956 resultados para HPA axis


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Ce mémoire débute avec deux chapitres portant sur les problèmes des conduites et la régulation du stress, notamment sur l’axe hypothalamique-pituitaire-surrénal (HPS). Ensuite, la littérature est résumée et nous voyons que les études qui cherchent à établir un lien entre les problèmes des conduites et l’axe HPS ont trouvé des résultats différents et parfois contradictoires. Le chapitre suivant illustre les problèmes méthodologiques qui pourraient expliquer ces résultats différents. Vient ensuite l’étude présentée dans ce mémoire qui cherche à établir un lien entre la réponse cortisolaire à l’éveil (RCE), considérée comme un bon indice du fonctionnent de l’axe HPS, et les problèmes de conduites chez l’enfant. De plus, les émotions négatives ont été associées avec les problèmes des conduites ainsi qu’aux dysfonctions de l’axe HPS, notamment le RCE. L’étude présentée dans ce mémoire cherche aussi à établir si les émotions négatives pourrait être une variable médiatrice dans la relation potentielle entre la RCE et les problèmes des conduites. L’étude révèle que pour les garçons mais pas pour les filles, une RCE réduite est associée avec les émotions négatives, ce qui est successivement associé avec les problèmes des conduites. Le dernier chapitre du mémoire examine les implications théoriques de cette médiatisation et propose également des pistes psychobiologiques pour expliquer les différences sexuelles observées.

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L'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HPA) permet de maintenir l'homéostasie de l'organisme face à divers stress. Qu'ils soient de nature psychologique, physique ou inflammatoire/infectieux, les stress provoquent la synthèse et la libération de CRH par l'hypothalamus. Les cellules corticotropes hypophysaires perçoivent ce signal et en réaction, produisent et sécrètent l'ACTH. Ceci induit la synthèse des glucocorticoïdes (Gc) par le cortex surrénalien; ces stéroïdes mettent le système métabolique en état d’alerte pour la réponse au stress et à l’agression. Les Gc ont le rôle essentiel de contrôler les défenses de l'organisme, en plus d'exercer une rétro-inhibition sur l'axe HPA. L'ACTH est une petite hormone peptidique produite par le clivage d'un précurseur: la pro-opiomélanocortine (POMC). À cause de sa position critique dans la normalisation de l'homéostasie, le contrôle transcriptionnel du gène Pomc a fait l'objet d'études approfondies au cours des dernières décennies. Nous savons maintenant que la région promotrice du gène Pomc permet une expression ciblée dans les cellules POMC hypophysaires. L'étude du locus Pomc par des technologies génomiques m'a permis de découvrir un nouvel élément de régulation qui est conservé à travers l'évolution des mammifères. La caractérisation de cet enhancer a démontré qu'il dirige une expression restreinte à l'hypophyse, et plus particulièrement dans les cellules corticotropes. De façon intéressante, l'activité de cet élément dépend d'un nouveau site de liaison recrutant un homodimère du facteur de transcription Tpit, dont l'expression est également limitée aux cellules POMC de l'hypophyse. La découverte de cet enhancer ajoute une toute nouvelle dimension à la régulation de l'expression de POMC. Les cytokines pro-inflammatoires IL6/LIF et les Gc sont connus pour leur antagonisme sur la réaction inflammatoire et sur le promoteur Pomc via l'action des facteurs de transcription Stat3 et GR respectivement. L'analyse génomique des sites liés ii par ces deux facteurs nous a révélé une interrelation complexe et a permis de définir un code transcriptionnel entre ces voies de signalisation. En plus de leur action par interaction directe avec l’ADN au niveau des séquences régulatrices, ces facteurs interagissent directement entre eux avec des résultats transcriptionnels différents. Ainsi, le recrutement de GR par contact protéine:protéine (tethering) sur Stat3 étant lié à l'ADN provoque un antagonisme transcriptionnel. Inversement, le tethering de Stat3 sur GR supporte une action synergique, tout comme leur co-recrutement à l'ADN sur des sites contigus ou composites. Lors d'une activation soutenue, ce synergisme entre les voies IL6/LIF et Gc induit une réponse innée de défense cellulaire. Ainsi lors d'un stress majeur, ce mécanisme de défense est mis en branle dans toutes les cellules et tissus. En somme, les travaux présentés dans cette thèse définissent les mécanismes transcriptionnels engagés dans le combat de l'organisme contre les stress. Plus particulièrement, ces mécanismes ont été décrits au niveau de la réponse globale des corticotropes et du gène Pomc. Il est essentiel pour l'organisme d'induire adéquatement ces mécanismes afin de faire face aux stress et d'éviter des dérèglements comme les maladies inflammatoires et métaboliques.

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Les contrevenants de la conduite avec capacités affaiblies (CCA) n’entrent pas tous dans les registres de la sécurité routière avec le même risque de récidive. Pour pallier cette hétérogénéité, cette thèse propose de modéliser les interrelations entre les traits de personnalité et les comportements à risque associés à la récidive et de détecter un sous-groupe de contrevenants au risque de récidive élevé à l’aide de l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien (HHS). Plus particulièrement, les trois articles de cette thèse s’intéressent au cortisol, l’hormone du stress. Le premier article élabore un modèle théorique réconciliant les connaissances sur l’axe HHS issues du domaine de la CCA et de domaines connexes. Lors de précédentes études, le nombre de condamnations antérieures pour CCA a été associé négativement à la réactivité du cortisol à la suite d’une situation stressante. Chez les récidivistes, cette faible réactivité s’explique partiellement par la recherche d’expériences, une dimension de la recherche de sensations. Au-delà ce trait de personnalité désinhibiteur, une faible activité de l’axe HHS a été associée à d’autres traits (c.-à-d. impulsivité et tendances antisociales) et d’autres comportements à risque (c.-à-d. infractions routières, arrestations criminelles et consommation problématique de substances psychoactives). Ce modèle intégrant la réactivité du cortisol permet une conceptualisation approfondie des diverses caractéristiques des contrevenants de la CCA et explique hypothétiquement la répétition des comportements à risque. Les deux articles suivants se penchent sur l’intérêt empirique d’utiliser l’axe HHS pour déterminer un sous-groupe de contrevenants à risque élevé de récidive. Plus précisément, le deuxième article émet l’hypothèse que les récidivistes (n = 30) ayant une faible activité de leur cortisol (c.-à-d. médiane de la surface sous la courbe relative au niveau de base et relative à la réactivité) ont davantage de traits de personnalité désinhibiteurs et de comportements à risque que les récidivistes ayant une forte activité. L’hypothèse n’a pas été confirmée. Au contraire, les récidivistes présentant une faible réactivité commettent moins d’infractions routières et d’arrestations criminelles que ceux ayant une forte réactivité. Quant à lui, le troisième article investigue une hypothèse similaire auprès des contrevenants primaires (n = 139). Les contrevenants manifestant une faible réactivité du cortisol (c.-à-d. différence entre prélèvements post-stress et pré-stress) ont davantage d’impulsivité attentionnelle, de non-planification, d’arrestations criminelles et de cigarettes fumées par jour que les contrevenants ayant une forte réactivité. Lors d’analyses exploratoires, la présence d’une variété de traits de personnalité désinhibiteurs et de comportements à risque chez les contrevenants primaires présentant une faible réactivité lorsque comparé au groupe contrôle (n = 31) suggère encore une fois leur risque élevé de récidive. L’intérêt d’ajouter un mécanisme neurobiologique pour modéliser les interrelations entre les traits de personnalité désinhibiteurs et les comportements à risque des contrevenants de la CCA a été exploré dans cette thèse. La détermination d’un sous-groupe de contrevenants présentant un risque élevé de récidive, à l’aide de l’axe HHS, semble davantage profitable auprès de l’hétérogène population des contrevenants primaires. En contrepartie, l’axe HHS ne permet pas de déterminer un sous-groupe ayant une problématique sévère auprès des récidivistes à l’extrême du continuum du risque.

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La création de Facebook est venue changer la façon dont les gens interagissent, mais nous en savons peu sur les impacts de Facebook sur la santé et le bien-être. À l’heure actuelle, environ 90 % des adolescents sont actifs sur Facebook et la majorité l’utilise tous les jours. Sachant que l’adolescence est une période critique du développement et que lors de cette période les adolescents sont particulièrement vulnérables aux effets du stress, il importe de comprendre les facteurs pouvant entrainer une augmentation des hormones de stress chez les adolescents. Le but du présent mémoire était donc d’étudier la relation entre l’utilisation de Facebook chez les adolescents et des marqueurs de stress psychologique et physiologique. Pour ce faire, nous avons mesuré les hormones de stress chez 88 adolescents (41 garçons, 47 filles) âgés entre 12 et 17 ans. Les adolescents devaient remplir le ‘Social Network Survey’, un questionnaire mesurant différents facteurs associés à l’utilisation de Facebook et le ‘Child Depression Inventory’, qui mesure les symptômes de dépression. Les résultats suggèrent que ce n’est pas le temps passé sur Facebook qui est en lien avec le stress psychologique et physiologique, mais plutôt la nature de l’utilisation de Facebook. Pour les filles, c’est le nombre d’amis sur Facebook qui est relié à des hauts niveaux de cortisol, tandis que pour les garçons c’est le fait de s’exposer sur Facebook. Cette étude est la première à démontrer une association entre la nature de l’utilisation de Facebook et les niveaux d’hormones de stress chez des adolescents.

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L’objectif principal de ce mémoire est d’approfondir les connaissances à propos de l’impact des stresseurs organisationnels sur la concentration du cortisol salivaire. Plus précisément, nous étudierons la contribution des modèles demande-contrôle de Karasek (1979) et demande-contrôle-soutien de Karasek et Theorell (1990) à la variation du cortisol salivaire chez les individus. Les associations entre les composantes principales de chacun des modèles (demandes psychologiques, latitude décisionnelle et soutien social), mais également les effets d’interaction inclus dans ces modèles, c’est-à-dire de l’effet modérateur de la latitude décisionnelle et du soutien social, seront étudiés. L’axe HPS a été associé aux symptômes de la santé mentale (Abelson et al., 2007; Havermans et al., 2011; Vreeburg et al., 2009b, 2010, 2013; Staufenbiel, 2013) ainsi qu’aux stresseurs en milieu de travail (Chida et Steptoe, 2009). À l’heure actuelle, le cortisol salivaire serait un indicateur de l’axe hypothalamo-pituito-surrénalien (HPS) le plus prometteur pour mesurer la réponse physiologique face à un événement stressant ou à un stress chronique (Maïna et al., 2009). Les données proviennent de l’étude SALVEO, menée par l’Équipe de recherche sur le travail et la santé mentale de l’Université de Montréal. Les résultats des analyses multiniveaux ne soutiennent pas l’implication du modèle demande-contrôle-soutien sur la concentration de cortisol. En effet, elles ne permettent pas de conclure que les effets, autant principaux que d’interaction, du modèle demande-contrôle-soutien expliquent la variation dans les concentrations de cortisol. La consommation de tabac est significativement reliée à la concentration de cortisol salivaire et doit être prise en considération dans les études futures. Par conséquent, ces résultats suggèrent que d’autres recherches sont nécessaires pour comprendre comment les stresseurs du travail s’incorporent à l’individu au niveau physiologique. Des connaissances approfondies de ces associations permettraient de mieux comprendre les associations entre le stress à long terme et les effets sur la santé, c’est-à-dire, comment les tensions au travail affectent la santé mentale à long terme (Karhula et al., 2015).

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Introducción: La relación entre el sistema inmune y el estrés ha sido motivo de debate en los últimos años. Los cambios neurohormonales generan variaciones en la respuesta inmunológica, con cambios importantes en los niveles de citoquinas lo que causa a su vez, en algunos casos, depresión de la respuesta citotóxica debida a la disminución de la población de células asesinas naturales (NK) (1). El estrés académico constituye un buen modelo para estudiar los cambios asociados en la secreción de algunas hormonas del eje Hipotalámico- Pituitario-Adrenocortical -HPA- (2, 3). Materiales y métodos: En el presente estudio se evaluó el comportamiento de las hormonascortisol y prolactina, así como su incidencia en la respuesta adaptativa a Herpes Simple tipo I, en una población de estudio constituída por 26 estudiantes de la Facultad de Medicina, con edades comprendidas entre 14 y 27 años, con mayor frecuencia de género masculino (80.8%). Se realizó un estudio de intervención longitudinal en tres momentos, donde se midieron los niveles de cortisol, prolactina y anticuerpos contra Herpes Simple tipo I. Así mismo, se realizó una medición 15 días antes de la exposición al estresor, durante la aplicación del estresor (semana de exámenes trimestrales), y quince días después de la exposición al estresor Todas las muestras fueron tomadas entre las 8:00 a.m. y las 10:00 a.m. Resultados y discusión: Se encontraron diferencias significativas (p < 0.001) en los valores promedio de prolactina, pues hubo una tendencia secular al aumento en los tres momentos evaluados. Para el cortisol, los cambios estuvieron cerca de mostrar diferencias significativas (p = 0.098), con un aumento en el momento del estresor y una disminución después del estresor. También hubo diferencias significativas (p = 0.043) en los niveles de anticuerpos para Herpes Simple tipo I, con una tendencia secular al aumento en los tres momentos evaluados. La respuesta adaptativa a Herpes Simple tipo I aumentó notoriamente como resultado de los cambios en la concentración de prolactina, la que, a su vez, aumentó de manera significativa después de la exposición al estresor. Aunque los niveles de cortisol no aumentan significativamente durante la semana del estresor, podrían ser suficientes para mantener niveles basales de prolactina, sin que haya un aumento de la respuesta adaptativa. Se podría inferir que el cortisol regula la síntesis de prolactina, pues en los resultados se observa que, a medida que disminuye la concentración de cortisol, los niveles de prolactina aumentan significativamente.

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Background: The importance of understanding which environmental and biological factors are involved in determining individual differences in physiological response to stress is widely recognized, given the impact that stress has on physical and mental health. Methods: The child-mother attachment relationship and some genetic polymorphisms (5-HTTLPR, COMT and GABRA6) were tested as predictors of salivary cortisol and alpha amylase concentrations, two biomarkers of hypothalamic-pituitary-adrenocortical (HPA) axis and sympathetic adrenomedullary (SAM) system activity, during the Strange Situation (SS) procedure in a sample of more than 100 healthy infants, aged 12 to 18 months. Results: Individual differences in alpha amylase response to separation were predicted by security of attachment in interaction with 5-HTTLPR and GABRA6 genetic polymorphisms, whereas alpha amylase basal levels were predicted by COMT x attachment interaction. No significant effect of attachment, genetics and their interaction on cortisol activity emerged. Conclusions: These results help to disentangle the role played by both genetic and environmental factors in determining individual differences in stress response in infancy. The results also shed light on the suggestion that HPA and SAM systems are likely to have different characteristic responses to stress.

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Background: Disturbances in cortisol secretion are associated with risk for psychiatric disorder, including depression. Animal research indicates that early care experiences influence hypothalamic-pituitary-adrenal (HPA) axis functioning in offspring. Similar effects are suggested in human development, but evidence of longitudinal associations between observed early parenting and offspring cortisol secretion is extremely limited. We studied associations between parenting disturbances occurring in the context of maternal postnatal depression (PND), and elevations in morning cortisol secretion in the adolescent offspring of PND mothers. Methods: We observed maternal parenting behaviour on four occasions through the first year and at five-year follow up in postnatally depressed (n = 29) and well (n = 20) mothers. Observations were coded for maternal sensitivity and withdrawal. Basal offspring salivary cortisol secretion was measured at 13-years, using collections over 10-days. Results: Postnatal, but not five-year, maternal withdrawal predicted elevated mean and maximum morning cortisol secretion in 13-year-old offspring. There were no significant associations between maternal sensitivity and offspring cortisol secretion. Limitations: The sample size was relatively small, and effects tended to be reduced to trend level when covariates were considered. The correlational nature of the study (albeit longitudinal) limits conclusions regarding causality. Conclusions: Individual differences in early maternal parenting behaviour may influence offspring cortisol secretion, and thereby risk for depression. Parenting interventions that facilitate active maternal engagement with the infant may be indicated for high risk populations.

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Background: Research on depression has identified hyperactivity of the HPA axis as a potential contributory factor to the intergenerational transmission of affective symptoms. However, this has not yet been examined in the context of social phobia. The current study compared HPA axis activity in response to a universal social stressor (starting school) in children of 2 groups of women: one with social phobia and one with no history of anxiety (comparison group). To determine specificity of effects of maternal social phobia, a third group of children were also examined whose mothers had generalised anxiety disorder (GAD). Method: Children provided salivary cortisol samples in the morning, afternoon and at bedtime across 3 time-blocks surrounding the school start: a month before starting school (baseline), the first week at school (stress response), and the end of the first school term (stress recovery). Child behavioural inhibition at 14 months was also assessed to explore the influence of early temperament on later stress responses. Results: All children displayed an elevation in morning and afternoon cortisol from baseline during the first week at school, which remained elevated until the end of the first term. Children in the social phobia group, however, also displayed an equivalent elevation in bedtime cortisol, which was not observed for comparison children or for children of mothers with GAD. Children in the social phobia group who were classified as 'inhibited' at 14 months displayed significantly higher afternoon cortisol levels overall. Summary: A persistent stress response to school in the morning and afternoon is typical for all children, but children of mothers with social phobia also display atypical elevations in evening cortisol levels when at school - signalling long-term disruption of the circadian rhythm in HPA axis activity. This is the first study to report HPA axis disruption in children at risk of developing social phobia, and future research should aim to determine whether this represents a pathway for symptom development, taking early temperament into account.

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Animal studies find that prenatal stress is associated with increased physiological and emotional reactivity later in life, mediated via fetal programming of the HPA axis through decreased glucocorticoid receptor (GR) gene expression. Post-natal behaviours, notably licking and grooming in rats, cause decreased behavioural indices of fear and reduced HPA axis reactivity mediated via increased GR gene expression. Post-natal maternal behaviours may therefore be expected to modify prenatal effects, but this has not previously been examined in humans. We examined whether, according to self-report, maternal stroking over the first weeks of life modified associations between prenatal depression and physiological and behavioral outcomes in infancy, hence mimicking effects of rodent licking and grooming. From a general population sample of 1233 first time mothers recruited at 20 weeks gestation we drew a stratified random sample of 316 for assessment at 32 weeks based on reported inter-partner psychological abuse, a risk to child development. Of these 271 provided data at 5, 9 and 29 weeks post delivery. Mothers reported how often they stroked their babies at 5 and 9 weeks. At 29 weeks vagal withdrawal to a stressor, a measure of physiological adaptability, and maternal reported negative emotionality were assessed. There was a significant interaction between prenatal depression and maternal stroking in the prediction of vagal reactivity to a stressor (p = .01), and maternal reports of infant anger proneness (p = .007) and fear (p = .043). Increasing maternal depression was associated with decreasing physiological adaptability, and with increasing negative emotionality, only in the presence of low maternal stroking. These initial findings in humans indicate that maternal stroking in infancy, as reported by mothers, has effects strongly resembling the effects of observed maternal behaviours in animals, pointing to future studies of the epigenetic, physiological and behavioral effects of maternal stroking.

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The effects of single or repeated amphetamine (AMPH) treatment and those of AMPH withdrawals on immune-mediated lung inflammatory response were studied in rats. Two experiments were done. In the first, rats egg-albumin (OVA) sensitized were singularly or repeatedly (21 days, once daily) treated with AMPH (1.0 mg/kg) or with a similar number and volume of 0.9% NaCl. The OVA aerosol challenge was performed 12 h after the single or last repeated AMPH treatment and also 72 and 120 h after AMPH withdrawal. In the second experiment, the effects of reserpine (1.0 mg/kg/day for 5 consecutive days) on single AMPH actions on lung allergic response of rats were analyzed. Single and repeated AMPH treatment induced opposite actions on Bronchoalveolar lavage fluid (BAL) cellularity of allergic rats: single treatment decreased and repeated treatment increased the total number of cells as well as those of macrophages, neutrophils and eosinophils. Our data also showed that single but not repeated AMPH treatment decreased the number of neutrophils, monocytes and lymphocytes in the peripheral blood, and increased the total number of bone marrow cells in rats sensitized and challenged with OVA. Furthermore, it was shown that reserpine treatment precluded the effects of single AMPH treatment on cellular migration to the lung of OVA-sensitized and challenged rats. It was concluded that AMPH effects on lung inflammatory response and cell recruitment to the lung in allergic rats rely at least partially on corticosterone serum levels. The possible involvement of vesicular monoamine transporter type 2 (VMAT2) with these observed effects was discussed. (c) 2008 Elsevier B.V. All rights reserved.

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Depression is associated with glucocorticoid hypersecretion, due to dysfunction of the hypothalamo-pituitary-adrenocorticol axis (HPA-axis). Because excess glucocorticoids are associated with depressive-like features in humans, glucocorticoid receptor antagonists are currently being tested for antidepressant efficacy in clinical trials. In the current study the hypothesis that mifepristone (RU486), a glucocorticoid receptor antagonist, would decrease the neuroendocrine and central HPA-axis responses to an acute stressor and attentuate depressive like behavior in an animal model of behavioral helplessness (forced swim test) was tested. Adult male rats were treated with 10 mglkg RU486 (subcutaneous) for five days and then exposed to a IO-minute forced swim test (FST), conducted in Plexiglas cylinders. FST sessions were videotaped for later analysis of behavioral immobility. Plasma ACTH and corticosterone CORT were measured at 15min and 90min after FST cessation. Animals were perfused and brains were collected for immunocytochemical assessment of c-Fos expression in the medial prefrontal cortex (mPFC), a brain region implicated in both depression and central control of the HPA axis. RU486 significantly decreased peak ACTH and CORT concentrations following FST exposure. In addition, glucocorticoid negative feedback was at1enuated in RU486-treated animals exposed to the FST. Exposure to FST alone induced c-FOS expression in the mPFC, as measured by the number of c-Fos positive neurons. Treatment with RU486 significantly increased the number of rnPFC c-Fos positive cell following FST exposure. The behavioral data obtained from FST paradigm, demonstrated that RU486 decreased immobility in the FST illustrating the potential efficacy of this drug as an antidepressant. Collectively these data suggest that RU486 dampens HPA-axis responses to stress, possibly by enhancing the excitability of stress-inhibitory neurons in the mPFC. This is particularly exciting, given the fact that this neural region is associated with decreased neural activity during depression in humans.

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Dietary therapies are routinely recommended to reduce disease risk; however, there is concern they may adversely affect mood. We compared the effect on mood of a low-sodium, high-potassium diet (LNAHK) and a high-calcium diet (HC) with a moderate-sodium, high-potassium, high-calcium Dietary Approaches to Stop Hypertension (DASH)-type diet (OD). We also assessed the relationship between dietary electrolytes and cortisol, a stress hormone and marker of hypothalamic–pituitary–adrenal (HPA) axis activity. In a crossover design, subjects were randomized to two diets for 4 weeks, the OD and either LNAHK or HC, each preceded by a 2-week control diet (CD). Dietary compliance was assessed by 24 h urine collections. Mood was measured weekly by the Profile of Mood States (POMS). Saliva samples were collected to measure cortisol. The change in mood between the preceding CD and the test diet (LNAHK or HC) was compared with the change between the CD and OD. Of the thirty-eight women and fifty-six men (mean age 56·3 (sem 9·8) years) that completed the OD, forty-three completed the LNAHK and forty-eight the HC. There was a greater improvement in depression, tension, vigour and the POMS global score for the LNAHK diet compared to OD (P < 0·05). Higher cortisol levels were weakly associated with greater vigour, lower fatigue, and higher levels of urinary potassium and magnesium (r 0·1–0·2, P < 0·05 for all). In conclusion, a LNAHK diet appeared to have a positive effect on overall mood.

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The paraventricular nucleus (PVN) is integral to regulation of the hypothalamo-pituitary-adrenal (HPA) axis and contains cells producing corticotrophin-releasing hormone (CRH), arginine vasopressin (AVP) and enkephalin. We used immunohistochemistry to map these peptides and to resolve the extent of co-localization within PVN cells in intact and gonadectomized male and female sheep. Immunoreactive (ir) CRH, AVP and enkephalin cells were mapped in two rams and two ewes at 180 μm intervals throughout the rostro-caudal extent of the PVN. Similar distributions of AVP-ir cells occurred in both sexes whereas CRH-ir and enkephalin-ir cells extended more rostrally in rams. In groups (n=4) of intact and gonadectomized sheep of both sexes, co-localization and distribution of neuropeptides was influenced by sex and gonadectomy. Males had more AVP and CRH cells than females. Intact animals had more AVP cells than gonadectomized animals. There were no differences between groups in the number or percentage of cells that stained for both CRH and AVP or in the number of cells that stained for both CRH and enkephalin. Differences were observed in the percentage of enkephalin cells that contained CRH with males having a greater percentage of co-localized cells than did females. Differences were also observed in the number and percentage of cells that stained for both enkephalin and AVP; the number of cells that stained for both neuropeptides was greater in males than in females and greater in intact animals than in gonadectomized animals. Differences were observed in the percentage of AVP cells that contained enkephalin, and in the percentage of enkephalin cells that contained AVP with males having a greater percentage of co-localized cells than did females. We conclude that sex and gonadal status affect peptide distribution in the PVN of the sheep which may provide an anatomical basis for sex differences in HPA axis

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Background: Depression and pain are both burdensome ailments that affect a major proportion of the population. It is evident that depression and pain frequently coexist, with treatment and outcome implications.

Objective: To review the literature on the nature, prevalence and co-morbidity of depression and pain, the biological and psychological mechanisms involved and treatment options, thus presenting a broad overview of the current information available.

Methods: Relevant sources were identified from PubMed and Medline databases using a combination of keywords including depression, pain, prevalence, co-morbidity, biological and psychological mechanisms, serotonin (5-HT), norepinephrine (NE), hypothalamic-pituitary-adrenal (HPA) axis, amygdala, functional magnetic resonance imaging (fMRI), antidepressant and psychological therapy.

Results: It is evident from the research that depression and pain are common co-morbidities. Pain as a physical symptom of depression affects approximately 65% of patients, leading to less favourable outcomes and greater health care utilization. Moreover, depression is a common feature in chronic pain patients and can affect pain threshold and tolerance. Evidence from biological and psychological studies has revealed mechanisms that link chronic pain to depression. Several classes of anti-depressants and psychological interventions have been used successfully in the treatment of somatic symptoms of depression and for a variety of pain syndromes.

Conclusions: Pain and depression are linked by overlapping phenomenology, neurobiology and therapy. They are mutually interacting, and the interaction has significant treatment and outcome implications.