925 resultados para Castillo de la Mola


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Parler d'une coopérative est parler d'une association autonome d'individus qui se sont mis ensemble afin de satisfaire leurs idéaux et leurs besoins économiques, sociaux ainsi que culturels par biais d'une entreprise dont les propriétaires sont les membres eux-mêmes et où le pouvoir est exercé démocratiquement. Une coopérative est donc une entreprise collective à responsabilité limitée qui cherche non seulement à combler les besoins économiques et sociaux de ses membres mais possède aussi un engagement envers la communauté. Elle est donc une combinaison de deux structures : l'une, associative (basée sur les règles démocratiques) et l'autre, entrepreneuriale (selon les règles de l'association). Par ailleurs, une coopérative est basée sur les valeurs de liberté, responsabilité, égalité et solidarité. Et pour que ces valeurs se concrétisent, il est nécessaire qu'ils respectent les sept principes du coopératisme international selon l'Alliance Coopérative Internationale : Adhésion volontaire et ouverte à tous, pouvoir démocratique exercé par les membres, participation économique des membres, autonomie et indépendance, éducation, formation et information pour les membres, coopération entre les coopératives, engagement envers la communauté. Étant donné la crise économique et sociale du monde, spécialement celle du Nicaragua, la formule coopérative vient apporter une réponse. Pour satisfaire leurs besoins économiques et sociaux, les personnes peuvent se regrouper et créer l'un ou l'autre type de coopératives. Celles-ci peuvent être de la typologie de producteurs, consommateurs ou de travailleurs. C'est le 30 avril 1914 qu'est né le coopératisme nicaraguayen. Mais, c'est en 1926 que se crée la première coopérative au Nicaragua. En 1944, le gouvernement de Somoza les reconnaît comme organisations légalement constituées selon le code du travail. Au cours des années 60, l'AID commence à promouvoir les coopératives d'épargne et de crédit. À la fin de ces années, on comptabilise 90 coopératives de cette typologie. Durant les années 70, les coopératives connaissent une croissance importante au Nicaragua spécialement dans le secteur de l'épargne et du crédit appuyées par William Bâez Sacasa par le biais de Funde (Fundaciôn Nicaraguense de Desarrollo). On développe 67 coopératives. Ce projet est bien accueilli dans toutes les régions du Nicaragua. Cet essor est toutefois de courte durée. Un changement politique et économique de 180 degrés dans le gouvernement national dans les années 80 fait en sorte que le grandiose projet coopératif s'effondre. Elles deviennent donc des refuges idéologiques de l'État-parti et vivent dans une situation d'échec économique et social. Actuellement, plusieurs de ces coopératives demeurent toujours sous la tutelle d'un parrain politique et continuent à vivre dans une situation chaotique parce qu'elles ne sont pas tout à fait autonomes et indépendantes. Cependant, de nouvelles coopératives surgissent au Nicaragua ou des anciennes coopératives renaissent des cendres, libres politiquement; elles font la démonstration à la Nation de la possibilité de leur existence et de leur développement. C'est grâce à leur croyances, leurs valeurs, aux principes coopératifs et à leur esprit entrepreneurial que des personnes crédibles et engagées au niveau local ont pu développer des coopératives avec l'appui de l'AID, le BID, WOCCU, FUNDE, entre autres. Pour mieux comprendre l'état actuel des coopératives au Nicaragua, il est important de connaître l'évolution politique et sociale de ce pays. D'abord, la famille Somoza a gouvernée le pays pendant 45 ans d’une manière dictatoriale. On l'accuse de s'enrichir avec l'argent des nicaraguayens. Cependant, l'économie du pays était alors en meilleur état qu'elle n'est aujourd'hui. Pendant cette période de temps est né le coopératisme. Mais, c'était en 1979 que les Somoza ont été renversés par les guérilleros de ligne marxiste, les sandinistes, qui ont gouverné aussi dictatorialement le pays en centralisant tout le pouvoir. L'État-partit était le seigneur de la vie politique, économique et sociale de tous les nicaraguayens. Même les coopératives ont été soumises au control de l'État sandiniste; c'est aussi durant cette période que de nombreuses coopératives ont été créées, surtout dans le secteur de la production agricole. Toutefois, celles-ci étaient devenues des noyaux d'expression idéologique. Après ce dur passage dans l'histoire de ce pays, les sandinistes ont dû procéder à des élections nationales en 1990, afin de connaître la position des citoyens suite à une douloureuse guerre civile. C'est ainsi que s'inscrit un nouvel épisode dans la vie politique, économique et sociale des nicaraguayens. Au cours des douze dernières années, le Nicaragua a eu trois présidents dans un régime démocratique. Ce sont Violeta Chamorro, Amoldo Alemân et, le tout dernier, Enrique Bolanos. Ces trois présidents ont fait en sorte que l'État ne soit plus celui qui contrôle tout. De grands changements se sont produits pour le mieux-être des nicaraguayens. La coopérative d'épargne et de crédit « Financiera Avances » L'essai rappelle l'histoire d'une coopérative dans une petite localité appelée Santo Tomás, Chontales au Nicaragua qui a su émerger d'une dure crise et qui a démontré sa capacité à devenir une coopérative solide et mûre par la persévérance, la ténacité, la foi et les valeurs de certains de ses membres. L'histoire de cette coopérative semble être un roman où de courageux protagonistes montrent leur valeur à travers de trois épisodes : sa naissance et [son] développement (1974-1982), sa décadence (1982-1993) et sa renaissance( 1993-...) [...]

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Integran este número de la revista ponencias presentadas en Studia Hispanica Medievalia VIII: Actas de las IX Jornadas Internacionales de Literatura Española Medieval, 2008, y de Homenaje al Quinto Centenario de Amadis de Gaula.

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En nuestro país existen múltiples entidades y materias que no aplican la Ley 80 de 1993. Así, el desarrollo de su actividad contractual escapa al ámbito normativo que establece el Estatuto General de Contratación de la Administración Pública, configurándose de esta manera los denominados regímenes excepcionales. Sin embargo, teniendo en cuenta que son entidades que administran recursos públicos y en virtud del deber de observancia de los principios que orientan la función administrativa establecido por el ordenamiento jurídico, el Derecho Público que pareciere inicialmente no exigible a estos regímenes termina siendo aplicado, llegando a convivir e interactuar entonces con el Derecho Privado preponderantemente aplicable en este tipo de entidades. Dentro de estas, precisamente, se encuentran las denominadas Empresas Sociales del Estado - ESES -, las cuales por disposición expresa del legislador en materia contractual se rigen por el Derecho Privado, pero otorgándoles además la facultad de utilizar las cláusulas exorbitantes previstas en el Estatuto Contractual. Este escenario particularmente confuso, donde impera la incertidumbre sobre el alcance de la aplicación del Derecho Público y/o del Derecho Privado, constituye el problema jurídico que se aborda en el presente trabajo, el cual se desarrolla a partir del estudio del régimen contractual de las ESES, señalando sus rasgos más importantes y brindando una serie de criterios para la determinación de aspectos puntuales como: la aplicación de los principios, el régimen de inhabilidades e incompatibilidades aplicable, la utilización de las cláusulas y potestades exorbitantes, las modalidades de selección del contratista, entre otros.

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Se recogen los objetivos y características de la Fundación Illes Balears, constituida para gestionar y conservar el patrimonio arquitectónico y cultural de la Comunidad Autónoma, así como la difusión y puesta en valor de las características que le corresponden. Estos bienes son la finca rústica de Son Pacs (Mallorca), el conjunto arqueológico talayótico de Torralba d'en Salord (Menorca), la finca de S'Illot (Mallorca) integrada en el Parque Natural de S'Albufera, el casal de Can Ros des Puig de Missa, en Santa Eulalia de Eivissa, el Fortín de Cala Llonga (Mallorca) y el molino de la Mola (Formentera).

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El presente Proyecto de Aplicación Práctica (P.A.P.) muestra el desarrollo y el resultado de aplicar algunas de las herramientas claves de las actividades de Prevención propiamente dicha. Aplicando conceptos y metodologías tendientes al diseño de una Medida de Seguridad. El desarrollo de este trabajo escrito ilustra los conceptos involucrados, explica las herramientas utilizadas y relaciona los resultados obtenidos en una situación real con conceptos adquiridos por los autores, obteniendo una herramienta de Prevención para GM Colmotores en particular y generando una estructura aplicable a otras circunstancias.

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Expediente presentado por los rectores del Colegio Mayor de Nuestra Señora del Rosario al Rey de España, Patrono de Colegio, con el fin, de obtener una pensión de 500 ducados anuales para el pago de las cátedras. Incluye informes del Colegio del Rosario, dos cédulas reales expedidas por el rey Carlos II de España y la Reina Mariana de Austria y un auto emitido por el presidente del Nuevo Reino de Granada don Diego Córdoba Lasso de la Vega. Siendo rector el doctor don Cristóbal de Torres Bravo.

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Muestra la recogida de las aceitunas con tendales y la elaboración en el molino: la trituración en la muela, la colocación de la pasta de oliva en los capachos y la prensada.

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Resumen del contenido del discurso pronunciado por Antonio Cánovas del Castillo en la inauguración de la nueva sede del Ateneo de Madrid, en la calle Prado 21, en 1884, en el que también participó el rey Alfonso XII.

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Con el objetivo de reconstruir el paisaje geomorfológico de finales del cuaternario y comienzos del Holoceno, se ha utilizado gvSIG y sextante para intentar establecer el paisaje a partir de los datos de campoarquelógicos y geomorfológicos recogidos durante una veintena de años en la cuenca media y alta del río Serpis. La evolución cuaternaria es la historia de un vaciado (erosión + denudación) de los valles del curso alto y medio del Serpis, con algunas interrupciones (fases de sedimentación). Testigos de dicha evolución son las terrazas fluviales adscritas por nosotros a diversos periodos del Cuaternario. La combinación de métodos tradicionales y el trabajo con el uso de herramientas SIG se ha mostrado una poderosa herramienta para modelizar el paisaje antiguo. Previo al trabajo de modelización existe un conocimiento geomorfológico yarqueológico territorial de la zona, producto de años de interpretación estereoscópica de foto aérea, trabajo de campo y análisis de laboratorio. La experiencia en la zona de investigación es imprescindible para el control y calibrado de los resultados parciales y de los diferentes MDTs obtenidos con gvSIG. Para la reconstrucción del paisaje geomorfológico se buscan aquellas partes del terreno que cumplen tres requisitos: a) ser bastante llanas (ligera pendiente en el sentido del flujo), b) una determinada altura sobre el cauce – ésta varía en el seno de la cuenca del Serpis, siendo de unos + 20 m en el curso medio y mayor en el alto, y c) próxima al cauce. A partir del MDT se establece la red de drenaje (actual) de orden 2 (Strahler, 1952, 1957). Se elabora la capa de pendientes la de elevación sobre el cauce y un buffer de 125 m entorno a la red de drenaje de orden 2 a 6

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Urueña es una pequeña localidad vallisoletana ubicada en un lugar especial, donde el páramo termina y comienza la gran llanura de Tierra de Campos, convirtiéndose en un mirador de bellas puestas de sol. Sobre ese borde accidentado se asientan las paredes del Castillo y la Muralla que rodean a la localidad. Su término municipal se extiende parte por la paramera, parte por los cerros y parte por el valle, donde aparece la ermita románica en honor a la Virgen de la Anunciada, patrona del pueblo. Aunque la localidad es bien conocida por el Conjunto Histórico y Artístico que forman las arquitecturas religiosa y militar anteriormente mencionadas, existen otras edificaciones de gran interés vernáculo y patrimonial que han permanecido ocultas e incluso marginadas y que lamentablemente han desparecido en casi su totalidad. Eran elementos utilizados por los labradores y pastores, edificios que expresan la sobriedad de la población castellana, construcciones que han transmitido la tradición laboral del lugar. Hoy todavía se pueden encontrar restos de varias de estas edificaciones dando un paseo por los alrededores del municipio, y hasta se ha visto la recuperación de alguna de ellas, lo que muestra el interés por esta arquitectura. E incluso se ha podido localizar documentación gráfica y escrita a cerca de varios de estos elementos, como palomares, chozos, fuentes, o casetas, a través de libros, artículos, colecciones fotográficas, referencias electrónicas, etc. Es mediante todos estas indagaciones cómo podemos acercarnos al conocimiento científico de una arquitectura tradicional desaparecida en muchos casos y efímera en otros. Todavía muchos creemos en la conservación y recuperación de este patrimonio vernáculo y con este artículo pretendemos documentar los ejemplos más importantes para que al menos quede vivo el recuerdo de una tradición constructiva, además de intentar aumentar esa conciencia social sobre su importancia patrimonial. Para ello se describirán sus características constructivas y se relacionarán con el los factores externos que la condicionan y con el sentido utilitario que tuvieron estas edificaciones en la vida laboral del hombre rural: demostrar su razón constructiva.

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[1-2]. Varios hombres junto a la Fuente de los Veintiún Caños de Chiva, 1926 (2 pares estereoscópicos) (2 fot.) – [3]. Hombre sentado en un viñedo comiendo un racimo de uva, Chiva 1926 (1 par estereoscópico) (1 fot.) – [4]. Vista desde una terraza del pueblo de Chiva, al fondo la Ermita de la Virgen del Castillo (1 fot.) – [5]. Dos hombres y un niño (Paco Roglá) observan desde un edificio el pueblo de Chiva, con la torre de San Miguel (hoy desaparecida), 1926 (1 fot.) – [6]. El niño Francisco Roglá Orrico con dos hombres sentados en la puerta de la Ermita del Castillo de Chiva, 1926 (1 fot.) – [7-8]. Virgen del Castillo de Chiva, Francisco Roglá López e Isabel Orrico Vidal fueron clavarios de la Virgen este año, 1926 (2 pares estereoscópicos) (2 fot.) – [9-12]. Cabalgata de las fiestas de la Virgen del Castillo de Chiva, 1926 (4 pares estereoscópicos) (4 fot.) – [13]. Salida de los toros desde los toriles hacia la calle Dr. Nacher gente corriendo por la calle y asomados a los balcones, fiestas del Torico del 17 al 19 de agosto en Chiva, 1926 (1 par estereoscópico) (1 fot.) – [14]. Vista de la montaña del Castillo y la torre de la Ermita desde un campo de maíz (1 fot.) – [15-16]. Vista desde el mirador del Castillo de las montañas de Chiva (2 fot.) – [17-18]. Vista de casas entre las montañas destacan los molinos (2 fot.) – [19-20]. José Roglá López con dos amigos sentados alrededor de una mesa al fondo vista de una alquería con su molino y los campos (2 pares estereoscópicos) (1 fot.)

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El presente trabajo se realizó con el objetivo de evaluar la utilización del Agua de Mar como suplemento nutritivo de sales minerales, como alternativa en la ganancia de peso en terneros al destete en la Finca Sta. Rita, comarca el Castillo, municipio de Mulukukú, Región Autónoma del Atlántico Norte (RAAN), ubicada en las coordenadas: 13° 10 ́08 ́ ́ N y 085° 05 ́ 18 ́ ́ W, elevación sobre el nivel del mar de 137m. Se empleó un diseño completamente al azar (D.C.A), donde fueron utilizados 30 animales distribuidos aleatoriamente en tres grupos de 10 animales. Tratamiento I: 1 000 ml de agua de mar 1 vez al día por 30 días ; Tratamiento II 1 000 ml de agua de mar 2 veces al día por 30 días; Tratamiento III: Tratamiento testigo (no se aplicó ningún suplemento mineral). Los resultados obtenidos en ganancia de peso vivo, demostraron que no hubo diferencia significativa entre tratamientos, a pesar de esto se observó una pequeña diferencia teniendo los mejores resultados el Tratamiento I seguido del Tratamiento II y por último el Tratamiento III. De igual forma no se obtuvieron diferencias significativas en la ganancia media diaria entre tratamientos, obteniendo el Tratamiento I 0.4089 kg/Animal/dia, para el Tratamiento II fue de 0.3717 kg y para el Tratamiento III fue de 0.3585. Al realizar el análisis financiero observamos que el tratamiento que mayor rentabilidad nos proporcionaría es el Tratamiento I, obteniendo una utilidad neta de $894.96 dólares, el que se emplea en la finca es el Tratamiento III y este nos deja una utilidad neta de $751.02 dólares, al comparar estas utilidades encontramos una diferencia de $143.94 dólares.

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El estudio se realizó con la participación de representantes de 15 comunidades del municipio de El Castillo, Río San Juan. Este estudio es parte del Programa de Fortalecimiento al Desarrollo Integral del Departamento de Río San Juan, impulsado por la Facultad de Recursos Naturales y el Ambiente de la Universidad Nacional Agraria. Considerando que en este municipio se observa un avance acelerado de la frontera agrícola, se planteó la necesidad de analizar las principales causas sociales, económicas y tecnológicas que influyen en el avance de la frontera agrícola y proponer alternativas que contribuyan a disminuir su avance. La metodología implementada fue de carácter descriptivo y con técnicas cualitativas de grupos focales y entrevistas individuales. El procesamiento de los datos se realizó a través una matriz de ordenamiento de la información; para determinar el grado de involucramiento e interacción de las entidades estatales y organismos no gubernamentales se elaboró un diagrama de actores. Las causas se delimitaron mediante la implementación del diagrama de Ishikawa (causaefecto). Los factores que inciden en el área son de dos tipos, aquellos que implican fuerzas de presión sobre el avance de la frontera agrícola (sociales y económicos) y los que presentan limitantes (tecnológicos y políticos) en el proceso de contribuir a su reducción. Se considela necesidad de hacer cambios en los mecanismos de gobernanza de los bosques de manera integral, basados en un enfoque social y tomando en cuenta las condiciones de la población, la conservación y protección de la Reserva Biológica Indio Maíz y finalmente la cohesión con las entidades de carácter público y privado.

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Las principales actividades económicas del municipio del Castillo Rio San Juan, son el cultivo de Maíz, frijoles, arroz, palma africana y la reforestación maderable, así como la ganadería en menor proporción. El estudio se realizó para evaluar el potencial económico de la raicilla. Para llevar acabo la investigación se aplicó una encuesta con preguntas semi-estructurada que fue aplicada a ocho productores de cinco comunidades del municipio del Castillo, departamento de Rio San Juan la cual permitió la obtención de información necesaria para la investigación. Las variables evaluadas fueron: producción, costos de producción y rentabilidad. El análisis de los resultados reveló que los ocho productores tienen una producción total de 13,476.66 kg de raicilla en un área establecida de 2.079 hectáreas, los rendimientos promedios de la raicilla en estas comunidades son de 6,488.86Kg, y los costos promedio totales de producción equivalen a 8938.76 dólares por hectáreas alcanzando una utilidad promedio de $138,626.44, la rentabilidad promedio es de 1,056%, generando utilidades superiores a los costos de producción.