988 resultados para Movement disorders
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We investigated the likelihood that hypokinesia/bradykinesia coexist with druginduced dyskinesias (DID) in patients with Parkinson's disease (PD). The influence of dyskinesias on rapid alternating movements (RAM) was investigated in ten dyskinetic patients (DPD). Their motor performance was compared to that of ten age/gendermatched non-dyskinetic patients (NDPD) and ten healthy control subjects. Whole-body magnitude (WBM) and fast pronation-supination at the wrist were recorded using 6- degrees of freedom magnetic motion tracker and forearm rotational sensors, respectively. Subjects were asked to pronate-supinate their dominant hand for 10s. Pre- and postmeasures were taken in a neutral position for 20s. RANGE (measure of hypokinesia), DURATION (measure of bradykinesia). VELOCITY (measure of bradykinesia) and IRREGULARITY (measure of fluctuations in movement amplitude) were used to assess RAM performance. Results showed that DPD patients had greater WBM than NDPD and control groups during rest and RAM performance. There were no differences in performance between NDPD and DPD groups for RANGE, DURATION and VELOCITY, despite significant longer disease duration for the DPD group (DPD = 15.5 ± 6.2 years versus NDPD = 6.6 ± 2.6 years). However, both the NDPD and DPD groups showed lower RANGE, longer DURATION, and reduced VELOCITY compared to controls,, suggesting the presence of bradykinesia and hypokinesia. In the case of IRREGULARITY, DPD patients showed clear fluctuations in movement amplitude compared to the NDPD and control groups. However, the lack of correlation between WBM and IRREGULARITY within the DPD group (Spearman's rank order, Rho - 0.31, p > 0.05), suggests that DID was not the primary cause of the fluctuating movementamplitude observed in that group. In conclusion, these findings suggest that DID may coexists with bradykinesia and hypokinesia, but that they are not inevitably accompanied with worsening motor performance.
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Contexte: Les centres de jour offrent des interventions de groupe à des personnes âgées qui présentent des incapacités, dans le but de favoriser leur maintien à domicile. Des études récentes tendent à démontrer qu’une utilisation régulière du service serait nécessaire pour induire des effets bénéfiques. Objectifs: Cette recherche visait à documenter l’utilisation des centres de jour par des personnes âgées qui présentent des incapacités. Elle comportait trois principaux objectifs: 1) Caractériser les utilisateurs de centre de jour et ce qui les distingue des non-utilisateurs et analyser les déterminants de l’utilisation du centre de jour. 2) Explorer l’adéquation entre les activités offertes par les centres de jour et les caractéristiques d’autonomie et de santé des utilisateurs. 3) Définir les facteurs associés à la régularité de la participation. Méthodes: Cette recherche s’appuie sur une analyse secondaire de données recueillies auprès de 723 personnes âgées qui ont participé au projet de démonstration SIPA (Services intégrés pour personnes âgées) implanté dans deux CLSC de la région de Montréal. L’utilisation du centre de jour a été documentée pendant une période de six mois, auprès des cinq centres de jour existant sur ce même territoire. Des informations sur le fonctionnement des centres de jour ont été obtenues par des entrevues et des rencontres de groupe auprès de coordonnateurs de ces centres. Les données ont été analysées à l’aide de statistiques descriptives, d’analyses en regroupement et d’analyses de régression logistique et multiple. Résultats: Les résultats sont présentés dans trois articles, soit un pour chacun des objectifs. Article 1: La proportion d’utilisateurs de centre de jour est de 18,8% (IC-0,95: 16,0 à 21,7%). Les facteurs suivants augmentent la probabilité d’utiliser le centre de jour: être plus jeune (RC: 1,12; IC-0,95: 1,06 à 1,19); ne pas avoir une éducation universitaire (RC: 1,92; IC-0,95: 1,04 à 3,57); recevoir l’aide du CLSC pour les activités de vie quotidienne plus d’une fois par semaine (RC: 1,73 et 2,48 pour aide de deux à cinq fois par semaine et aide de six à sept fois par semaine respectivement; IC-0,95: 1,06 à 2,80 et 1,22 à 5,06); faire partie du bassin de desserte d’un centre de jour dont les coûts sont moins élevés (RC: 1,054 ; IC-0,95: 1,001 à 1,108 pour chaque augmentation de 1$); et pour les hommes seulement, avoir déjà subi un accident vasculaire cérébral et présenter davantage d’incapacités fonctionnelles (interaction entre le sexe et la présence d’un AVC: RC: 0,298; IC-0,95: 0,108 à 0,825; interaction entre le sexe et les capacités fonctionnelles mesurées à l’OARS: RC: 1,096; IC-0,95: 1,019 à 1,178). De plus, on observe une plus grande probabilité d’utiliser le centre de jour chez les personnes qui cohabitent avec une personne de soutien. Toutefois, cette relation ne s’observe que chez les personnes nées au Canada (interaction entre la cohabitation avec la personne de soutien et le pays de naissance: RC: 0,417; IC-0,95: 0,185 à 0,938). Article 2: Des analyses en regroupement ont permis de distinguer quatre profils de participants ayant des caractéristiques similaires: 1) les personnes fragilisées par un âge avancé et un grand nombre de problèmes de santé; 2) les participants plus jeunes et plus autonomes que la moyenne, qui semblent des utilisateurs précoces; 3) les personnes qui présentent des incapacités d’origine cognitive; et 4) celles qui présentent des incapacités d’origine motrice. Les activités de groupe des centres de jour ont été regroupées en huit catégories: exercices physiques; groupe spécifique pour un diagnostic ou un problème fonctionnel commun; activités fonctionnelles; stimulation cognitive; activités musicales ou de réminiscence; sports et jeux physiques; intégration sociale; prévention et promotion de la santé. Les activités les plus fréquentes sont les exercices physiques et les activités d’intégration sociale auxquelles ont participé plus de 90% des utilisateurs de centre de jour, et ce en moyenne à respectivement 78% (±23%) et 72% (±24%) de leurs présences au centre de jour. Les autres catégories d’activités rejoignent de 45% à 77% des participants, et ce en moyenne à 35% (±15%) à 46% (±33%) de leurs présences. La participation aux diverses catégories d’activités a été étudiée pour chaque profil d’utilisateurs et comparée aux activités recommandées pour divers types de clientèle. On observe une concordance partielle entre les activités offertes et les besoins des utilisateurs. Cette concordance apparaît plus grande pour les participants qui présentent des problèmes de santé physique ou des incapacités d’origine motrice et plus faible pour ceux qui présentent des symptômes dépressifs ou des atteintes cognitives. Article 3: Les participants au centre de jour y sont inscrits en moyenne à raison de 1,56 (±0,74) jours par semaine mais sont réellement présents à 68,1% des jours attendus. Les facteurs suivants sont associés à une participation plus régulière au centre de jour en termes de taux de présences réelles / présences attendues: ne pas avoir travaillé dans le domaine de la santé (b: ,209; IC-0,95: ,037 à ,382); recevoir de l’aide du CLSC les jours de fréquentation du centre de jour (b: ,124; IC-0,95: ,019 à ,230); être inscrit pour la journée plutôt que la demi-journée (b: ,209: IC-0,95: ,018 à ,399); lors de ses présences au centre de jour, avoir une moins grande proportion d’activités de prévention et promotion de la santé (b: ,223; IC-0,95: ,044 à ,402); et enfin, avoir un aidant qui présente un fardeau moins élevé pour les personnes avec une atteinte cognitive et un fardeau plus élevé pour les personnes sans atteinte cognitive (interaction entre la présence d’atteinte cognitive et le fardeau de l’aidant: b: -,008; IC-0,95: -,014 à -,044). Conclusion: Conformément à leur mission, les centres de jour rejoignent une bonne proportion des personnes âgées qui présentent des incapacités. Cette étude fait ressortir les caractéristiques des personnes les plus susceptibles d’y participer. Elle suggère la nécessité de revoir la planification des activités pour assurer une offre de services qui tienne davantage compte des besoins des participants, en particulier de ceux qui présentent des atteintes cognitives et des symptômes de dépression. Elle démontre aussi que l’intensité d’exposition au service semble faible, ce qui soulève la question des seuils d’exposition nécessaires pour induire des effets favorables sur le maintien à domicile et sur la qualité de vie de la clientèle cible.
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Au cours des dernières années, la génétique a subi une progression phénoménale suite au développement de nouvelles technologies de séquençage. En effet, le séquençage de l’exome entier chez des familles a permis l’identification de nouveaux gènes impliqués pour plusieurs maladies. La neurologie a d’ailleurs bénéficié de ces avancées et plusieurs gènes ont été mis en évidence comme causatifs pour différents désordres neurologiques. Dans ce travail il sera question de deux désordres du mouvement pour lequel nous avons utilisés des technologies de séquençage traditionnelles, en l’occurrence le séquençage par Sanger, ainsi que de nouvelles technologies pour le séquençage de l’exome entier afin d’identifier de nouveaux gènes causatifs. Le premier désordre du mouvement qui sera décrit est l’ataxie, où ne seront abordées que les ataxies de cause génétiques, à transmission récessive. Le premier chapitre relatera les nouvelles mutations qui ont été trouvées chez des canadiens-français souffrant de l’ataxie de Beauce. Il sera aussi question de nouvelles mutations retrouvées dans deux autres populations, confirmant l’implication du gène SYNE1 dans les cas d’ataxie cérébelleuse à travers le monde. Le second chapitre fera la démonstration qu’il est souhaitable d’utiliser le séquençage de l’exome entier dans le but de poser un diagnostic clinique. En effet, il a été possible de trouver la cause génétique d’une famille comportant deux membres atteints d’atrophie congénitale du cervelet, où le symptôme prédominant est l’ataxie. Le séquençage de l’exome a permis la mise en évidence de mutations dans le gène PMM2, déjà connues pour cause le syndrome des glycoprotéines déficientes en hydrates de carbone. Dans un second temps, il sera question d’un autre désordre du mouvement la paraplégie spastique familiale (PSF). Le chapitre 3 relatera les mutations trouvées dans le gène CYP7B1 dans notre cohorte de patients PSF.
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Introducción: El uso de la estimulación cerebral no invasiva en procesos de rehabilitación es de gran interés, por cuanto con mediación tecnológica se generan nuevas posibilidades de recuperación motora, a partir de la activación de la corteza cerebral. El objetivo del estudio es establecer la evidencia del uso terapéutico de la EMT, relacionado con el desempeño motor de pacientes con enfermedades del sistema nervioso central. Metodología: Se realizó una revisión sistemática de la literatura. Se incluyeron 10 estudios en el análisis cualitativo que incluyó la evaluación de calidad con la escala de Jadad y del riesgo de sesgo con la herramienta Cochrane. Fueron excluidos 1613 estudios. Se aplicó el protocolo del estudio para la extracción, revisión y validez de los estudios incluidos. Resultados: La evidencia disponible muestra resultados positivos del uso terapéutico de la EMT en el desempeño motor en aspectos como la aceleración, la fuerza de pinza y de agarre, la estabilidad y la fuerza muscular, así como una mejor velocidad de la marcha y una disminución en la frecuencia y severidad de los espasmos. Discusión: La EMT puede constituir una estrategia terapéutica para mejorar el desempeño motor en pacientes con ECV, Lesión Medular y enfermedad de Parkinson, que requiere más investigación por la heterogeneidad de los diseños y medidas de descenlace utilizados, así como por la alta variabilidad interindividual que hace complejo estandarizar los protocolos de su uso terapéutico.
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Se realizó un capítulo sobre la descripción del examen neurológico como herramienta principal en el abordaje del paciente con patología neurológica.
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La atrofia multisistémica (AMS) es una enfermedad degenerativa caracterizada por disautonomías y síntomas extrapiramidales. El diagnóstico diferencial con otros parkinsonismos es difícil, por lo cual se requiere una ayuda paraclínica para soportar el diagnóstico clínico. La degeneración del núcleo de Onuf, exclusiva en esta enfermedad, podría sugerir que la presencia de denervación en el esfínter anal podría ser tomada en cuenta como criterio diagnóstico de AMS. Se realizó una revisión sistemática con el fin de determinar la utilidad de la electromiografía de esfínter anal (EMG-EA) en el diagnóstico diferencial de AMS contra otros parkinsonismos. Se incluyeron 17 estudios que analizaron los resultados de EMG-EA en pacientes con AMS. De éstos, 11 de estudios fueron analíticos y compararon pacientes con AMS y otros parkinsonismos. Los 6 estudios restantes fueron descriptivos. La duración de los potenciales de unidad motora (PUM) es significativamente mayor en pacientes con AMS comparados con otros parkinsonismos, y utilizando un punto de corte > 13 ms muestra características operativas que hacen a este parámetro potencialmente útil. Solo un estudio encontró diferencias significativas en el porcentaje de PUM polifásicos, el cual tuvo una sensibilidad y especificidad clínicamente útil cuando el punto de corte es mayor a 60%. El resto de los estudios no reportan diferencias estadísticamente significativas entre parkinsonismos. La literatura disponible apunta a la potencial utilidad de la EMG-EA en el diagnóstico diferencial de la AMS de otros parkinsonismos; sin embargo es necesario conducir más estudios para solventar las limitaciones metodológicas existentes.
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Los movimientos anormales se pueden definir como síndromes neurológicos en los que puede haber un exceso de movimiento o por enlentecimiento de movimientos automáticos o voluntarios, que no estén relacionados con debilidad o espasticidad. Estos se pueden reunir en 2 grandes grupos. Uno en el que hay movimientos excesivos (hiperquinesias), dentro de los cuales se encuentran el temblor, las coreas, distonías, mioclonus y los tics. Por otro lado, puede haber enlentecimiento de los movimientos (hipoquinesia), en el que los síndromes parkinsonianos son la causa más frecuente de este grupo.
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Introducción: Las autoras presentan una propuesta de evaluación fisioterapéutica con el fin de contribuir al diagnóstico diferencial en los desórdenes de movimiento de origen ocupacional en la mano, para lo cual se seleccionaron dos desórdenes del movimiento relacionados con mecanismos de repetición: distonía del escritor y síndrome de túnel del carpo. Materiales y métodos: A través de una revisión de artículos científicos se establecieron las características clínicas y etiológicas de cada entidad, así como los parámetros evaluativos que se incluirían en el instrumento. Resultados: De acuerdo con la diferencia etiológica y clínica de este tipo de desórdenes, pruebas como la tensión neural para el nervio mediano, el test de provocación, el test de sensibilidad superficial y cortical, y la dinamometría permiten determinar diferencias clínicas específicas para cada condición de salud. Conclusiones: La propuesta de evaluación clínica fisioterapéutica a través de este instrumento se convierte en la primera aproximación en fisioterapia que contribuye al diagnóstico diferencial en los desórdenes de movimiento ocupacional entre el síndrome de túnel del carpo y las distonías ocupacionales de la mano.
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Deep Brain Stimulator devices are becoming widely used for therapeutic benefits in movement disorders such as Parkinson's disease. Prolonging the battery life span of such devices could dramatically reduce the risks and accumulative costs associated with surgical replacement. This paper demonstrates how an artificial neural network can be trained using pre-processing frequency analysis of deep brain electrode recordings to detect the onset of tremor in Parkinsonian patients. Implementing this solution into an 'intelligent' neurostimulator device will remove the need for continuous stimulation currently used, and open up the possibility of demand-driven stimulation. Such a methodology could potentially decrease the power consumption of a deep brain pulse generator.
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An analysis was undertaken of clinic-based questionnaires that asked people with Parkinson's disease and a control group of older people without a known neurological condition about their experiences of constipation. People with Parkinson's disease report higher constipation on a validated objective measure, the Rome criterion (59% vs. 20.9%); a behavioral indicator, laxative-taking (38.4% vs. 14.2%); and subjective self-report of being always or often concerned by it (33.4% vs. 6.1%). Many people with Parkinson's disease experience constipation problems but they may not bring these to the attention of their healthcare providers. More research is required to understand the causes and management options. (C) 2006 Movement Disorder Society.
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Whereas several clinical endpoints in monitoring the response to treatment in patients with Huntington's disease (HD) have been explored, there has been a paucity of research in the quality of life in such patients. The aim of this study was to validate the use of two generic health-related quality of life instruments (the Short Form 36 health survey questionnaire [SF-36] and the Sickness Impact Profile [SIP]) and to evaluate their psychometric properties. We found that both instruments demonstrated acceptable convergent validity and reliability for patients and carers. However, there was an advantage in using the SF-36 because of its more robust construct validity and test-retest reliability; furthermore, motor symptoms appeared to influence some strictly nonmotor dimensions of the SIP. On a pragmatic level, the SF-36 is shorter and quicker to administer and, therefore, easier for patients at various stages of the disease to complete. Thus, the SF-36 would appear to be the recommended instrument of choice for patients with HD and their carers, although further work needs to be done to investigate the sensitivity of this instrument longitudinally. (C) 2004 Movement Disorder Society.
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The objective of this study was to determine insight in patients with Huntington's disease (HD) by contrasting patients' ability to rate their own behavior with their ability to rate a person other than themselves. HD patients and carers completed the Dysexecutive Questionnaire (DEX), rating themselves and each other at two time points. The temporal stability of these ratings was initially examined using these two time points since there is no published test-retest reliability of the DEX with this Population to date. This was followed by a comparison of patients' self-ratings and carer's independent ratings of patients by performing correlations with patients' disease variables, and in exploratory factor analysis was conducted on both sets of ratings. The DEX showed good test-retest reliability, with patients consistently and persistently underestimating the degree of their dysexecutive behavior, but not that of their carers. Patients' self-ratings and caters' ratings of patients both showed that dysexecutive behavior in HD can be fractionated into three underlying components (Cognition, Self-regulation, Insight), and the relative ranking of these factors was similar for both data sets. HD patients consistently underestimated the extent of only their own dysexecutive behaviors relative to carers' ratings by 26%, but were similar in ascribing ranks to the components of dysexecutive behavior. (c) 2005 Movement Disorder Society.
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While the beneficial effect of levodopa on traditional motor control tasks have been well documented over the decades. its effect on speech motor control has rarely been objectively examined and the existing literature remains inconclusive. This paper aims to examine the effect of levodopa on speech in patients with Parkinson's disease. It was hypothesized that levodopa would improve preparatory motor set related activity and alleviate hypophonia. Patients fasted and abstained from levodopa overnight. Motor examination and speech testing was performed the following day, pre-levodopa during their "off' state, then at hourly intervals post-medication to obtain the best "on" state. All speech stimuli showed a consistent tendency for increased loudness and faster rate during the "on" state, but this was accompanied by a greater extent of intensity decay. Pitch and articulation remained unchanged. Levodopa effectively upscaled the overall gain setting of vocal amplitude and tempo, similar to its well-known effect on limb movement. However, unlike limb movement, this effect on the final acoustic product of speech may or may not be advantageous, depending on the existing speech profile of individual patients. (C) 2007 Movement Disorder Society.
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Movement disorders (MD) include a group of neurological disorders that involve neuromotor systems. MD can result in several abnormalities ranging from an inability to move, to severe constant and excessive movements. Strokes are a leading cause of disability affecting largely the older people worldwide. Traditional treatments rely on the use of physiotherapy that is partially based on theories and also heavily reliant on the therapists training and past experience. The lack of evidence to prove that one treatment is more effective than any other makes the rehabilitation of stroke patients a difficult task. UL motor re-learning and recovery levels tend to improve with intensive physiotherapy delivery. The need for conclusive evidence supporting one method over the other and the need to stimulate the stroke patient clearly suggest that traditional methods lack high motivational content, as well as objective standardised analytical methods for evaluating a patient's performance and assessment of therapy effectiveness. Despite all the advances in machine mediated therapies, there is still a need to improve therapy tools. This chapter describes a new approach to robot assisted neuro-rehabilitation for upper limb rehabilitation. Gentle/S introduces a new approach on the integration of appropriate haptic technologies to high quality virtual environments, so as to deliver challenging and meaningful therapies to people with upper limb impairment in consequence of a stroke. The described approach can enhance traditional therapy tools, provide therapy "on demand" and can present accurate objective measurements of a patient's progression. Our recent studies suggest the use of tele-presence and VR-based systems can potentially motivate patients to exercise for longer periods of time. Two identical prototypes have undergone extended clinical trials in the UK and Ireland with a cohort of 30 stroke subjects. From the lessons learnt with the Gentle/S approach, it is clear also that high quality therapy devices of this nature have a role in future delivery of stroke rehabilitation, and machine mediated therapies should be available to patient and his/her clinical team from initial hospital admission, through to long term placement in the patient's home following hospital discharge.
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Although the Unified Huntington's Disease Rating Scale (UHDRS) is widely used in the assessment of Huntington disease (HD), the ability of individual items to discriminate individual differences in motor or behavioral manifestations has not been extensively studied in HD gene expansion carriers without a motor-defined clinical diagnosis (ie, prodromal-HD or prHD). To elucidate the relationship between scores on individual motor and behavioral UHDRS items and total score for each subscale, a nonparametric item response analysis was performed on retrospective data from 2 multicenter longitudinal studies. Motor and behavioral assessments were supplied for 737 prHD individuals with data from 2114 visits (PREDICT-HD) and 686 HD individuals with data from 1482 visits (REGISTRY). Option characteristic curves were generated for UHDRS subscale items in relation to their subscale score. In prHD, overall severity of motor signs was low, and participants had scores of 2 or above on very few items. In HD, motor items that assessed ocular pursuit, saccade initiation, finger tapping, tandem walking, and to a lesser extent, saccade velocity, dysarthria, tongue protrusion, pronation/supination, Luria, bradykinesia, choreas, gait, and balance on the retropulsion test were found to discriminate individual differences across a broad range of motor severity. In prHD, depressed mood, anxiety, and irritable behavior demonstrated good discriminative properties. In HD, depressed mood demonstrated a good relationship with the overall behavioral score. These data suggest that at least some UHDRS items appear to have utility across a broad range of severity, although many items demonstrate problematic features.