963 resultados para Gliome de haut grade
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Le neuroblastome (NB) est une tumeur fréquente et agressive du jeune enfant. Les tumeurs de haut grade de forme métastatique, généralement développées chez l'enfant de plus de 1 an, sont associées à une importante mortalité malgré un traitement lourd incluant une chimiothérapie à haute dose. La chimiorésistance est donc un problème majeur qui caractérise ces NB de haut grade. Une des hypothèses pour expliquer cette chimiorésistance est celle de l’activation de l’autophagie, un mécanisme auquel recourent les cellules afin de faire face aux situations de stress. D’ailleurs, plusieurs études ont démontré que l'autophagie était activée à la suite des thérapies anticancéreuses. Son inhibition pourrait donc représenter une stratégie thérapeutique très intéressante pour le traitement de cancers. Le but de ce projet de recherche a été de mettre en évidence l'importance de l'autophagie dans les cellules du NB ainsi que l'effet de son inhibition sur la sensibilité des cellules du NB à la chimiothérapie conventionnelle. La présence d'autophagie dans les cellules de NB et sa valeur pronostic ont été évaluées par une étude immunohistochimique et par western blot sur 184 tumeurs patient. Ensuite, dans le but de déterminer l'effet de la chimiothérapie conventionnelle sur le niveau d'autophagie, des études in vitro sur 6 lignées cellulaires ont été effectuées utilisant des tests de mesure d'autophagie (MDC, monodanylcadaverine), de viabilité cellulaire (MTT) et de western blot. Celles ci ont été suivies par des tests d'inhibition de l'autophagie par deux méthodes: l’inactivation du gène ATG5 par un lentivirus contenant un shRNA ciblant ATG5 ou de l'hydroxychloroquine (HCQ), un inhibiteur pharmacologique de l’autophagie. Cette inhibition a été testée seule ou en combinaison avec une chimiothérapie conventionnelle dans le but de déterminer le rôle de l'autophagie dans la sensibilisation des cellules de NB à la chimiothérapie. Ensuite, l’intérêt de l’inhibition de l’autophagie a été évalué sur des modèles murins. Enfin, le niveau d'autophagie a été testé dans des cellules souches de NB. Notre étude a démonté que l'autophagie est présente à un niveau basal dans une majorité des NB mais qu'elle ne représentait pas un facteur pronostic dans ce type de tumeur. Les différentes chimiothérapies testées induisent une augmentation de l'autophagie dans les cellules du NB. Les deux tests d'inhibition ont démontré in vitro que l'autophagie participe à la résistance des cellules aux traitements chimiothérapeutiques classiques du NB. Le blocage de l’autophagie in vivo augmente l’efficacité de la chimiothérapie, cependant certaines données associées au traitement par HCQ devront être complétées. Cette étude démontre que l'inhibition de l'autophagie en combinaison avec la chimiothérapie classique représente une approche thérapeutique prometteuse dans le traitement du NB.
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Le lymphome est l'une des tumeurs les plus communes tant chez le chien que l’humain. Chaque année, un nombre important de chiens développe ce cancer agressif. La majorité décédant un an suivant le diagnostic. Le lymphome canin est maintenant identifié comme un excellent modèle de recherche pour la tumeur chez l'homme, particulièrement en ce qui concerne la biologie moléculaire de la maladie. En conséquence, la recherche sur le lymphome canin sera bénéfique non seulement pour les chiens mais aussi pour l’oncologie humaine. Parmi les méthodes diagnostiques de choix pour dépister de façon hâtive le lymphome se trouve la mesure de marqueurs tumoraux. Ceci a l’avantage d’être peu invasive, simple et peu dispendieuse. Ainsi, dans le but d’évaluer la protéine VCP (valosin containing protein) comme biomarqueur tumoral dans les lymphomes canins à cellules B et T, nous avons évalué la protéine VCP par immunobuvardage sur sérums et tissus tumoraux de chiens atteints et par immunohistochimie sur des tumeurs de haut grade, grade intermédiaire et bas grade. Pour mieux définir l’expression de VCP dans les cellules cancéreuses, nous avons également examiné par immunobuvardage les niveaux de VCP dans 3 lignées cellulaires: CLBL-1, CL-1, et 17-71. Il s’avère que les lymphomes à cellules B de haut grade avaient une élévation significative du taux de VCP comparé aux tumeurs de bas grade (P < 0,05). De même, une accumulation importante de VCP a également été détectée dans les lignées tumorales comparées aux cellules mononucléaires du sang périphérique (P < 0,05). D’autre part, le taux sérique de VCP est resté similaire à ceux des chiens normaux. Ces résultats suggèrent une corrélation entre le taux de VCP et le degré de malignité des lymphomes à cellules B. En conclusion, la protéine VCP doit faire l’objet d’une évaluation approfondie pour déterminer son utilité comme marqueur pronostique.
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En 2015, la récidive tumorale et les métastases du cancer du sein demeurent une cause importante de décès à travers le monde. Toutefois, ces cancers sont souvent hétérogènes car en dépit d’un phénotype similaire, l’évolution clinique et la réponse au traitement peuvent varier considérablement. Il y a donc un intérêt évident à identifier et à caractériser de nouveaux biomarqueurs pour permettre classer les tumeurs mammaires dans des sous-groupes plus homogènes. Notre hypothèse est que chaque cancer mammaire possède des caractéristiques distinctes au plan des altérations du génome et des profils d’expression géniques et que ces changements se traduisent cliniquement par une prédisposition à former des métastases ou à répondre ou non à la chimiothérapie et aux thérapies ciblées. Dans le cadre de nos travaux, nous nous sommes intéressés aux sous-types agressifs de tumeurs mammaires et notamment les cancers de type triple négatif. Nous avons aussi tenté d’identifier des marqueurs capables de distinguer l’une de l’autre les tumeurs de type luminal A et luminal B. Pour ce faire, nous avons d’abord utilisé une stratégie in silico à partir de données publiques (micro-puces d’ADN et séquençage de l’ARN). Nous avons ensuite construit sept micro-matrices tissulaires (TMA) provenant de tissus mammaires normaux et tumoraux fixés à la formaline et enrobés en paraffine. Ces outils nous ont permis d’évaluer par immunohistochimie les niveaux d’expression différentielle des marqueurs suivants : ANXA1, MMP-9, DP103 et MCM2. Ceux-ci ont été comparés aux marqueurs usuels du cancer du sein (ER, PR, HER2, CK5/6 et FOXA1) et corrélés aux données cliniques (survie globale et métastase). Nos résultats indiquent que ces nouveaux marqueurs jouent un rôle important dans l’évolution clinique défavorable des tumeurs de haut grade. Dans un premier article nous avons montré que l’expression d’ANXA1 est dérégulée dans les cancers de type triple-négatif et aussi, dans une certaine mesure, dans les tumeurs HER2+. Nous croyons qu’ANXA1 permet de mieux comprendre le processus d’hétérogénéité tumorale et facilite l’identification des tumeurs de haut grade. Nous proposons également qu’ d’ANXA1 stimule la transition épithélio-mésenchymateuse (EMT) et la formation des métastases. Dans un second temps, nous avons montré que les niveaux d’expression de MMP-9 reflètent la différenciation cellulaire et corrèlent avec les sous-types de cancers mammaires ayant un mauvais pronostic. Nous estimons que MMP-9 permet de mieux comprendre et d’identifier les tumeurs mammaires à haut risque. De fait, la surexpression de MMP-9 est associée à une augmentation des métastases, une récidive précoce et une diminution de la survie globale. Dans le cadre d’un troisième article, nous avons montré que la surexpression du marqueur de prolifération MCM2 s’observe dans les cancers triple-négatifs, HER2+ et Luminal B par comparaison aux cancers luminal A (p< 0.0001). Nos résultats suggèrent qu’en utilisant un seuil de 40% de noyaux marqués, nous pourrions distinguer l’une de l’autre les tumeurs de type luminal A et luminal B. Cela dit, avant de pouvoir envisager l’utilisation de ce marqueur en clinique, une étude de validation sur une nouvelle cohorte de patientes s’impose. En somme, les résultats de nos travaux suggèrent qu’ANXA1, MMP-9 et MCM2 sont des marqueurs intéressants pour mieux comprendre les mécanismes physiopathologiques impliqués dans la progression tumorale et le développement des métastases. À terme, ces nouveaux marqueurs pourraient être utilisés seuls ou en combinaison avec d’autres gènes candidats pour permettre le développement de trousses « multigènes » ou d’essais protéomiques multiplex pour prédire l’évolution clinique des cancers mammaires.
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Le cancer de l’ovaire (COv) est le cancer gynécologique le plus létal chez la femme et les traitements existants, chirurgie et chimiothérapie, ont peu évolué au cours des dernières décennies. Nous proposons que la compréhension des différents destins cellulaires tels que la sénescence que peuvent choisir les cellules du cancer de l’ovaire en réponse à la chimiothérapie pourrait conduire à de nouvelles opportunités thérapeutiques. La sénescence cellulaire a été largement associée à l’activité de la protéine TP53, qui est mutée dans plus de 90% des cas de cancer de l’ovaire séreux de haut grade (COv-SHG), la forme la plus commune de la maladie. Dans nos travaux, à partir d’échantillons dérivés de patientes, nous montrons que les cultures primaires du cancer de l’ovaire séreux de haut grade exposées au stress ou à des drogues utilisées en chimiothérapie entrent en senescence grâce à l’activité d’un isoforme du gène CDKN2A (p16INK4A). Dans ces cellules, nous avons évalué les caractéristiques fondamentales de la sénescence cellulaire tels que les altérations morphologiques, l’activité béta galactosidase associée à la sénescence, les dommages à l’ADN, l’arrêt du cycle cellulaire et le phénotype sécrétoire associé à la sénescence. En utilisant des micromatrices tissulaires construites à partir d’échantillons humains de COv-SHG pré- et post-chimiothérapie, accompagnées de leurs données cliniques, nous avons quantifié des marqueurs de sénescence incluant une diminution de la prolifération cellulaire quelques semaines après chimiothérapie. De façon intéressante, l’expression de p16INK4A dans les échantillons de COv-SHG prétraitement corrèle avec une survie prolongée des patientes suite au traitement. Ceci suggère ainsi pour la première fois un impact biologique bénéfique pour la présence de cellules cancéreuses qui sont capable d’activer la sénescence, particulièrement pour le traitement du cancer de l’ovaire. Dans le but de complémenter les thérapies actuelles avec des approches de manipulation pharmacologique de la sénescence, nos résultats suggèrent qu’il serait important de déterminer l’impact positif ou négatif de la sénescence induite par la thérapie sur la progression de la maladie et la survie, pour chaque type de cancer de façon indépendante.
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Le cancer de l’ovaire (COv) est le cancer gynécologique le plus létal chez la femme et les traitements existants, chirurgie et chimiothérapie, ont peu évolué au cours des dernières décennies. Nous proposons que la compréhension des différents destins cellulaires tels que la sénescence que peuvent choisir les cellules du cancer de l’ovaire en réponse à la chimiothérapie pourrait conduire à de nouvelles opportunités thérapeutiques. La sénescence cellulaire a été largement associée à l’activité de la protéine TP53, qui est mutée dans plus de 90% des cas de cancer de l’ovaire séreux de haut grade (COv-SHG), la forme la plus commune de la maladie. Dans nos travaux, à partir d’échantillons dérivés de patientes, nous montrons que les cultures primaires du cancer de l’ovaire séreux de haut grade exposées au stress ou à des drogues utilisées en chimiothérapie entrent en senescence grâce à l’activité d’un isoforme du gène CDKN2A (p16INK4A). Dans ces cellules, nous avons évalué les caractéristiques fondamentales de la sénescence cellulaire tels que les altérations morphologiques, l’activité béta galactosidase associée à la sénescence, les dommages à l’ADN, l’arrêt du cycle cellulaire et le phénotype sécrétoire associé à la sénescence. En utilisant des micromatrices tissulaires construites à partir d’échantillons humains de COv-SHG pré- et post-chimiothérapie, accompagnées de leurs données cliniques, nous avons quantifié des marqueurs de sénescence incluant une diminution de la prolifération cellulaire quelques semaines après chimiothérapie. De façon intéressante, l’expression de p16INK4A dans les échantillons de COv-SHG prétraitement corrèle avec une survie prolongée des patientes suite au traitement. Ceci suggère ainsi pour la première fois un impact biologique bénéfique pour la présence de cellules cancéreuses qui sont capable d’activer la sénescence, particulièrement pour le traitement du cancer de l’ovaire. Dans le but de complémenter les thérapies actuelles avec des approches de manipulation pharmacologique de la sénescence, nos résultats suggèrent qu’il serait important de déterminer l’impact positif ou négatif de la sénescence induite par la thérapie sur la progression de la maladie et la survie, pour chaque type de cancer de façon indépendante.
Rôle du polymorphisme du papillomavirus humain de type 33 (VPH-33) dans le cancer du col de l'utérus
Resumo:
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
Rôle du polymorphisme du papillomavirus humain de type 33 (VPH-33) dans le cancer du col de l'utérus
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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This study aimed at evaluating whether human papillomavirus (HPV) groups and E6/E7 mRNA of HPV 16, 18, 31, 33, and 45 are prognostic of cervical intraepithelial neoplasia (CIN) 2 outcome in women with a cervical smear showing a low-grade squamous intraepithelial lesion (LSIL). This cohort study included women with biopsy-confirmed CIN 2 who were followed up for 12 months, with cervical smear and colposcopy performed every three months. Women with a negative or low-risk HPV status showed 100% CIN 2 regression. The CIN 2 regression rates at the 12-month follow-up were 69.4% for women with alpha-9 HPV versus 91.7% for other HPV species or HPV-negative status (P < 0.05). For women with HPV 16, the CIN 2 regression rate at the 12-month follow-up was 61.4% versus 89.5% for other HPV types or HPV-negative status (P < 0.05). The CIN 2 regression rate was 68.3% for women who tested positive for HPV E6/E7 mRNA versus 82.0% for the negative results, but this difference was not statistically significant. The expectant management for women with biopsy-confirmed CIN 2 and previous cytological tests showing LSIL exhibited a very high rate of spontaneous regression. HPV 16 is associated with a higher CIN 2 progression rate than other HPV infections. HPV E6/E7 mRNA is not a prognostic marker of the CIN 2 clinical outcome, although this analysis cannot be considered conclusive. Given the small sample size, this study could be considered a pilot for future larger studies on the role of predictive markers of CIN 2 evolution.
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To evaluate p16(INK) (4a) immunoexpression in CIN1 lesions looking for differences between cases that progress to CIN2/3 maintain CIN1 diagnosis, or spontaneously regress. Seventy-four CIN1 biopsies were studied. In the follow-up, a second biopsy was performed and 28.7% showed no lesion (regression), 37.9% maintained CIN1, and 33.4% progressed to CIN2/3. Immunostaining for p16(INK) (4a) was performed in the first biopsy and it was considered positive when there was strong and diffuse staining of the basal and parabasal layers. Pearson's chi-square was used to compare the groups (p ≤ 0.05). The age of the patients was similar. There was no significant difference in p16(INK) (4a) immunoexpression in the groups, however, statistical analyses showed a significant association when only the progression and regression groups were compared (p = 0.042). Considering p16(INK) (4a) positivity and the progression to CIN2/3, the sensitivity, specificity, positive, and negative predictive values in our cohort were 45%, 75%, 47%, and 94%, respectively. We emphasize that CIN1 with p16(INK) (4a) staining was associated with lesion progression, but the sensitivity was not high. However, the negative predictive value was more reliable (94%) and p16(INK) (4a) may represent a useful biomarker that can identify CIN1 lesions that need particular attention, complementing morphology.
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Seven food grade commercially available lipases were immobilized by covalent binding on polysiloxane-polyvinyl alcohol (POS-PVA) hybrid composite and screened to mediate reactions of industrial interest. The synthesis of butyl butyrate and the interesterification of tripalmitin with triolein were chosen as model reactions. The highest esterification activity (240.63 mu M/g min) was achieved by Candida rugosa lipase, while the highest interesterification yield (31%, in 72 h) was achieved by lipase from Rhizopus oryzae, with the production of about 15 mM of the triglycerides C(50) and C(52). This lipase also showed a good performance in butyl butyrate synthesis, with an esterification activity of 171.14 mu M/g min. The results demonstrated the feasibility of using lipases from C. rugosa for esterification and R. oryzae lipase for both esterification and interesterification reactions.
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Austenitic stainless steels cannot be conventionally nitrided at temperatures near 550 degrees C due to the intense precipitation of chromium nitrides in the diffusion zone. The precipitation of chro-mium nitrides increases the hardness but severely impairs corrosion resistance. Plasma nitriding allows introducing nitrogen in the steel at temperatures below 450 degrees C, forming pre-dominantly expanded austenite (gamma(N)), with a crystalline structure best represented by a special triclin-ic lattice, with a very high nitrogen atomic concentration promoting high compressive residual stresses at the surface, increasing substrate hardness from 4 GPa up to 14 GPa on the nitrided case.
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Previous work examining context effects in children has been limited to semantic context. The current research examined the effects of grammatical priming of word-naming in fourth-grade children. In Experiment 1, children named both inflected and uninflected noun and verb target words faster when they were preceded by grammatically constraining primes than when they were preceded by neutral primes. Experiment 1 used a long stimulus onset asynchrony (SOA) interval of 750 msec. Experiment 2 replicated the grammatical priming effect at two SOA intervals (400 msec and 700 msec), suggesting that the grammatical priming effect does not reflect the operation of any gross strategic effects directly attributable to the long SOA interval employed in Experiment 1. Grammatical context appears to facilitate target word naming by constraining target word class. Further work is required to elucidate the loci of this effect.
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Myocyte diameter, fractional area of collagen, intensity of myocarditis and parasite persistence (explored by immunohistochemistry and PCR) were evaluated in serial sections of endomyocardial biopsies from 29 outpatients with chronic chagasic cardiopathy. The patients, 25 males and four females with a mean (S.D.) age of 43 (9) years, were subsequently followed up for 3-2861 days (median=369 days). During this follow-up, 16 (55%) of the patients died. The biopsies revealed myocarditis in 25 (86%) of the patients and high-grade myocarditis in 14 (56%). Although immunohistochemistry failed to demonstrate Trypanosoma cruzi antigens in any of the samples, five (33%) of the 15 biopsies successfully tested in the PCR-based assay for T. cruzi DNA were found positive, indicating parasite persistence. There was a significant positive association between myocardial parasite persistence and high-grade myocarditis (P= 0.014); five (71%,) of the seven endomyocardial biopsies with high-grade myocarditis that were successfully tested in the PCR assays showed persistent T. cruzi DNA. The survival time of the patients was not, however, found to be significantly associated with myocardial parasite persistence, any of the morphometric measurements taken, or the presence or intensity of myocarditis.
Cross-cultural adaptation and validation of a Brazilian Portuguese version of the chronic pain grade
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To verify the reliability and validity of a Brazilian Portuguese version of the chronic pain grade (CPG-Br). Cultural adaptation was made in accordance with established guidelines, with modifications aiming at improving this process. Adaptations were made based on interviews with 45 chronic pain patients from So Paulo city. Validation was studied by concurrent application of the short-form-36 health survey (SF-36) and other questionnaires to 283 participants with chronic pain from the general population. Temporal stability was verified by a second application to 131 individuals. Factor analysis resulted in a two-factor solution with factors named characteristic pain intensity and activity limitation due to pain. Alpha coefficients of 0.78 and 0.70 and intraclass correlation coefficients of 0.76 and 0.72 for each factor indicated good internal consistency and temporal stability. Significant correlations between CPG-Br and SF-36, Roland-Morris disability questionnaire and neck disability index scores were noted. A consistent linear trend was also observed between pain grades and SF-36 scores. Frequency of use of pain medications and of pain-related medical visits increased with pain grade. This Brazilian Portuguese version of the chronic pain grade, tested on a sample of the Brazilian population, demonstrated good reliability and validity.