493 resultados para récits
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The death has been considered a forbidden issue. To develop studies that promote reflections about it allows the enlargement of the understanding as regarding the death as about life in that both are related during the human existence. This research aimed to understand the death’s conceptions and family meanings to three different generations. For this goal, through phenomenological methodology, were achieved individual interviews with adolescents, both his parents and the grandfather, all belonging to the same family. After to understand the participant’s experiences, six thematic categories were created: a) Death’s meanings; b) The death of himself; c) The death of another and/or its possibility; d) Sources of support; e) The family in the death’s presence; f) The life in the death’s inevitability presence. From these categories, the dates were phenomenologically. The participants showed similar reports in several times, confirming the literature that says that the daily life experiences among the family members take the family to form a peculiar way to understand and an interpret their experiences. This identity family, however, did not prevent each participant to develop his particular history based in idiosyncratic elements and associated with the stage of life cycle that it is. The reports showed that the prohibition of death in society is still very present, which prevents that discussions about the issue are present in daily life. This study provided for participants to reflect on their experiences around the phenomenon of death and, consequently, about the inseparable relationship between living and dying. It has also reiterated the literature, showing the similarity of views among the family members of three generations face a vital phenomenon potentially impacting the life cycle of individual and family.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Pós-graduação em Estudos Literários - FCLAR
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Pós-graduação em Estudos Literários - FCLAR
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From 1986 to 1994, Patrick Chamoiseau and Raphaël Confiant published a series of fictional and non-fictional writings focusing on language issues. Interest in these themes can certainly in part be explained by the "surconscience linguistique" that Lise Gauvin attributes to Francophone authors: a linguistic over-awareness which, in the case of these two Martiniquais writers, may be attributed to their Creole-French diglossia. Although we might believe that the idea of Gauvin is right, it doesn't seem enough to explain why the linguistic theme plays such a central role in Chamoiseau's and Confiant's works. Deeply influenced by Glissant's theories on Creole popular culture and Antillean literature (Le discours antillais), they conceived a "Créolité" poetics based on a primarly identity-based and geopolitical discourse. Declaring the need to build an authentically Creole literary discourse, one that finally expresses the Martiniquais reality, Chamoiseau and Confiant (as well as Bernabé, third and last author of Éloge de la créolité) found the «foundations of [their] being» in orality and its poetics in the Creole language. This belief was maily translated into their works in two ways: by representing the (diglossic) relationships occurring between their first languages (Creole and French) and by representing the Creole parole (orality) and its function. An analysis of our authors' literary and theoretical writings will enable us to show how two works that develop around the same themes and thesis have in fact produced very divergent results, which were perhaps already perceivable in the main ambiguities of their common manifestos.
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Ce travail présente ma proposition de traduction en français de quelques extraits du livre « Ho provato a pensarti » de Claudia Cervellati, un recueil d’expériences scolaires, de témoignages, d’histoires d’élèves et d’enseignants, racontés du point de vue de l’auteur. En premier lieu, le lecteur trouvera une présentation de l’auteur et de son livre notamment à travers un interview, avec les caractéristiques du style de l’écriture et les thèmes abordés dans le récit. Suivra la traduction de quatre récits extraits du livre. Enfin, le dernier chapitre du présent mémoire aborde l’analyse du texte source accompagné d' un commentaire à la traduction. Il y sera question des raisons qui m’ont amenée à faire certains choix traductifs. Les aspects lexicaux, morphosyntaxiques, ainsi que la traduction des émotions et du langage des enfants seront également approfondis.
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Le point de départ de ce mémoire a été tout d’abord de vouloir faire connaitre la littérature camerounaise qui malgré son essor, est encore assez méconnue et ensuite d’analyser les caractéristiques, les mutations et les différentes étapes de l’évolution du roman francophone au fil des années. Pour ce faire, nous avons tout d’abord illustré la situation historique, ethnique et linguistique du Cameroun. Ensuite, nous avons fait état de l’éclosion de la littérature camerounaise, le long éveil de la littérature camerounaise anglophone, analysé les deux générations de romanciers camerounais pour enfin conclure le mémoire avec l’étude de deux romans: Ville Cruelle d’Eza Boto et Le Fils d’Agatha Moudio de Francis Bebey. Nous nous focaliserons surtout sur l’analyse des thématiques les plus importantes de ces récits pour voir comment ces thématiques sont traitées dans les deux romans et découvrir les principales mutations qui sont survenues lors du passage d’une génération à l’autre.
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Che cosa fa di una storia una buona storia? Che cosa significa ascoltare? Perché ci piace raccontare storie altrui? In che cosa consiste l’editing e fino a che punto è invasivo? Che cosa succede fra chi racconta e chi ascolta? La risposta a queste domande è nascosta in ogni intervista. Le storie raccolte in questa tesi si offrono a molte possibili letture da parte di critici letterari, sociologi, filosofi. È necessario però anche ascoltare, registrare, annotare le parole di qualcuno che regala la sua storia; perciò la tesi è un intreccio di ricerca teorica ed empirica. Si interrogano psicologi per scoprire che cosa succede fra chi racconta e chi ascolta; giornalisti per imparare in che cosa consiste l’editing; critici letterari per capire perché ci piace raccontare storie altrui; filosofi per mostrare che cosa significa ascoltare; scrittori per definire che cosa faccia di una storia una buona storia. Alle persone incontrate viene chiesto soltanto di ricordarsi, raccontarsi e affidarsi a quella duplice ricerca del senso anche chiamata intervista. L'intervista che fa da protagonista a questa tesi, "Polvere, pane e burro", è stata pubblicata sul numero 225 della rivista Una Città. I punti di riferimento sono infatti, da una parte, la redazione di Una Città -con cui ho collaborato per tre anni- e lo scrittore italiano Aldo Nove, autore di "Mi chiamo Roberta, ho 40 anni, guadagno 250 euro al mese". Un'intervista ad Aldo Nove è presente in appendice.
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À l’origine était le jardin. éden biblique, paradis persan, jardins clos d’innombrables mythes et récits. La condition des mortels découle de l’arrachement à ce premier terreau. L’humain dès lors n’a de cesse d’en repenser la perfection et de la reproduire en autant de paradis miniatures. Le jardin, en réduisant le monde à un espace clos, tente de se l’approprier et de le dominer. En ceci, il remplit une fonction d’ordre magique. Mondes clos est le résultat d’une rencontre interdisciplinaire organisée au printemps 2011 par l’Unité d’histoire des religions de l’Université de Genève en collaboration avec Asdiwal, revue genevoise d’anthropologie et d’histoire des religions.
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Cette thèse analyse la manifestation de la tradition dans certains textes des écrivains migrants au Québec, nommément La Québécoite et L’Immense fatigue des pierres de Régine Robin, Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer, Cette grenade dans la main du jeune nègre est-elle une arme ou un fruit ?, Pays sans chapeau et L’Énigme du retour de Dany Laferrière et, enfin L’Ingratitude et Immobile de Ying Chen. Les références à des récits, à des croyances et à des pratiques collectives qui se trouvent dans ces textes signalent une transformation de la transmission de l’héritage culturel d’une génération à l’autre. Afin de parvenir à une meilleure compréhension des liens entre la mémoire collective et la communauté culturelle se définissant dans le présent, je me sers du travail de folkloristes comme Alan Dundes, Simon Bronner et Richard Handler de même que des théories sur la faculté de la tradition proposées par Paul Ricœur, Walter Benjamin et Pierre Nora. Dans la première partie de la thèse, j’étudie l’imaginaire populaire du XIXe siècle et son incorporation dans la littérature canadienne-française de l’époque. Ensuite, j’analyse la remise en question de la tradition – de même que le rôle sous-jacent qu’elle continue de jouer, lors de la Révolution tranquille. Par rapport à ces deux périodes précédentes, l’usage du folklore chez les auteurs migrants laisse présager une nouvelle opération de la tradition dans un contexte où plusieurs groupes culturels se rencontrent. Dans un contexte pluraliste, l’idée de la communauté culturelle est fabriquée en fonction de notre appartenance à plusieurs groupes. Je m’intéresse à comment les gens qui habitent ensemble formulent des liens au passé même dans une situation dans laquelle ils ne partagent pas les mêmes rapports à la mémoire collective. Explorant le renouvellement, qui peut sembler paradoxal, de la tradition, je forme l’hypothèse qu’il est possible pour un groupe de se définir en fonction de valeurs culturelles puisées dans un passé collectif qui s’adaptent constamment à la réalité actuelle.
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L’empire colonial est un élément central de la construction officielle de l’identité nationale portugaise. Le processus d’indépendance des anciennes colonies après le 25 avril 1974 a conduit à la reconfiguration des manières de raconter le passé. Basé sur deux études de cas, cet article prétend analyser comment des nouvelles médiations et des nouveaux récits ont été utilisés pour reconfigurer cette mémoire. Le cas de la construction biographique du joueur de football mozambicain Eusébio da Silva Ferreira, le grand héros du football portugais, et l’analyse de l’héritage de l’architecture coloniale moderne portugaise visent à démontrer le rôle que ces récits produits dans des champs d’activités spécifiques ont joué dans le maintien d’un discours portant sur la grandeur coloniale, discours qui est lui-même une dimension de l’institutionnalisation de ces champs.
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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.
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La canicule des pauvres (2009) raconte dans le détail la vie quotidienne de vingt-six personnages habitant Le Galant, une ancienne maison de passe transformée en un immeuble locatif situé à Montréal, au cœur du Quartier latin. Cette étude prend acte du fait que ce roman choral dresse un portrait particulier et complexe de la ville. Les questions qu’elle se pose sont de cet ordre : qu’est-ce que cette représentation de Montréal nous apprend de la société québécoise actuelle ? que devient la civilisation urbaine — l’urbanité, au sens ancien du terme — dans le monde de La canicule des pauvres ? comment l’écriture de DesRochers travaille-t-elle les représentations habituelles de la ville, que celles-ci proviennent de l’imaginaire social contemporain ou de la littérature passée ? existe-t-il telle chose qu’une postmodernité montréalaise ? S’inspirant des principes de la sociocritique des textes, la lecture proposée postule que c’est dans la forme même du texte que peut se comprendre le complexe de sens lié à la représentation de Montréal élaborée par le roman. Par les images qu’il en donne, par les modes d’énonciation et de narration, par la façon d’unir l’efficacité des brefs chapitres et l’ampleur de la vision romanesque, par les multiples récits de vie décrits et leurs entrecroisements, le roman donne à lire une ville devenue par bien des côtés étrangère et opaque à ses propres habitants. L’étude comprend quatre parties qui examinent respectivement les principaux traits de la mise en texte, la fragmentation du récit, le motif récurrent du smog et la façon de présenter les relations interindividuelles. Au bout du chemin, la ville apparaît paradoxale, vivante certes, mais sans proposer une manière cohérente et émancipatrice du vivre ensemble.
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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.