886 resultados para Crowd psychology
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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General note: Title and date provided by Bettye Lane.
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Inscription: Verso: Women Against Pornography march on Times Square, New York.
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Inscription: Verso: women's march and demonstration, New York.
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Inscription: Verso: women's rights rally, Bryant Park, New York.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Research and professional ethics are an integral part of every Psychology degree, as this is seen as a key graduate learning outcome for students leaving to become clinicians working with clients and patients. The development of these skills is embedded in teaching, but they culminate in the final year of a degree when final year students must gain formal ethical approval for their final research project. Decision as to the ethical appropriateness of research are made by a Departmental Research Ethics Committee, which considers all research project proposals submitted by staff and students within the department. One of the challenges of this practice is the scale of work involved for committee members (Doyle & Buckley, 2014) who are all faculty members, and the tracking of applications and decisions, alongside the quality assurance required to ensure that all applications are treated fairly and equally. The time involved in performing this work is often underestimated by Universities, and the variety and complexity of decisions requires extensive discussion and negotiation. Traditionally, these decisions are reached by committee discussions, however this presents logistical difficulties as it requires meetings with quorate attendance. The University of Westminster launched a virtual tool in 2014 to facilitate the management of the Research Ethics Committee, to help track the progress of applications and to allow discussions to occur and be managed virtually. The Department of Psychology adopted the tools in September 2014 to deal with all ethics applications. Here we report on how this virtual committee has affected the role and practices of a working committee that deals with over 300 applications per year, and how an online ethics procedure has facilitated an integrated developmental approach to ethical education.
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This article presents a critical discussion of Jodi Dean’s (2016) book “Crowds and Party”. I pay particular attention to her discussion of crowds and the Communist Party that is influenced by psychoanalysis. Dean has put forward an important argument for the affectivity within crowds that may be transformed into a Communist Party that is characterised by a similar affective infrastructure. I suggest that Dean’s discussion of affect is slightly vague at times and may be supplemented with Sigmund Freud’s work on affect. In contrast to Dean, who stresses the collectivity and deindividuation of the crowd, I argue that the crowd needs to be thought of as a place where individuality and collectivity come together and remain in tension. Such a tension may then be managed by the Party, as Dean illustrates.
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Tucídides es una de nuestras mejores fuentes de información para conocer la práctica argumentativa de la deliberación democrática. En este trabajo se analiza uno de los vicios que, según el historiador, haría su aparición en la escena política ateniense a la muerte de Pericles: la instrumentalización del miedo para obtener la victoria momentánea en la asamblea. El temor prudente, que fuera una arma periclea para conducir la deliberación racional en aras del bien común, habría desaparecido siendo sustituido por el amedrentamiento del rival, la calumnia, el obstruccionismo y la parálisis de la confrontación dialéctica. Instauradas en la ciudad la desconfianza y la sospecha de ocultación, los golpistas del 411 hallaron el terreno abonado para callar las voces contrarias y, gracias al silencio, instaurar el terror.
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Les manifestations de crise, en Côte d'Ivoire, ont été extrêmement violentes. Au cours des quinze dernières années, plus de 400 personnes sont mortes, tuées dans des affrontements avec les forces de sécurités ou des contre-manifestants. Malgré la gravité du problème, peu d’études scientifiques y sont consacrées et les rares analyses et enquêtes existantes portent, de façon unilatérale, sur l’identité et la responsabilité pénale des auteurs et commanditaires putatifs de cette violence. La présente étude s’élève contre le moralisme inhérent à ces approches pour aborder la question sous l’angle de l’interaction : cette thèse a pour objectif de comprendre les processus et logiques qui sous-tendent l’usage de la violence au cours des manifestations. Le cadre théorique utilisé dans cette étude qualitative est l’interactionnisme symbolique. Le matériel d’analyse est composé d’entrevues et de divers documents. Trente-trois (33) entrevues semi-dirigées ont été réalisées avec des policiers et des manifestants, cooptés selon la technique de la boule de neige, entre le 3 janvier et le 15 mai 2013, à Abidjan. Les rapports d’enquête, de l’ONG Human Rights Watch, sur les manifestations de crise, les manuels de formation de la police et divers autres matériaux périphériques ont également été consultés. Les données ont été analysées suivant les principes et techniques de la théorisation ancrée (Paillée, 1994). Trois principaux résultats ont été obtenus. Premièrement, le système ivoirien de maintien de l'ordre est conçu selon le modèle d’une « police du prince ». Les forces de sécurité dans leur ensemble y occupent une fonction subalterne d’exécutant. Elles sont placées sous autorité politique avec pour mandat la défense inconditionnelle des institutions. Le style standard de gestion des foules, qui en découle, est légaliste et répressif, correspondant au style d’escalade de la force (McPhail, Schweingruber, & Carthy, 1998). Cette « police du prince » dispose toutefois de marges de manœuvre sur le terrain, qui lui permettent de moduler son style en fonction de la conception qu’elle se fait de l’attitude des manifestants : paternaliste avec les foules dites calmes, elle devient répressive ou déviante avec les foules qu’elle définit comme étant hostiles. Deuxièmement, à rebours d’une conception victimaire de la foule, la violence est une transaction situationnelle dynamique entre forces de sécurité et manifestants. La violence suit un processus ascendant dont les séquences et les règles d’enchainement sont décrites. Ainsi, le premier niveau auquel s’arrête la majorité des manifestations est celui d’une force non létale bilatérale dans lequel les deux acteurs, protestataires et policiers, ont recours à des armes non incapacitantes, où les cailloux des premiers répondent au gaz lacrymogène des seconds. Le deuxième niveau correspond à la létalité unilatérale : la police ouvre le feu lorsque les manifestants se rapprochent de trop près. Le troisième et dernier niveau est atteint lorsque les manifestants utilisent à leur tour des armes à feu, la létalité est alors bilatérale. Troisièmement, enfin, le concept de « l’indignité républicaine » rend compte de la logique de la violence dans les manifestations. La violence se déclenche et s’intensifie lorsqu’une des parties, manifestants ou policiers, interprète l’acte posé par l’adversaire comme étant en rupture avec le rôle attendu du statut qu’il revendique dans la manifestation. Cet acte jugé indigne a pour conséquence de le priver de la déférence rattachée à son statut et de justifier à son encontre l’usage de la force. Ces actes d’indignités, du point de vue des policiers, sont symbolisés par la figure du manifestant hostile. Pour les manifestants, l’indignité des forces de sécurité se reconnait par des actes qui les assimilent à une milice privée. Le degré d’indignité perçu de l’acte explique le niveau d’allocation de la violence.