999 resultados para Orthodoxes Judentum
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von Dr. Paul Heinisch, Universitätsprofessor aus Straßburg, z.Zt. Breslau
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Le sujet de cette thèse est les relations interreligieuses entre les chrétiens orthodoxes et les musulmans en Europe du Sud-Est durant le XIVe et XVe siècle. La thèse réalise une réinterprétation de l’histoire prisonnière des interprétations idéologiques et religieuses grâce à une méthodologie faisant appel à la démythologisation et à la démythification. Les différents religieux entre le christianisme et l'islam ont servi comme une justification aux conflits politiques et nationaux dans cette région européenne et cela même jusqu’au XXIe siècle. En relisant les grands moments de cette histoire dans diverses régions des Balkans et la thèse s’attarde à des aspects positifs de leurs relations, leur coopération, leur coexistence et c'est qui est le plus important, le dialogue interreligieux avec les représentants de l'Église orthodoxe de Constantinople et de l'Empire byzantin avant et après la chute de Constantinople en 1453. La chute de la capitale byzantine, qui avait l'importance d'un centre ecclésiastique et spirituel de l'Église orthodoxe, est un fait historique qui est devenu le symbole de la conquête ottomane et musulmane en Europe dans les sources et les interprétations. La démythification de cette histoire laisse poindre d’autres lectures possibles des relations qui se sont construites à cette époque, ce qui a un impact sur la situation actuelle de cette région du monde.
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Den Konflikt zwischen Modernität und jüdisch-orthodoxer Glaubenspraxis trug Franz Rosenzweig auf seine ganz eigene Art aus. Die Bewegung führt dramatisch von der noblen Peripherie in das Zentrum jüdischen Lebens und dessen Lehr- und Glaubenspraxis. Für das Werk von Emmanuel Levinas stellt Franz Rosenzweig wohl die wichtigste Referenz dar. "Mit ihrem „messianischen“ Zeitkonzept ist die jüdische Religion den Erfahrungsreligionen näher als das Christentum. Das Judentum, so schreibt Karlheinz Kleinbach in seinem Portrait des jüdischen Philosophen Franz Rosenzweig, „lebt innerweltlich in der Gegenwärtigkeit. Liturgie und Ritus stehen nicht im Gegensatz zum alltäglichen Leben, sondern sind vielmehr dessen Existenzmodus.“ Mensch und Gott und Welt sind für Rosenzweig nicht zu verbindende Elemente. Nur in der Gemeinschaft, im Gespräch wird es möglich, das trennende „Und“ zu überbrücken" (Reusch)
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Los primeros parágrafos de la sección “El derecho privado” (§§ 1-17) de la Doctrina del derecho de Kant incluyen el conjunto de los elementos sistemáticos que conciernen a la justificación de los derechos relativos a la propiedad. El propósito central de este trabajo es analizar la función sistemática del concepto de “posesión común originaria” en la doctrina kantiana de la propiedad, con especial interés en el sentido novedoso que adquiere ese concepto —que pertenecía a la tradición del derecho natural— en su reformulación como un “concepto práctico de la razón, que contiene a priori, el principio según el cual tan solo los hombres pueden hacer uso del lugar sobre la tierra siguiendo leyes jurídicas” (RL, 262).
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Daté de Tabriz, 22ème jour du mois de Zilka'da 773 (26 mai 1372). Emreinte à l'encre rouge du sceau carré des djéla£irides, en caractères coufiques, portant à ses quatre coins les noms des califes orthodoxes.
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L’objectif de ce mémoire est de comprendre comment une certaine vision du monde, basée sur des croyances théologiques, a contribué à la composition du concerto pour violon Offertorium de Sofia Gubaïdulina. C’est par le biais de cette œuvre qu’est explorée l’idée du dialogue musicothéologique, en proposant des façons par lesquelles la pièce musicale en question peut servir de porteuse ou d’interprète d’une pensée théologique. Afin d’appuyer cette idée, la démarche intertextuelle employée par Heidi Epstein est utilisée. Cette méthode permet de faciliter non seulement le travail interdisciplinaire, mais aussi la lecture théologique de l’œuvre musicale. Le premier chapitre explore les sources, les questions et la problématique qui entoure le dialogue musicothéologique. La conclusion tirée est que l’étude d’Offertorium nécessite une approche équilibrée. Nous entendons par cela, une approche qui prend en ligne de compte la réflexion théologique autant que la recherche musicologique tout en respectant les contributions théologiques que l’œuvre musicale peut apporter en soi. Dans le deuxième chapitre, une analyse thématique d’Offertorium a été tentée ainsi qu’une étude du discours théologique et spirituel de la compositrice. Il a été conclu que l’arrière-plan russe orthodoxe de Gubaidulina a beaucoup influencé sa vision du monde et son approche artistique. Le concerto est porteur d’idées et de symboles liturgiques ou théologiques de l’Orthodoxie dans sa structure et dans sa construction thématique. Le troisième chapitre explore les parallèles entre la pensée de Gubaidulina et les écritures de plusieurs théologiens russes orthodoxes du 20e siècle. La conclusion de ce chapitre démontre que, même s’il est improbable que la compositrice connaisse bien ces auteurs, sa compréhension théologique et spirituelle sort du climat religieux de l’Église Orthodoxe. Cette idée explique les complémentarités et les similarités entre son discours, son œuvre et les propos des théologiens discutés. Le quatrième chapitre évalue la validité d’Offertorium comme moyen d’expression théologique ainsi que de générateur de réflexion théologique. La conclusion de la recherche est qu’Offertorium peut bel et bien être un espace théologique. Ce qui veut dire que des idées théologiques peuvent être communiquées par le biais de l’expérience sonore que ce soit par la mélodie ou l’ambiance générale. Également, cela implique que la musique devient un partenaire égal, quoique différent des méthodes de réflexion traditionnelles au sein de la conversation théologique.
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Pour respecter les droits d’auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audio‐visuels. La version intégrale du mémoire [de la thèse] a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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La seconde crise de Berlin (1958-1961) est un évènement majeur de la guerre froide. L'hypothèse de notre recherche remet en question le rôle du Canada et les perceptions négatives de l'Occident envers l'URSS durant cette crise. La recherche se divise en trois volets : premièrement, une revue de l'historiographie de la politique canadienne; deuxièmement, une présentation de la chronologie des évènements de la crise de Berlin, l'importance de la diplomatie multilatérale canadienne et la politique nucléaire de Diefenbaker; enfin, un examen de la politique étrangère soviétique. À partir de sources primaires et d'un bilan historiographique,il fut démontré que, durant la crise de Berlin, le Canada a réussi à influencer l'OTAN et à ménager les gouvernements américains et soviétiques. Quant à l'URSS, contrairement à l'image négative que l'Occident en avait, celle-ci a manifesté durant cette crise des intentions pacifiques envers l'Occident, contredisant les interprétations orthodoxes de la guerre froide.
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Die Dissertation beschäftigt sich aus interdisziplinärer (musikwissenschaftlicher, literaturwissenschaftlicher und theologischer) Sicht mit den Biographien Brechts und Weills und ihrem bekanntesten gemeinsamen Werk, der Dreigroschenoper. Im ersten Teil werden anhand von Selbstäußerungen in Briefen und Tagebüchern die Biographien beider Künstler mit Blick auf Spuren von religiöser Biographie, Frömmigkeit und argumentativer Auseinandersetzung mit ihrer jeweiligen Heimatreligion – für Brecht das Christentum und für Weill das Judentum – untersucht. Die in der Forschung pauschal gehaltene These von einer intensiven religiösen Sozialisation beider Künstler ist zwar gerechtfertigt und vor allem für Brecht bekannt, stellt aber nur einen Ausgangspunkt für differenziertere Untersuchungen dar. Dazu gehört es religiöse Existenz als bedeutenden und künstlerisch wirksamen Bestandteil von Persönlichkeitsentwicklung zu verstehen. Religiöse Existenz darf nicht, wie es fast durchgängig in der Forschung zu Brecht und Weill geschieht, auf eine affirmative Grundhaltung begrenzt werden, auch dürfen nicht christliche und jüdische Sozialisation gleichgesetzt werden. Daher sind auch die in der Arbeit gewonnenen exemplarischen Einblicke in Glaubensvorstellungen und Lebenspraxis von Juden und Christen im ausgehenden Kaiserreich und in der Weimarer Republik von besonderer Bedeutung. Auch reicht die bloße Feststellung einer intensiven religiösen Sozialisation nicht aus um wirklich zu beschreiben, was sie jeweils – etwa die Schabbatpraxis im Hause Weill oder Brechts Zweifel am Christentum während der Krankheit seines Vaters – bedeuten und bewirken kann. Mit der in der Dissertation vorgenommenen differenzierten Sichtung von Biographie wird weder die „Moderation“ der eigenen Biographie durch die Künstler außer Acht gelassen noch das künstlerische Werk der Biographie untergeordnet. Es wird vielmehr in der Verknüpfung der mehrdimensionalen Bezugssysteme das geschichtliche und damit auch das biographische Werden eines Werkes gleichzeitig als Charakteristikum seiner Ästhetik verstanden. Für die religiöse Dimension der Dreigroschenoper gilt ähnliches wie für die Sicht auf die religiösen Sozialisationen. Einige der offensichtlichen Anspielungen auf religiöse Kontexte gelten als bekannt. Dabei werden aber Tiefendimensionen und Ambivalenzen vernachlässigt, welche bei der Verwendung der zumeist biblischen Spuren mitschwingen und die auch für die Künstler mitschwingen konnten (Buch Rut, Passion Jesu etc.). An diesem Punkt setzt die Untersuchung im zweiten Teil der Arbeit ein, welche die versteckten, verdeckten oder nur oberflächlich untersuchten Spuren religiöser Konnotation in der Dreigroschenoper ermittelt und wieder verständlich macht. Brecht war nicht Theologe und schon gar nicht Exeget war, er war aber als Literat und als christlich sozialisierter Künstler in der Lage, kontextuelle Zusammenhänge, innerbiblische Verweise und Leerstellen biblischer Texte zu erkennen. Daher ist es für die Interpretation der Dreigroschenoper auch wesentlich, biblische Hintergründe und ausgewählte theologische Erkenntnisse heranzuziehen. Durch den Rückgriff auf Biblisches und damit auf jüdische und christliche Tradition wird nicht nur die Komplexität der Dreigroschenoper verdeutlicht, sondern gleichsam rückwirkend die Komplexität biblischer Theologie sichtbar. Der Komponist darf bei diesem künstlerischen Verarbeitungsprozess religiöser Kontexte nicht verdrängt werden. Die Frage nach religiös semantisierbarer Musik ist trotz aller Schwierigkeiten notwendig. Der Blick auf Weills Biographie, sein Aufwachsen im Hause eines jüdischen Kantors, seine Kenntnis der Synagogalmusik, seine künstlerische Verbundenheit mit Gustav Mahler, seine Kenntnis von Orgelmusik, Chorälen und den bachschen Passion und seine Selbstreflexion über sich als Künstler, der Jude war, fordert in dieser Hinsicht eine differenzierte und funktionale Sicht auf religiöse Semantik in der Musik. In der Dreigroschenoper spiegeln sich Säkularisierungsprozesse wider, doch bleibt trotz dieser Prozesse ein Bewusstsein für die religiösen Traditions- und Erklärungsmuster erhalten. Dieses gilt es wieder zu erschließen, da es untrennbar zum Werk, zur Werkästhetik und damit zu seinem Verständnis gehört. Die Dreigroschenoper verdeutlicht darüber hinaus, dass die religiöse Dimension noch in der Distanzierung bedeutsam bleibt. Auch daran wird erkennbar, wie sehr eine Gesellschaft von Voraussetzungen lebt, die sie nicht selbst hergestellt hat. Die Dreigroschenoper kann somit heute auch zu einem Lehrstück für kulturelle Codes werden.
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Die antilateinischen Traktate von Gregorios Palamas und Barlaam von Kalabrien stellten für die serbischen Übersetzer des 14. Jahrhunderts eine grosse Herausforderung dar – nicht nur wegen ihres dogmatischen Inhalts, sondern auch wegen des ausgeprägt polemischen Charakters ihrer Argumentation. In diesem Aufsatz wird die argumentative Form der zwei Traktate („opuscula“ ) Barlaams von Kalabrien analysiert, die in cod. Dečani 88 enthalten sind (fol. 38r-81r). Der zweite von ihnen (fol. 69v-81r) richtet sich an ein griechisches (orthodoxes) Auditorium; die Anreden an die Lateiner, die sich darin finden, haben rein rhetorischen Charakter. Der erste Traktat (fol. 39r-69r), der während der Unionsverhandlungen des Jahres 1334/1335 entstand, hat jedoch eine für die byzantinische Unionspolemik eher ungewöhnliche Form: der Dialog mit der Gegenseite ist hier keine rhetorische Fiktion, sondern ein ernstes Anliegen des Autors. Dies hat bereits bei der Rezeption des Traktats im griechisch-athonitischen Milieu den Verdacht geweckt, Barlaam habe den Lateinern unzulässige Zugeständnisse gemacht. Barlaam hat versucht, diesen Verdacht durch metakommunikative Kommentare zu entkräften, die ausschliesslich in der serbisch-kirchenslavischen Übersetzung von Dečani 88 enthalten sind. Der Übersetzer der Traktate hat deren argumentative Form im wesentlichen nicht angetastet und nur gelegentlich versucht, die Zugehörigkeit der einzelnen Argumente dem Leser durch Marginalscholien deutlich zu machen.