Cat on a hot tin roof de Tennessee Williams o les aptituds dramàtiques de la deessa Diana

L'objectiu d'aquest article és mostrar quins són els rèdits dramàtics de la inclusió de la referència a la deessa Diana a Cat on a Hot Tin Roof de Tennessee Williams. En opinió del autor, no es tracta simplement d'una referència significativa, sinó que l'anàlisi acurada del text de Williams demostra que és un element vertaderament nuclear i cohesionador de tot el drama.

Cat on a hot tin roof de Tennessee Williams o las aptitudes dramáticas de la diosa Diana

El objetivo de este artículo es mostrar cuáles son los réditos dramáticos de la inclusión de la referencia a la diosa Diana en Cat on a Hot Tin Roof de Tennessee Williams. En opinión del autor, no se trata simplemente de una referencia significativa, sino que el análisis minucioso del texto de Williams demuestra que es un elemento verdaderamente nuclear y cohesionador de todo el drama.

Illa gran i fecunds. 'Amphilaphés píeira nesos' (A.R. Arg.IV 982-1222)

Un episodio del retorno de los argonautas, en el Libro IV de Apolonio, inserta bruscamente un escenario homérico. Desde la isla de Eea, donde han sido purificados por Circe, son conducidos bajo la protección de Hera hasta Corcira -Esqueria en Odisea-, en una veloz travesía que ve sucederse sin riesgos los otrora peligrosos escollos de la ruta de Odiseo. La idea de hacer coincidir a los argonautas con los feacios homéricos aparece solo claramente en los poetas helenísticos. Calímaco parece haber dedicado especial atención a la escala feacia, en terminus similares -peso no idénticos- a los de Apolonio',y Filitas menciona unas hadas de Medea y Jason en el palacio de Alcinoa'. Testimonios anteriores asocian asimismo a Medea, Jason y sus hijos con Corcina...

El olvido en la Olímpica VII

En la tradición poética, memoria y olvido actúan no solo como mecanismos de comunicación o incomunicación con uno mismo, sino como sujetos operativos en el código mítico...

Ο μύθος της επιστροφής στη νεοελληνική ποίηση του 20ου αιώνα : le mythe du retour dans la poésie néo-hellénique du XXe siècle

Le mythe du retour dans la poésie néo-hellénique du XXe siècle La poésie néo-hellénique du XXe siècle est imprégnée d’un recyclage des formes et des figures d’expression de la mythologie classique grecque. Ce recyclage, tel que pratiqué par des poètes comme Cavafy, Séféris et Elytis, se manifeste et s’articule dans le phénomène du mythe du retour, phénomène qui évolue sous quatre aspects distincts : le mythe (l’histoire) du retour, le retour au mythe, le retour du mythe et le mythe (l’illusion) du retour. La première manifestation de ce mythe du retour s’initie dans un renvoi à l’histoire homérique de l’archétype odysséen. En deuxième lieu s’élabore le retour au mythe, c’est-à-dire le recyclage du mythe dans un cadre idéologique et poétique. Ensuite se façonne un retour du mythe, par lequel la mythologie initiale du retour revient comme un concept où se métaphorise une forme d’expression première. Enfin se conscientise le mythe du retour, où le mythe n’est plus histoire, mais devient illusion.

Les nouveaux médias, ou, L’ère du labyrinthe intermédial

Avec l’émergence des nouveaux médias, une nouvelle façon de raconter les histoires s’impose. Les structures connues de l’esthétisme classique semblent désuètes par rapport aux dispositions des nouvelles plateformes de diffusion. Mieux encore, ces plateformes propulsent le récit, lui permettent de sortir de la rigidité de la ligne narrative : elles intègrent la technique au logos. L’intermédialité devient omniprésente; la diversité des types médiatiques employés dans une œuvre sont rendus visibles et sont articulés par la mise en récit. Méchoulan dira que dans l’« être-entre », dans l’espace reliant chacune des unités sémantiques, que l’événement de la pensée advient; pour Rodowick c’est le « figural ». Une figure particulière s’impose : le labyrinthe. Multipliant les possibilités narratives spécifiques aux nouveaux médias, le labyrinthe fait converger les composantes intermédiales. Bleeding Through : Layers of Los Angeles 1920-1986, une œuvre dirigée par Norman Klein, pose le labyrinthe comme élément structurel en y tissant un réseau où s’inscrit une pratique intermédiale. On y adresse le temps comme une opération fragmentaire, qui se sectionne, se réorganise en rompant avec la linéarité classique. Il nous faudra alors voir comment le labyrinthe réfléchit dans l’étude du temps certains éléments de la mythologie grecque. Les réflexions de Gervais sur le labyrinthe permettront d’étayer pareille hypothèse. Nous analyserons Bleeding Through à la lumière de ces théories pour ainsi dégager l’essence de cette figure qui a infiltrée la narration contemporaine. En somme, le labyrinthe se présente dans l’écologie médiatique actuelle comme une figure inhérente à la mise en récit.

Le saut de Leucade : érotique et contre-érotique d’un rituel de précipitation en Grèce ancienne

L’amour, la mort et la souffrance sont parmi les expériences les plus incompréhensibles que l’homme doit affronter dans sa vie. Elles définissent sa nature et font partie intégrante de son univers symbolique. Le saut de Leucade aurait été pratiqué pendant plus de mille ans. À la fois présent dans les récits mythiques, religieux et historiques, le rituel est attesté par les premiers historiens de l’Antiquité qui décrivent ce phénomène à partir des données de l’historiographie antique. La forme traditionnelle du saut s’inscrit dans l’univers mythologique des Grecs et le plongeon est un acte de délivrance de la passion amoureuse. La nature du rituel change selon les contextes littéraires, passant d’un rite érotique à un rituel apotropaïque pour se voir perpétuer de manière désacralisée dans les récits plus tardifs. L’analyse des différentes fonctions du saut semble démontrer le profil d’une expérience limite, où la mort serait vécue de manière métaphorique et pose le problème de la nature ordalique du rituel qui serait à la base de son efficacité pragmatique. Cette étude projette d’analyser les formes de la pensée grecque dans son expression anthropologique à travers la dialectique du mythe et du rite et vise à comprendre l’interprétation de la souffrance amoureuse dans le cadre du rituel de précipitation. Le saut de Leucade serait dès lors un discours spécifique qui témoignerait d’une certaine conception de la nature humaine, de la mort et de la souffrance amoureuse dans l’imaginaire de la Grèce ancienne.

Vues imprenables ; suivi de Paradoxes du voir et de l'aveuglement dans Ceux d'à côté de Laurent Mauvignier

Vues imprenables est un récit où se succèdent les monologues de six personnages se trouvant dans un hôtel de luxe le temps d’une fin de semaine. À travers les détours discursifs que chaque personnage emprunte, les mécanismes textuels qu’il ou elle utilise pour éviter de dire et de se confronter aux réminiscences de ses fautes passées, la question du voir et de l’aveuglement se lie étroitement à celle du passage à l’acte. Quels forfaits ces hommes et ces femmes ont-ils commis ? Sont-ils capables de « se voir » réellement ? Quelle est la portée du regard sur le geste qu’ils ont antérieurement posé ? S’inspirant, entre autres, du jeu de société Clue, des Dix Commandements et de l’esthétique du film The Shining, Vues imprenables interroge la notion de repentir, cherchant à savoir jusqu’où le « voile » de la parole peut dissimuler certains actes, jusqu’à quel point le voir peut se révéler insaisissable. L’essai intitulé « Paradoxes du voir et de l’aveuglement dans Ceux d’à côté de Laurent Mauvignier » tisse également des liens avec Vues imprenables : en questionnant les limites et les possibilités du voir dans le roman de Mauvignier, il s’agit en effet d’analyser comment l’avènement de la vue, dans ce récit, laisse en tout temps présager sa possible perte, mais aussi de quelles façons le geste criminel devient « aveugle » au moment même où il est perpétré. En revisitant certains des plus grands mythes grecs, tels ceux d’Œdipe, de Tirésias et de Gorgô, cet essai étudie plus particulièrement la figure de l’alter ego, ce « moi à côté », tantôt coupable tantôt témoin, qui hante le récit de Mauvignier et il propose une réflexion sur les paradoxes du rapport au vu à partir des travaux d’Hélène Cixous, de Georges Didi-Huberman, de J.-B. Pontalis et de Maurice Merleau-Ponty.

O projeto politico pedagógico de enfermagem e o sistema único de saúde: a visão de discentes

This research aims to analyze, in the view of students, the pedagogic project of undergraduate nursing course, of UFRN, and its articulation with the SUS, in an attempt to understand the issues that permeate the teaching and learning of nursing. This is a qualitative study that used the focus group technique as a tool to collect empirical data. There were three meetings, where we had the collaboration of 23 graduating students from the eighth period of the semester 2009.1. For the analysis of information, we use a theoretical framework based on curriculum guidelines and basic principles of the SUS, making the analogy of the results with the metaphor of Greek mythology, Ariadne's thread, in dialogue with authors who discuss education as a transformative practice. Thus, the texture of the yarn was built of five thematic fields: joint the pedagogic project with the SUS; the teaching/service and theory/practice relation; interdisciplinarity or transdisciplinarity; didactic/methodological and relational approaches; and co-participation of students in the pedagogic project. According to the discussions, we find many difficulties in the teaching and learning process of undergraduate nursing in UFRN to strengthen the SUS, including: dislocation of educational institutions with services, professionals, managers and community; dichotomy between theory and practice; reality of services as a learning field and working process in health; posture adopted by professionals, teachers and other subjects included in the process of health education; decontextualization and fragmentation of teaching with the practice in health and nursing; excessive use of very illustrative methodologies, but little problem-solving; difficult and precarious situation in the relations between teachers and between teachers/students, regarding the acceptance of differences; absence of participation of students in the evaluation process and conduct of the educational project in progress. In this sense, we understand the need an auto-reflexive act of teaching and conducting collective pedagogical course with a view to achieving the SUS. Thus, it is necessary to support practices motivated by the polyphonic dialogue and the exercise of symbiosis and autopoiesis of subjects/actors jointly responsible for the ongoing process of learning for life.

Vêm de Belém e vêm da Grécia! Metamorfoses: fronteiras entre narrativas orais e os mitos

A metamorfose, de acordo com Jean Chevalier e Alan Gheerbrant, é definida neste estudo como a transformação física e/ou comportamental de um ser em outro, sem a perda da identidade e ciência do primeiro ser. Esta transformação é um fenômeno recursivo em diversas mitologias e culturas. O presente trabalho tem por objetivo estabelecer, numa abordagem comparativa, as correlações e diferenças entre o tema da metamorfose recorrente nos mitos gregos relatados por Homero, em sua Odisseia, nos mitos gregos descrevidos pelo poeta latino Publius Ovidius Naso, conhecido como Ovídio, em sua obra Metamorfoses, nos cinco primeiros livros, e entre as narrativas orais que referem casos de metamorfoses ocorridos no município de Belém do Pará, inventariadas no período de 1994 a 2004. Foram consideradas as obras Odisseia e Metamorfoses por serem ambas, respectivamente, expoentes da literatura ocidental de uma Grécia dos séculos VIII a VII a.C e de uma Grécia do século I d.C retratada pelo poeta latino Ovídio, e que carregam o tema da metamorfose. Isto porque o estudo prévio ratifica a formação de índices míticos não somente nas narrativas da mitologia grega, mas também nos casos de metamorfoses oriundos de Belém. Em todo o caso, nota-se a configuração espaço-temporal como entidades que sedimentam e organizam o mundo mítico, articulando tais dimensões a representações no mundo físico-espiritual. O tema da metamorfose, contudo, é conformado de forma diferenciada, conforme o contexto histórico-cultural de cada narrativa, o que é refletido na multiplicidade de símbolos e sentidos perseguidos por cada narrativa. A fim de enriquecer o estudo dos símbolos e do contexto histórico-geográfico dos mitos gregos abordados, utilizam-se como fonte complementar os manuais de Junito Brandão, a saber, a obra Mitologia de Junito Brandão, nos volumes I, II e III, bem como os dois volumes do Dicionário Mítico-Etimológico da Mitologia Grega. Para uma análise comparativa mais eficaz, precisou-se ir além do estudo contextual de produção e representação dos códigos subjacentes a cada narrativa, pois o mito, nas palavras de Ernest Cassirer, é experimentado na consciência, porém é anterior a ela; o homem vive o mito, logo, o mito é anterior ao homem, posto que à medida que toma consciência de sua existência e das relações que tece com o mundo, o homem se vale do mito para estabelecer relações de valor e sentido, bem como representações para singularizar suas experiências. Trata-se, portanto, de uma questão filosófica de vital importância, por isso, buscou-se, para este estudo lítero-narratológico, os fundamentos da Filosofia da mitologia, junto a considerações de uma Antropologia cultural, associado ao levantamento contextual-histórico do cosmo que constitui cada narrativa, a fim de lançar bases elucidativas sobre as relações do homem com seu mundo a partir de determinadas transformações. Sob este foco, diante da pesquisa prévia das narrativas que serão analisadas, percebeu-se que as metamorfoses apresentavam maiores ocorrências quando: 1) simbolizavam o mal na figura dos metamorfoseados; 2) apresentavam motivações de cunho sexual e 3) consistiam em explicações para acontecimentos do mundo físico-espiritual. Trata-se de uma divisão metodológica que objetiva viabilizar a organização e visualização do estudo comparado. Conclui-se, então, que além de possibilitar a leitura e o conhecimento dos mitos gregos e de relatos da Amazônia pelos símbolos constituídos na consciência mítica, este estudo pode servir como uma base para verificação do exercício literário da linguagem criadora por meio do narrar, bem como ampliar a compreensão do que seja e faz a consciência humana enquanto arrimo para a difusão de comportamentos e crenças compartilhados pelo indivíduo em sociedade.

José Feliciano de Castilho e a tradição clássica no século XIX: a tradução da Farsália

Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)

Medeae Medea forem! : zur Euripidesrezeption Ovids in den Heroides

In den Briefen 4, 6, 11 und 12 der Heroides hat Ovid direkt oder indirekt Figuren des Mythos zum Gegenstand seiner Dichtung gemacht, die den zeitgenössischen wie auch den heutigen Rezipienten insbesondere durch Tragödien des Euripides bekannt sind. Die zu Beginn dieser Arbeit dazu durchgeführte historische Analyse der grundsätzlichen Bedingungen der Rezeption der Tragödien des Euripides in der Zeit Ovids zeigt, dass der römische Dichter für ein intertextuelles Dichten in den Heroides die Werke des griechischen Tragikers als Prätexte nutzen konnte, da die Rezipienten über die theoretische und praktische Kompetenz verfügten, entsprechende Verweisungen zu identifizieren, diese in einem Prozess der intertextuellen Lektüre zu dekodieren und den Text auf diese Weise zu interpretieren. Eine Beschreibung dieses antiken literarischen Kommunikationsprozesses zwischen Ovid und seinen Rezipienten erfolgt dabei mit den Mitteln einer für die Euripidesrezeption Ovids konkretisierten Intertextualitätstheorie (Kapitel A.I und II). Die ausführlichen Interpretationen zu den Heroides-Briefen 12, 6, 4 und 11 sowie zur Rezeption des Medea-Prologs in verschiedenen Gedichten Ovids (Kapitel B.I bis V) zeigen, dass der römische Dichter verschiedene Formen intertextueller Verweisungen nutzt, um in den bekannten Geschichten von Medea, Hypsipyle, Phaedra und Canace bislang ungenutztes narratives Potential zu entdecken und auf dieser Grundlage eine alte Geschichte neu zu erzählen. Das in der Forschung bereits vielfach beschriebene Prinzip Ovids des idem aliter referre ist in den untersuchten Texten konkret darauf ausgerichtet, die aus den Tragödien bekannten Heroinen in einer bestimmten Phase ihrer Geschichte zu Figuren einer elegischen Welt werden zu lassen. Diese neu geschaffene elegische Dimension einer ursprünglich tragischen Geschichte dient dabei nicht einer umwertenden Neuinterpretation der bekannten tragischen Figur. Vielmehr lässt Ovid seine Briefe zu einem Teil des Mythos werden, zu einem elegischen Vorspiel der Tragödie, die einen durch Euripides vorgegebenen Rahmen des Mythos erweitern und damit zugleich zentrale Motive der tragischen Prätexte vorbereiten. Ovid gestaltet aus, was in dem von Euripides initiierten Mythos angelegt ist, und nutzt das elegische Potential der tragischen Erzählung, um das Geschehen und vor allem die Heroine selbst in seinem Brief zur Tragödie hinzuführen. Damit bereitet Ovid in den Heroides die weitere Entwicklung der äußeren tragischen Handlung vor, indem er vor allem eine innere Entwicklung der von ihm geschaffenen Briefschreiberin aufzeigt und auf diese Weise jeweils aus einer von ihm geschaffenen elegischen Frau jene tragische Heldin werden lässt, die den Rezipienten aus der jeweiligen Tragödie des Euripides bekannt ist. Die sich daraus notwendigerweise ergebenden Spannungen und Interferenzen zwischen den Erwartungen der Rezipienten und der Realität der von Ovid neu gestalteten Figur in ihrem elegischen Kontext werden von dem römischen Dichter produktiv genutzt und durch die im Text initiierte Entwicklung aufgehoben. So scheinen dann letztlich aus den Elegien Ovids die Tragödien des Euripides hervorzugehen.

Anmerkungen zu den (spät)persischen Samaria-Bullen aus dem Wadi ed-Dalije. Hellenisches, Persisches und Lokaltraditionen im Grenzgebiet der Provinz Jehud

The present article deals exemplarily with the remarkable iconographic attestations connected with the Wadi ed-Daliye (WD) findings. The discussed bullae were attached to papyri which provide a clear dating of the hoard between 375-335 BCE. Considering style and convention the preserved motives are to be classified as Persian, Greek or Greco-Persian. A major goal of the following presentation is the contextualization of the very material; this is achieved by taking into account local parallels as well as relevant attestations of the dominant / “imperial” cultures of Persia and Greece. The correlation of motives with the (often more complex, more detailed or more contoured) examples stemming from the “source-cultures” follows a clear agenda: It is methodologically based on the approach that was employed by Silvia Schroer and Othmar Keel throughout the project „Die Ikonographie Palästinas/Israels und der Alte Orient (IPIAO). Eine Religionsgeschichte in Bildern” (2005, 23ff). The WD-findings demand a careful analysis since the influencing cultures behind the imagery are deeply rooted in the field of Greek mythology and iconography. Special attention has to be drawn to the bullae, as far as excavated, from a huge Punic temple archive of Carthago (Berges 1997 and 2002) as well as those from the archive of the satrap seat in Daskyleion in the Northwest of Asia Minor (Kaptan 2002), which are chronologically close (end 5th and 4th century BCE) to the WD-finds. Not each and every single motive and artifact of the WD-corpus comprising more than 120 items can be dealt with in detail throughout the following pages. We refer to the editio princeps by Leith (1990, 1997) respectively to the concerning chapter in Keel’s Corpus volume II (Keel 2010, 340-379). The article gives a brief history of research (2.), some basic remarks on the development of style (3.) and a selection of detail-studies (4.). A crosscheck with other relevant corpora of stamp-seals (5.) as well as a compressed synthesis (6.) are contributions in order to characterize and classify the unique iconographic assemblage. There are rather few references to the late Persian coins from Samaria (Meshorer/Qedar 1999), which have been impressed about contemporaneous with the WD-bullae (372-333 BCE), as there is an article by Patrick Wyssmann in this volume about that specific corpus. Through the perspective of the late Persian iconography, Samaria appears as a dazzling metropolis at the crossroads of Greek and Persian culture, which is far away from a strict and revolutionary religious orthodoxy