984 resultados para Philip the Chancellor
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
1st ed., 1783.
Resumo:
"Index to the history of the reign of Philip the Second" : p. [270]-282.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Mode of access: Internet.
Resumo:
Vol. 2 lacks edition statement.
Resumo:
After the change of regime in 1989, Hungarian higher education started to return to its Humboldtian tradition. It was widely accepted that academic freedom could be guaranteed by high degree of institutional autonomy manifested especially in structures of self-governance and avoidance of direct state supervision/interventions. Attempts to introduce boards and other supervising bodies were successfully resisted until 2011. The new government coming into power in 2010, however, introduced new mechanisms of supervision and changed institutional governance and reduced institutional autonomy considerably. Changes in the selection of rectors, the appearance of state-appointed financial inspectors and the newly appointed Chancellors responsible for the finance, maintenance and administration of institutions are important milestones in this process. In the paper I review these developments focusing especially on the analysis of the Chancellor system.
Resumo:
Ce mémoire entend mettre en lumière la solution au problème du mal développée par Philippe le Chancelier dans la Summa de bono (1225-1228). À cet effet, notre analyse se polarise sur la notion du mal qui occupe à la fois le système des transcendantaux et la division du bien créé découlant du principe du souverain bien. La somme est bâtie d’après la primauté de la notion du bien transcendantal, et fut rédigée par opposition avec la doctrine manichéenne des Cathares, en vogue au XIIIe siècle, qui s’appuyait sur la prééminence de deux principes métaphysiques causant le bien et le mal, d’où devaient procéder toutes les choses de la Création. Ceci explique que nous ayons privilégié de seulement examiner les notions du bien et du mal en un sens général, car c’est au stade universel de l’ontologie du bien que l’auteur défait la possibilité du mal de nature, en amont des ramifications du bien créé, déployées, à l’envi, dans les questions de la somme où les réponses sont assignées à des problèmes spécifiques. Nous offrons ici, pour la première fois, une traduction en français d’une série de questions ayant permis de mener à bien ce projet.
Resumo:
L’herméneutique de Gadamer s’inscrit-elle dans la foulée de la critique heideggérienne de la métaphysique ? Devrait-on, par surcroit, la considérer comme une forme de nihilisme, où l’être serait réduit au langage et partant, à la pluralité des interprétations ? La présente étude vise plutôt à montrer, sous la conduite des indications de Gadamer lui-même, qu’il est impératif de reconnaître à son maître-ouvrage une dimension métaphysique certaine et cruciale et dont la portée consiste précisément à s’opposer aux interprétations nihiliste et nominaliste de notre rapport à l’être. Pour ce faire il sera d’abord établi que le concept d’appartenance (Zugehörigkeit) est le maître-concept de Vérité et méthode, comme l’avait vu Ricoeur, puis comment Gadamer rattache explicitement celui-ci à la métaphysique médiévale des transcendantaux, métaphysique qui demeure visible jusque dans les dernières conclusions de l’ouvrage qui traitent de la métaphysique de la lumière (Lichtmetaphysik). Nous verrons que c’est précisément à la lumière de cette proximité constante avec la métaphysique des transcendantaux qu’il faut comprendre la thèse de Gadamer à l’effet que l’être susceptible d’être compris est langage, de manière à y voir une affirmation soutenue de l’intelligibilité de l’être, comme l’avait d’ailleurs saisi Heidegger lui-même. Notre intention est ainsi de rendre perceptibles les sources et le cadre de cette métaphysique des transcendantaux, qui ont été négligés dans la réception de Gadamer. Nous porterons donc notre regard sur les sources médiévales de sa pensée que Gadamer connaît et commente, soit Thomas d’Aquin et Nicolas de Cues, mais aussi sur des auteurs moins connus de la tradition herméneutique, dont Philippe le Chancelier, auteur indispensable lorsqu’il s’agit de traiter de la métaphysique des transcendantaux à laquelle Gadamer se réfère. Cette enquête nous amènera à démontrer comment l’herméneutique de Gadamer s’inscrit dans la conception traditionnelle de la vérité comme adaequatio rei et intellectus, définition dont nous devons surtout à Thomas de l’avoir léguée à la postérité mais qu’ont aussi reprise les modernes, incluant Kant et Heidegger. C’est ainsi une nouvelle lecture du rapport de Gadamer à son maître Heidegger et à sa critique de la métaphysique qui résultera de cette archéologie des sources métaphysiques du concept d’appartenance ; il sera en effet démontré que l’héritage de Gadamer est à comprendre, de son propre aveu, en continuité et non en rupture avec la métaphysique. Enfin, fidèle à l’esprit herméneutique de l’application, nous éprouverons cette compréhension renouvelée du concept d’appartenance à l’aune d’une discussion de nature plus théologique, de manière à jeter un éclairage nouveau sur la fécondité de l’herméneutique gadamérienne dans le contexte de la théologie moderne. C’est ainsi que le concept de foi, compris habituellement dans le cadre imposé par la métaphysique moderne de la subjectivité qui le réduit à une « croyance » ou à un « choix personnel », sera mis à l’épreuve du tournant ontologique pris par l’herméneutique avec Gadamer et qui incite à dépasser la dichotomie entre le sujet et son objet en pensant le sujet à partir de l’être. C’est une compréhension de la foi comme appartenance, au sens précis que Gadamer donne à ce concept, qui sera ici mise au jour.
Resumo:
El presente estudio tiene por objeto abordar el esfuerzo especulativo del Canciller Felipe por desarrollar, en el contexto del tratamiento sistemático de su Summa de bono, y de la consideración específica de bono naturae que conviene al ámbito del viviente, su examen acerca de la diferenciación de las potencias cognoscitivas y motivas y, asimismo, de las sensibles y de las racionales, en su reflexión orgánica sobre el alma del hombre. En el dominio de dicha elaboración de doctrina será objeto central de mi trabajo discernir el valor cognitivo del sensus y su vinculación con el objeto de la intelligentia. La psicología de la sensibilidad humana de Felipe el Canciller supone su concepción cósmico-antropológica a propósito de lo que es simpliciter a natura (aún en el ámbito de lo humano) y de lo que participa -en diversos grados jerárquicos- de la natura que emerge ut ratio. Desde un punto de vista histórico-filosófico su determinación ante el tema forma parte de un laborioso derrotero del pensamiento de autores patrísticos y medievales en torno a la naturaleza del alma y a la psicología del acto humano, en el que se hacen presentes las aportaciones de la antigüedad. Fuentes que revela la elaboración del Canciller en su análisis de sentencias de Aristóteles, de Agustín, de Juan Damasceno -entre otros antecedentes-, y que serán objeto de una compulsa dirigida a ponderar en mi trabajo el alcance de la aportación del Canciller.
Resumo:
Previous scholarship has often maintained that the Gospel of Philip is a collection of Valentinian teachings. In the present study, however, the text is read as a whole and placed into a broader context by searching for parallels from other early Christian texts. Although the Valentinian Christian identity of the Gospel of Philip is not questioned, it is read alongside those texts traditionally labelled as "mainstream Christian". It is obvious from the account of Irenaeus that the boundaries between the Valentinians and other Christians were not as clear or fixed as he probably would have hoped. This study analyzes the Valentinian Christian Gospel of Philip from two points of view: how the text constructs the Christian identity and what kind of Christianity it exemplifies. Firstly, it is observed how the author of the Gospel of Philip places himself and his Christian readers among the early Christianities of the period by emphasizing the common history and Christian features but building especially on particular texts and traditions. Secondly, it is noted how the Christian nature of an individual develops according to the Gospel of Philip. The identity of an individual is built and strengthened through rituals, experiences and teaching. Thirdly, the categorizations, attributes, beliefs and behaviour associated on the one hand with the "insiders", the true Christians, and, on the other, with outsiders in the Gospel of Philip, are analyzed using social identity theory the insiders and outsiders are described through stereotyping in the text. Overall, the study implies that the Gospel of Philip strongly emphasizes spiritual progress and transformation. Rather than depicting the Valentinians as the perfect Christians, it underlines their need for constant change and improvement. Although the author seeks to clearly distinguish the insiders from the outsiders, the boundaries of the categories are in fact fluid in the Gospel of Philip. Outsiders can become insiders and the insiders are also in danger of falling out again.