1000 resultados para violência psicológica conjugal
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UANL
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Un résumé est également disponible en anglais.
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Au cours des dernières décennies, plusieurs changements sociaux survenus au Québec ont eu pour conséquence une perte d’intérêt pour le mariage et l’apparition de l’union libre en tant que statut socialement accepté. Avec les nouvelles mentalités liées à la réussite professionnelle et individuelle, la fécondité a baissé. Dans notre étude, nous comptons observer non seulement les écarts de fécondité par région de provenance, qui ont déjà fait l’objet de précédentes recherches, mais également ceux régis par le statut conjugal des femmes (mariées ou en union libre). L’objectif de notre recherche consiste à déterminer si la fécondité des immigrantes est plus élevée que celle des femmes natives et si les différences de fécondité en fonction des statuts conjugaux de mariée ou en union libre, sont identiques pour tous les groupes d’immigrantes et de femmes natives. Les résultats tirés du recensement canadien de 2006 nous ont permis de constater que la fécondité est plus élevée pour la plupart des femmes immigrantes. Cependant, en distinguant les mariées et celles en union libre on remarque que les femmes ayant une fécondité supérieure à celle des natives représentent une plus faible proportion que lorsque l’on considère l’ensemble des immigrantes. Bien qu’on observe des différences entre les statuts conjugaux, la tendance montre que les femmes qui ont une fécondité plus élevée dans le mariage par rapport aux natives sont également dans cette situation lorsqu’elles sont en union libre. Enfin, la majorité des femmes mariées ont un taux de fécondité plus élevé que celles en union libre.
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La violence conjugale est un phénomène criminel fréquent au Québec. En 2008, les infractions commises en contexte conjugal représentaient plus de 20 % des crimes contre la personne signalés à la police (Ministère de la Sécurité publique, 2010). L’intervention policière et judiciaire en contexte conjugal est complexe, notamment en raison du lien unissant l’agresseur et la victime. Bien que le pouvoir discrétionnaire des intervenants judiciaires en contexte conjugal ait été grandement limité au cours des dernières décennies, ceux-ci bénéficient toujours d’une certaine latitude dans leur décision de poursuivre, ou non, différentes étapes du processus judiciaire. Au fil du temps, plusieurs études se sont intéressées aux éléments influençant la prise de décision en contexte conjugal. Cependant, celles-ci ne portent généralement que sur une seule étape du processus et certains facteurs décisionnels n’ont jamais été testés empiriquement. C’est notamment le cas des éléments liés aux stéréotypes de la violence conjugale. Certains auteurs mentionnent que les incidents qui ne correspondent pas au stéréotype de l’agresseur masculin violentant une victime qualifiée d’irréprochable et d’innocente font l’objet d’un traitement judiciaire plus sommaire, mais ces affirmations ne reposent, à notre connaissance, sur aucune donnée empirique. Cette étude tente de vérifier cette hypothèse en examinant l’impact de ces éléments sur cinq décisions policières et judiciaires. À partir d’une analyse de contenu quantitative de divers documents liés au cheminement judiciaire de 371 incidents commis en contexte conjugal sur le territoire du Centre opérationnel Nord du Service de police de la Ville de Montréal en 2008, la thèse examine l’utilisation du pouvoir discrétionnaire dans le traitement judiciaire de ces incidents. Elle comporte trois objectifs spécifiques. Le premier objectif permet la description du cheminement judiciaire des incidents commis en contexte conjugal. Nos résultats indiquent que ceux-ci font l’objet d’un traitement plus punitif puisqu’ils font plus fréquemment l’objet de procédures à la cour que les autres types de crimes. Cette judiciarisation plus systématique pourrait expliquer le faible taux de condamnation de ceux-ci (17,2 %). Le second objectif permet la description des principales caractéristiques de ces incidents. La majorité implique des gestes de violence physique et les policiers interviennent généralement auprès de conjoints actuels. La plupart des victimes rapportent la présence de violences antérieures au sein du couple et le tiers veulent porter plainte contre le suspect. Finalement, 78 % des incidents impliquent un agresseur masculin et une victime féminine et 14,29 % des victimes sont soupçonnées d’avoir posé le premier geste hostile ou violent lors de l’incident. Le dernier objectif permet l’identification des principaux éléments associés aux décisions prises en contexte conjugal. Les résultats confirment l’hypothèse selon laquelle les incidents n’impliquant pas un agresseur masculin et une victime féminine ou ceux dont les policiers soupçonnent la victime d’avoir posé le premier geste hostile ou violent font l’objet d’un traitement judiciaire plus sommaire. En outre, la majorité des facteurs décisionnels étudiés perdent de leur influence au cours du processus judiciaire et les décisions prises précédemment influencent fortement les décisions subséquentes. Finalement, le désir de porter plainte de la victime n’influence pas directement les décisions des intervenants judiciaires.
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Resum de la XIIa Setmana Psicològica, organizada per l'Associació d'Estudiants de Recerca i Promoció Psicològica, ARRP
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Resum de la XIIIa Setmana Psicològica, organitzada per l'Associació per la Recerca i Promoció de la Psicologia (ARPP)
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Aquest any al seminari que organitzem al Centre de Recerca en Estudis de les Dones Duoda de la Universitat de Barcelona, ens hem proposat interrogar-nos, una vegada més, sobre una de les realitats humanes i polÃtiques mes crues en què es concreta el desordre que causa en alguns homes, en el present, el que anomenem el "final del patriarcat": la violència contra les dones. Aquesta violència, que ha existit des que va sorgir el patriarcat per a intentar apoderar-se de la paraula i del sentit del ser dona en el món, és ja expressable per a moltes dones a Occident i també a Orient
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Breu crònica de la XIV i XV Setmana psicològica
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Reflexiones y propuestas desarrolladas a través de una larga serie de investigaciones sobre como mejorar la convivencia educativa y prevenir los principales obstáculos, como son la exclusión y la violencia. La ponencia se estructura en cinco apartados: La exclusión y la violencia, dos problemas estrechamente relacionados; la educación familiar hoy; las condiciones de riesgo y de protección desde las familias; los principios básicos para los programas de intervención a través de la familia; los programas para familias con adolescentes en situación de riesgo desarrollados a través de la investigación-acción.
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Las muertes en el Estado español durante el 2006 debido a la violencia doméstica fue de un total de 69 mujeres, tres de las cuales residÃan en las Islas Baleares. Se trata de reivindicar la toma de conciencia en relación a las desigualdades por razón de sexo ya que es uno de los derechos humanos de cualquier individuo. Se debe respetar el trabajo de las mujeres que han conseguido que lo privado sea público y se exige al Gobierno que promueva leyes que provoquen igualdad; denunciando la imagen del hombre posesivo y prepotente.
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Se relatan los temas que se trataron en las jornadas llevadas a cabo en Palma de Mallorca sobre la violencia de género, organizadas por la PolicÃa Local y el Ayuntamiento de dicha localidad. Mediante gran variedad de profesionales como policÃas, psicólogas, abogados, escritoras; asà como des de diferentes organizaciones como AmnistÃa Internacional o el Instituto Balear de la Mujer, se trató el tema de la violencia contra las mujeres. Se llevaron a cabo varias propuestas tanto por parte de los profesionales como por parte de los participantes, los cuales consideran necesario trabajar de forma sistemática la discriminación y el machismo, y tratar el tema de la violencia de género como una realidad que viola los derechos humanos.
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El acoso laboral o mobbing, ha sido reconocido y regulado en Colombia a partir de la expedición de la Ley 1010 de 2006, a través de la cual se pretende identificar, prevenir y sancionar las situaciones de acoso que se den en el lugar de trabajo. Sin embargo, ante la novedad del tema y su regulación jurÃdica, han surgido numerosas dudas con respecto a su identificación, sanción y posibilidad de denuncia. La presente investigación busca entonces plantear las dudas principales e intenta darles una respuesta desde el punto de vista jurÃdico, no sin antes hacer un análisis de los principales autores en la materia que lo han abordado desde su aspecto psicológico. Igualmente en el presente trabajo se realiza un análisis jurisprudencial y se generan una serie de propuestas que contribuirÃan a la prevención y sanción de este fenómeno y principalmente hacia su conocimiento por parte de los diferentes actores del acoso laboral.
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Resumen tomado del autor
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Resumen tomado de la publicación. Contiene mapa de conceptos
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Resumen tomado de la publicación