651 resultados para Rotator Cuff Tear
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BACKGROUND The pathogenesis of full-thickness tears of the rotator cuff remains unclear. Apart from age and trauma, distinct scapular morphologies have been found to be associated with rotator cuff disease. The purpose of the present study was to evaluate whether a score formed using these established risk factors was able to predict the presence of a rotator cuff tear reliably. METHODS We retrospectively assessed a consecutive series of patients with a minimal age of 40 years old, who had true antero-posterior (AP) radiographs of their shoulders, as well as a magnetic resonance (MR) gadolinium-arthrography, between January and December 2011. In all of these patients, the critical shoulder angle (CSA) was determined, and MR images were assessed for the presence of rotator cuff tears. Additionally, the patients' charts were reviewed to obtain details of symptom onset. Based on these factors, the so-called rotator cuff tear (RCT) score was calculated. RESULTS Patients with full-thickness RCTs were significantly older and had significantly larger CSAs than patients with intact rotator cuffs. Multiple logistic regression, using trauma, age and CSA as independent variables, revealed areas under the curve (AUCs) for trauma of 0.55, for age of 0.65 and for CSA of 0.86. The combination of all three factors was the most powerful predictor, with an AUC of 0.92. CONCLUSION Age, trauma and the CSA can accurately predict the presence of a posterosuperior RCT. LEVEL OF EVIDENCE Level IV. Case series with no comparison groups.
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BACKGROUND The critical shoulder angle combines the acromion index and glenoid inclination and has potential to discriminate between shoulders at risk for rotator cuff tear or osteoarthritis and those that are asymptomatic. However, its biomechanics, and particularly the role of the glenoid inclination, are not yet fully understood. METHODS A shoulder simulator was used to analyze the independent influence of glenoid inclination during abduction from 0 to 60°. Spindle motors transferred tension forces by a cable-pulley on human cadaveric humeri. A six-degree-of-freedom force transducer was mounted directly behind the polyethylene glenoid to measure shear and compressive joint reaction force and calculate the instability ratio (ratio of shear and compressive joint reaction force) with the different force ratios of the deltoid and supraspinatus muscles (2:1 and 1:1). A stepwise change in the inclination by 5° increments allowed simulation of a critical shoulder angle range of 20° to 45°. FINDINGS Tilting the glenoid to cranial (increasing the critical shoulder angle) increases the shear joint reaction force and therefore the instability ratio. A balanced force ratio (1:1) between the deltoid and the supraspinatus allowed larger critical shoulder angles before cranial subluxation occurred than did the deltoid-dominant ratio (2:1). INTERPRETATION Glenoid inclination-dependent changes of the critical shoulder angle have a significant impact on superior glenohumeral joint stability. The increased compensatory activity of the rotator cuff to keep the humeral head centered may lead to mechanical overload and could explain the clinically observed association between large angles and degenerative rotator cuff tears.
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L’épaule est l’articulation la plus mobile et la plus instable du corps humain dû à la faible quantité de contraintes osseuses et au rôle des tissus mous qui lui confèrent au moins une dizaine de degrés de liberté. La mobilité de l’épaule est un facteur de performance dans plusieurs sports. Mais son instabilité engendre des troubles musculo-squelettiques, dont les déchirures de la coiffe des rotateurs sont fréquentes et les plus handicapantes. L’évaluation de l’amplitude articulaire est un indice commun de la fonction de l’épaule, toutefois elle est souvent limitée à quelques mesures planaires pour lesquelles les degrés de liberté varient indépendamment les uns des autres. Ces valeurs utilisées dans les modèles de simulation musculo-squelettiques peuvent amener à des solutions non physiologiques. L’objectif de cette thèse était de développer des outils pour la caractérisation de la mobilité articulaire tri-dimensionnelle de l’épaule, en passant par i) fournir une méthode et son approche expérimentale pour évaluer l’amplitude articulaire tridimensionnelle de l’épaule incluant des interactions entre les degrés de liberté ; ii) proposer une représentation permettant d’interpréter les données tri-dimensionnelles obtenues; iii) présenter des amplitudes articulaires normalisées, iv) implémenter une amplitude articulaire tridimensionnelle au sein d’un modèle de simulation numérique afin de générer des mouvements sportifs optimaux plus réalistes; v) prédire des amplitudes articulaires sécuritaires et vi) des exercices de rééducation sécuritaires pour des patients ayant subi une réparation de la coiffe des rotateurs. i) Seize sujets ont été réalisé séries de mouvements d’amplitudes maximales actifs avec des combinaisons entre les différents degrés de liberté de l’épaule. Un système d’analyse du mouvement couplé à un modèle cinématique du membre supérieur a été utilisé pour estimer les cinématiques articulaires tridimensionnelles. ii) L’ensemble des orientations définies par une séquence de trois angles a été inclus dans un polyèdre non convexe représentant l’espace de mobilité articulaire prenant en compte les interactions entre les degrés de liberté. La combinaison des séries d’élévation et de rotation est recommandée pour évaluer l’amplitude articulaire complète de l’épaule. iii) Un espace de mobilité normalisé a également été défini en englobant les positions atteintes par au moins 50% des sujets et de volume moyen. iv) Cet espace moyen, définissant la mobilité physiologiques, a été utilisé au sein d’un modèle de simulation cinématique utilisé pour optimiser la technique d’un élément acrobatique de lâcher de barres réalisée par des gymnastes. Avec l’utilisation régulière de limites articulaires planaires pour contraindre la mobilité de l’épaule, seulement 17% des solutions optimales sont physiologiques. En plus, d’assurer le réalisme des solutions, notre contrainte articulaire tridimensionnelle n’a pas affecté le coût de calculs de l’optimisation. v) et vi) Les seize participants ont également réalisé des séries d’amplitudes articulaires passives et des exercices de rééducation passifs. La contrainte dans l’ensemble des muscles de la coiffe des rotateurs au cours de ces mouvements a été estimée à l’aide d’un modèle musculo-squelettique reproduisant différents types et tailles de déchirures. Des seuils de contrainte sécuritaires ont été utilisés pour distinguer les amplitudes de mouvements risquées ou non pour l’intégrité de la réparation chirurgicale. Une taille de déchirure plus grande ainsi que les déchirures affectant plusieurs muscles ont contribué à réduire l’espace de mobilité articulaire sécuritaire. Principalement les élévations gléno-humérales inférieures à 38° et supérieures à 65°, ou réalisées avec le bras maintenu en rotation interne engendrent des contraintes excessives pour la plupart des types et des tailles de blessure lors de mouvements d’abduction, de scaption ou de flexion. Cette thèse a développé une représentation innovante de la mobilité de l’épaule, qui tient compte des interactions entre les degrés de liberté. Grâce à cette représentation, l’évaluation clinique pourra être plus exhaustive et donc élargir les possibilités de diagnostiquer les troubles de l’épaule. La simulation de mouvement peut maintenant être plus réaliste. Finalement, nous avons montré l’importance de personnaliser la rééducation des patients en termes d’amplitude articulaire, puisque des exercices passifs de rééducation précoces peuvent contribuer à une re-déchirure à cause d’une contrainte trop importante qu’ils imposent aux tendons.
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L’épaule est l’articulation la plus mobile et la plus instable du corps humain dû à la faible quantité de contraintes osseuses et au rôle des tissus mous qui lui confèrent au moins une dizaine de degrés de liberté. La mobilité de l’épaule est un facteur de performance dans plusieurs sports. Mais son instabilité engendre des troubles musculo-squelettiques, dont les déchirures de la coiffe des rotateurs sont fréquentes et les plus handicapantes. L’évaluation de l’amplitude articulaire est un indice commun de la fonction de l’épaule, toutefois elle est souvent limitée à quelques mesures planaires pour lesquelles les degrés de liberté varient indépendamment les uns des autres. Ces valeurs utilisées dans les modèles de simulation musculo-squelettiques peuvent amener à des solutions non physiologiques. L’objectif de cette thèse était de développer des outils pour la caractérisation de la mobilité articulaire tri-dimensionnelle de l’épaule, en passant par i) fournir une méthode et son approche expérimentale pour évaluer l’amplitude articulaire tridimensionnelle de l’épaule incluant des interactions entre les degrés de liberté ; ii) proposer une représentation permettant d’interpréter les données tri-dimensionnelles obtenues; iii) présenter des amplitudes articulaires normalisées, iv) implémenter une amplitude articulaire tridimensionnelle au sein d’un modèle de simulation numérique afin de générer des mouvements sportifs optimaux plus réalistes; v) prédire des amplitudes articulaires sécuritaires et vi) des exercices de rééducation sécuritaires pour des patients ayant subi une réparation de la coiffe des rotateurs. i) Seize sujets ont été réalisé séries de mouvements d’amplitudes maximales actifs avec des combinaisons entre les différents degrés de liberté de l’épaule. Un système d’analyse du mouvement couplé à un modèle cinématique du membre supérieur a été utilisé pour estimer les cinématiques articulaires tridimensionnelles. ii) L’ensemble des orientations définies par une séquence de trois angles a été inclus dans un polyèdre non convexe représentant l’espace de mobilité articulaire prenant en compte les interactions entre les degrés de liberté. La combinaison des séries d’élévation et de rotation est recommandée pour évaluer l’amplitude articulaire complète de l’épaule. iii) Un espace de mobilité normalisé a également été défini en englobant les positions atteintes par au moins 50% des sujets et de volume moyen. iv) Cet espace moyen, définissant la mobilité physiologiques, a été utilisé au sein d’un modèle de simulation cinématique utilisé pour optimiser la technique d’un élément acrobatique de lâcher de barres réalisée par des gymnastes. Avec l’utilisation régulière de limites articulaires planaires pour contraindre la mobilité de l’épaule, seulement 17% des solutions optimales sont physiologiques. En plus, d’assurer le réalisme des solutions, notre contrainte articulaire tridimensionnelle n’a pas affecté le coût de calculs de l’optimisation. v) et vi) Les seize participants ont également réalisé des séries d’amplitudes articulaires passives et des exercices de rééducation passifs. La contrainte dans l’ensemble des muscles de la coiffe des rotateurs au cours de ces mouvements a été estimée à l’aide d’un modèle musculo-squelettique reproduisant différents types et tailles de déchirures. Des seuils de contrainte sécuritaires ont été utilisés pour distinguer les amplitudes de mouvements risquées ou non pour l’intégrité de la réparation chirurgicale. Une taille de déchirure plus grande ainsi que les déchirures affectant plusieurs muscles ont contribué à réduire l’espace de mobilité articulaire sécuritaire. Principalement les élévations gléno-humérales inférieures à 38° et supérieures à 65°, ou réalisées avec le bras maintenu en rotation interne engendrent des contraintes excessives pour la plupart des types et des tailles de blessure lors de mouvements d’abduction, de scaption ou de flexion. Cette thèse a développé une représentation innovante de la mobilité de l’épaule, qui tient compte des interactions entre les degrés de liberté. Grâce à cette représentation, l’évaluation clinique pourra être plus exhaustive et donc élargir les possibilités de diagnostiquer les troubles de l’épaule. La simulation de mouvement peut maintenant être plus réaliste. Finalement, nous avons montré l’importance de personnaliser la rééducation des patients en termes d’amplitude articulaire, puisque des exercices passifs de rééducation précoces peuvent contribuer à une re-déchirure à cause d’une contrainte trop importante qu’ils imposent aux tendons.
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Introducción: Las patologías del hombro suelen ser una de las causas de mayor solicitud de consulta en el ámbito laboral, con generación de incapacidad y pérdidas económicas, tanto para el afectado como para la empresa e incluso, la Entidad Promotora de Salud responsable de la atención y tratamiento. Entre las patologías de hombro más frecuentes se hallan el síndrome del manguito rotador, bursitis del hombro, síndrome de abducción dolorosa del hombro, tendinitis del bíceps, traumatismos del tendón del manguito rotador y tendinitis calcificante del hombro. Objetivo: Determinar y caracterizar las patologías del hombro de origen común y laboral, las prestaciones asistenciales y económicas que de estas se deriva en una EPS durante el periodo 2012 a 2014 en la ciudad de Bogotá. Metodología: Se realizó un estudio de corte transversal con datos secundarios procedentes de 657 afiliados del Régimen Contributivo en una EPS de la ciudad de Bogotá, con información de las patologías del hombro registradas de origen común y laboral, durante el periodo de 2012 a 2014. Las variables incluidas fueron las sociodemográficas, ocupacionales y clínicas. Se describieron las variables cualitativas en términos de proporción y las variables cuantitativas a través de medidas de tendencia central (medias/ medianas) y dispersión (rangos, desviación estándar, cuartiles). Para evaluar la asociación entre variables se utilizó la prueba de Chi cuadrado de Pearson usando nivel de significación α de 0,05. Resultados: Del total de afiliados se encontró que el 27,3% de las patologías fueron de origen laboral y el resto de origen común, predominando el género femenino (76.9%); el estado civil casado (34,4%), la escolaridad secundaria (60,4%). Un alto porcentaje de los pacientes se han desempeñado en la industria manufacturera (51%) y el diagnóstico más frecuente fue el síndrome de manguito rotatorio (89,2%). Al revisar los factores asociados con el origen de la patología en la calificación de estas, se encontró asociación con la edad (p = 0,000), la escolaridad (p = 0,013), la actividad económica (p = 0,0000), el factor ocupacional ergonómico (p = 0,0000) y con los diagnósticos de patologías del hombro (p = 0,025). Los días de incapacidad por las patologías del hombro reportaron una mediana de 111 días con rango de 0 a 1925 días. El tiempo de exposición al factor de riesgo ocupacional presento un rango de 6 a 470 meses, los costos por las patologías del hombro generadas correspondieron a un rango de $4000 a $68894438, con una mediana de $2287304. Es transcendental diagnosticar a tiempo e instaurar medidas terapéuticas, que permitan mejorar la sintomatología que ocasionan las patologías del hombro y la alteración en la funcionalidad del mismo, minimizando así los costos y días de incapacidad que a esto conlleva.
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Skeletal muscle atrophy and fatty infiltration develop after tendon tearing. The extent of atrophy serves as one prognostic factor for the outcome of surgical repair of rotator cuff tendon tears. We asked whether mRNA of genes involved in regulation of degradative processes leading to muscle atrophy, ie, FOXOs, MSTN, calpains, cathepsins, and transcripts of the ubiquitin-proteasome pathway, are overexpressed in the supraspinatus muscle in patients with and without rotator cuff tears. We evaluated biopsy specimens collected during surgery of 53 consecutive patients with different sizes of rotator cuff tendon tears and six without tears. The levels of corresponding gene transcripts in total RNA extracts were assessed by semiquantitative reverse transcriptase-polymerase chain reaction (RT-PCR) analysis. Supraspinatus muscle atrophy was assessed by MRI. The area of muscle tissue (or atrophy), decreased (increased) with increasing tendon tear size. The transcripts of CAPN1, UBE2B, and UBE3A were upregulated more than twofold in massive rotator cuff tears as opposed to smaller tears or patients without tears. These atrophy gene products may be involved in cellular processes that impair functional recovery of affected muscles after surgical rotator cuff repair. However, the damaging effects of gene products in their respective proteolytic processes on muscle structures and proteins remains to be investigated.
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Purpose Cadaveric study at our institution has demonstrated that optimal basaplate fixation of a reversed shoulder arthroplasty (RSA) could be achieved with screws in three major columns. Our aim was to review our early rate of aseptic glenoid loosening in a series of baseplate fixed according to this principle. Material and Methods Between 2005 and 2008, 48 RSA (Aequalis Reversed) were implanted in 48 patients with an average age of 74.4 years (range, 56 to 86 years). There were 37 women and 11 men. Twenty-seven primary RSAs were performed for cuff tear arthropathy, 3 after failed rotator cuff surgery, 6 for failed arthroplasties, 7 for acute fractures and 5 after failed ORIF. All baseplate fixation were done using a nonlocking posterior screw in the spine, a nonlocking anterior screw in the glenoid body, a locking superior screw in the coracoid and a locking inferior screw in the pillar. All patients were reviewed with standardized radiographs. The number of screws were reported. We measured the position of the screws in relation to the scapular spine and the coracoid process in two different views. We defined screw positions as totally, partially or out of the target. Finally we reported glenoid aseptic loosening which was defined as implant subsidence. Results Four patients were lost to follow-up. Thus, 44 shoulders could be reviewed after a mean follow-up of 13 months (range, 6 to 32 months). All baseplates were fixed with 4 screws. Thirty-seven (84%) screws were either partially or totally in the spine. Thus, 7 (16%) scapular spine screws were out of the target. No coracoid screw was out the target. Two (4.5%) patients had glenoid loosening. Both had a scapular spine and a coracoid screw partially in the bone. Conclusion Early aseptic glenoid loosening occurred before the two years follow-up and is most of time related to technical problems and/or insufficient bone stock and bone quality. Our study demonstrate that baseplate fixation according to the three columns principle is a reproducible technique and a valuable way to prevent early glenoid loosening.
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Introduction: Glenoid bone volume and bone quality can render the fixation of a reversed shoulder arthroplasty (RSA) basis plate hazardous. Cadaveric study at our institution has demonstrated that optimal baseplate fixation could be achieved with screws in three major columns. Our aim is to review our early rate of aseptic glenoid loosening in a series of baseplates fixed according to this principle. Methods: Between 2005 and 2008, 48 consecutive RSA (Reversed Aequalis) were implanted in 48 patients with an average age of 74.4 years (range, 56 to 86 years). There were 37 women and 11 men. Twenty-seven primary RSAs were performed for cuff tear arthropathy, 3 after failed rotator cuff surgery, 6 for failed arthroplasties, 7 for acute fractures and 5 after failed ORIF. All baseplate fixations were done using a nonlocking posterior screw in the scapular spine, a nonlocking anterior screw in the glenoid body, a locking superior screw in the coracoid and a locking inferior screw in the pillar. All patients were reviewed with standardized radiographs. We reported the positions of the screws in relation to the scapular spine and the coracoid process in two different views. We defined screw positions as totally, partially or out of the target. Finally, we reported aseptic glenoid loosening which was defined as implant subsidence. Results: Four patients were lost to follow-up. Thus 44 shoulders could be reviewed after a mean follow-up of 16 months (range, 9 to 32 months). Thirty-seven (84%) screws were either partially or totally in the spine. Thus, 7 (16%) scapular spine screws were out of the target. No coracoid screw was out of the target. At final follow-up control, we reported no glenoid loosening. Conclusion: Early glenoid loosening occurred before the two years follow-up and is most of time related to technical problems and/or insufficient glenoid bone stock and bone quality. Our study demonstrate that baseplate fixation of a RSA according to the three columns principle is a reproducible technique and a valuable way to prevent early glenoid loosening.
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Introducción: Teniendo en cuenta el envejecimiento de la población y la alta prevalencia de las lesiones del manguito rotador no es de extrañar que esta patología se convierta en un problema de salud pública. Se sabe que el aumento en el tamaño de una lesión se asocia con la aparición de síntomas, pero no existen herramientas que permitan predecir la evolución del tamaño de una lesión. Con esto en mente se desarrollo una línea de investigación para estudiar el mecanismo de falla que inicia con la realización de un modelo tridimensional de un tendón del musculo supraespinoso sano. Materiales y métodos: Se caracterizo el tendón del músculo supraespinoso aplicando cargas uniaxiales a 7 complejos humero-tendón-escápula cadavéricos. Con los datos obtenidos se alimento un modelo tridimensional lineal isotrópico analizando la concentración de esfuerzos de von Misses Resultados: Del ensayo uniaxial se obtuvieron curvas esfuerzo-deformación homogéneas para el 20% de la deformación inicial, obteniendo un modulo de Young (14.4±2.3MPa) y un coeficiente de Poisson (0.14) con una concentración de esfuerzos de en la zona central de la cara articular del tendón, cercana a su inserción. Encontramos una disminución del 5% en los esfuerzos al retirar el acromion del modelo. Conclusiones: Se caracterizó de manera exitosa y se obtuvo un modelo tridimensional del tendón. La distribución de esfuerzos es compatible con la reportada en la literatura. El acromion no tiene mayor importancia en la magnitud de los esfuerzos en nuestro modelo. Este es el punto de partida para estudiar el mecanismo de falla.
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Background: Through an experimental biomechanical study on rabbits, tendon reinsertion by means of trans-osseous suture on a spongy bone bed and suture anchor were evaluated comparatively at different phases of healing. Methods: Twenty-four New Zealand White rabbits were used: 2 as pilots, 4 as the control group, and 18 as the experimental group. These 18 animals underwent sectioning and reinsertion of the Achilles tendon bilaterally, using the technique of trans-osseous suture on 1 side and suture anchor on the other. All the pelvic limbs that underwent the procedure were then immobilized for 3 weeks. The experimental group was divided into 3 groups that were sacrificed, respectively, 3, 6, and 12 weeks later. The tendon-bone complex was subjected to biomechanical tests to evaluate the parameters of maximum strength, stiffness, and yield strength. Results: There was no statistically significant difference between the suture anchor group and the trans-osseous suture group, in relation to yield strength (3 weeks, P = .222; 6 weeks, P = .465; and 12 weeks, P = .200) or maximum strength (3 weeks, P = .222; 6 weeks, P = .076; and 12 weeks, P = .078). In relation to stiffness, the suture anchor group showed a statistically significant difference only at 3 weeks of healing ( P = .032) over the trans-osseous suture group. Conclusion: The technique of suturing with an anchor was shown to be similar to the technique of trans-osseous suture for the studied parameters. Level of evidence: Basic Science Study, In-Vitro Biomechanics Study. (C) 2010 Journal of Shoulder and Elbow Surgery Board of Trustees.
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The present study aimed to assess the reliability of intra and inter-examiner subacromial impingement index (SII) measures obtained from radiographs. Thirty-six individuals were enrolled and divided into two groups: control group, composed of 18 volunteers in good general health without shoulder problems, and a group of 18 patients with subacromial impingement syndrome (SIS). Radiographic images were taken with the dominant upper limb in neutral rotation, while the volunteers held their arm at 90A degrees of abduction in the frontal plane. The beam of radiation at 30A degrees craniocaudal inclination was used to provide an antero-posterior image view. Three blinded examiners each performed three measurements from the subacromial space (SS) and the anatomical neck of the humerus (NH). The SII was calculated as the ratio of the SS and the NH measures. The mean values of SII were compared using t-tests. The intra-class correlation coefficient (ICC) was used to assess intra- and inter-examiner reliability of the measures. The mean values of SII were greater for the control group (0.12) than for the SIS group (0.08; p = 0.0071). SII measurements showed excellent intra (0.96-0.99) and inter-examiner reliability (0.94) for both the control and SIS group. The results of this study show the potential use of the SII; a greater mean value for the control group compared to the SIS group and excellent reliability for intra- and inter-examiner measurement. Validation studies of the index should be conducted to correlate the index with clinical findings from subacromial impingement syndrome.
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Introdução: A artroplastia total do ombro é largamente aceite como tratamento para uma variedade de patologias do ombro com dor persistente e perda acentuada da funcionalidade. Em termos globais, os resultados obtidos após a intervenção cirúrgica são bastante bons, parecendo estar, no entanto, condicionados com a patologia subjacente e a qualidade da coifa dos rotadores. Objectivo: Pretende-se com este trabalho descrever e avaliar a eficácia de um plano de intervenção numa prótese total do ombro com integridade da coifa dos rotadores. Metodologia: Paciente sexo feminino, 61 anos, reformada, com dor acentuada no ombro esquerdo desde há três anos, submetida a uma cirurgia de colocação de prótese total do ombro. Apresentava limitação da amplitude articular, diminuição da força, alteração do ritmo escapulo-umeral e ligeira incapacidade funcional. Cinco semanas após a cirurgia, iniciou sessões diárias de fisioterapia durante 12 semanas. A intervenção incluiu a aplicação de modalidades anti-álgicas, mobilização articular, fortalecimento muscular e reeducação neuromuscular. Foi avaliada em quatro momentos: antes da intervenção (M1), 4 (M2), 7 (M3) e 12 (M4) semanas após. Resultados: A dor diminuiu de 4 para 0 (END) no final de 7 semanas e as amplitudes articulares passivas aproximaram-se dos valores definidos pelo protocolo com a flexão/elevação anterior a evoluir de 90º para 130º; a abdução/elevação lateral de 80º para 110º e a rotação medial de 35º para 70º. A força muscular inicial era de 3 nos grupos musculares flexores, extensores e rotadores do ombro atingindo no final grau 4. O ritmo escapulo-umeral demonstrou assincronia durante a elevação do ombro na primeira avaliação, ficando quase normalizado no final das sessões. Quanto à funcionalidade, antes da intervenção o score obtido foi de 30.8 atingindo um valor de 11.6 no final das sessões de tratamento. Conclusão: Após 12 semanas de tratamento, os objectivos delineados foram praticamente atingidos, uma vez que a utente já não refere dor no ombro e apresenta uma boa capacidade funcional, apesar de apresentar ligeiras diferenças nas amplitudes articulares e força muscular esperadas, apontando para o sucesso do protocolo de tratamento aplicado.
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RESUMO: Introdução: A estabilidade dinâmica relativa ao complexo articular do ombro depende de uma interacção perfeita entre músculos da coifa dos rotadores e músculos escapulares, como o binómio rotador da escápula – trapézio superior e trapézio inferior e o grande dentado. A compreensão dessas sinergias musculares em sujeitos assintomáticos permite, em última instância, o desenvolvimento de linhas orientadoras de raciocínio na abordagem clínica. Objectivo: Estudar o rácio de activação entre os músculos trapézio inferior e trapézio superior e entre grande dentado e trapézio superior, através de um conjunto de cinco exercícios aplicados a uma amostra de sujeitos assintomáticos, estabelecendo uma hierarquia entre esses rácios. Metodologia: Trata-se de um estudo descritivo, com uma amostra de 15 sujeitos saudáveis (n=9 homens; n=6 mulheres), com idades compreendidas entre os 19 e 27 anos (média=21 anos, dp=2,24), tendo sido avaliados por um sistema de electromiografia de superfície, em dois momentos de recolha diferentes. Os exercícios foram realizados em cadeia cinética aberta, sem qualquer aplicação de resistências externas. Resultados: De entre os exercícios analisados com envolvimento escapulo-torácico e gleno-umeral simultaneamente, destacaram-se com melhor rácio trapézio inferior/trapézio superior e grande dentado/trapézio superior (activação dos músculos trapézio inferior e grande dentado superior à activação do trapézio superior) os movimentos de flexão do ombro até aos 90º no plano sagital e a abdução do ombro até aos 90º no plano da escápula, considerando ambas as recolhas. Nos exercícios apenas com envolvimento escapulotorácico, destacaram-se com melhor rácio os movimentos de adução e depressão das escápulas bilateralmente com os membros superiores em repouso, seguido da abdução da escápula, com o ombro a 90º de flexão e mantendo a escápula em depressão (“murro à frente”), em ambas as recolhas. O exercício de abdução do ombro até aos 90º no plano frontal obteve sempre o pior rácio muscular, nos dois momentos de recolha. Conclusões: O presente trabalho estudou as interacções dos músculos escapulotorácicos em cinco exercícios realizados até aos 90º de elevação do membro superior,em cadeia cinética aberta e sem recurso a resistências externas. Será, eventualmente possível, enquadrar os exercícios propostos nas fases de consciencialização e associação de reaprendizagem motora. Sugerem-se futuros estudos com uso de análise cinemática. --------------------ABSTRACT: Introduction: Stability of the shoulder and scapula depend upon a perfect interaction between rotator cuff of the shoulder and scapular muscles, such as upper and lower trapezius and serratus anterior. A deeper comprehension of these synergies in healthy subjects allows, ultimately, the development of a better reasoning in the clinical approach. Goal: To study the ratios between lower trapezius/ upper trapezius and between serratus anterior/ upper trapezius in five different exercises, applied to healthy subjects, presenting a hierarchy between ratios. Methods: It’s an observational descriptive study including 15 healthy subjects (n= 9 men; n=6 women) with ages between 19 and 27 years (mean of 21 years, SD of 2,24). Surface electromyography was used in two different recording moments. All the exercises were performed in open kinetic chain, without external resistance. Results: Of the exercises studied that involved the shoulder and scapula together, the best ratios between lower trapezius/upper trapezius and serratus anterior/ upper trapezius (greater activity for lower trapezius and serratus anterior and less for upper trapezius) were found in shoulder flexion to 90º and in shoulder abduction to 90º in the plane of the scapula, in both recording moments. Considering the exercises that included only the scapula, the best ratio were found in bilateral adduction and depression of the scapula with the upper limbs resting and in abduction of the scapula, while being in depression, with the shoulder flexed at 90º, considering both recordings. Shoulder abduction to 90º in the coronal plane presented the worse ratio in both recording moments. Conclusions: This present paper studied the interaction of the scapula upward rotator muscles in five exercises performed below 90º of shoulder flexion or abduction, in open kinetic chain, with no external resistance. It may be possible to associate our exercises with the motor learning phases of association and consciousness. Future studies are suggested with kinematic analysis.
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Purpose Third generation anatomic total shoulder prostheses offer a wide range of adaptability (size, thickness, retroversion and offset of the humeral head, cervico-diaphyseal angle) in order to reproduce anatomy and biomechanics of the shoulder as normal as possible. The large variability of the implants may also induce malposition. Our goal was to analyse the consequences of a humeral head malposition, which is one of the most frequent placement errors. Material and Methods A 3D finite element model of the glenohumeral joint, including the rotator cuff muscles and the deltoid, was used with the Aequalis anatomic prosthesis. Active abduction was simulated. Three humeral head placements were compared : anatomic positioning (A), 5 mm inferior positioning (B), 5 mm superior positioning (C). The effect of humeral head malposition was evaluated through the following quantities : the range of motion free of impingements, the glenohumeral contact pattern, and the stress within the polyethylene and the cement. Results Inferior positioning (B) of the humeral head produced a superior impingement before 90° of abduction, an inferior eccentric contact point on the glenoid, and 165% increase of cement stress. Superior positioning (C) of the humeral head produced a postero-superior eccentric contact point on the glenoid, 300% increase of glenohumeral contact pressure, 450% increase of polyethylene stress, and 207% increase of cement stress. Conclusion Malposition of the humeral head of anatomic prostheses induces biomechanical consequences that may preclude the glenoid survival. Particular attention must be paid to reproduce the humeral anatomy as normal as possible.
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The sports clinician faces multiple treatment options when dealing with overload injuries, and it is important to evaluate their outcomes. Multiple scores exist, some clincian rated (CRO), others patient rated (PRO), the latter being currently favoured. This review presents some of these scores and we selected the ones we feel are the most appropriate for a sports clinician. We considered these common problems: tennis elbow, rotator cuff issues, groin pain, patellofemoral pain syndrome, achilles tendinopathy and ankle instability. In addition, an activity level score is useful to weigh the result in the context of return to performance. These scores help to create a common language between therapists and to evaluate treatments objectively.