863 resultados para Job Demands-Resources Model
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Cette thèse doctorale poursuit l’objectif de mieux comprendre le rôle joué par la culture organisationnelle en tant que déterminant des problèmes de santé mentale dans la main-d’œuvre. Ceci, dans un contexte où les organisations font face à plusieurs défis importants pouvant affecter leur survie et pérennité, mais surtout face aux coûts directs et indirects reliés à ce type de problèmes qui ne cessent d’augmenter. Cette thèse fut également inspirée par les nombreuses limites constatées à la suite d’une revue de la littérature sur la santé mentale au travail, alors que les principaux modèles sur le stress professionnel (e.g. modèle demandes-contrôle de Karasek (1979), modèle demandes-contrôle-soutien de Karasek et Theorell (1990), le modèle du Déséquilibre Efforts-Récompenses de Siegrist (1996) et le modèle Demandes-Ressources de Demerouti et al., (2001)) et guidant la recherche sur le sujet, ne tiennent pas compte du contexte organisationnel élargi dans lequel se vit le travail. Un élément bien précis du contexte organisationnel est le cœur de cette thèse soit la culture organisationnelle. En effet, la culture organisationnelle joue-t-elle un rôle dans le développement et/ou l’aggravation de problèmes de santé mentale dans la main-d’œuvre? Si oui ce rôle existe, alors comment et sous quelles conditions la culture organisationnelle est-elle susceptible de protéger ou de fragiliser la santé mentale des individus? Dans le but de mieux comprendre le rôle joué par la culture organisationnelle en matière de santé mentale au travail, nous avons eu recours à un modèle théorique intégrateur exposant les relations entre la culture organisationnelle, les conditions de l’organisation du travail et la santé mentale. Cette articulation théorique est présentée sous forme d’article dans le cadre de cette thèse. De ce modèle découle deux grandes hypothèses. La première est à l’effet que les conditions de l’organisation du travail sont associées à la détresse psychologique et à l’épuisement professionnel une fois tenu en compte la culture organisationnelle. La seconde hypothèse induite par le modèle proposé, pose que les conditions de l’organisation du travail médiatisent la relation entre la culture organisationnelle et les problèmes de santé mentale au travail. Ces hypothèses de recherche furent testées à partir de données transversales obtenues dans le cadre du projet de recherche SALVEO de l’Équipe de Recherche sur le Travail et la Santé Mentale (ERTSM) de l’Université de Montréal. Les résultats obtenus sont présentés sous forme de deux articles, soumis pour publication, lesquels constituent les chapitres 5 et 6 de cette thèse. Dans l’ensemble, le modèle théorique proposé obtient un soutient empirique important et tend à démontrer que la culture organisationnelle joue indirectement sur la détresse psychologique de par son influence sur les conditions de l’organisation du travail. Pour l’épuisement professionnel, les résultats démontrent que la culture organisationnelle influence directement et indirectement les problèmes de santé mentale au travail. Les résultats corroborent l’importance de développer de nouveaux modèles théoriques pour mieux inclure des facteurs reliés à l’organisation et au contexte organisationnel plus large afin d’avoir un portrait complet de la problématique de la santé mentale au travail. Cette thèse conclue sur les implications de ces résultats pour la recherche, et pour les retombées pratiques pour la gestion des ressources humaines.
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Resumen tomado de la publicación
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Changes in the nature of work and organizations have led to an increased need for self-directed career management (SDCM). However, there is no consensus in the literature of what constitutes SDCM and many related concepts have been proposed. Integrating previous research across different conceptualizations of SDCM, the paper proposes four critical career resources which are essential for career development in the modern context: human capital resources, social resources, psychological resources, and identity resources. Implications of this framework for counselling practice are presented.
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Good work quality is crucial for employee well-being and health. Indicators of work quality are, among others, aspects of one’s work organization and learning opportunities. Based on the Job-Demands Control model we investigate if a) young employees are confronted with different combinations of job characteristics, b) cluster membership is predicted through socio-demographic and educational factors as well as positive self-evaluations and health, and c) cluster membership leads to different associations with job-related and general well-being. Based on TREE (Transition from Education to Employment) data we found three clusters of job characteristics, i.e. high resources – low demands, medium resources – medium demands, and low resources – high demands. Likelihood to be in a more favourable group was higher for females and young employees who reported more positive self-evaluations and higher learning efforts after compulsory school. Young employees in more favourable groups also reported higher levels of job-related and general well-being.
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This study examines climate for innovation as a method by which negative organizational consequences of demanding work may be lessened. It was expected that a climate for innovation would enable employees to develop coping mechanisms or improved work-related processes which counteract negative consequences of work demands. Extending the job demands-resource model (Karasek, 1979), we predicted and found that among the sample of 22,696 respondents from 131 healthcare organizations, organizational climate for innovation alleviated the negative effects of work demands on organizational performance. Thus, this study informs climate theories and guides practitioners' efforts to support the employees. © 2007 The British Psychological Society.
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This research examined to what extent and how leadership is related to organisational outcomes in healthcare. Based on the Job Demands-Resource model, a set of hypotheses was developed, which predicted that the effect of leadership on healthcare outcomes would be mediated by job design, employee engagement, work pressure, opportunity for involvement, and work-life balance. The research focused on the National Health Service (NHS) in England, and examined the relationships between senior leadership, first line supervisory leadership and outcomes. Three years of data (2008 – 2010) were gathered from four data sources: the NHS National Staff Survey, the NHS Inpatient Survey, the NHS Electronic Record, and the NHS Information Centre. The data were drawn from 390 healthcare organisations and over 285,000 staff annually for each of the three years. Parallel mediation regressions modelled both cross sectional and longitudinal designs. The findings revealed strong relationships between senior leadership and supervisor support respectively and job design, engagement, opportunity for involvement, and work-life balance, while senior leadership was also associated with work pressure. Except for job design, there were significant relationships between the mediating variables and the outcomes of patient satisfaction, employee job satisfaction, absenteeism, and turnover. Relative importance analysis showed that senior leadership accounted for significantly more variance in relationships with outcomes than supervisor support in the majority of models tested. Results are discussed in relation to theoretical and practical contributions. They suggest that leadership plays a significant role in organisational outcomes in healthcare and that previous research may have underestimated how influential senior leaders may be in relation to these outcomes. Moreover, the research suggests that leaders in healthcare may influence outcomes by the way they manage the work pressure, engagement, opportunity for involvement and work-life balance of those they lead.
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This paper explains the divergent behavior of European an US unemploymentrates using a job market matching model of the labor market with aninteraction between shocks an institutions. It shows that a reduction inTF growth rates, an increase in real interest rates, and an increase intax rates leads to a permanent increase in unemployment rates when thereplacement rates or initial tax rates are high, while no increase inunemployment occurs when institutions are "employment friendly". The paperalso shows that an increase in turbulence, modelle as an increase probabilityof skill loss, is not a robust explanation for the European unemploymentpuzzle in the context of a matching model with both endogenous job creationand job estruction.
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Si la santé psychologique au travail retient de plus en plus l’attention de la communauté scientifique et des milieux de pratique, certains aspects du phénomène restent néanmoins à explorer. Notamment, les études se sont peu attardées au fonctionnement de l’individu dans l’organisation, focalisant plutôt sur les expériences subjectives associées au bien-être et à la détresse psychologiques. En outre, l’état des connaissances sur les mécanismes sous-jacents à la santé psychologique au travail demeure embryonnaire. Faute d’écrits sur la question, la compréhension du construit s’avère partielle. Devant ce constat, la présente thèse vise à modéliser la santé psychologique au travail en y intégrant des indicateurs du fonctionnement de l’employé. Dans cette optique, cinq études, regroupées en deux articles, ont été menées auprès de quatre échantillons indépendants (Article 1 : NA = 296, NB = 350, NC = 139; Article 2 : NB = 330, NC = 128; ND = 389). Le premier article a pour objet de développer une conceptualisation et une mesure du fonctionnement de l’individu dans l’organisation. Prenant appui sur les travaux en socialisation organisationnelle et sur la théorie de la conservation des ressources (Hobfoll, 1989, 2001), l’ajustement cognitif au travail est proposé à titre d’indicateur additionnel de la santé psychologique au travail. Des analyses factorielles exploratoires et confirmatoires, de même que des analyses de cohérence interne, d’invariance temporelle et de régression, confirment les qualités psychométriques de l’instrumentation et étayent la validité de l’ajustement cognitif au travail comme indicateur de la santé psychologique au travail. Le second article s’appuie sur la conceptualisation du fonctionnement de l’employé présentée dans le premier article pour tester une modélisation de la santé psychologique au travail. Se fondant sur la théorie de la conservation des ressources (Hobfoll, 1989, 2001), la santé psychologique au travail est modélisée comme un processus incluant quatre indicateurs, soit le bien-être psychologique, la détresse psychologique, l’ajustement cognitif et les réponses comportementales de stress au travail. Deux mécanismes distincts sont mis de l’avant pour expliquer les relations unissant les indicateurs positifs de santé psychologique au travail (c.-à-d., le bien-être psychologique et l’ajustement cognitif) et celles caractérisant les indicateurs négatifs (c.-à-d., la détresse psychologique et les réponses comportementales de stress). Des analyses acheminatoires et d’invariance transculturelle révèlent la présence des deux mécanismes et montrent que, au-delà de l’influence des demandes en emploi, le bien-être psychologique exerce un effet médiateur sur la relation positive entre des ressources personnelles (c.-à-d., optimisme et résilience) et organisationnelle (c.-à-d., climat de travail) et l’ajustement cognitif au travail. Les résultats mettent également en exergue le rôle médiateur de la détresse psychologique sur la relation négative entre les mêmes ressources et les réponses comportementales de stress au travail. Une discussion générale précise la portée des résultats présentés dans le cadre des deux articles.
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INTRODUCCIÓN. El presente trabajo explora las condiciones de trabajo saludables más frecuentemente estudiadas en Colombia y Europa en el período 2002 a 2012. OBJETIVO. Este trabajo busca definir los avances en investigación de las condiciones de trabajo saludables que presentaron Colombia y Europa en el período 2002 a 2012, a través de: el análisis del concepto de salud en el trabajo desde diferentes enfoques e investigaciones; el análisis los modelos sobre condiciones saludables en el trabajo; así como la revisión, consolidación y análisis documental alrededor del estado del arte de la investigación sobre los aspectos relacionados con las condiciones psicosociales del trabajo. METODO. Investigación documental, a través de la búsqueda en base de datos y posterior consolidación, sistematización y análisis de la literatura científica que evaluaban aspectos relacionados con las condiciones de trabajo saludable, en Colombia y Europa, durante el período 2002-2012. RESULTADOS. En la revisión documental se encontró que la implementación de ambientes saludables a nivel organizacional es un esfuerzo y compromiso de los empresarios, los trabajadores y la sociedad para mejorar el bienestar de las personas en el trabajo que representa una responsabilidad social empresarial, así como una ventaja competitiva sostenible en el sector económico. De igual manera, se resalta el avance que presenta Europa y España en el desarrollo de estudios nacionales de las condiciones detrabajo saludables frente a Colombia que aún no ha tenido investigaciones de representatividad nacional.
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Conciliar el trabajo y la familia es una lucha cotidiana que cada persona realiza para satisfacer las exigencias de ambas dimensiones de su vida. El no tener consciencia del problema que surge en el empleado para lograr esta conciliación y la ausencia de soluciones eficaces a éste, no sólo afecta a la organización a través de la baja productividad, el absentismo, el aumento del estrés, entre otros efectos; sino también a la vida familiar, social, física y psicológica del trabajador. Es por ello, que este proyecto de grado busca a partir de la revisión de la literatura mostrar cómo la percepción que tienen los trabajadores de su equilibrio trabajo-familia, se ve influenciada por un factor organizativo, como lo son los turnos laborales; además evidenciar las soluciones que se han implementado en las diferentes empresas de manera exitósa, para finalmente plantear estrategias que se puedan aplicar en las organizaciones facilitando el equilibrio trabajo-familia de los trabajadores.
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Esta investigación pretende ofrecer un marco conceptual y analizar la relación entre el síndrome de burnout y el engagement desde el modelo de demandas y recursos de Demerouti, Bakker, Janssen, & Schaufeli (2001) en un grupo de enfermeras de urgencias del hospital universitario Méderi, sede Barrios Unidos (Bogotá). Para esto se realizará un estudio descriptivo correlacional donde se aplicarán: la versión argentina de Cosentino y Castro (2008) Escala de Deseabilidad Social de Crowne y Marlowe diseñada en 1960 (EDSCM), adaptada para medir la necesidad de los sujetos de obtener aprobación respondiendo de un modo culturalmente aceptable y apropiado; lo cual podría alterar los resultados de las demás pruebas. El Maslach Burnout Inventory – Human Services Survey (MBI- HSS) para medir el síndrome de burnout, el L’Utrecht Work Engagement Scala para medir el engagement y tomando en cuenta el caso Colombiano, se aplicará el cuestionario de condiciones intralaborales forma B, establecido por el Ministerio de la protección social para medir las demandas y recursos laborales. Para el análisis de resultados se utilizaron estadísticos descriptivos y correlaciónales entre las variables. Se aplico SPSS para el análisis de descriptivos y correlación de Spearman entre las diferentes variables.. El análisis teórico se fundamento en el modelo Demandas - recursos de Demelouti, Bakker, Nachreiner y Shaufeli (2001).
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This study examines the relationships between job demands (in the form of role stressors and emotional management) and employee burnout amongst high contact service employees. Employees in customer facing roles are frequently required to manage overwhelming, conflicting or ambiguous demands, which they may feel ill-equipped to handle. Simultaneously, they must manage the emotions they display towards customers, suppressing some, and expressing others, be they genuine or contrived. If the in-role effort required of employees exceeds their inherent capacity to cope, burnout may result. Burnout, in turn, can have serious detrimental consequences for the psychological well being of employees. We find that both emotional management and role stressors impact burnout. We also confirm that burnout predicts psychological strain. In line with the Job Demands and Resources Model, we examine the mitigating impact of perceived support on these relationships but do not find a significant mitigating impact.
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The Article suggests a possible approach to creation of the Intellectual Management System for human resources and personnel (during their professional tasks solving), and that could consider personal characteristics and psychological condition of the human resources as an “unreliable” element. The Article describes some elements of the Intellectual Management System: professional activity model and “unreliable” element (human resources) model.