418 resultados para Blanchot


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A partir de um vasto trabalho de pesquisa de campo no seio de uma rede de praticas culturais jovens marginalizadas especialmente na cidade do Rio de Janeiro, embora não somente nela, circulando entre a piXação, as Torcidas Organizadas, os Bailes Funk de Corredor e as turmas de Bate-Bolas uma espécie de constelação maldita das ruas , emergiram materiais empíricos como expressões, gestos, narrativas, etnografias, objetos, fotos e vídeos. Pois bem, nesta tese de doutoramento, sugiro a potência de tais cotidianos na performatização, mais ou menos inconsciente, de resistências às categorias tradicionais da epistemologia moderna, tais como a consciência, a boa razão, o risco zero, a vida bem calculada, enfim, todo o apanágio do reino da humanidade esclarecida. Dou especial atenção também, aos desafios que essas estéticas lançam às amarras gramaticais da linguagem que, repousada sobre sua estrutura designativa, privilegiou um sistema interpretativo de representação e lançou a noção de presença à marginalidade de nossa subjetividade. Para tanto, entendo esses cotidianos como vidas que, fazendo bom uso de seus enigmas, balançam a dinastia do pensamento dirigido. Nessa tarefa, então, de esmiuçar esses choques epistemológicos, sugiro aproximações entre essas produções éticasestéticas jovens e as noções de presença em Gumbrecht, de inconsciente coletivo em Jung, de cogito em Foucault, de dispêndio em Bataille, do gaio saber em Nietzsche, de communitas em Turner, de sentido do não-sentido em Castoriadis, assim como de algumas contribuições de Maffesoli, Heidegger, Blanchot, entre outros

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Este artículo reconstruye la teoría del amor de Pedro Laín Entralgo, en su doble referencia, a la ontología fenomenológica y a la metafísica de Zubiri. El amor representa para Laín el lugar en que se produce la posesión íntima de lo real y, al mismo tiempo, la incursión en el dinamismo y la apertura de la misma realidad. El repaso por las formas y grados que la teoría lainiana distingue en el amor lleva a encontrar en su forma máxima una apertura ontológica de carácter vertical hacia el fundamento metafísico. El artículo esboza finalmente la posibilidad de reinterpretar el amor como relación horizontal con una exterioridad de carácter inmanente.

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This article deals with the conception of space in the poetics of Paul Celan in relation to French theory (Kristeva, Blanchot, Foucault). It analyses in detail one poem to show how Celan constructs his concept of space in the poetic form, relating it to Martin Buber dialogical thinking.

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This paper examines a select number of poems by Middle Generation poets John Berryman and Anne Sexton in relation to questions of death, silence and the task that literature sets itself as understood in key works by Blanchot, Heidegger, and Levinas. Rather than recourse to the overtrodden critical path of confessional interpretations of their work, this paper connects Berryman’s The Dream Songs (1969) and two Sexton poems (‘Oh’ and ‘The Silence’) to the philosophical determinations of what it is language can say and what demands literature makes of the writer prepared to risk their own being in answer to its call. Central issues such as suicide and the originating silence of the work of art are intricately interwoven with Berryman’s and Sexton’s work. Leaving aside their biographies, and by approaching suicide as a philosophical problem with which their poetry wrestles, a restructured approach to their work becomes available. The impulse to suicide and the mental processes involved in considering and committing the act are instincts and responses located within an individual’s own psychology. For these writers particularly such issues are sited within a philosophical debate about language, what it can and cannot represent. If poetry articulates language’s argument about its own capability, it is the ideal forum for philosophical confrontations with the possibilities of existence as represented by the grave decision to take one’s own life. © The Author 2013.

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La terminologie ‘écriture écran’ est souvent utilisée dans un sens proche de celui que lui donne Annie Ernaux lorsqu’elle écrit que ‘la fiction protège’ en permettant à un auteur de dire tout en gardant le lecteur à distance. Pourtant, de Blanchot à Genette, de nombreux critiques ont souligné que le texte est par essence un espace qui n’existe que dans et par cet échange, le lecteur – surtout dans le cas des textes de fiction – devant s’investir, se projeter dans le texte lu. Le texte de fiction serait-il donc un écran protecteur pour celui qui tient la plume et un écran projecteur pour celui qui tient le livre ? En nous basant principalement sur des textes de la psychanalyste Rachel Rosenblum et de l’auteure et survivante de la Shoah Anna Langfus, nous suggèrerons que, pour l’auteur comme pour le lecteur, le texte de fiction est à la fois un écran protecteur et un écran projecteur, ces deux fonctions étant étroitement liées et nullement contradictoires. Nous montrerons en effet qu’aucun genre n’est a priori protecteur puisque c’est l’acte de lecture ou d’écriture qui peut se transformer en morbide compulsion de répétition quand la mémoire d’un lecteur ou d’un auteur est devenue pathologique.

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Tese apresentada e reformulada de acordo com as orientações do Júri (19 de Dezembro de 2012), para cumprimento dos requisitos necessários à obtenção do grau de Doutor em Estudos Portugueses, Especialidade de Literatura Comparatista.

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Tese apresentada para cumprimento dos requisitos necessários à obtenção do grau de Doutor em Estudos Portugueses – Estudos de Literatura (Teoria da Literatura),

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L’objectif de cette thèse est d’analyser les modes d’émergence de la voix chez cinq écrivains québécois ayant initié, durant les années 1940-1970, leur parcours littéraire à travers la pratique de la poésie. Cette thèse puise à même les ressources de la poétique telle qu’alimentée par les penseurs contemporains (Agamben, Blanchot, Didi-Huberman, Lyotard, Rey, Anzieu) et utilise certains outils d’analyse que fournissent la psychanalyse, la sociocritique, la linguistique et la philosophie. Aussi, certains documents personnels exhumés de divers fonds d’archives des cinq auteurs (lettres, journal, notes, brouillons) concourent à éclairer les modes d’émergence à l’oeuvre dans les premiers poèmes, afin de démontrer comment les écrits à venir se trouvent entièrement préfigurés dans ces textes initiaux. Il s’agit, en somme, de montrer comment ces poètes furent aux prises avec certaines problématiques communes, notamment le grand défi de fonder une parole authentique au sein d’une communauté poétique si longtemps réservée aux élites. Ayant tous amorcé un processus d’écriture à la moitié du XXe siècle, Gaston Miron, Alexis Lefrançois, Claude Gauvreau, Roland Giguère et Anne Hébert n’en demeurent pas moins déterminés par la culture qui les a formés; leurs oeuvres respectives sont, par conséquent, fondamentalement ancrées dans une quête d’élucidation de soi et de l’autre qui ne saurait s’élaborer qu’en suivant les chemins les plus intimes, et dont je tenterai, à travers une lecture personnelle de leurs premiers textes, de rendre toute la portée.

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Cotutelle de thèse réalisée en littérature comparée (option épistémologie) avec l'Université de Montréal sous la direction de Terry Cochran et en philosophie avec Paris X (Nanterre) sous la direction d'Alain Milon.

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Peu d’études ont été faites sur le mouvement dans l’œuvre de Marguerite Duras (1914-1996). Or réécritures et répétitions qui marquent la pratique scripturaire de celle-ci permettent de penser des déplacements, des métamorphoses que cette thèse se propose de lire dans l’accompagnement de penseurs tels que Maurice Merleau-Ponty, Gilles Deleuze, Georges Didi-Huberman, et de manière plus spectrale, mais non moins essentielle, Jacques Derrida, Claude Lévesque et Maurice Blanchot. Le premier chapitre s’intéresse à « la marche-danse de la mendiante », qui prend place dans Le Vice-consul (1966). Le mouvement de perte de la mendiante se donne comme un procès de déterritorialisation sans fin où ne cessent d’opérer métamorphoses et devenirs. Cette dernière entraîne dans son rhizome des lieux où faire l’expérience d’un visible difficilement isolable de sa doublure d’invisible. Des lieux sont ainsi « créés » pour faire du « lieu dansé un espace dansant » (chapitre 2). On ne saurait cependant rendre compte du mouvement sans questionner « les rythmes de la danse » (chapitre 3) dont l’épreuve possède une puissance métamorphosante, particulièrement sensible dans L’Après-midi de monsieur Andesmas (1962). Mais le rythme est aussi ce par quoi s’ouvre le temps. Et le temps durassien plonge son lecteur aussi bien que ses personnages dans un univers où virtuel et actuel ne cessent d’échanger leurs forces. C’est alors la question de l’événement, de sa possibilité dans la rencontre et le crime, qui fait l’objet du « temps qu’entrouvre la danse » (chapitre 4). Dépositaire d’un étrange hiatus qu’elle suscite pour qu’un écart se creuse afin de dire l’événement, cette œuvre rêve finalement, à travers la langue, de l’événement inséparé dans le mouvement perpétuel du sens, dans « la danse du sens » (chapitre 5). Cependant, si le sens peut d’abord apparaître dansant parce qu’instable, il faut admettre qu’on tourne toujours autour de certains mots qui échappent. Quelque chose échappera toujours. C’est ce que le sixième chapitre, « Échappé(e) de la danse », appréhende, alors que le mouvement, qui n’a d’autre finalité que lui-même, inscrit un inachèvement perpétuel dont les réécritures témoignent. Parce qu’elle met en scène des êtres en mouvement dans une œuvre elle-même en mouvement, l’œuvre de Marguerite Duras permet de penser l’être-au-monde en danseur.

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El objetivo del presente artículo es el de analizar la estética del Rock en términos de la experiencia que ofrece este género musical. En primer lugar se construirá una relación entre el Nacimiento de la tragedia de Nietzsche y el surgimiento del Rock, bajo la premisa de que el origen del Rock es eminentemente dionisíaco; luego se mostrará una forma de la experiencia en la vida cotidiana de quien escucha Rock, en donde se da cuenta de la necesidad de expresar los sentimientos de placer y displacer en el individuo; por último, se verá el concierto como expresión última del Rock, expresión que se enmarca dentro de la característica de una celebración-ritual que guarda semejanzas con la tragedia griega. Estos elementos terminan por dar cuenta de una forma de ver el mundo en la que se constituye la individualidad dentro de la comunidad electiva

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Le silence est une composante fondamentale de la création artistique, aussi bien dans le domaine musical qu’au cinéma. La notion de silence atteint toutefois un espace limite dans le domaine littéraire, comme le note Gilles Deleuze en évoquant le « silence dans les mots », la « limite asyntaxique » qui n’est pas « extérieure au langage » dans la poésie d’Antonin Artaud ; cette même notion devenant plus problématique encore dans le domaine de l’autobiographie, traditionnellement informative. Nous posons tout d’abord la question de savoir comment l’auteur, se racontant lui-même, sa vie, son parcours, peut choisir de ne donner à lire qu’un silence plus ou moins long, et sembler ainsi renoncer à sa tâche, pour ensuite étudier le poème « Agrippa—A Book of the Dead » (1992) de l’écrivain américain William Gibson (né en 1948). Inspiré par la découverte d’un album de photos appartenant à son père, l’auteur y évoque les souvenirs de son enfance en Virginie. La singularité d’« Agrippa » réside surtout dans les mécanismes mis en oeuvre lors de sa lecture : à l’origine seulement disponible sur disquette, un programme d’ « encryption » ou « bombe logique » efface le texte au fur et à mesure que l’ordinateur le déchiffre, afin de n’être lu qu’une fois seulement, laissant la place au vide, au silence. Nous proposons ici d’étudier le poème « Agrippa » en démontrant comment la disparition progressive du texte a, dans le travail d’écriture de Gibson, une portée originale. L’objectif de l’étude est de montrer que Gibson se sert du poème pour proposer une révolution littéraire où l’art « quitte le cadre », où « le mot écrit quitte la page » de façon concrète et effective pour soumettre au lecteur un questionnement, esthétique, philosophique, voire théologique fécond – Maurice Blanchot arguant que Dieu communique « seulement par son silence ».