Individuo e relazione nella filosofia di Spinoza

Dal principio di individuazione al processo di costituzione degli individui, la connessione tra metafisica e fisica, da un lato, e tra fisica e politica, dall'altro, è dimostrata attraverso un'analisi lessicale e concettuale dei termini «individuo (individuum)» e «relazione (relatio, ens rationis, ens imaginationis)» nella filosofia di Baruch/Bento/Benedictus Spinoza.

Une ethnographie de la gestion de la population rom en Albanie

Cette thèse propose une ethnographie de la gestion de la population rom en Albanie, saisie sur deux périodes historiques : communisme et postcommunisme. L’analyse porte sur la façon dont divers instruments de gestion des populations en tant que techniques de pouvoir, sont mises en œuvre ; comment une population donnée devient-elle un sujet politique ? Quels sont les effets d’une telle gestion sur les populations en général et sur les populations roms en particulier ? Cette approche, une approche foucaldienne, replace ainsi au centre de l’analyse empirique les politiques, les pratiques et les discours concernant les Roms en Albanie et essaye de saisir les effets qu’ils produisent sur cette population. Cette thèse part de ces éléments pour interroger plus largement les transformations sociétales dans l’Albanie postcommuniste. Ce travail s’inscrit dans le champ de l’anthropologie politique et conjugue à la fois une anthropologie de l’État et une anthropologie de la violence. Il s’articule autour de trois parties. La première porte sur la contextualisation de cette thèse, du point de vue conceptuel, méthodologique et théorique. La deuxième partie propose une analyse des relations que l’État a entretenues avec les Roms pendant la période communiste, phase durant laquelle la population rom a été exposée à diverses mesures administratives visant sa normalisation, à travers une sédentarisation forcée et d’autres mesures coercitives. La troisième partie, précédée par un intermède sur la période de la transition, interroge la relation entre l’État, la violence, la mobilité et la gestion de la population rom en Albanie depuis la chute du communisme. L’analyse se fait à partir d’un cas spécifique, celui des familles roms déplacées et en déplacement aux alentours de Tirana ; une mobilité forcée notamment par peu d’opportunités de sortir de la précarité pour plusieurs familles roms, mais aussi une mobilité induite par les politiques, les pratiques et les discours étatiques, notamment par leur non-action. Au fur et à mesure que l’analyse des pratiques et des discours – complétée par une ethnographie des documents d’archives et dans les quartiers et les campements roms – s’approfondit pendant les deux périodes historiques, elle dévoile de nombreuses – mais différentes – contradictions et controverses au sein du dispositif, lesquelles produisent à leur tour discrimination, exclusion, violence, indifférence et abandon.

Une ethnographie de la gestion de la population rom en Albanie

Cette thèse propose une ethnographie de la gestion de la population rom en Albanie, saisie sur deux périodes historiques : communisme et postcommunisme. L’analyse porte sur la façon dont divers instruments de gestion des populations en tant que techniques de pouvoir, sont mises en œuvre ; comment une population donnée devient-elle un sujet politique ? Quels sont les effets d’une telle gestion sur les populations en général et sur les populations roms en particulier ? Cette approche, une approche foucaldienne, replace ainsi au centre de l’analyse empirique les politiques, les pratiques et les discours concernant les Roms en Albanie et essaye de saisir les effets qu’ils produisent sur cette population. Cette thèse part de ces éléments pour interroger plus largement les transformations sociétales dans l’Albanie postcommuniste. Ce travail s’inscrit dans le champ de l’anthropologie politique et conjugue à la fois une anthropologie de l’État et une anthropologie de la violence. Il s’articule autour de trois parties. La première porte sur la contextualisation de cette thèse, du point de vue conceptuel, méthodologique et théorique. La deuxième partie propose une analyse des relations que l’État a entretenues avec les Roms pendant la période communiste, phase durant laquelle la population rom a été exposée à diverses mesures administratives visant sa normalisation, à travers une sédentarisation forcée et d’autres mesures coercitives. La troisième partie, précédée par un intermède sur la période de la transition, interroge la relation entre l’État, la violence, la mobilité et la gestion de la population rom en Albanie depuis la chute du communisme. L’analyse se fait à partir d’un cas spécifique, celui des familles roms déplacées et en déplacement aux alentours de Tirana ; une mobilité forcée notamment par peu d’opportunités de sortir de la précarité pour plusieurs familles roms, mais aussi une mobilité induite par les politiques, les pratiques et les discours étatiques, notamment par leur non-action. Au fur et à mesure que l’analyse des pratiques et des discours – complétée par une ethnographie des documents d’archives et dans les quartiers et les campements roms – s’approfondit pendant les deux périodes historiques, elle dévoile de nombreuses – mais différentes – contradictions et controverses au sein du dispositif, lesquelles produisent à leur tour discrimination, exclusion, violence, indifférence et abandon.

Dictionary of philosophy and psychology : including many of the principal conceptions of ethics, logic, aesthetics, philosophy of religion, mental pathology, anthropology, biology, neurology, physiology, economics, political and social philosophy, philology, physical science, and education, and giving a terminology in English, French, German, and Italian /

Mode of access: Internet.

Widening the context for interdisciplinary social research : SFL as a method for sociology, anthropology, and communication research

In this paper, I show clear links between the theoretical underpinnings of SFL and those of specific sociological, anthropological, and communication research traditions. My purpose in doing so is to argue that SFL is an excellent interdisciplinary research method for the social sciences, especially considering the emergent form of political economy being touted by new media enthusiasts: the so called knowledge (or information) economy. To demonstrate the flexibility and salience of SFL in diverse traditions of social research, and as evidence of its ability to be deployed as a flexible research method across formerly impermeable disciplinary and social boundaries, I use analyses from my doctoral research, relating these - theoretically speaking - to specific research traditions in sociology, communication, and anthropology.

Out of control : Emergent cultural landscapes and political change in urban Vietnam

This paper plots the recent changes in the uses of public space in Hanoi, Vietnam. It is argued that the economic and social changes in contemporary Vietnam have paved the way for a dramatic transformation in the ways in which streets, pavements and markets are experienced and imagined by the populace. The efflorescence of individual mobility, street-trading and public crowding around certain popular events has led to the emergence of a distinct public sphere, one which is not immune from state control and censure but which is a flagrant rebuttal of the state's appeal. The immediate struggles over space herald a new discursive arena for the contest over Vietnamese national imagery as represented in cultural heritage and public space, memorials and state-controlled events which the public are rapidly deserting. The paper concludes by suggesting that the everyday cultural practices that have created a bustling streetlife in urban Vietnam will inevitably provide the vitality and spectacle for the destabilisation of state control in a struggle for meanings in public space.

Introduction : the anthropology of migration

This introduction to the volume places the study of migration within the wider processes of social change and the complex actions of class, gender and ethnicity that are integrated into the experience of displacement. It argues that the articles in this volume contribute important new ethnographic and theoretical analyses to our knowledge and understanding of the constraints and the opportunities provided by cultural diversity in several societies by elaborating upon recent advances made in conceptualisations of migrancy. It places particular emphasis on developing phenomenological approaches to migration studies which incorporate the lived experience of migrants into any analysis. It also suggests that redressing the neglect of this area of study in Australia has the possibility of generating informed interruptions into the current political shift towards divisive public debates on immigration and cultural pluralism.

The political philosophy of Miki Kiyoshi: A close reading of the philosophical foundations of cooperative communitarianism

The thesis is a historical and philological study of the mature political theory of Miki Kiyoshi (1897-1945) focused on Philosophical Foundations of Cooperative Communitarianism (1939), a full translation of which is included. As the name suggests, it was a methodological and normative communitarianism, which critically built on liberalism, Marxism and Confucianism to realise a regional political community. Some of Miki’s Western readers have wrongly considered him a fascist ideologue, while he has been considered a humanist Marxist in Japan. A closer reading cannot support either view. The thesis argues that the Anglophone study of Japanese philosophy is a degenerating research programme ripe for revolution in the sense of returning full circle to an original point. That means returning to the texts, reading them contextually and philologically, in principle as early modern European political theory is read by intellectual historians, such as the representatives of Cambridge School history of political thought. The resulting reading builds critically on the Japanese scholarship and relates it to contemporary Western and postcolonial political theory and the East Asian tradition, particularly neo-Confucianism. The thesis argues for a Cambridge School perspective radicalised by the critical addendum of geo-cultural context, supplemented by Geertzian intercultural hermeneutics and a Saidian ‘return to philology’. As against those who have seen radical reorientations in Miki’s political thought, the thesis finds gradual progression and continuity between his neo-Kantian, existentialist, Marxian anthropology, Hegelian and finally communitarian phases. The theoretical underpinnings are his philosophical anthropology, a structurationist social theory of praxis, and a critique of liberalism, Marxism, nationalism and idealism emphasising concrete as opposed to abstract theory and the need to build on existing cultural traditions to modernise rather than westernise East Asia. This post-Western fusion was imagined to be the beginning of a true and pluralistic universalism.

Typical reggaeton in Morocco: forms of female political affirmation throught dance

Through an ethnographic account, this text analyses how social dance may become a discourse involving the cultural affirmation of a subordinate group. It describes how a group of girls faced with a complex of outlooks that construed them as Moroccan, Muslim or unattractive —or as objects of education and intervention— responded by affirming their own culture with an unanticipated corporal discourse. The way in which looking construes bodies is explored through metaphors: a hand that touches, a chisel that sculpts, a whip that lashes and a cobweb that controls and traps bodies. Owing to this political dimension of dance, workshops can also be an oppressive and silencing tool; to prevent this, the article concludes with a series of recommendations to implement dance in social intervention processes.

Anthropology, Socialist Prediction and William Morris’s Commonweal

In the late nineteenth century, a number of writers turned to anthropology to predict a socialist future. They included prominent revolutionary socialists: Friedrich Engels, William Morris and members of the Socialist League. Contextualising the appropriation of the anthropologist Lewis Henry Morgan by such readers, this article also pays particular attention to socialist popularisations of anthropology, particularly those by Morris and his fellow writers in his penny weekly, the Commonweal. Focusing on Morris’s articles on ancient society helps to illuminate his own understanding of history, art and socialism. It also sheds new light on his predictive fiction News from Nowhere, which was originally read alongside Commonweal non-fiction. Both, I will argue, encouraged readers to see the future in the struggles of the ancient past.