectada al mundo en los últimos siglos, a través de multiformes procesos de hegemonía política, militar y cultural.
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This article is about the politics of conservation in postcolonial Southern Africa. It focuses on the process and consequences of redefining the Nile crocodile as an endangered species and explores the linked local and international, commercial and conservationist interests that allowed the animal to re-establish itself in state-protected waterways in colonial and postcolonial contexts. It investigates the effects of the animal's successful re-accommodation by examining conflicts between crocodiles and the fishing communities sharing space on Lake Kariba, Zimbabwe. Fishermen's hostile representations of the animal emphasize competition for fish, harassment, fear, loss of assets and loss of life. Their fear of crocodiles is heightened by the animal's entanglement in local social life, through its association with witchcraft. The article emphasizes the importance of considering both hegemonic and marginalized ideas about animals in the light of the material interactions, relations of power and historical contexts that shape them. Understanding the attitudes and circumstances of the local communities who bear the physical and economic costs of living with dangerous animals is important-it threatens the future of conservation programmes and reveals the potential for significant abuses to accompany the conservation of wildlife in postcolonial contexts. © 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.