898 resultados para Psychiatric consultation
Resumo:
The EEG of the sleep onset period of psychophysiological insomniacs, psychiatric insomniacs and controls was compared using power spectral analysis (FFT). Eighteen drug-free subjects were equally divided into three groups according to their responses in the Brock Sleep and Insomnia Questionnaire, the Minnesota Multiphasic Personality Inventory and the Sleep Disorders Questionnaire. Group 1 consisted of psychophysiological insomniacs, group 2 included insomniacs with an indication of psychiatric disturbances, and group 3 was a control group. EEG, EOG and EMG were recorded for two consecutive nights. Power spectral analysis (FFT) of EEG at C4 from the sleep onset period (defined as lights out to the first five minutes of stage 2) was performed on all standard frequency bands, delta: .5-4 Hz; theta: 4-8 Hz; alpha: 8-12 Hz; sigma: 12-15 Hz beta: 15-25 Hz. Psychophysiological insomniacs had less alpha during wakefulness than the other two groups and did not show the dramatic drop in alpha across the sleep onset period, which characterizes normal sleep. They also had less delta, especially during stage 2 on night 2. They also showed less delta in the last quartile of the chronological analysis of the sleep onset period. Psychiatric insomniacs showed lower relative beta power values overall while psychophysiological insomniacs showed higher relative beta power values during wakefulness. This microanalysis 11 confirms that the sleep onset period is generally similar for psychiatric insomniacs and normal sleepers. This may be due to the sample of psychiatric insomniacs being heterogeneous or may reflect a sleep onset system that is essentially intact. Psychophysiological insomniacs have higher cortical arousal during the sleep onset period than do the psychiatric insomniacs and the controls. Clear differences in the sleep onset period of psychophysiological insomniacs exist. The dramatic changes in power values in these two groups are not seen in the psychophysiological insomniacs, which may make the discrimination between wakefulness and sleep more difficult.
Resumo:
Annual consultation meeting of the Long Point Company (1 page, printed). The names Jos. A. Woodruff, chairman and J.I. Mackenzie, secretary are at the bottom of the page, Oct. 27, 1881.
Resumo:
Annual consultation meeting of the Long Point Company (1 page, printed). The name J.I. Mackenzie, secretary is at the bottom of the page, Oct. 26, 1882.
Resumo:
Affiliation: Johanne Renaud & Claude Marquette : CHU Ste-Justine, Université de Montréal
Resumo:
Le présent mémoire est consacré à l'étude de l'obligation faite à l'État canadien de consulter les autochtones lorsqu'il envisage de prendre des mesures portant atteinte à leurs droits et intérêts. On s'y interroge sur le sens que peut avoir cette obligation, si elle n'inclut pas celle de s'entendre avec les autochtones. Notre étude retrace d'abord l'évolution de l'obligation de consulter dans la jurisprudence de la Cour suprême du Canada, pour se pencher ensuite sur l'élaboration d'un modèle théorique du processus consultatif. En observant la manière dont la jurisprudence relative aux droits ancestraux a donné naissance à l'obligation de consulter, on constate que c'est en s'approchant au plus près de l'idée d'autonomie gouvernementale autochtone - soit en définissant le titre ancestral, droit autochtone à la terre elle-même - que la Cour a senti le besoin de développer la consultation en tant que véritable outil de dialogue entre l'État et les Premières nations. Or, pour assurer la participation réelle des parties au processus de consultation, la Cour a ensuite dû balancer leur rapport de forces, ce qu'elle a fait en admettant le manque de légitimité du pouvoir étatique sur les autochtones. C'est ainsi qu'après avoir donné naissance au processus de consultation, la jurisprudence relative aux droits ancestraux pourrait à son tour être modifiée substantiellement par son entremise. En effet, l'égalité qu'il commande remet en question l'approche culturaliste de la Cour aux droits ancestraux, et pourrait l'amener à refonder ces droits dans le principe plus égalitaire de continuité des ordres juridiques autochtones. Contrairement à l'approche culturaliste actuelle, ce principe fait place à la reconnaissance juridique de l'autonomie gouvernementale autochtone. La logique interne égalitaire du processus de consultation ayant ainsi été exposée, elle fait ensuite l'objet d'une plus ample analyse. On se demande d'abord comment concevoir cette logique sur le plan théorique. Ceci exige d'ancrer la consultation, en tant qu'institution juridique, dans une certaine vision du droit. Nous adoptons ici celle de Lon Fuller, riche de sens pour nos fins. Puis, nous explicitons les principes structurants du processus consultatif. Il appert de cette réflexion que l'effectivité de la consultation dépend de la qualité du dialogue qu'elle engendre entre les parties. Si elle respecte sa morale inhérente, la consultation peut générer une relation morale unique entre les autochtones et l'État canadien. Cette relation de reconnaissance mutuelle est une relation de don.
Resumo:
L’objectif général de cette thèse est d’examiner le lien entre l’attachement amoureux des conjoints, la satisfaction conjugale, le mandat thérapeutique et le résultat de la thérapie conjugale telle que conduite en milieu naturel. Afin d’atteindre cet objectif, des couples se présentant en thérapie conjugale ont d’abord complété une batterie de questionnaires comprenant l’Échelle d’ajustement dyadique (Spanier, 1976) et le Questionnaire sur les expériences d’attachement amoureux (Brennan, Clark, & Shaver, 1998). Les thérapeutes ont par la suite indiqué le mandat thérapeutique poursuivi avec chaque couple (réconciliation ou résolution de l’ambivalence), suivant la classification de Poitras-Wright et St-Père (2004). À la fin de la consultation, le jugement du thérapeute a été utilisé pour classer chacun des cas comme ayant abandonné ou complété le traitement. Les couples ayant complété la thérapie ont rempli l’Échelle d’ajustement dyadique au post-traitement. Dans le premier des articles composant cette thèse, le lien entre l’attachement amoureux et la satisfaction conjugale a été examiné auprès d’un échantillon de 172 couples en détresse débutant une thérapie conjugale, de même qu’auprès de 56 couples non en détresse débutant également une thérapie conjugale, pour fins de comparaison. Les résultats ont démontré que l’évitement de la proximité semble être une caractéristique distinctive des couples en détresse et que cette dimension de l’attachement est fortement liée à l’insatisfaction conjugale de ce même groupe. Dans le deuxième article, le mandat thérapeutique, l’attachement amoureux et la satisfaction conjugale ont été examinés en tant que prédicteurs de l’abandon de la thérapie conjugale, auprès de 141 couples. Les résultats ont notamment démontré qu’un mandat de résolution de l’ambivalence augmente les probabilités d’abandon de la thérapie conjugale. De plus, les prédicteurs du résultat de la thérapie ont également été examinés dans ce second article. Les résultats obtenus au moyen d’analyses acteur-partenaire ont démontré que la satisfaction conjugale pré-traitement apparaît comme le meilleur prédicteur de la satisfaction conjugale post-traitement, et ce, malgré l’inclusion de l’attachement amoureux parmi les variables investiguées. Considérés dans leur ensemble, les résultats de cette thèse suggèrent que l’insécurité d’attachement serait fortement associée à l’insatisfaction des couples en détresse, mais ne nuirait pas pour autant à l’obtention d’un résultat positif en thérapie conjugale. En somme, cette thèse contribue à l’avancement des connaissances en se penchant sur l’utilité de la théorie de l’attachement en thérapie conjugale et en soulignant la nécessité de tenir compte des mandats thérapeutiques dans les futures études en thérapie conjugale. Les implications cliniques des résultats et des recommandations pour la recherche clinique sont présentées dans la conclusion de l’ouvrage.