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Les états mentaux réfèrent à la qualité de la capacité d’un individu à élaborer mentalement et à s’ouvrir à son expérience subjective dans l’ici et maintenant. Les divers états mentaux varient quant à la disponibilité des ressources représenta-tionnelles et affectives pouvant être activées afin d’organiser l’expérience vécue, ainsi que dans leur utilisation de stratégies défensives et d’autorégulation. La présente thèse avait pour objectifs 1) d’approfondir l’évaluation des états mentaux par le développement et la validation d’un instrument pratique, le Mental States Task (MST), développé afin d’évaluer différentes qualités d’états mentaux et 2) d’investiguer les propriétés psychiques et les répercussions des différents états mentaux. Le premier article avait pour but de valider le MST. La première partie de l’article est consacrée à la validation du MST dans sa version francophone, et la deuxième partie porte sur la traduction et la validation du MST dans sa version anglophone. Les résultats fournissent des indices convaincants de validité et de fidélité, ainsi qu’une valeur prédictive adéquate. Le MST semble représenter de façon conforme autant les états mentaux de bas niveau que de haut niveau selon le continuum de réflexivité. De fait, les états mentaux de bas niveau et de haut niveau ont été respectivement associés à un large spectre de construits négatifs/immatures et positifs/matures. De plus, chaque état mental évalué par le MST semble posséder des propriétés particulières relativement aux processus mentaux et émotionnels utilisés pour traiter l’expérience. Le second article avait pour objectif d’approfondir l’étude de la valeur prédictive du MST par le biais de l’évaluation des coûts psychiques engendrés par les différentes qualités d’états mentaux—coûts présumés dépendant des ressources représentationnelles disponibles et du type de stratégies de régulation utilisées. Les résultats suggèrent que les états mentaux de bas niveau génèrent des coûts énergétiques plus élevés, ayant pour répercussion d’entraîner subséquemment un effet de déplétion du moi. Inversement, les états mentaux de haut niveau engendrent de moindres coûts, protégeant contre un état subséquent de déplétion du moi. Le MST s’est avéré être un outil efficace d’évaluation des répercussions énergétiques occasionnées par les divers états mentaux.

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De nos jours, l’idée selon laquelle bon nombre d’individus atteints de psychose peuvent se rétablir sensiblement au fil du temps est de plus en plus répandue. Alors que le milieu médical associe le rétablissement à la rémission symptomatique, les usagers de services en santé mentale le voient plutôt comme un processus où l’absence de symptômes n’est pas une condition sine qua non. Ne s’opposant à ni l’un ni l’autre de ces points de vue, le traitement actuel des psychoses vise le retour à un fonctionnement social approprié. Chez les jeunes atteints d’un premier épisode psychotique, une diminution marquée des symptômes après un traitement pharmacologique se traduit rarement en une amélioration significative du fonctionnement, ce qui justifie la mise en place d’interventions psychosociales. On connait aujourd’hui quelques variables associées au fonctionnement social chez cette population, mais celui-ci a peu été étudié de façon spécifique. De même, on connait mal la manière dont ces jeunes vivent leur rétablissement en tant que processus. Cette thèse porte donc sur le rétablissement et le fonctionnement social de jeunes en début de psychose. La première partie consiste en une introduction aux concepts de rétablissement et de réadaptation, et en une revue de la littérature des interventions psychosociales pouvant favoriser leurs rétablissement et fonctionnement. Plus spécifiquement, nous illustrons comment ces interventions peuvent s’appliquer aux adolescents, clientèle sur laquelle peu de littérature existe actuellement. La deuxième partie présente les résultats d’une étude sur la valeur prédictive de variables sur trois domaines du fonctionnement social de 88 jeunes adultes en début de psychose. Des équations de régression multiple ont révélé qu’un niveau plus élevé de dépression était associé à une vie sociale moins active, qu’un moins bon apprentissage verbal à court terme était associé à un plus bas fonctionnement vocationnel, que le fait d’être de sexe masculin était négativement associé aux habiletés de vie autonome, et qu’un niveau plus élevé de symptômes négatifs prédisait de moins bonnes performances dans les trois sphères du fonctionnement. Finalement, la troisième partie s’intéresse au processus de rétablissement en début de psychose par l’analyse de récits narratifs selon un modèle en cinq stades. Nous avons découvert que l’ensemble de notre échantillon de 47 participants se situaient dans les deux premiers stades de rétablissement lors du premier temps de mesure, et que le fait de se trouver au deuxième stade était associé à de meilleurs scores d’engagement social et de fonctionnement occupationnel, à un meilleur développement narratif, à moins de symptômes négatifs et positifs, et à plus d’années de scolarité. Par ailleurs, l’examen des stades à deux autres temps de mesure a révélé des profils relativement stables sur une période de neuf mois. En somme, les résultats démontrent la nécessité d’évaluer le fonctionnement social de façon plus spécifique et l’importance d’offrir des interventions psychosociales en début de psychose visant notamment le développement des relations et l’intégration scolaire/professionnelle, ou visant à améliorer le faible développement narratif. Cette thèse est, de plus, un premier pas dans l’étude du processus de rétablissement des jeunes atteints de psychose.

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INTRODUCCION: El dolor torácico es una de las principales causas de consulta en los servicios de urgencias y cardiología, se convierte en un reto clasificar a los pacientes empleando una herramienta diagnóstica lo suficientemente sensible y especifica para establecer riesgo y pronóstico, la estrecha relación existente entre enfermedad aterosclerótica e inflamación ha dirigido su atención al papel de marcadores plasmáticos de inflamación como predictores de riesgo de eventos cardiovasculares. La Proteína C reactiva (PCR) ha sido ampliamente estudiada en pacientes con factores de riesgo cardiovascular y Eventos coronarios Agudos, pero se desconoce el comportamiento en pacientes con dolor torácico de probabilidad intermedia. OBJETIVOS: Determinar la utilidad y comportamiento de la Proteína C reactiva en pacientes con dolor torácico de probabilidad Intermedia para síndrome coronario. MATERIALES Y METODOS: Este estudio fue realizado entre junio 2008 y febrero de 2009 en una institución de referencia en cardiológica ( Fundación Cardio Infantil, Bogotá-Colombia), Se Estudiaron pacientes con EKG normal o no diagnostico y marcadores de injuria miocardica negativos. Los pacientes continuaron su estudio según las recomendaciones y guías internacionales para dolor torácico. Nosotros realizamos dos tomas de PCR, Una PCR antes de 12 horas de iniciado el dolor torácico y otra PCR después de las 18 Hrs de iniciado el dolor torácico, se realizo la deferencia entre estas dos PCR (PCR 18 hrs vs PCR basal) Con estos 3 resultados se hizo el análisis estadístico para hallar sensibilidad, especificidad, valor predictivo positivo, valor predictivo negativo, comparándolo contra las pruebas de provocación de isquemia y cateterismo. RESULTADOS: Un total de 203 pacientes fueron analizaron. Con un promedio de edad fue de 60.8 ± 11 años, Los dos géneros tuvieron una distribución sin diferencia significativas. Los factores de riesgo asociados fueron: Hipertensión arterial 76%(n=155), Dislipidemia 68.1%(n=139), Diabetes Mellitus 20.6%(n=42), Obesidad 7.4%(n=15) y tabaquismo 9.3%(n=19). El total de cateterismos realizados fueron 66 pruebas: Normal el 27%(n=18), lesiones no significativas el 25.8%(n=17) y lesiones Obstructivas 47%(n=31). La PCR tuvo una utilidad diagnostica baja, la PCR a las 18 horas es la mejor prueba diagnóstica , con un mejor comportamiento del área de la curva ROC 0.74 (IC , 0.64-0.83), con sensibilidad del 16.13% (IC 95%, 1.57-30.69), especificidad del 98.26%( IC 955, 96.01-100), un valor predictivo negativo de 86.67%(IC 95%, 81.64-91.69). En el seguimiento a los 30 días no encontró nuevas hospitalizaciones de causa cardiovascular. CONCLUSIONES: Nuestro estudio muestra una utilidad diagnostico baja de la PCR en el dolor torácico de probabilidad intermedia para enfermedad coronaria, el mejor comportamiento diagnostico se encontró en la PCR a las 18 hrs con una alta especificidad y un alto Valor predictivo negativo para un valor de PCR > de 3mg/dl, siendo menor la utilidad de la PCR basal y diferencia de la PCR. diferencia de la PCR. Estos hallazgos no se correlacionaron con estudios previos. No se pudo establecer un punto de Corte de la PCR diferente a los ya existentes debido a la variabilidad de la PCR entre la población de estudio. Las limitaciones encontradas en nuestro estudio hacen necesaria la realización de un estudio multicéntrico.

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La concentración de ácido láctico en LCR en pacientes con sospecha de meningitis postquirúrgica luego de clipaje de aneurisma cerebral y hemorragia subaracnoidea espontánea se midió prospectivamente por un período de tres años. Se analizaron un total de 32 muestras de líquido cefalorraquídeo, se midió la concentración de ácido láctico y se comparó con el cultivo de LCR. Los cultivos fueron positivos en cinco pacientes, con una prevalencia de infección del 15%. Se utilizó un valor umbral de ácido láctico de 4 mmol/L. y se encontró una sensibilidad del 80%, especificidad del 52%, VPP del 23%, VPN del 93%, y likelihood ratio (LHR) positivo de 1,66 con una probabilidad post test de 15% de la concentración del ácido láctico en el diagnóstico de meningitis postquirúrgica en pacientes con hemorragia subaracnoidea aneurismática. La concentración de ácido láctico en LCR tiene un desempeño limitado en el diagnóstico de meningitis postquirúrgica en pacientes con hemorragia subaracnoidea aneurismática.

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Differences in the prevalence of human herpesvirus 8 (HHV-8) and Kaposi`s sarcoma (KS) have been described, depending on the study population and their geographic origin. A cross-sectional study aimed at detecting the frequency and titers of antibodies against HHV-8 latent and lytic antigens in serum samples from individuals with different risk-factors for HHV-8 infection, as well as predictive marker identification in patients with KS, was conducted. Serum samples were collected from seven groups of individuals: 75 patients with AIDS-KS, 5 with classic KS, 16 with African KS, 495 with HIV/AIDS, 805 patients with chronic kidney disease, 683 handicapped individuals, and 757 health care workers. Samples were evaluated for the presence and titers of HHV-8-specific antibodies to latent and lytic antigens using ""in house"" immunofluorescence assays. The results were analyzed by the Chi-square, Fisher`s exact test, Kruskal-Wallis and/or Mann-Whitney U-tests. The frequencies of HHV-8 antibodies were as follows: 87.5-100% in patients with KS, 20.4% in patients with HIV/AIDS, 18% in patients with chronic kidney disease, 1.6% in handicapped individuals, and 1.1% in health care workers. A greater number of samples were antibody positive to lytic antigens. Elevated titers of antibodies to latent and lytic antigens, mostly among patients with KS, were detected. Using established serological assays, different ""at-risk"" populations for HHV-8 infection/disease were detected in this geographic area, confirming HIV/AIDS and identifying patients with chronic kidney disease as high-risk groups. It is suggested that a longitudinal evaluation of antibody titers in patients with chronic kidney disease be undertaken to confirm their predictive value in the development of KS. J. Med. Virol. 81: 1292-1297, 2009. (C) 2009 Wiley-Liss, Inc.

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Introdução: O diagnóstico microbiológico da infecção por Legionella é complexo, pois a bactéria não é visualizada à coloração de Gram no escarro, e sua cultura não é realizada na maioria dos laboratórios clínicos. A imunofluorescência direta nas secreções respiratórias tem baixa sensibilidade, em torno de 40% e a técnica da “PCR” não é ainda recomendada para o diagnóstico clínico (CDC, 1997). A detecção de anticorpos no soro é a técnica mais utilizada, e o critério definitivo é a soroconversão para no mínimo 1:128, cuja sensibilidade é de 70 a 80% (Edelstein, 1993). Como critérios diagnósticos de possível pneumonia por Legionella, eram utilizados: título único de anticorpos a L pneumophila positivo na diluição 1:256, em paciente com quadro clínico compatível (CDC, 1990) e o achado de antígeno a Legionella na urina (WHO, 1990). Nos últimos anos, porém, com o uso crescente do teste de antigenúria, foram detectados casos de pneumonia por Legionella, que não eram diagnosticados por cultura ou sorologia, tornando-o método diagnóstico de certeza para o diagnóstico de pneumonia por Legionella (CDC, 1997). Por sua fácil execução, resultado imediato, e alta sensibilidade - de 86% a 98% (Kashuba & Ballow, 1986; Harrison & Doshi, 2001), tem sido recomendado para o diagnóstico das PAC que necessitam internação hospitalar (Mulazimoglu & Yu, 2001; Gupta et al., 2001; Marrie, 2001), especialmente em UTI (ATS, 2001). Vários estudos documentaram baixo valor preditivo positivo do título único positivo de 1:256, tornando-o sem valor para o diagnóstico da pneumonia por Legionella, exceto, talvez, em surtos (Plouffe et al., 1995). Outros detectaram alta prevalência de anticorpos positivos na diluição 1:256 na população, em pessoas normais (Wilkinson et al., 1983; Nichol et al., 1991). A partir de 1996, o CDC de Atlanta recomendou que não seja mais utilizado o critério de caso provável de infecção por Legionella pneumophila por título único de fase convalescente ≥1:256, por falta de especificidade(CDC, 1997). A pneumonia por Legionella é raramente diagnosticada, e sua incidência é subestimada. Em estudos de PAC, a incidência da pneumonia por Legionella nos EUA, Europa, Israel e Austrália, foi estimada entre 1% a 16% (Muder & Yu, 2000). Nos EUA, foi estimado que cerca de 8 000 a 23 000 casos de PAC por Legionella ocorrem anualmente, em pacientes que requerem hospitalização (Marston et al., 1994 e 1977). No Brasil, a incidência de PAC causadas por Legionella em pacientes hospitalizados é tema de investigação pertinente, ainda não relatado na literatura. Objetivo: detectar a incidência de pneumonias causadas por Legionella pneumophila sorogrupos 1 a 6, em pacientes que internaram no Hospital de Clínicas de Porto Alegre por PAC, por um ano. Material e Métodos: o delineamento escolhido foi um estudo de coorte (de incidência), constituída por casos consecutivos de pneumonia adquirida na comunidade que internaram no HCPA de 19 de julho de 2000 a 18 de julho de 2001. Para a identificação dos casos, foram examinados diariamente o registro computadorizado das internações hospitalares, exceto as internações da pediatria e da obstetrícia, sendo selecionados todos os pacientes internados com o diagnóstico de pneumonia e de insuficiência respiratória aguda. Foram excluídos aqueles com menos de 18 anos ou mais de 80 anos; os procedentes de instituições, HIV-positivos, gestantes, pacientes restritos ao leito; e portadores de doença estrutural pulmonar ou traqueostomias. Foram excluídos os pacientes que tivessem tido alta hospitalar nos últimos 15 dias, e aqueles já incluídos no decorrer do estudo. Os pacientes selecionados foram examinados por um pesquisador, e incluídos para estudo se apresentassem infiltrado ao RX de tórax compatível com pneumonia, associado a pelo menos um dos sintomas respiratórios maiores (temperatura axilar > 37,8ºC, tosse ou escarro; ou dois sintomas menores (pleurisia, dispnéia, alteração do estado mental, sinais de consolidação à ausculta pulmonar, mais de 12 000 leucócitos/mm3). O estudo foi previamente aprovado pela Comissão de Ética em Pesquisa do HCPA. Os pacientes eram entrevistados por um pesquisador, dando seu consentimento por escrito, e então seus dados clínicos e laboratoriais eram registrados em protocolo individual. Não houve interferência do pesquisador, durante a internação, exceto pela coleta de urina e de sangue para exame laboratoriais específicos da pesquisa. Os pacientes eram agendados, no ambulatório de pesquisa, num prazo de 4 a 12 semanas após sua inclusão no estudo, quando realizavam nova coleta de sangue, RX de tórax de controle, e outros exames que se fizessem necessários para esclarecimento diagnóstico.Todos os pacientes foram acompanhados por 1 ano, após sua inclusão no estudo.Foram utilizadas a técnica de imunofluorescência indireta para detecção de anticorpos das classes IgG, IgM e IgA a Legionella pneumophila sorogrupos 1 a 6 no soro, em duas amostras, colhidas, respectivamente, na 1ª semana de internação e depois de 4 a 12 semanas; e a técnica imunológica por teste ELISA para a detecção do antígeno de Legionella pneumophila sorogrupo 1 na urina, colhida na primeira semana de internação. As urinas eram armazenadas, imediatamente após sua coleta, em freezer a –70ºC, e depois descongeladas e processadas em grupos de cerca de 20 amostras. A imunofluorescência foi feita no laboratório de doenças Infecciosas da Universidade de Louisville (KY, EUA), em amostras de soro da fase aguda e convalescente, a partir da diluição 1:8; e a detecção do antígeno de Legionella pneumophila sorogrupo 1, nas amostras de urina, foi realizada no laboratório de pesquisa do HCPA, pelos investigadores, utilizando um kit comercial de teste ELISA fabricado por Binax (Binax Legionella Urinary Enzyme Assay, Raritan, EUA). As urinas positivas eram recongeladas novamente, para serem enviadas para confirmação no mesmo laboratório americano, ao fim do estudo. Foram adotados como critérios definitivos de infecção por Legionella pneumophila sorogrupos 1 a 6, a soroconversão (elevação de 4 vezes no título de anticorpos séricos entre o soro da fase aguda e da fase convalescente para no mínimo 1:128); ou o achado de antígeno de L pneumophila sorogrupo 1 na urina não concentrada, numa razão superior a 3, conforme instruções do fabricante e da literatura.Os pacientes foram classificados, de acordo com suas características clínicas, em 1º) portadores de doenças crônicas (doenças pulmonares, cardíacas, diabete mellitus, hepatopatias e insuficiência renal); 2º) portadores de doenças subjacentes com imunossupressão; 3º) pacientes hígidos ou com outras doenças que não determinassem insuficiência orgânica. Imunossupressão foi definida como esplenectomia, ser portador de neoplasia hematológica, portador de doença auto-imune, ou de transplante; ou uso de medicação imunossupressora nas 4 semanas anteriores ao diagnóstico (Yu et al., 2002b); ou uso de prednisolona 10 mg/dia ou equivalente nos últimos 3 meses (Lim et al., 2001). As características clínicas e laboratoriais dos pacientes que evoluíram ao óbito por pneumonia foram comparados àquelas dos pacientes que obtiveram cura. Para a análise das variáveis categóricas, utilizou-se o teste qui-quadrado de Pearson ou teste exato de Fisher. Para as variáveis numéricas contínuas, utilizou-se o teste “t“ de Student. Um valor de p< 0,05 foi considerado como resultado estatisticamente significativo (programas SPSS, versão 10). Foi calculada a freqüência de mortes por pneumonia na população estudada, adotando-se a alta hospitalar como critério de cura. Foi calculada a incidência cumulativa para pneumonia por Legionella pneumophila sorogrupos 1 a 6, em um hospital geral, no período de 1 ano. Resultados: durante um ano de estudo foram examinados 645 registros de internação, nos quais constavam, como motivo de baixa hospitalar, o diagnóstico de pneumonia ou de insuficiência respiratória aguda; a maioria desses diagnósticos iniciais não foram confirmados. Desses 645 pacientes, foram incluídos no estudo 82 pacientes, nos quais os critérios clínicos ou radiológicos de pneumonia foram confirmados pelos pesquisadores. Durante o acompanhamento desses pacientes, porém, foram excluídos 23 pacientes por apresentarem outras patologias que mimetizavam pneumonia: DPOC agudizado (5), insuficiência cardíaca (3), tuberculose pulmonar (2), colagenose (1), fibrose pulmonar idiopática (1), edema pulmonar em paciente com cirrose (1), somente infecçâo respiratória em paciente com sequelas pulmonares (4); ou por apresentarem critérios de exclusão: bronquiectasias (4), HIV positivo (1), pneumatocele prévia (1). Ao final, foram estudados 59 pacientes com pneumonia adquirida na comunidade, sendo 20 do sexo feminino e 39 do sexo masculino, com idade entre 24 e 80 anos (média de 57,6 anos e desvio padrão de ±10,6). Tivemos 36 pacientes com doenças subjacentes classificadas como “doenças crônicas”, dos quais 18 pacientes apresentavam mais de uma co-morbidade, por ordem de prevalência: doenças pulmonares, cardíacas, diabete mellitus, hepatopatias e insuficiência renal; neoplasias ocorreram em 9 pacientes, sendo sólidas em 7 pacientes e hematológicas em 2. Dos 59 pacientes, 61% eram tabagistas e 16,9%, alcoolistas. Do total, 10 pacientes apresentavam imunossupressão. Dos demais 13 pacientes, somente um era previamente hígido, enquanto os outros apresentavam tabagismo, sinusite, anemia, HAS, gota, ou arterite de Takayasu. A apresentação radiológica inicial foi broncopneumonia em 59,3% dos casos; pneumonia alveolar ocorreu em 23,7% dos casos, enquanto ambos padrões ocorreram em 15,2% dos pacientes. Pneumonia intersticial ocorreu em somente um caso, enquanto broncopneumonia obstrutiva ocorreu em 5 pacientes (8,5%). Derrame pleural ocorreu em 22% dos casos, e em 21 pacientes (35%) houve comprometimento de mais de um lobo ao RX de tórax. Foram usados beta-lactâmicos para o tratamento da maioria dos pacientes (72,9%9). A segunda classe de antibióticos mais usados foi a das fluoroquinolonas respiratórias, que foram receitadas para 23 pacientes (39,0%), e em 3º lugar, os macrolídeos, usados por 11 pacientes (18,6%). Apenas 16 pacientes não usaram beta-lactâmicos, em sua maioria recebendo quinolonas ou macrolídeos. Dos 43 pacientes que usaram beta-lactâmicos, 25 não usaram nem macrolídeos, nem quinolonas. Em 13 pacientes as fluoroquinolonas respiratórias foram as únicas drogas usadas para o tratamento da pneumonia. Do total, 8 pacientes foram a óbito por pneumonia; em outros 3 pacientes, o óbito foi atribuído a neoplasia em estágio avançado. Dos 48 pacientes que obtiveram cura, 33 (68,7%) estavam vivos após 12 meses. Os resultados da comparação realizada evidenciaram tendência a maior mortalidade no sexo masculino e em pacientes com imunossupressão, porém essa associação não alcançou significância estatística. Os pacientes que usaram somente beta-lactâmicos não apresentaram maior mortalidade do que os pacientes que usaram beta-lactâmicos associados a outras classes de antibióticos ou somente outras classes de antibióticos. Examinando-se os pacientes que utiizaram macrolídeos ou quinolonas em seu regime de tratamento, isoladamente ou combinados a outros antibióticos, observou-se que também não houve diferença dos outros pacientes, quanto à mortalidade. Os pacientes com padrão radiológico de pneumonia alveolar tiveram maior mortalidade, e essa diferença apresentou uma significância limítrofe (p= 0,05). Nossa mortalidade (11,9%) foi similar à de Fang et al. (1990), em estudo clássico de 1991 (13,7%); foi também similar à média de mortalidade das PAC internadas não em UTI (12%), relatada pela ATS, no seu último consenso para o tratamento empírico das PAC (ATS, 2001). Foram detectados 3 pacientes com pneumonia por Legionella pneumophila sorogrupo 1 na população estudada: 2 foram diagnosticados por soroconversão e por antigenúria positiva, e o 3º foi diagnosticado somente pelo critério de antigenúria positiva, tendo sorologia negativa, como alguns autores (McWhinney et al., 2000). Dois pacientes com PAC por Legionella não responderam ao tratamento inicial com beta-lactâmicos, obtendo cura com levofloxacina; o 3º paciente foi tratado somente com betalactâmicos, obtendo cura. Conclusões: A incidência anual de PAC por Legionella pneumophila sorogrupos 1 a 6, no HCPA, foi de 5,1%, que representa a incidência anual de PAC por Legionella pneumophila sorogrupos 1 a 6 em um hospital geral universitário. Comentários e Perspectivas: Há necessidade de se empregar métodos diagnósticos específicos para o diagnóstico das pneumonias por Legionella em nosso meio, como a cultura, a sorologia com detecção de todas as classes de anticorpos, e a detecção do antígeno urinário, pois somente com o uso simultâneo de técnicas complementares pode-se detectar a incidência real de pneumonias causadas tanto por Legionella pneumophila, como por outras espécies. A detecção do antígeno de Legionella na urina é o teste diagnóstico de maior rendimento, sendo recomendado seu uso em todas as PAC que necessitarem internação hospitalar (Mulazimoglu & Yu, 2001; Gupta et al., 2001); em todos os pacientes com PAC que apresentarem fatores de risco potenciais para legionelose (Marrie, 2001); e para o diagnóstico etiológico das pneumonias graves (ATS, 2001). Seu uso é indicado, com unanimidade na literatura, para a pesquisa de legionelose nosocomial e de surtos de legionelose na comunidade.

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Introdução: Embora a imagem com segunda harmônica esteja largamente disponível na maioria dos aparelhos de ultra-sonografia, sua acurácia para avaliar a morfologia e a função do apêndice atrial esquerdo (AAE) permanece precariamente caracterizada. Objetivos: Explorar o desempenho diagnóstico da ecocardiografia transtorácica com segunda harmônica (ETTsh) na avaliação do AAE após eventos neurológicos agudos. Métodos: Realizamos um estudo transversal em pacientes com eventos neurológicos isquêmicos agudos, encaminhados para realização de ETTsh e Ecocardiografia Transesofágica (ETE). As análises da área longitudinal máxima e do pico da velocidade de esvaziamento de fluxo do AAE foram realizadas por observadores cegos. Resultados: Foram avaliados 51 pacientes (49% femininas, 62 ± 12 anos) com eventos neurológicos isquêmicos agudos. Contraste ecocardiográfico espontâneo foi observado em 11 (22%) pacientes no AE, em 7(14%) no AAE e em 3 (6%) na aorta torácica descendente. Trombo no AAE foi identificado em apenas 2 (4%) pacientes. O mapeamento e a análise do AAE foi factível na maioria dos casos (98%), tanto para o estudo com Doppler quanto para avaliação da área do AAE. Observamos uma associação positiva e significativa entre o ETTsh e o ETE, tanto para a avaliação das velocidades máximas de esvaziamento do AAE (r=0,63; p<0,001) quanto para a área longitudinal máxima do AAE (r=0,73; p<0,001). Ademais, todos os pacientes com trombos no AAE ou contraste espontâneo (n=7) tiveram velocidade de esvaziamento inferior a 50 cm/s no mapeamento transtorácico (valor preditivo negativo de 100%). Na análise multivariada ajustada para diversos potenciais preditores transtorácicos de risco, a velocidade máxima de esvaziamento do AAE permaneceu independentemente associada com trombos no AAE ou contraste espontâneo. Conclusão: ETTsh pode fornecer informações relevantes a respeito da morfologia e dinâmica do AAE. Em particular, pacientes com velocidades altas de esvaziamento do AAE podem não necessitar de avaliação adicional com ETE.

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Objetivo: Avaliar a acurácia da colposcopia utilizando a Classificação Colposcópica Internacional de 2002. Métodos: 3040 pacientes de população geral foram rastreadas para patologia cervical através de exame citopatológico, captura híbrida para HPV de alto risco e inspeção cervical. As colposcopias que resultaram em biópsia (n=468) executadas no rastreamento e acompanhamento destas pacientes foram gravadas, revistas por dois colposcopistas cegados e incluídas para análise. Resultados: Os observadores apresentaram excelente concordância (Kappa=0.843) no relato dos achados pela nova nomenclatura. A colposcopia apresentou sensibilidade de 86% e especificidade de 30.3% em diferenciar colo normal de colo anormal (LSIL, HSIL ou carcinoma); quando a colposcopia objetivava diferenciar colo normal ou LSIL de HSIL ou carcinoma, apresentou sensibilidade de 61.1% e especificidade de 94.4%. Os achados colposcópicos classificados como “maiores” pela nova classificação apresentaram valores preditivos positivos elevados para HSIL. Presença do achado colposcópico na zona de transformação e tamanho da lesão estavam associados a HSIL. Bordas externas definidas, associação de múltiplos achados distintos e presença de zona iodo negativa não estavam relacionados à gravidade das lesões. Conclusão: A colposcopia utilizando a Classificação Internacional de 2002 mostra-se um bom método de rastreamento, mas como método diagnóstico apresenta falhas, não podendo substituir a avaliação histológica. A categorização em achados colposcópicos “maiores” e “menores” apresentada pela nova classificação é adequada. Na realização da colposcopia, é importante também que a lesão seja situada em relação à zona de transformação e que seu tamanho seja indicado, já que estes foram fatores associados a lesões de alto grau.

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OBJECTIVE: Our objective was to determine whether measurement of placenta growth factor (PLGF), inhibin A, or soluble fms-like tyrosine kinase-1 (sFlt-1) at 2 times during pregnancy would usefully predict subsequent preeclampsia ( PE) in women at high risk. STUDY DESIGN: We analyzed serum obtained at enrollment (12(0/7) to 19(6/7) weeks) and follow-up (24-28 weeks) from 704 patients with previous PE and/or chronic hypertension (CHTN) enrolled in a randomized trial for the prevention of PE. Logistic regression analysis assessed the association of log-transformed markers with subsequent PE; receiver operating characteristic analysis assessed predictive value. RESULTS: One hundred four developed preeclampsia: 27 at 37 weeks or longer and 77 at less than 37 weeks (9 at less than 27 weeks). None of the markers was associated with PE at 37 weeks or longer. Significant associations were observed between PE at less than 37 weeks and reduced PLGF levels at baseline (P =.022) and follow-up (P <.0001) and elevated inhibin A (P <.0001) and sFlt-1 (P =.0002) levels at follow-up; at 75% specificity, sensitivities ranged from 38% to 52%. Using changes in markers from baseline to follow-up, sensitivities were 52-55%. Associations were observed between baseline markers and PE less than 27 weeks (P <=.0004 for all); sensitivities were 67-89%, but positive predictive values (PPVs) were only 3.4-4.5%. CONCLUSION: Inhibin A and circulating angiogenic factors levels obtained at 12(0/7) to 19(6/7) weeks have significant associations with onset of PE at less than 27 weeks, as do levels obtained at 24-28 weeks with onset of PE at less than 37 weeks. However, because the corresponding sensitivities and/or PPVs were low, these markers might not be clinically useful to predict PE in women with previous PE and/or CHTN.

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OBJETIVOS: comparar dois testes de rastreamento do diabete gestacional. MÉTODOS: estudo prospectivo no qual foram avaliadas 356 gestantes, sem diagnóstico prévio do diabete melito, submetidas, de modo independente, a dois testes de rastreamento: associação glicemia de jejum e fator de risco (GJ+FR) e teste oral simplificado de tolerância à glicose (TTG50g). A comparação entre os métodos foi realizada pelos índices de sensibilidade (S), especificidade (E) e valores preditivos positivo (VPP) e negativo (VPN), resultados falsos, positivos (FP) e negativos (FN) e pela diferença dos resultados observados e esperados, avaliada pelo teste do Qui-quadrado (p<0,05). RESULTADOS: a associação GJ+FR determinou a confirmação diagnóstica em maior número de gestantes (187; 52,5%) que o TTG50g (49; 13,8%). Esta diferença foi significativa (p<0,05). A associação GJ+FR apresentou sensibilidade de 83,7% e valor preditivo negativo (VPN) de 95,3% em relação ao TTG50g. CONCLUSÕES: os índices elevados de sensibilidade e VPN da associação GJ+FR em relação ao TTG50g, sua simplicidade, praticidade, baixo custo e fácil replicação permitem sua indicação no rastreamento do diabete gestacional.

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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)

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The presence of Paracoccidioides brasiliensis was determined in sputum samples from 50 patients with paracoccidioidomycosis using four different techniques: (a) cell-block preparations stained with silver methenamine, (b) direct microbiologie examination, (c) smears stained with Shorr, and (d) smears stained with silver methenamine. Overall, cell-block preparations and smears stained with silver methenamine proved to be the most sensitive techniques, followed by smears stained with Shorr and direct microbiologic examination in decreasing order of sensitivity. Sputum cytology tended to be less positive in patients with interstitial pulmonary lesions as determined by chest X-ray than in patients with alveolar lesions. In addition to its high sensitivity, cell-block preparation technique allows storage of blocks and slides for further studies. © 1991 Kluwer Academic Publishers.

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Marfan syndrome (MFS) is an autosomal dominant trait due to mutations in the fibrillin gene (FBN1). The MFS expressivity is variable, and its diagnosis relies completely on clinical criteria. Atypical cases and Marfan- like (marfanoid) clinical presentations are commonly found. The metacarpophalangeal pattern profile (MCPP), a radiological method in which the 19 tubular hand bones are assessed, has been used in the diagnosis of various syndromes. To investigate whether the MCPP was adequate to discriminate between MFS and Marfan-like subjects, we studied 38 patients who were referred to our service because they had an MFS diagnosis, diagnostic hypothesis, or differential diagnosis or had arachnodactyly with dolichostenomelia. Two groups were formed: 1) MFS: 21 patients with a mean age of 18.3 (10.8 S.D.) years and 2) Marfan-like syndromes: 16 patients who did not meet the current criteria, with a mean age of 14.6 (4.6 S.D.) years. The MCPP was performed in each case following the classical technique, and a characteristic mean profile was obtained for group I (MFS), with Z scores ranging from 0.69 to 2.73 (1.80 ± 0.50; mean ± S.D.). In group I, three cases had no correlation with the typical MFS pattern. In group II, three cases had an MFS pattern. The correlation with the mean MCPP of MFS permitted the differential diagnosis of MFS and marfanoid syndromes with 86% sensitivity, 81% specificity, and 86% positive and 81% negative predictive values. The results suggest that MCPP can be used effectively as an auxiliary tool in the nosology of these conditions and, because there is no change in MCPP with age, can be helpful in early diagnosis.

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Background. The aim of this study was to evaluate the influence of zero-value subtraction on the performance of two laser fluorescence (LF) devices developed to detect occlusal caries. Methods. The authors selected 119 permanent molars. Two examiners assessed three areas (cuspal, middle and cervical) of both mesial and distal portions of the buccal surface and one occlusal site using an LF device and an LF pen. For each tooth, the authors subtracted the value measured in the cuspal, middle and cervical areas in the buccal surface from the value measured in the respective occlusal site. Results. The authors observed differences among the readings for both devices in the cuspal, middle and cervical areas in the buccal surface as well as differences for both devices with and without the zero-value subtraction in the occlusal surface. When the authors did not perform the zero-value subtraction, they found statistically significant differences for sensitivity and accuracy for the LF device. When this was done with the LF pen, specificity increased and sensitivity decreased significantly. Conclusions. For the LF device, the zero-value subtraction decreased the sensitivity. For this reason, the authors concluded that clinicians can obtain measures with the LF device effectively without using zero-value subtraction. For the LF pen, however, the absence of the zero-value subtraction changed both the sensitivity and specificity, and so the authors concluded that clinicians should not eliminate this step from the procedure. Clinical Implications. When using the LF device, clinicians might not need to perform the zero-value subtraction; however, for the LF pen, clinicians should do so.

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Behavioral problems in preschool children are one of the most frequent motives for seeking psychological care by parents and caregivers. Instruments are considered necessary, created from a Social Skills Training theoretical-practical perspective, which may systematically assist the identification of social skills and behavioral deficits, helping professionals in the prevention and/or reduction of behavioral problems. The purpose of this study was to test the psychometric validity and reliability of an instrument for evaluation of Socially Skilled Responses, from a teacher's perspective (QRSH-PR For this purpose, 260 preschool children were evaluated, differentiated in subgroups without and without behavioral difficulties, based on the Child Behavior Scale (Escala de Comportamento Infantil/ECI-Professor Studies were conducted for construct, discrimination, concurrent and predictive validity. The Cronbach Alpha was calculated to evaluate internal consistency. The obtained results pointed to positive indicators in reference to construct, discrimination, and predictive validity, and even for good internal consistency, indicating that the items consistently measure the construct of social skills, and differentiated children with and without behavioral problems. The questionnaire is considered to be gauged for evaluation of socially skilled responses from preschool children, and applicable in educational and clinical environments. Copyright 2009 by The Spanish Journal of Psychology.