976 resultados para French prose literature.


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Análisis de la tragedia legendaria en tres actos publicada en 1962 por el dramaturgo francés Jean Geschwin, en la que, a partir de una original recreación del mito de Progne y Filomela, se expresa la preocupación y el desasosiego provocados por las dos décadas de sangrientos conflictos bélicos casi ininterrumpidos que estaban desgarrando a Francia.

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This book argues that disenchantment is not only a response to wartime experience, but a condition of modernity with a language that finds extreme expression in First World War literature. The objects of disenchantment are often the very same as the enchantments of scientific progress: bureaucracy, homogenisation and capitalism. Older beliefs such as religion, courage and honour are kept in view, and endure longer than often is realised. Social critics, theorists and commentators of the late nineteenth and early twentieth centuries provide a rich and previously unexplored context for wartime and post-war literature. The rise of the disenchanted narrative to its predominance in the War Books Boom of 1928 – 1930 is charted from the turn of the century in texts, archival material, sales and review data. Rarely-studied popular and middlebrow novels are analysed alongside well-known highbrow texts: D. H. Lawrence, Virginia Woolf, H. G. Wells and Rebecca West rub shoulders with forgotten figures such as Gilbert Frankau and Ernest Raymond. These sometimes jarring juxtapositions show the strained relationship between enchantment and disenchantment in the war and the post-war decade.

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This thesis examines the relation between philosophy, the poem and the subject in the mature philosophy of Alain Badiou. It investigates Badiou’s decisive contribution to these questions primarily by means of comparison, especially to Martin Heidegger, Philippe Lacoue-Labarthe and Theodor Adorno, as well as by analysing Badiou’s readings of poems and prose by Paul Celan and Samuel Beckett respectively as sites of potential dialogue with his immediate predecessors. The thesis stresses the importance of French philosophy’s German heritage, emphasising not only Badiou’s radical departure from Heidegger and his legacy, but also the former’s wholesale rejection of philosophies that would, in the wake of twentieth-century violence and beyond, proclaim their own end or completion. The thesis argues Badiou’s innovative readings of Celan and Beckett to be crucial to understanding this endeavour: for Badiou, both writers use the poem to affirm novel conceptions of subjectivity capable of transcending the historical conditions of their presentation. The title quotation from Badiou’s The Century, ‘Yes, the century is an ashen sun’, anticipates both the affirmative nature of these subjective figures, and their presience, beyond the bounds of a twentieth-century ‘ashen sun’ pervaded by melancholy, for the ‘new suns’ of the twenty-first. The thesis is in four chapters. The first chapter unfolds the central concepts of Badiou’s departure from Heidegger using Paul Celan’s poems to focus the enquiry. It is guided by two of Badiou’s most condensed declarations about the poem, that, firstly, ‘the modern poem harbours a central silence’, and secondly, that ‘Celan completes Heidegger’. The second chapter exposes the political implications of Heidegger’s writings on Friedrich Hölderlin and the role of the subject therein, offering at its close some thoughts about what Badiou calls, following Philippe Lacoue-Labarthe, the poem’s ‘becoming-prose’. It concludes by drawing the poem and politics into relation by way of the philosophical category of the subject. The third chapter reads Badiou’s concept of ‘anabasis’ against Heidegger’s ‘homecoming’ in order to think the possibility of a collective political subject’s formation in the wake of Auschwitz. The final chapter examines the imbrication of the Two of love and the ‘latent poem’ in Badiou’s reading of Samuel Beckett’s late prose, contrasting this ‘affirmative’ reading of Beckett to Theodor Adorno’s earlier emphases on negation. Following its investigations of subjectivity, poem and prose throughout, the thesis concludes by returning to the title quotation in order to unfold the particular relations between subject, affirmation and negation Badiou’s philosophy enacts, and to offer further routes forward for research regarding Badiou’s philosophy and aesthetic figuration.

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Partant de la réputation naïve, colorée et digressive de La Conquête de Constantinople de Robert de Clari, ce mémoire propose une analyse méthodique de ce récit en prose vernaculaire de la quatrième croisade de façon à en circonscrire les moments de continuité et de rupture. En fonction de plusieurs facteurs, dont leurs formules d’introduction et de clôture, leur rapport au temps de la croisade, leur longueur relative ainsi que leur positionnement dans l’économie globale du texte, les épisodes divergents sont identifiés puis analysés en travaillant lestement avec trois caractéristiques fondamentales de la digression plutôt qu’avec une définition nucléaire du concept, ce qui permet de discerner des degrés de digressif et d’offrir un panorama nuancé de l’oeuvre. Afin d’adopter un regard plus large sur le phénomène de la digression, quatre autres récits de croisade sont étudiés, et tous, qu’ils soient écrits en prose ou en vers, en français ou en latin, sont à leur façon coupables de s’être laissés emporter par leur sujet dans des excursus qui trahissent la personnalité et les convictions de leur auteur. Tout comme Clari, Villehardouin, l’auteur de l’Estoire de la guerre sainte, Eudes de Deuil et Albert d’Aix laissent entrevoir leur propre histoire lorsque celle qu’ils mettent à l’écrit s’égare de la droite voie de sa narration. Les digressions contenues dans les récits de croisade constituent ainsi une fenêtre privilégiée sur l’histoire des mentalités du Moyen Âge central, une mine d’informations qui ne peut être adéquatement exploitée que par les efforts conjoints de l’histoire et de la littérature.

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Ce mémoire s’intéresse à la structure du recueil de poésie en prose Le Cornet à dés (1917) de Max Jacob. À la lecture de l’ensemble, on remarque qu’il est sans cesse question de choses ou d’évènements auxquels renvoient les diverses significations du mot tableau : œuvres picturales, descriptions imagées, cadres de fenêtre ou de porte, vieillards (vieux tableaux), tableaux vivants, subdivisions de pièces de théâtre ou encore tableaux d’école. Subdivisé en trois chapitres, ce travail s’attachera dans un premier temps au fait que tous ces homonymes sont traités, dans les poèmes, comme des peintures. Entre fixité et mouvement, les descriptions et les narrations rapprochent la littérature de l’art pictural, ce qui contribue à l’esthétique du doute caractéristique de l’œuvre de Max Jacob. Le deuxième chapitre s’intéresse aux procédés de reprise et à la manière dont ils permettent de faire des liens entre les poèmes. À partir des théories du mouvement et de la répétition, nous verrons comment les divers motifs forment, à la manière des dés, différentes combinaisons d’une pièce à l’autre. Inspiré par les peintres cubistes qui présentent simultanément tous les angles d’un même objet, l’auteur fait le tour du mot tableau. Dans le dernier chapitre, il ressort que la juxtaposition des poèmes donne accès à un surcroît de signification : certains éléments arbitraires comme des titres obscurs prennent soudainement sens. Une réflexion sur la lecture vient compléter ce travail puisque les nombreuses répétitions sont traitées dans la mémoire. Ce travail s’inscrit dans le champ des études sur le recueil et s’appuie principalement sur l’analyse de poèmes.

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Partant de la réputation naïve, colorée et digressive de La Conquête de Constantinople de Robert de Clari, ce mémoire propose une analyse méthodique de ce récit en prose vernaculaire de la quatrième croisade de façon à en circonscrire les moments de continuité et de rupture. En fonction de plusieurs facteurs, dont leurs formules d’introduction et de clôture, leur rapport au temps de la croisade, leur longueur relative ainsi que leur positionnement dans l’économie globale du texte, les épisodes divergents sont identifiés puis analysés en travaillant lestement avec trois caractéristiques fondamentales de la digression plutôt qu’avec une définition nucléaire du concept, ce qui permet de discerner des degrés de digressif et d’offrir un panorama nuancé de l’oeuvre. Afin d’adopter un regard plus large sur le phénomène de la digression, quatre autres récits de croisade sont étudiés, et tous, qu’ils soient écrits en prose ou en vers, en français ou en latin, sont à leur façon coupables de s’être laissés emporter par leur sujet dans des excursus qui trahissent la personnalité et les convictions de leur auteur. Tout comme Clari, Villehardouin, l’auteur de l’Estoire de la guerre sainte, Eudes de Deuil et Albert d’Aix laissent entrevoir leur propre histoire lorsque celle qu’ils mettent à l’écrit s’égare de la droite voie de sa narration. Les digressions contenues dans les récits de croisade constituent ainsi une fenêtre privilégiée sur l’histoire des mentalités du Moyen Âge central, une mine d’informations qui ne peut être adéquatement exploitée que par les efforts conjoints de l’histoire et de la littérature.

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Ce mémoire s’intéresse à la structure du recueil de poésie en prose Le Cornet à dés (1917) de Max Jacob. À la lecture de l’ensemble, on remarque qu’il est sans cesse question de choses ou d’évènements auxquels renvoient les diverses significations du mot tableau : œuvres picturales, descriptions imagées, cadres de fenêtre ou de porte, vieillards (vieux tableaux), tableaux vivants, subdivisions de pièces de théâtre ou encore tableaux d’école. Subdivisé en trois chapitres, ce travail s’attachera dans un premier temps au fait que tous ces homonymes sont traités, dans les poèmes, comme des peintures. Entre fixité et mouvement, les descriptions et les narrations rapprochent la littérature de l’art pictural, ce qui contribue à l’esthétique du doute caractéristique de l’œuvre de Max Jacob. Le deuxième chapitre s’intéresse aux procédés de reprise et à la manière dont ils permettent de faire des liens entre les poèmes. À partir des théories du mouvement et de la répétition, nous verrons comment les divers motifs forment, à la manière des dés, différentes combinaisons d’une pièce à l’autre. Inspiré par les peintres cubistes qui présentent simultanément tous les angles d’un même objet, l’auteur fait le tour du mot tableau. Dans le dernier chapitre, il ressort que la juxtaposition des poèmes donne accès à un surcroît de signification : certains éléments arbitraires comme des titres obscurs prennent soudainement sens. Une réflexion sur la lecture vient compléter ce travail puisque les nombreuses répétitions sont traitées dans la mémoire. Ce travail s’inscrit dans le champ des études sur le recueil et s’appuie principalement sur l’analyse de poèmes.

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This paper compares perceptions of integrated marketing communication (IMC) to establish whether consumers perceive integration in the same way as the literature. It begins by reviewing the literature to identify shared assumptions about integration and factors thought to contribute to the integration of marketing communication and, in an experiment, compares these with the perceptions of consumers. Many of the shared assumptions in the literature have been supported by the findings of this study. Integration has been demonstrated to be both a strategy and a tactic. The strategic side is part of a management process and is unable to be observed by consumers from the marketing communication output. Consumers can, however, identify the tactics and are able to recall a number of integration factors such as logo, corporate colours and image. Consumers in the total message integration groups perceived the messages they received as more integrated than those in partial integration or no integration groups.