56 resultados para Poetik
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Volume of theses.
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Gibt es eine Traditionslinie extremistischer Poetiken in der deutschsprachigen Literatur? Uwe Schütte untersucht anhand literarischer Texte ab dem späten 18. Jahrhundert den Konnex zwischen historischen Phänomenen wie Revolution, Krieg oder Terrorismus und extremen biografischen Umständen wie Schizophrenie für die Herausbildung radikaler Schreibweisen. Die Spannbreite der behandelten Autoren reicht dabei von der Klassikertrias Kleist, Hölderlin und Büchner über Schriftsteller des 20. Jahrhunderts wie Ernst Jünger oder Hans Henny Jahnn bis zu den Gegenwartsautoren Ernst Herbeck und Rainald Goetz. The study investigates aesthetic representations of extremism in German-language literature from around 1800 to the present. Its aim is to examine the interplay between three different areas: historical circumstances, (auto)biographical issues, and literary texts. Discussed are texts by both major and marginal writers from various genres, ranging from classics such as Heinrich von Kleist or Friedrich Hölderlin to the marginalised poet Ernst Herbeck or the contemporary writer Rainald Goetz. Subjects and factors considered include extremist phenomena in modern history (such as revolutions, wars, terrorism) and extreme individual experiences (such as suicide or schizophrenia) on the aesthetic domain(s) with regard to the production of literary discourses that could be considered as extremist. These manifest themselves in the development of what can be viewed as ‘radical poetics’, decidedly innovative styles of writing and moral or political transgression in fiction. Being the first critical attempt to trace the history of radical discourses in German literature, the study explores the validity of creating an aesthetic category of 'literary extremism'.
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Diese Studie untersucht die Poetik und Wirkungsästhetik von Robert Musils Die Verwirrungen des Zöglings Törleß (1906) und Die Vereinigungen (1911) anhand des Schlüsselbegriffs >Stimmung<. Wegen der Vagheit des Begriffs und seiner Relevanz in Psychologie, Philosophie und Ästhetik um 1900 wird das Wissen um >Stimmung< im ersten Teil der Studie diskursgeschichtlich beschrieben. Es kann dabei anhand von Robert Mayer, Gustav Theodor Fechner, Hermann von Helmholtz und Wilhelm Wundt gezeigt werden, dass >Stimmungen< als psychologische Zustände wie ästhetische Phänomene in einem engen Verhältnis mit der thermodynamischen Theorie und der Denkfigur des psychophysischen Parallelismus standen. >Stimmungen< galten zum Ende des 19. Jh. einerseits als gleichermaßen experimentell unzugängliche wie grundlegende psychologische Dispositionen, die Körper, Emotion und Intellekt umfassen können, und andererseits als energetisch konzipiertes Verhältnis des Einzelnen zur Außenwelt, das sich in Schwingungen und Strahlen äußert. Im zweiten und dritten Teil wurden die Wissensübertragungen und die genuin literarischen Ausdifferenzierungen von >Stimmungen< in einer dezidiert textnahen Lektüre von Musils Frühwerk entwickelt. Die Textanalyse zeigte, dass in Musils Frühwerk auf thematischer, metaphorologischer, poetologischer und wirkungsästhetischer Ebene von Stimmungen konstituiert wird. Von herausragender Bedeutung sind dabei immaterielle Phänomene. In Auseinandersetzung mit der Ästhetik des Fin de Siècle und dem >Psychophysischen< formuliert der Roman Die Verwirrungen des Zöglings Törleß eine Poetik des Duftes, mit der das dichtungstheoretische Ideal einer gleichsam emotional wie rational wirksamen Literatur umgesetzt werden soll. Die Novellen Die Vollendung der Liebe und Die Versuchung der stillen Veronika übertragen psychologisches Stimmungswissen in den literarischen Text und differenzieren es zu ästhetischen Strukturen aus. Zwei verschiedene Leitkonzepte konnten in Die Vereinigungen identifiziert werden: Während Die Versuchung der stillen Veronika eine Poetik bzw. eine Wirkungsästhetik der Wellen entwirft, formuliert Die Vollendung der Liebe eine literarische Anthropologie anhand musikalischen Metaphern und Texturen aus.
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Poetics and Politics. AugustoBoal and the Theatre of the Oppressed deals with the ideas and methods of the Brazilian author, director and theatre theorist Augusto Boal. The main purpose of the thesis is to give a description of what can be characterized as the poetics of Augusto Boal. What is the specific nature of his theatre methods and in what way do they differ from traditional theatre? How do these methods actually work? What is the overall intention of the Theatre of the Oppressed? As objects for my research I have selected Forum Theatre and Rainbow of Desire. The reason for this choice is partly that the two methods mentioned have become the most widespread among Boal's theatre forms, partly that they complement each other, the former being a method that works with problems of the material world, in realistic action-based narratives; the latter being an expressionistic analytical method, designed to deal with psychological problems and internalized oppression. Going from a micro- to a macro-level, I first examine the theatrical text of both forms, which in this case includes not only the verbal narrative, but also the performance itself and the setting of it, and even the implied conditions of the whole theatrical situation. Secondly, I turn to the encounter between the text and its actual recipient in the theatrical space. What happens, psychologically, when the observing, but passive spectator is turned into the actor of the play? Thirdly, I discuss the ideological and political implications of the Theatre ofthe Oppressed in real life. The way I interpret Boal's poetics, this is of vital importance. The purpose of the Theatre of the Oppressed is not anything resembling l'art pour l'art. In the contrary, its intention is to teach the oppressed the use of theatre as a martial art, so that they can fight and break the oppression in a social context of the real world. Thus the title Poetics and Politics.
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Cette mémoire est une analyse du subtexte immanent dans le roman « 1979 » (2001) de Christian Kracht, auteur suisse, qui est le plus connu pour son début « Faserland » (1995). Ces oeuvres sont situées dans le mouvement de la littérature Pop allemande des années 1990 et en résultent en même temps. Dans ce contexte, le climat socio-politique après la réunification, notamment le Literaturstreit, jouera un rôle important dans mon interprétation comme fond de la poésie de Kracht. J’exposerai les difficultés que le discours de la littérature Pop porte en ce qui concerne l’œuvre de cet auteur, qui, même s’il est vu en général comme fondateur de ce genre littéraire en Allemagne, ne considère pas ses textes comme littérature Pop dans ses déclarations notoirement problématiques. Je devrais objecter que Kracht est en combat avec la littérature Pop d’une façon stylistique et pas rarement ironique, ce qui traverse la définition étroite dominante. Il fait cela en adoptant sur l’un côté le trait le plus signifiant du genre, à savoir le caractère superficiel extrêmement descriptif et en transmettant sur l’autre côté un message moral profond, ce qui rend impossible la classification de ses textes comme Pop, signifiant seulement le divertissement ou l’archivisme de Moritz Bassler. En fait, la fréquence de signifiants de Pop dans les textes de Kracht créent par leur arrangement un réseau de sens qui, dans le paradigme post- moderne, peut être décrit le mieux avec le terme « rhizome » de Gilles Deleuze et Félix Guattari. En faisant ça, Kracht suit une autre tradition qui traverse les limites de la littérature Pop, comme il se sert de la décadence, de l’esthétisme et du symbolisme du fin-du-siècle d’un Hugo von Hofmannsthal, d’un Stefan George et d’un Joris-Karl Huysmans avec leurs pointes de mise en garde contre les déficits du modernisme, du libéralisme et du capitalisme, d’une façon nommée « fondamentalisme esthétique » par le sociologiste Stefan Breuer. Cette recherche se référera aux interprétations originales des textes source, aux évaluations de littérature d’accompagnement, à savoir des manuels scolaires en critique littéraire, en sociologie et en histoire allemande, aux comptes rendu, dissertations et entrevues et aux textes philosophiques. Cette mémoire est écrit en allemand.
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À l'aide des tout derniers modèles narratologiques développés entre autres par Ansgar Nünning, nous nous penchons sur l'oeuvre d'Eveline Hasler, une voix phare de la littérature alémanique contemporaine. À partir d’un corpus de six romans, nous examinons de façon systématique sa poétique du roman historique au regard 1) des techniques narratives, 2) de la marginalité de ses personnages en société, 3) de la conception de l’Histoire, 4) de l'image critique qu'elle présente de la Suisse. Il en ressort un portrait très nuancé de l'oeuvre de Hasler, puisqu’elle allie un récit principalement réaliste, plutôt traditionnel, mais aussi inspiré du langage cinématographique, à des passages métahistoriographiques postmodernes, où une narratrice assimilable à l’auteure fait part au « je » de ses réflexions sur l'Histoire. Même si ces brefs passages relativement rares rappellent sans contredit la posture de l’historien, ils s’inscrivent toutefois dans la fiction, laquelle actualise le passé dans la perspective historique d’un lecteur contemporain. De fait, l’œuvre de Hasler se présente comme un jeu habile avec la liberté poétique et le souci de véracité historique, ce à quoi concourt l’imbrication de documents originaux en italique dans le roman. Par ailleurs, la question de la marginalité en société joue un rôle prépondérant chez Hasler, car tous ses personnages principaux sont autant de marginaux, de Außenseiter. Cette problématique montre entre autres les limites de l’Aufklärung, étant donné que ses tenants, les adversaires des marginaux, se targuent le plus souvent d’être motivés par la pensée éclairante pour mieux la pervertir. Il en résulte la mise à l’écart des individus dérangeants — la prétendue sorcière, le géant et les femmes qui remettent en cause l’organisation patriarcale. Or, certains marginaux de Hasler parviennent à s’arracher un espace de liberté dans la marge, au prix de leurs racines helvétiques. Ainsi, ces marginaux peinent à s’inscrire dans l’Histoire dite officielle, ce que Hasler tente de rectifier en leur redonnant une voix. Sur le plan individuel, la plupart d’entre eux expérimentent une évolution circulaire, puisqu’ils ne parviennent pas à sortir de la marge (sauf peut-être Henry Dunant). Cette impression de tourner en rond s’oppose à une conception de l’Histoire humaine qui se déroule en continuum, puisque les exclusions d’hier préfigurent celles d’aujourd’hui. Au-delà de cette mesure humaine du temps, l’horizon temporel de la nature s’inscrit pour sa part dans la permanence. Ainsi, Hasler développe une conception historique qui varie selon des points de vue coexistants. Cet amalgame est le plus souvent marqué par un certain pessimisme, comme le dénote la vie d’Emily Kempin associée au mythe d’Icare. Finalement, tous les acteurs historiques de Hasler appartiennent au contexte helvétique et en présentent une image assez rétrograde, laquelle se dévoile non seulement à travers la fictionnalisation des lieux, mais aussi par des références à trois symboles nationaux : les Alpes, le réduit helvétique et la légende de Guillaume Tell. Hasler fait le procès de ces mythes, associés à la liberté et à la sauvegarde de ce « peuple de bergers », en montrant que la Suisse n’apporte pas de solution originale aux défis de l’Occident.
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Die morawische Nacht (2008) de Peter Handke représente un tournant: l’auteur y renonce à son engagement politique concernant les Balkans et il revient au « royaume de la poésie ». En reprenant des concepts de la théorie de l’espace dans les études culturelles, cette étude examine les moyens narratifs à partir desquels Handke projette une nouvelle image des Balkans. L’écrivain autrichien déconstruit son propre mythe du « Neuvième Pays » (Die Wiederholung, 1986), dont il a sans cesse défendu le concept dans les années 1990 (Eine winterliche Reise, 1996; Zurüstungen für die Unsterblichkeit, 1997; Die Fahrt im Einbaum, 1999; Unter Tränen fragend, 1999). Dans Die morawische Nacht, de fréquentes allusions et connotations nous ramènent aux œuvres antérieures, mentionnées ci-dessus. La signification et la fonction des nouvelles images des Balkans ne sont pas comprises que dans le cadre des références intertextuelles. Par l’entremise d’un maniement raffiné et ludique de l’ancien contenu et des vieilles structures, objets d’un nouvel usage, la poétique de Handke, toujours basée sur les soi-disant « Zwischenräume » (espaces intermédiaires) prouve toute sa puissance. Même si les Balkans perdent leur caractère absolu, ils continuent cependant à servir comme moyen de critique de la société moderne qui aspire cette fois à la mondialisation. Pendant que Handke réfute ironiquement sa naïveté de rechercher l’absolu dans le monde extérieur, le récit se révèle être le seul royaume où la paix et l’harmonie peuvent être créées.
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„Natürlich habe ich mich [...] unausgesetzt mit Mathematik beschäftigt, umso mehr als ich sie für meine erkenntnistheoretisch-philosophischen Studien brauchte, denn ohne Mathematik lässt sich kaum mehr philosophieren.“, schreibt Hermann Broch 1948, ein Schriftsteller, der ca. zehn Jahre zuvor von sich selbst sogar behauptete, das Mathematische sei eine seiner stärksten Begabungen.rnDiesem Hinweis, die Bedeutung der Mathematik für das Brochsche Werk näher zu untersuchen, wurde bis jetzt in der Forschung kaum Folge geleistet. Besonders in Bezug auf sein Spätwerk Die Schuldlosen fehlen solche Betrachtungen ganz, sie scheinen jedoch unentbehrlich für die Entschlüsselung dieses Romans zu sein, der oft zu Unrecht als Nebenarbeit abgewertet wurde, weil ihm „mit gängigen literaturwissenschaftlichen Kategorien […] nicht beizukommen ist“ (Koopmann, 1994). rnDa dieser Aspekt insbesondere mit Blick auf Die Schuldlosen ein Forschungsdesiderat darstellt, war das Ziel der vorliegenden Arbeit, Brochs mathematische Studien genauer nachzuvollziehen und vor diesem Hintergrund eine Neuperspektivierung der Schuldlosen zu leisten. Damit wird eine Grundlage geschaffen, die einen adäquaten Zugang zur Struktur dieses Romans eröffnet.rnDie vorliegende Arbeit ist in zwei Teile gegliedert. Nach einer Untersuchung von Brochs theoretischen Betrachtungen anhand ausgewählter Essays folgt die Interpretation der Schuldlosen aus diesem mathematischen Blickwinkel. Es wird deutlich, dass Brochs Poetik eng mit seinen mathematischen Anschauungen verquickt ist, und somit nachgewiesen, dass sich die spezielle Bauform des Romans wie auch seine besondere Form des Erzählens tatsächlich aus dem mathematischen Denken des Autors ableiten lassen. Broch nutzt insbesondere die mathematische Annäherung an das Unendliche für seine Versuche einer literarischen Erfassung der komplexen Wirklichkeit seiner Zeit. Dabei spielen nicht nur Elemente der fraktalen Geometrie eine zentrale Rolle, sondern auch Brochs eigener Hinweis, es handele sich „um eine Art Novellenroman“ (KW 13/1, 243). Denn tatsächlich ergibt sich aus den poetologischen Forderungen Brochs und ihren Umsetzungen im Roman die Gattung des Novellenromans, wie gezeigt wird. Dabei ist von besonderer Bedeutung, dass Broch dem Mythos eine ähnliche Rolle in der Literatur zuspricht wie der Mathematik in den Wissenschaften allgemein.rnMit seinem Roman Die Schuldlosen hat Hermann Broch Neuland betreten, indem er versuchte, durch seine mathematische Poetik die komplexe Wirklichkeit seiner Epoche abzubilden. Denn „die Ganzheit der Welt ist nicht erfaßbar, indem man deren Atome einzelweise einfängt, sondern nur, indem man deren Grundzüge und deren wesentliche – ja, man möchte sagen, deren mathematische Struktur aufzeigt“ (Broch).
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Der Artikel über die Wirkungskategorie des Tragischen leistet einen Überblick über drei Aneignungsstrategien des Tragischen. Nachdem kurz auf Aristoteles Poetik eingegangen wird, diskutiert der erste thematische Block das Tragische als moralischen Impuls. Darin erscheint die aufklärerische Deutung des Tragischen bei Gottsched und Lessing zentral, um einen Bogen zu den ästhetischen Schriften Schillers und Hegels zu schlagen. Im zweiten Teil des Artikels wird auf das Tragische als selbstreflexives Moment eingegangen, wobei hierzu zum einen die barocke Deutung des Tragischen im Trauerspiel besprochen wird, zum anderen aber auch Benjamins Allegorie. Im dritten Teil wird auf das Tragische als anthropologische Konstante eingegangen, wobei genauer auf Nietzsches Geburt der Tragödie eingegangen.
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Die Arbeit stellt sich in die Reihe von Studien, die den Status des lyrischen Subjekts innerhalb der Dichtung „nach Auschwitz“ untersucht haben, versucht aber selbst einen neuen Weg einzuschlagen, indem sie die Problematik der (historischen, ethischen) Subjektbestimmung aus ihrer rhetorischen und linguistischen Natur herleitet. Durch detaillierte formale Lektüre wird die selbstreflexive Funktion der Personalpronomina in den Sonetten Shakespeares sowie in der Übersetzung Celans analysiert. Die übersetzungstheoretischen Implikationen der Selbstreflexivität werden vor allem in Bezug auf die Werke von Antoine Berman und Henri Meschonnic erklärt. Präzise identifiziert und deutet der Verfasser syntaktische, grammatikalische, rhetorische und metrische Merkmale der untersuchten Gedichte, um Celans Verfahren en détail zu beschreiben: Tempus und Modus, Enjambement und Zäsur, Synkope und Anakoluth, Katapher und Chiasmus, Satz- und Ausführungszeichen, Kursivschrift und graphische Elemente. Theoretisch stützt sich die Arbeit auf bestimmte Hauptbegriffe von Jean Bollack (Virtualität, Poetik der Fremdheit, Trennung von den Mitmenschen, Schreiben auf seiten des Todes) und Gilles Deleuze (Virtualität, Differenz und Repetition, Ordnung der leeren Zeit). Der Begriff von Virtualität fungiert in diesem Zusammenhang als trait d'union zwischen den beiden Autoren, in dem Versuch, ihre unterschiedlichen, teilweise entgegengesetzten Positionen in einem Punkt konvergieren zu lassen: der Neudefinition eines gespaltenen Subjektes und seines subversiven Potentials in einem direkten politischen Sinne. Diese Neudefinition der pronominalen Funktionen und die ihres politischen Widerstands werden darüber hinaus als übersetzungstheoretische Kriterien in der Interpretation der Nationalliteratur und der Rezeptionsgeschichte in Deutschland verwendet. Aus dieser Perspektive wird der theoretische Rahmen dieser Arbeit, nach den Hauptfiguren von Bollack und Deleuze, von Foucault Auffassung der Historizität und des politischen Werts des Subjektbegriffs ergänzt. Die Poetik der Übersetzung wird als Vorgang der “Wiederholung” konzipiert, der letztendlich eine “Differenz” hervorbringt, wie auch eine Neubestimmung der Zeitlichkeit als nicht-lineare Erscheinung.