790 resultados para Low back pain
Resumo:
Introducción El motivo principal por el que acuden los pacientes a las consultas de podología es el dolor producido por los callos y callosidades plantares. El dolor producido por las callosidades y callos plantares provocan en el paciente cambios de presiones y alteraciones en el apoyo, dificultando la deambulación correcta. Existen numerosos estudios sobre la eliminación de callosidades en pacientes diabéticos, con AR, pero pocos en personas sanas. La eliminación de estos callos y callosidades se puede realizar mediante deslaminación mecánica con bisturí o mediante queratolíticos. Objetivos Objetivo principal Analizar el efecto de la deslaminación mecánica con bisturí de las callosidades y callos plantares sobre el dolor y la calidad de vida en sujetos sanos Objetivos secundarios Determinar la existencia de modificaciones en los parámetros de la marcha con la eliminación de callosidades y callos plantares Observar las diferencias y efectividad de tratamientos de la eliminación de callosidades plantares mediante la técnica de deslaminación mecánica con bisturí versus parches de ácido salicílico Comprobar los cambios producidos en los parámetros psíquicos y fiscos del paciente antes y después de las diferentes técnicas de eliminación de las callosidades empleadas Método Se realizan dos estudios: un estudio cuasi experimental aleatorizado no controlado, en el que a un grupo de 34 pacientes con callosidades plantares dolorosas se les mide el dolor con una escala visual analógica y para analizar los parámetros de la marcha, la paltaformaWin-Track, antes del tratamiento de deslaminación mecánica con bisturí y a las 24 horas. El segundo estudio es un ensayo clínico aleatorizado inscrito en Australian New ZelandClinicalstrials y aprobado por el Comité ético de la Universidad de Málaga, en el que 62 participantes con callosidades plantares dolorosas se dividieron en dos grupos de tratamiento. El grupo A recibió tratamiento con parche de ácido salicílico y el grupo B recibió tratmiento de deslaminación con bisturí. Se utilizó la escala visual analógica para la medida de dolor antes, inmediatamente después de la intervención, a las 2 semanas y a las 6 semanas. Para el dolor y la discapacidad funcional del pie se utilizó el cuestionario Manchester FootPain and Disability antes del tratamiento, a las 2 semanas y a las 6 semanas. Para medir la calidad de vida general se utilizó el cuestionario SF-12 Conclusiones La deslaminación mecánica con bisturí de los callos y callosidades plantares es efectiva para su eliminación a nivel de la sensación de dolor, aunque no tanto en lo que se refiere a la mejora de calidad de vida. No hay resultados significativos de que la eliminación mecánica con bisturí de callos y callosidades plantares modifican los parámetros de la marcha medido con la plataforma Win-track. Se observa como la deslaminación mecánica con bisturí para la eliminación de callos y callosidades plantares pueden ser más efectiva a corto plazo que la eliminación mediante parche con ácido salicílico. Se observa cómo se modifica los paramentos psíquicos en el grupo de tratamiento con parche con ácido salicílico, aunque con una significación baja. Bibliografía Balanowski, K. R., & Flynn, L. M. (2005). Effect of painful keratoses debridement on foot pain, balance and function in older adults. Gait & Posture, 22(4), 302-307. http://doi.org/10.1016/j.gaitpost.2004.10.006 Collins, S. L., Moore, R. A., &McQuay, H. J. (1997). The visual analogue pain intensity scale: what is moderate pain in millimetres? Pain, 72(1-2), 95-97. Coughlin, M. J. (2000).Common Causes of Pain in the Forefoot in Adults. Journal of Bone & Joint Surgery, British Volume, 82-B(6), 781-790. Farndon, L. J., Vernon, W., Walters, S. J., Dixon, S., Bradburn, M., Concannon, M., & Potter, J. (2013). The effectiveness of salicylic acid plasters compared with «usual» scalpel debridement of corns: a randomised controlled trial. Journal of Foot and Ankle Research, 6(1), 40. http://doi.org/10.1186/1757-1146-6-40 Freeman, D. B. (2002). Corns and calluses resulting from mechanical hyperkeratosis. American FamilyPhysician, 65(11), 2277-2280. Gijon-Nogueron, G., Ndosi, M., Luque-Suarez, A., Alcacer-Pitarch, B., Munuera, P. V., Garrow, A., & Redmond, A. C. (2014). 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The Foot, 4(3), 145-150. http://doi.org/10.1016/0958-2592(94)90019-1 Luo, X., Lynn George, M., Kakouras, I., Edwards, C. L., Pietrobon, R., Richardson, W., & Hey, L. (2003). Reliability, validity, and responsiveness of the short form 12-item survey (SF-12) in patients with back pain. Spine, 28(15), 1739-1745. http://doi.org/10.1097/01.BRS.0000083169.58671.96 Ramachandra, P., Maiya, A. G., & Kumar, P. (2012). Test-retest reliability of the Win-Track platform in analyzing the gait parameters and plantar pressures during barefoot walking in healthy adults. Foot & Ankle Specialist, 5(5), 306-312. http://doi.org/10.1177/1938640012457680 Siddle, H. J., Redmond, A. C., Waxman, R., Dagg, A. R., Alcacer-Pitarch, B., Wilkins, R. A., &Helliwell, P. S. (2013). Debridement of painful forefoot plantar callosities in rheumatoid arthritis: the CARROT randomised controlled trial. Clinical Rheumatology, 32(5), 567-574. http://doi.org/10.1007/s10067-012-2134-x
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Les arthroplasties totales de la hanche (ATH) et du genou (ATG) sont souvent offertes aux patients atteints de dégénérescence articulaire sévère. Bien qu’efficace chez la majorité des patients, ces interventions mènent à des résultats sous-optimaux dans de nombreux cas. Il demeure difficile d’identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux à l’heure actuelle. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser la gamme de soins et de services offerts et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie. Ce mémoire a comme objectifs : 1) de réaliser une revue systématique des déterminants associés à la douleur et aux incapacités fonctionnelles rapportées par les patients à moyen-terme suivant ces deux types d’arthroplastie et 2) de développer des modèles de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles suivant l’ATH et l’ATG. Une revue systématique de la littérature identifiant les déterminants de la douleur et de la fonction suivant l’ATH et l’ATG a été réalisée dans quatre bases de données jusqu’en avril 2015 et octobre 2014, respectivement. Afin de développer un algorithme de prédiction pouvant identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux, nous avons aussi utilisé des données rétrospectives provenant de 265 patients ayant subi une ATH à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) de 2004 à 2010. Finalement, des données prospectives sur 141 patients recrutés au moment de leur inclusion sur une liste d’attente pour une ATG dans trois hôpitaux universitaires à Québec, Canada et suivis jusqu’à six mois après la chirurgie ont permis l’élaboration d’une règle de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles. Vingt-deux (22) études d’une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été incluses dans la revue. Les principaux déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH incluaient: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, un indice de la masse corporelle plus élevé, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, une scolarité plus faible, une arthrose radiographique moins sévère et la présence d’arthrose à la hanche controlatérale. Trente-quatre (34) études évaluant les déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATG avec une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été évaluées et les déterminants suivant ont été identifiés: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, un plus grands niveau d’anxiété et/ou de symptômes dépressifs, la présence de douleur au dos, plus de pensées catastrophiques ou un faible niveau socioéconomique. Pour la création d’une règle de prédiction clinique, un algorithme préliminaire composé de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle ainsi que de trois questions du WOMAC préopératoire a permis l’identification des patients à risque de résultats chirurgicaux sous-optimaux (pire quartile du WOMAC postopératoire et percevant leur hanche opérée comme artificielle avec des limitations fonctionnelles mineures ou majeures) à une durée moyenne ±écart type de 446±171 jours après une ATH avec une sensibilité de 75.0% (95% IC: 59.8 – 85.8), une spécificité de 77.8% (95% IC: 71.9 – 82.7) et un rapport de vraisemblance positif de 3.38 (98% IC: 2.49 – 4.57). Une règle de prédiction clinique formée de cinq items du questionnaire WOMAC préopratoire a permis l’identification des patients en attente d’une ATG à risque de mauvais résultats (pire quintile du WOMAC postopératoire) six mois après l’ATG avec une sensibilité de 82.1 % (95% IC: 66.7 – 95.8), une spécificité de 71.7% (95% IC: 62.8 – 79.8) et un rapport de vraisemblance positif de 2.9 (95% IC: 1.8 – 4.7). Les résultats de ce mémoire ont permis d’identifier, à partir de la littérature, une liste de déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH et l’ATG avec le plus haut niveau d’évidence à ce jour. De plus, deux modèles de prédiction avec de très bonnes capacités prédictives ont été développés afin d’identifier les patients à risque de mauvais résultats chirurgicaux après l’ATH et l’ATG. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser leur prise en charge et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie.
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Les arthroplasties totales de la hanche (ATH) et du genou (ATG) sont souvent offertes aux patients atteints de dégénérescence articulaire sévère. Bien qu’efficace chez la majorité des patients, ces interventions mènent à des résultats sous-optimaux dans de nombreux cas. Il demeure difficile d’identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux à l’heure actuelle. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser la gamme de soins et de services offerts et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie. Ce mémoire a comme objectifs : 1) de réaliser une revue systématique des déterminants associés à la douleur et aux incapacités fonctionnelles rapportées par les patients à moyen-terme suivant ces deux types d’arthroplastie et 2) de développer des modèles de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles suivant l’ATH et l’ATG. Une revue systématique de la littérature identifiant les déterminants de la douleur et de la fonction suivant l’ATH et l’ATG a été réalisée dans quatre bases de données jusqu’en avril 2015 et octobre 2014, respectivement. Afin de développer un algorithme de prédiction pouvant identifier les patients à risque de résultats sous-optimaux, nous avons aussi utilisé des données rétrospectives provenant de 265 patients ayant subi une ATH à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont (HMR) de 2004 à 2010. Finalement, des données prospectives sur 141 patients recrutés au moment de leur inclusion sur une liste d’attente pour une ATG dans trois hôpitaux universitaires à Québec, Canada et suivis jusqu’à six mois après la chirurgie ont permis l’élaboration d’une règle de prédiction clinique permettant l’identification des patients à risque de mauvais résultats en terme de douleur et d’incapacités fonctionnelles. Vingt-deux (22) études d’une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été incluses dans la revue. Les principaux déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH incluaient: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, un indice de la masse corporelle plus élevé, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, une scolarité plus faible, une arthrose radiographique moins sévère et la présence d’arthrose à la hanche controlatérale. Trente-quatre (34) études évaluant les déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATG avec une qualité méthodologique moyenne à excellente ont été évaluées et les déterminants suivant ont été identifiés: le niveau préopératoire de douleur et de fonction, des comorbidités médicales plus importantes, un état de santé générale diminué, un plus grands niveau d’anxiété et/ou de symptômes dépressifs, la présence de douleur au dos, plus de pensées catastrophiques ou un faible niveau socioéconomique. Pour la création d’une règle de prédiction clinique, un algorithme préliminaire composé de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle ainsi que de trois questions du WOMAC préopératoire a permis l’identification des patients à risque de résultats chirurgicaux sous-optimaux (pire quartile du WOMAC postopératoire et percevant leur hanche opérée comme artificielle avec des limitations fonctionnelles mineures ou majeures) à une durée moyenne ±écart type de 446±171 jours après une ATH avec une sensibilité de 75.0% (95% IC: 59.8 – 85.8), une spécificité de 77.8% (95% IC: 71.9 – 82.7) et un rapport de vraisemblance positif de 3.38 (98% IC: 2.49 – 4.57). Une règle de prédiction clinique formée de cinq items du questionnaire WOMAC préopratoire a permis l’identification des patients en attente d’une ATG à risque de mauvais résultats (pire quintile du WOMAC postopératoire) six mois après l’ATG avec une sensibilité de 82.1 % (95% IC: 66.7 – 95.8), une spécificité de 71.7% (95% IC: 62.8 – 79.8) et un rapport de vraisemblance positif de 2.9 (95% IC: 1.8 – 4.7). Les résultats de ce mémoire ont permis d’identifier, à partir de la littérature, une liste de déterminants de douleur et d’incapacités fonctionnelles après l’ATH et l’ATG avec le plus haut niveau d’évidence à ce jour. De plus, deux modèles de prédiction avec de très bonnes capacités prédictives ont été développés afin d’identifier les patients à risque de mauvais résultats chirurgicaux après l’ATH et l’ATG. L’identification de ces patients avant la chirurgie pourrait permettre d’optimiser leur prise en charge et de possiblement améliorer les résultats de leur chirurgie.
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Habitualmente el personal administrativo y asistencial está sometido a diferentes riesgos en su condición laboral, ya sea por factores físicos o psicológicos. Por lo general, estos riesgos se asocian a personas o a condiciones del ambiente que pueden llegar a afectar la realización de la labor del trabajador, pero además, su diversidad de cargas relacionadas con factores intralaborales hacen que se generen diferentes clases de alteraciones mentales (como el estrés) y físicas, que pueden desencadenar insatisfacción laboral para realizar sus actividades laborales. Objetivo: Determinar las condiciones de trabajo y salud en trabajadores del área administrativa y asistencial de una IPS en ciudad de Bogotá Metodología: Estudio de corte transversal, con una muestra de 92 trabajadores, del área administrativa y asistencial de una IPS en la ciudad de Bogotá. Se recolecto la información por medio del Cuestionario Condiciones de Trabajo y Salud adaptado, a partir de la VI Encuesta Nacional de Condiciones de Trabajo del Instituto Nacional de Seguridad e Higiene en el Trabajo de España (INSHT) del 2007 y el Cuestionario General de Salud de Goldberg (GHQ-12). Se uso el método descriptivo con medidas de tendencia central y dispersión para las variables cuantitavitas y frecuencias, junto con porcentajes para las variables cualitativas. Resultados: En esta investigación participaron 92 trabajadores, de los cuales el 73% fueron mujeres mientras el 27% eran hombres. El 27.2% de los trabajadores presentaron dolor de espalda lumbrosacra y el 29.4% cervical. El dolor de cabeza fue referido por el 74%, los problemas visuales por el 45.7% y los auditivos por el 45.7%. El 31% de los trabajadores tienen una percepción de seguridad en su trabajo alta. Conclusiones: Los trabajadores asistenciales y administrativos presentaron problemas musculoesqueleticos, además, tienen un ritmo de trabajo acelerado y están expuestos a ruido en el lugar de trabajo. Por lo anterior, es importante realizar seguimiento en los puestos de trabajo, desarrollar actividades de promoción y prevención, programas de vigilancia epidemiológica, al igual que incentivar las pausas activas dentro de la empresa.
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Introducción: Contar con un diagnóstico de las condiciones en seguridad y salud en el trabajo en el país permite crear estrategias para minimizar los problemas de la población trabajadora. En Colombia existe el observatorio del Instituto Nacional de Salud, sin embargo, no cuenta, en ninguno de sus tópicos, con información y análisis sobre la salud y seguridad de la población trabajadora. Objetivo: Determinar las condiciones de salud de la población atendida en la IPS SALUD OCUPACIONAL DE LOS ANDES LDTA en la ciudad de Bogotá, durante el año 2015. Materiales y métodos: Se realizó una prueba piloto del observatorio de salud y seguridad en el trabajo mediante un estudio de corte transversal, donde se tomó una base de datos de pacientes evaluados en la IPS SALUD OCUPACIONAL DE LOS ANDES LDTA, de la ciudad de Bogotá D.C. que contiene información de exámenes médicos ocupacionales realizados en el 2015 en la plataforma ISISMAWEB con una muestra representativa de 1923 registros. Se incluyeron variables sociodemográficas y laborales, los paraclínicos registrados como alterados más prevalentes, los diagnósticos y dictámenes emitidos en la población estudiada y las recomendaciones personales dadas por el sistema de gestión de la empresa. Se realizó un análisis descriptivo y para el estudio de las interacciones se empleó el Chi-cuadrado. Resultados: El 62,1% de la población fueron hombres con edad promedio de 34.8 años (DE 10,521). El 41.5% tuvieron estudios secundarios. La evaluación médica más realizada fue el examen de ingreso en el 30.5% de los casos. El cargo operadores de instalaciones y máquinas y ensambladores represento el 27.9% y en última medida los profesionales de nivel medio en operaciones financieras y administrativas con el 0.5%. El diagnostico CIE 10 emitido más frecuente fue con el 15,8% el código Z100 (Examen de salud ocupacional), seguido del Trastorno de la refracción no especificado (H527) con el 9,0%. En cuanto a las recomendaciones generales la que más se repitió fue examen periódico con un 30%. La recomendación preventiva más frecuente fue osteomuscular con el 36,5%. Las recomendaciones SVE de mayor prevalencia fueron ergonómicas con un 40,7%. Se encontraron asociaciones (p<0.05) entre las variables escolaridad, género y estrato. Conclusiones: Se deben optimizar los mecanismos de recolección del dato para ser más viable su evaluación y asociación. Hay un subregístro importante de segundos diagnósticos asociado al no registro de los paraclínicos. Este estudio plantea un modelo a seguir para poder desarrollar el observatorio nacional de salud y seguridad en el trabajo.
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In the present work, by investigating the influence of source/drain (S/D) extension region engineering (also known as gate-underlap architecture) in planar Double Gate (DG) SOI MOSFETs, we offer new design insights to achieve high tolerance to gate misalignment/oversize in nanoscale devices for ultra-low-voltage (ULV) analog/rf applications. Our results show that (i) misaligned gate-underlap devices perform significantly better than DC devices with abrupt source/drain junctions with identical misalignment, (ii) misaligned gate underlap performance (with S/D optimization) exceeds perfectly aligned DG devices with abrupt S/D regions and (iii) 25% back gate misalignment can be tolerated without any significant degradation in cut-off frequency (f(T)) and intrinsic voltage gain (A(VO)). Gate-underlap DG devices designed with spacer-to-straggle ratio lying within the range 2.5 to 3.0 show best tolerance to misaligned/oversize back gate and indeed are better than self-aligned DG MOSFETs with non-underlap (abrupt) S/D regions. Impact of gate length and silicon film thickness scaling is also discussed. These results are very significant as the tolerable limit of misaligned/oversized back gate is considerably extended and the stringent process control requirements to achieve self-alignment can be relaxed for nanoscale planar ULV DG MOSFETs operating in weak-inversion region. The present work provides new opportunities for realizing future ULV analog/rf design with nanoscale gate-underlap DG MOSFETs. (C) 2008 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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Children with neurologic impairments have shown diminished pain response compared with control subjects; however, it remains unclear what mechanisms underlie this response or when it develops. If this were also true with premature infants who undergo neonatal intensive care, then infants with parenchymal brain injury (PBI) would be at increased risk of underrecognition and undertreatment of procedural pain. The purpose of this study was to determine whether infants with PBI display altered responses to acute procedural pain at 32 weeks' postconceptional age (PCA), compared with control subjects.
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Management of pain in very low birth weight infants is limited by a lack of empiric knowledge about the multiple determinants of biobehavioral reactivity in infants receiving neonatal intensive care.
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This article explores the literature concerning responses to pain of both premature and term-born newborn infants, the evidence for short-term and long-term effects of pain, and behavioral sequelae in individuals who have experienced repeated early pain in neonatal life as they mature. There is no doubt that pain causes stress in babies and this in turn may adversely affect long-term neurodevelopmental outcome. Although there are methods for assessing dimensions of acute reactivity to pain in an experimental setting, there are no very good measures available at the present time that can be used clinically. In the clinical setting repeated or chronic pain is more likely the norm rather than infrequent discrete noxious stimuli of the sort that can be readily studied. The wind-up phenomenon suggests that, exposed to a cascade of procedures as happens with clustering of care in the clinical setting in an attempt to provide periods of rest for stressed babies, an infant may in fact perceive procedures that are not normally viewed as noxious, as pain. Pain exposure during lifesaving intensive medical care of ELBW neonates may also affect subsequent reactivity to pain in the neonatal period, but behavioral differences are probably not likely to be clinically significant in the long term. Prolonged and repeated untreated pain in the newborn period, however, may produce a relatively permanent shift in basal autonomic arousal related to prior NICU pain experience, which may have long-term sequelae. In the long run, the most significant clinical effects of early pain exposure may be on neurodevelopment, contributing to later attention, learning, and behavior problems in these vulnerable children. Although there is considerable evidence to support a variety of adverse effects of early pain, there is less information about the long-term effects of opiates and benzodiazepines on the developing central nervous system. Current evidence reviewed suggests that judicious use of morphine for adjustment to mechanical ventilation may ameliorate the altered autonomic response. It may be very important, however, to distinguish stress from pain. Animal evidence suggests that the neonatal brain is affected differently when exposed to morphine administered in the absence of pain than in the presence of pain. Pain control may be important for many reasons but overuse of morphine or benzodiazepines may have undesirable long-term effects. This is a rapidly evolving area of knowledge of clear relevance to clinical management likely to affect long-term outcomes of high-risk children.
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The goal of this study was to examine whether body activity such as postural, trunk, and limb movements may be potential pain cues in preterm infants.
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To compare biobehavioral responses to acute pain at 4 months' corrected age between former extremely low birth weight (ELBW) infants and term-born controls.
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Children's judgements about pain at age 8-10 years were examined comparing two groups of children who had experienced different exposure to nociceptive procedures in the neonatal period: extremely low birthweight (ELBW) <or = 1000 g (N = 47) and full birthweight (FBW) > or = 2500 g (N = 37). The 24 pictures that comprise the Pediatric Pain Inventory, depicting events in four settings: medical, recreational, daily living, and psychosocial, were used as the pain stimuli. The subjects rated pain intensity using the Color Analog Scale and pain affect using the Facial Affective Scale. Child IQ and maternal education were statistically adjusted in group comparisons. Pain intensity and pain affect related to activities of daily living and recreation were significantly higher than psychosocial and medically related pain on both scales in both groups of children. Although the two groups of children did not differ overall in their perceptions of pain intensity or affect, the ELBW children rated medical pain intensity significantly higher than psychosocial pain, unlike the FBW group. Also, duration of neonatal intensive care unit stay for the ELBW children was related to increased pain affect ratings in recreational and daily living settings. Despite altered response to pain in the early years reported by parents, on the whole at 8-10 years of age ELBW children judged pain in pictures similarly to their term peers. However, differences were evident, which suggests that studies are needed of biobehavioural reactivity to pain beyond infancy, as well as research into beliefs, attitudes, and perceptions about pain during the course of childhood in formerly ELBW children.
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High-technology medical care of extremely low-birth-weight (ELBW) infants (<1001 g) involves repeated medical interventions which are potentially painful and may later affect reaction to pain. At 18 months corrected age (CCA), we examined parent ratings of pain sensitivity and how pain sensitivity ratings related to child temperament and parenting style in 2 groups of ELBW children (49 with a birth weight of 480-800 g and 75 with a birth weight of 801-1000 g) and 2 control groups (42 heavier preterm (1500-2499 g) and 29 full-birth-weight (FBW) children (> 2500 g). Both groups of ELBW toddlers were rated by parents as significantly lower in pain sensitivity compared with both control groups. The relationships between child temperament and pain sensitivity rating varied systematically across the groups. Temperament was strongly related to rated pain sensitivity in the FBW group, moderately related in the heavier preterm and ELBW 801-1000 g groups, and not related in the lowest birth-weight group (<801 g). Parental style did not mediate ratings of pain sensitivity. The results suggest that parents perceive differences in pain behavior of ELBW toddlers compared with heavier preterm and FBW toddlers, especially for those less than 801 g. Longitudinal research into the development of pain behavior for infants who experience lengthy hospitalization is warranted.
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Limited studies have demonstrated that low intensity laser therapy (LILT) may have a therapeutic effect on the treatment of myofascial pain syndrome (MPS). Sixty (60) patients with MPS and having one active trigger point in the anterior masseter and anterior temporal muscles were selected and assigned randomly to six groups (n=10): Groups I to III were treated with GaAIAS (780 nm) laser, applied in continuous mode and in a meticulous way, twice a week, for four weeks. Energy was set to 25 J/cm(2), 60 J/cm2 and 105 J/cm2, respectively. Groups IV to VI were treated with placebo applications, simulating the same parameters as the treated groups. Pain scores were assessed just before, then immediately after the fourth application, immediately after the eighth application, at 15 days and one month following treatment. A significant pain reduction was observed over time (p<0.001). The analgesic effect of the LILT was similar to the placebo groups. Using the parameters described in this experiment, LILT was effective in reducing pain experienced by patients with myofascial pain syndrome. Thus, it was not possible to establish a treatment protocol. Analyzing the analgesic effect of LILT suggests it as a possible treatment of MPS and may help to establish a clinical protocol for this therapeutic modality.