927 resultados para PUEBLOS
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UANL
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Cette recherche se construit autour d’un travail de terrain réalisé dans trois communautés autochtones quichuas vivant au nord de l’Équateur. Il prétend étudier l’incidence que devrait avoir la diversité culturelle et linguistique dans les politiques éducatives en milieu plurilingue et multiculturel. En Amérique hispanique, l’éducation des peuples autochtones n’a jamais été très attentive à leurs besoins spécifiques en ce qui a trait à l’apprentissage de l’espagnol comme langue seconde. En effet, les motivations des apprenants, plus instrumentales qu’intégratives, prouvent que les autochtones apprennent la langue espagnole presqu’exclusivement pour communiquer, sans vraiment être intéressés au groupe natif de cette langue. De plus, notre recherche sur le terrain avec les apprenants du peuple Otavalo nous a démontré que leur très forte identification ethnique influence l’acquisition de l’espagnol. D’une part, ils sont plus enclins à se distinguer des autres, spécialement des hispano parlants, et de l’autre, ils réussissent plus difficilement à atteindre une compétence élevée dans la langue seconde. Notre recherche conclut donc que l’éducation, qu’elle soit issue du système national ou bilingue, devrait davantage prendre en considération l’identité ethnolinguistique des nombreux enfants indigènes, afin de ne pas préjudicier leurs droits. Ceci permettrait de favoriser un apprentissage positif et significatif de l’espagnol comme langue seconde ou langue maternelle, mais tout en consolidant l’identité autochtone des apprenants.
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Ce travail se veut d’un rapprochement aux pratiques et savoirs des peuples amazoniens à partir de discours produits par ces nations. Nous y interpréterons des chants sacrés, des narrations ancestrales et des textes académiques de penseurs autochtones. Ce travail indique que les pratiques amazoniennes s’inscrivent dans un contexte de significations qui considèrent que tout être vivant possède des pensées et un esprit; qu’il existe des êtres spirituels qui défendent ces êtres vivants contre les abus possibles. Les êtres humains doivent transcender leur état de conscience, se déplacer vers les mondes invisibles et initier la communication avec ces esprits, pour ainsi maintenir l’équilibre existentiel. Selon les pensées de l’Amazonie, les communautés humaines ne peuvent pas se concevoir comme autosuffisantes; elles doivent plutôt maintenir de constantes relations avec les multiples êtres qui peuplent leur environnement visible et les mondes invisibles. Les trois concepts clés qui permettent de rendre compte des pratiques des peuples amazoniens sont la déprédation, la transformation et l’équilibre. Par déprédation, nous entendons les pratiques amazoniennes qui impliquent une destruction des autres êtres afin de sustenter la vie de la communauté. Selon les pensées de l’Amazonie, cette déprédation devrait être mesurée, dans le but de ne pas tuer plus que nécessaire à la survie. La déprédation est régulée par les êtres spirituels. Les pratiques amazoniennes de transformation sont destinées à la sauvegarde des liens de la communauté, en transfigurant tout ce qui entre ou sort de cette dernière, de manière à ce qu’aucun agent externe ne mette en péril les liens affectifs. Les pratiques de déprédation et de transformation sont complémentaires et elles requièrent toutes les deux de se produire de manière équilibrée, en respectant les savoirs ancestraux et les lois cosmiques établies par les esprits supérieurs. En ce qui a trait à la méthode d’analyse, nous aborderons les discours de l’Amazonie à partir leur propre logique culturelle, sans imposer des méthodologies préétablies, ce qui donne comme résultat un travail académique qui approfondie la production intellectuelle interculturelle, puisque ce sont les voix indigènes qui expriment elles-mêmes leurs conceptions et le sens de leurs pratiques. Dans son ensemble, le travail engage un dialogue critique avec son champ d’étude en discutant ou en approfondissant certaines conceptions forgées par la littérature anthropologique consacrée à l’étude de la région, à partir des savoirs ancestraux amazoniens qui nourrissent les pratiques de ces nations.
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La présente étude constitue une analyse comparative de discours qui articulent la problématique de l’héritage coloniale et des réclamations autochtones au Chili et au Canada : des livres de texte de sciences sociales, des discours d’opinion et des discours autochtones. Nous proposons que les similitudes surprenantes qui ont été révélées par les contextes nationaux canadiens et chiliens peuvent être expliquées, en partie, par leur articulation avec le discours globalisé de la modernité/colonialité. D’une part, les textes scolaires et les discours d’opinion font circuler des éléments discursifs de la modernité, tout en reproduisant des formes de savoir et de dire coloniaux. D’autre part, les discours autochtones se ressemblent entre eux dans la mesure où ils interpolent la modernité/colonialité transformant ainsi les termes d’engagement interculturel. Bien que les états canadiens et chiliens renforcent leur engagement à l’égard de la réconciliation avec les Autochtones durant les dernières décennies, les conflits interculturels continuent à se produire en impliquant toujours les mêmes acteurs : l’état, différents peuples autochtones, des entreprises privées, ainsi que des membres de l’élite intellectuelle, politique et patronale. En prenant en compte cette situation, l’objectif de cette thèse vise à mieux comprendre pourquoi ces conflits, loin d’être résolus, continuent à se reproduire. Dans ces deux pays, la problématique des conflits interculturels est fondamentalement mise en rapport avec la question des droits territoriaux et, par conséquent, sont inséparables de la question de l’héritage coloniale des états nationaux canadien et chilien. Pourtant cette dimension coloniale des conflits a tendance à être cachée autant par la rhétorique multiculturelle du discours national que par les polarisations produites par l’opinion publique, lesquelles ont l’habitude d’encadrer la problématique par des notions binaires, telles que « civilisation/barbarie » ou « authenticité/illégitimité ». De plus, on peut considérer l’ouest du Canada et le sud du Chili comme étant des contextes comparables, puisque ceux-ci ont été colonisés avec la base du discours moderne du progrès et de la civilisation, qui a servi à légitimer l’expansion de l’état national au dix-neuvième siècle. Cependant, il n’existe que très peu d’études qui comparent les productions discursives relatives aux relations interculturelles entre Autochtones et non Autochtones dans les contextes canadiens et chiliens, possiblement à cause des différences linguistiques, sociohistoriques et politiques qui paraissent insurmontables.
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Cette thèse analyse les négociations interculturelles des Gens du Centre (groupe amazonien multi-ethnique) avec les discours universels de droits humains et de développement mobilisés par l’État colombien. L’analyse se concentre sur le Plan de sauvegarde ethnique Witoto chapitre Leticia (ESP), qui est un des 73 plans formulés et implémentés par l’État colombien pour reconnaître les droits des peuples autochtones en danger par le déplacement forcé causé par les conflits armés internes. J’analyse l’ESP à travers la notion de friction (Tsing, 2005) qui fait référence aux caractéristiques complexes, inégalitaires et changeantes des rencontres contemporaines entre les différences des savoirs locaux et globaux. Mon analyse se base aussi sur des approches foucaldiennes et/ou subalternes de pouvoir comme la recherche anticoloniale et de la décolonisation, les perspectives critiques et contre-hégémoniques des droits humains, le post-développement, et les critiques du féminisme au développement. L’objectif de la thèse est d’analyser les savoirs (concepts de loi, de justice et de développement); les logiques de pensée (pratiques, épistémologies, rôles et espaces pour partager et produire des savoirs); et les relations de pouvoir (formes de leadership, associations, réseaux, et formes d’empowerment et disempowerment) produits et recréés par les Gens du Centre au sein des frictions avec les discours de droits humains et du développement. La thèse introduit comment la région habitée par les Gens du Centre (le Milieu Amazone transfrontalier) a été historiquement connectée aux relations inégalitaires de pouvoir qui influencent les luttes actuelles de ce groupe autochtone pour la reconnaissance de leurs droits à travers l’ESP. L’analyse se base à la fois sur une recherche documentaire et sur deux terrains ethnographiques, réalisés selon une perspective critique et autoréflexive. Ma réflexion méthodologique explore comment la position des chercheurs sur le terrain influence le savoir ethnographique et peut contribuer à la création des relations interculturelles inclusives, flexibles et connectées aux besoins des groupes locaux. La section analytique se concentre sur comment le pouvoir circule simultanément à travers des échelles nationale, régionale et locale dans l’ESP. J’y analyse comment ces formes de pouvoir produisent des sujets individuels et collectifs et s’articulent à des savoirs globaux ou locaux pour donner lieu à de nouvelles formes d’exclusion ou d’émancipation des autochtones déplacés. Les résultats de la recherche suggèrent que les Gens du Centre approchent le discours des droits humains à travers leurs savoirs autochtones sur la « loi de l’origine ». Cette loi établit leur différence culturelle comme étant à la base du processus de reconnaissance de leurs droits comme peuple déplacé. D’ailleurs, les Gens du Centre approprient les discours et les projets de développement à travers la notion d’abondance qui, comprise comme une habileté collective qui connecte la spiritualité, les valeurs culturelles, et les rôles de genre, contribue à assurer l’existence physique et culturelle des groupes autochtones. Ma thèse soutient que, même si ces savoirs et logiques de pensée autochtones sont liés à des inégalités et à formes de pouvoir local, ils peuvent contribuer à des pratiques de droits humains et de développement plurielles, égalitaires et inclusives.
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Depuis la fin du XIXe siècle, des dynamiques sociales diverses – holocauste du caoutchouc, colonie pénale, missions catholiques, présence d’institutions gouvernementales et non gouvernementales — ont reconfiguré les formes d’organisation sociale des habitants du moyen fleuve Caquetá, dénommés Gens de centre. Nous nous arrêterons en particulier sur l’effet de ces changements sur leurs formes d’autonomie. Avec la reconnaissance par l’État, au cours des années 1980 et 1990, des peuples indigènes en tant que minorités ethniques, surgit une dichotomie entre ce qui est « traditionnel » autochtone, par opposition à ce qui est « moderne », étant donné les processus d’acculturation et inclusion de ces groupes dans la société majoritaire. Dans le présent travail, on établit une comparaison des figures « d’autorité traditionnelle » et de « leader », une différenciation faite dans la région du moyen fleuve Caquetá. Dans un premier temps, on donne un aperçu théorique de la figure de chef dans les terres basses de l’Amérique du Sud et sa validité et pertinence dans la situation du moyen fleuve Caquetá. Puis, l’on présente comment se forme l’autorité traditionnelle et ses champs d’action. On montre, de la même façon, les différents processus qui ont donné lieu à l’apparition de la figure de leader et les espaces où celle-ci évolue. La relation entre les deux figures est à la fois contradictoire et complémentaire. Finalement, on expose, avec des exemples concrets, les rapports entre les Gens de centre et les institutions gouvernementales et la remise en question de l’autonomie accordée aux groupes minoritaires dans la Constitution politique de la Colombie de 1991.
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Se presenta memoria final de proyecto educativo que propone la estructuración de los bloques temáticos de la asignatura de tecnología industrial I perteneciente al bachillerato tecnológico, a través de dos grandes centros de interés, uno de ellos estará basado en el azulejo sevillano y el otro en el aprovechamiento energético del sol. Se realiza en el IES Pablo Picasso en Sevilla. Los objetivos son: superar el anquilosamiento de un sistema excesivamente teórico; despertar el interés por el derecho que asiste a los pueblos a conocer a su cultura, valorando nuestro patrimonio tecnológico como bien social e irrenunciable; promover un proceso de aprendizaje en la línea de 'aprender a aprender'; aproximar al alumno a un contexto sociolocacional cultural de su entorno; despertar en el alumnado interés por la experimentación y la investigación; permitir un acercamiento globalizador o interdisciplinar con otras áreas; fomentar y ejercitar la creatividad, la capacidad de diseño, organización a nivel grupal e ingenio investigando y construyendo artilugios con materiales de desecho; habilitar a adquirir conocimientos también fuera del aula; descubrir con ambas propuestas las posibilidades de integración laboral; contribuir a que el alumnado tengan cabezas bien hechas que no bien llenas. El proceso consta de varias fases: aproximación, conocimiento, implicación y aportaciones; organización por grupos, asumir roles, directrices a seguir; concreción de contenidos; de desarrollo, salidas diversas, recogida de información; elaboración y organización de 'carpetas-dossier'; elaboración de documentos resumen; revisión y montaje de documentos definitivos; presentación de trabajos.
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Unidades did??cticas dirigidas a los alumnos de Educaci??n Infantil y Primaria. El tema transversal abordado es la Educaci??n para la Igualdad y viene justificado por la presencia de un n??mero importante de ni??os y ni??as de raza gitana, magreb??es y trabajadores temporales que conviven en los pueblos y campo de Cartagena (Murcia). El objetivo de estas unidades es modificar y desarrollar actitudes personales centradas en los valores de: tolerancia, responsabilidad y solidaridad. Antes de abordar las unidades did??cticas, los autores de este trabjo exponen los objetivos generales del centro y el de las dos etapas a los que va dirigido as?? como tres esquemas correspondientes a los objetivos generales contemplados en el Proyecto Educativo de Centro.
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Unidad didáctica de Inglés elaborada a partir de un tema transversal: el racismo. Este tema crea un clima positivo de respeto y colaboración que facilita el trabajo en equipo. Se resalta el papel que la lengua extranjera tiene como instrumento de comunicación y de cooperación entre los distintos paises y pueblos. La unidad cubre las cuatro detrezas comunicativas: listening, speaking, reading y writing para los niveles superiores de la Enseñanza Secundaria, a través de materiales audiovisuales reales, no creados por el profesorado para la ocasión (publicación audiovisual Speak-up, revista TIME, etc.).
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Las jornadas fueron organizadas por la Direcci??n General de Ense??anzas de R??gimen General y Atenci??n a la Diversidad en coordinaci??n con la Direcci??n General de Formaci??n Profesional e Innovaci??n Educativa, Ayuntamiento de Totana, el CPR de Lorca, el Centro de Atenci??n y Documentaci??n Intercultural
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Estos materiales se acompañan de una guía didáctica de lectura
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Se incluye un CD con las grabaciones en audio de los relatos
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Hacer un estudio sobre las distintas lenguas que se han hablado y se hablan en Asturias y cómo fueron evolucionando. Localizar cuándo y por qué se empezó a utilizar el bable y qué rasgos tiene en común con otras lenguas romances, así como localizar documentos y muestras de Literatura en lengua asturiana. Evolución histórica de las lenguas habladas en Asturias. Se citan las distintas lenguas habladas en España y en Asturias a través de los principales acontecimientos históricos de la Península (invasión del Imperio Romano, invasión de los pueblos germánicos, invasiones árabes, Reconquista, etc.). Durante cada uno de estos periodos históricos se citan las características de las lenguas habladas, y la situación de la lengua asturiana dentro de ellas. Documentos. Bibliografía especializada. En Asturias actualmente se hablan dos lenguas, la oficial que es el castellano y la 'específica' que es el asturiano o bable, siendo ambas lenguas romances por tener su origen en el latín. Antes de hablarse el latín, en Asturias se hablaban otras lenguas indoeuropeas lo que facilitó su asimilación lingüística, aunque lo que en realidad se hizo fue ir interpretándolo desde los propios sistemas lingüísticos, adaptándolo a las propias costumbres articulatorias y, por tanto, introduciendo modificaciones. Con las invasiones árabes a partir del 711, surgieron en la Península 5 grupos lingüísticos: gallego, asturiano, castellano, navarro-aragonés y catalán, a los que habría que añadir el mozárabe. En este momento, el primero y más importante de los reinos cristianos era el de Asturias, de forma que desde el punto de vista histórico y político ese era el momento más propicio para que el asturiano cuajase como lengua de cultura, lo cual no se logró por dos razones: aunque se hablaba asturiano, la lengua escrita seguía siendo el latín en toda la Península, y además, el tiempo que duró el poder político asturiano fue demasiado corto para que la cultura asturiana y su lengua se consolidaran. En la primera mitad del siglo XI se expande el poder político del reino de Castilla, generalizándose el castellano como lengua oficial de todos los reinos de la Península. Con Alfonso X el Sabio se crea la prosa castellana, quedando afianzada esta lengua como la oficial y en documentos reales. No obstante se conservan algunos documentos (escrituras públicas, de compra-venta, participaciones, donaciones, etc.) que datan de la Edad Media y que están en lengua asturiana, lo que confirma al autor en su idea de que el latín ya estaba entonces arrancado como lengua de cultura y como lengua escrita, y que el asturiano debería ser, en Asturias, la lengua 'normal'. En la segunda mitad del siglo XX asistimos a un intento firme de lograr no sólo una buena literatura en asturiano, sino también de transformar la lengua asturiana en nuestra lengua de cultura.
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Que los alumnos puedan conocer mejor el pasado utilizando fuentes de información diversas. Que el alumno visitando el poblado se familiarice con conceptos como emplazamiento, situación, relación entre medio físico y arquitectura. Estimular en los alumnos mediante trabajos individuales y de grupo, su memoria visual, capacidad de observación, análisis y deducción y por supuesto el sentido de la convivencia en grupo. Organización de la enseñanza de un tema del área de Historia. Se estudia primeramente el concepto de ámbito y etapas de la cultura castrense, los principales poblados existentes en Asturias su forma de vida en cuanto a los aspectos económicos y sociales. Se hace referencia después a aspectos concretos del castro de Coaña: situación, cronología, estructura, habitantes, etc. Se propone la utilización de los siguientes instrumentos: fuentes literarias: textos de Estrabón y otros autores referidos a los pueblos del Norte. Visita al castro de Coaña. Visita al Museo Arqueológico de Oviedo. Se realiza una descripción desde el punto de vista histórico de la cultura castreña y más concretamente del castro de Coaña y a la vez se presentan los materiales de cara a la introducción en el aula. Igualmente se dan los criterios para la planificación de las visitas mencionadas. Se aportan materiales como: mapas, textos, cuestionarios de interpretación, guías de observación, etc. No consta que estos materiales hayan sido aplicados al trabajo en el aula, por lo que no puede hablarse de resultados de otro tipo.
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Edición bilingüe. Fecha finalización tomada del Código del Documento