953 resultados para Karl Marx
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La question qui traverse toute l’œuvre de Karl Rahner continue de se poser : comment rendre crédible et croyable la révélation de Dieu en Jésus aux gens d’aujourd’hui? Cette question doit être pensée sans cesse à nouveau dans la réalité concrète de la vie humaine. Au temps de Rahner, on mettait l’accent sur la transcendance de Dieu. Depuis ce temps, la culture occidentale s’est transformée : au début du 21e siècle, elle présente de façon marquée les traits du matérialisme, du consumérisme, de l’individualisme, du relativisme et du sécularisme. Conséquemment, on a aujourd’hui tendance à évacuer la transcendance divine. Notre recherche consiste en l’effectuation d’échanges entre la théologie de Karl Rahner et la philosophie de Gilles Deleuze, dans le but d’établir des conditions de possibilités d’un croire chrétiennement aujourd’hui. La philosophie de Deleuze nous introduit dans un processus créatif avec lequel nous pouvons penser radicalement Dieu comme à la fois transcendant et immanent. Notre démarche construit huit hybrides conceptuels qui aident à penser Rahner autrement et à ouvrir la possibilité d’un croire chrétiennement aujourd’hui. Notre recherche ouvre également la perspective d’une théologie de la rencontre entre des mondes théologiques, philosophiques, artistiques et scientifiques. Enfin, elle aide à éclairer la réalité de la nouvelle évangélisation en Occident chrétien.
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Cette étude, qui s'intéresse aux appropriations de l'Antiquité grecque au XXe siècle, se propose d'analyser les impacts de la lecture de Platon sur le développement de la pensée politique et éthique de Hannah Arendt. Notre approche du sujet est historique et philosophique. Premièrement, nous considérerons la toile de fond biographique, intellectuelle et historique de cette lecture. La relation intellectuelle entre Hannah Arendt et Martin Heidegger reçoit une attention particulière, puisque le Platon arendtien présente parfois des similarités avec celui de Heidegger. Nous considérerons également la réception de Platon en Allemagne entre la période de Weimar et l'après-guerre : les lectures idéologiques de l'époque nazie, et le débat autour du statut de Platon en tant qu'ancêtre du totalitarisme, clamé par Karl Popper, ont assombri la réputation philosophique de Platon jusqu'à la fin du XXe siècle. Nous trouvons des échos de ce climat intellectuel particulier dans le traitement de Platon chez Arendt. Dans un deuxième temps, nous examinerons les thèmes et les motifs de la lecture arendtienne en observant minutieusement une sélection d'ouvrages, d'essais, d'ébauches d'Arendt, en plus des notes du Journal de pensée (Denktagebuch) et des extraits de dialogues de Platon sur lesquels s'appuient sa lecture. Arendt déconstruit, transforme, altère et utilise ces textes afin de démontrer que notre tradition de pensée politique s'est édifiée sur un mépris de la politique qui trouve sa source dans la pensée platonicienne. Ce mépris culmine dans la pensée de Marx et le totalitarisme. Mais les réflexions d'Arendt sur la pensée, le jugement et la conscience, et son traitement du cas Eichmann suggère qu'elle s'approprie par moments la pensée de Platon. Des comparaisons avec d'autres penseurs émigrés allemands, qui s'inspirent aussi de Platon et des Grecs pour édifier leur pensée politique, Leo Strauss et Eric Voegelin, vont nous permettre d'affiner notre compréhension du Platon d'Arendt.
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La pensée de Marx a souvent été présentée comme étant une sortie de la philosophie (Althusser, Labica, Garo). À l’encontre de cette thèse, cet article vise à réhabiliter l’ancrage profondément philosophique de Marx dans la tradition de l’ontologie de l’agir de l’idéalisme allemand. En s’appuyant sur les écrits dits de jeunesse, ce texte vise à tirer au clair le sens de la métaphysique de Marx, c’est-à- dire ce qu’il conçoit comme étant la réalité première. Au travers des débats et critiques de Marx, il nous sera permis d’envisager une autre conception de la pratique philosophique découlant de sa prise de position métaphysique comprise comme une synthèse d’une ontologie de l’agir et d’une ontologie de la relation.
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Im Zentrum der Dissertation steht die höfische Tierhaltung in der ehemaligen Residenzstadt Kassel. Die Auswertung der Archivquellen stellt ein kontinuierliches Bild des Aufkommens exotischer Tiere vom 15. bis ins 18. Jahrhundert dar. Der Fokus richtet sich auf die barocke Menagerie des Landgrafen Karl von Hessen-Kassel (ca. 1680 - 1730), die mit ihrem systematisch aufgebauten und umfangreichen Tierbestand die Einrichtungen seiner Vorgänger weit übertraf. Die Sammlung lebender Raritäten aus allen Regionen der Welt diente der absolutistischen Selbstdarstellung und der Visualisierung des Herrschaftsstatus. Die Untersuchung der zeitgenössischen Reiseberichte zeigt, dass die Menagerietiere vom Betrachter ebenso als kuriose und/oder rare Sehenswürdigkeiten empfunden wurden wie die musealen Ausstellungsstücke einer Kunstkammer. Da sie als lebende Schauobjekte Staunen auslösten, müssen sie mit der „frühneuzeitlichen Neugierde“ (curiositas) in Verbindung gebracht werden und bildeten einen wesentlichen Bestandteil des imaginären Welttheaters „Macrocosmos in Microcosmo“. Gerade hier kann die Dissertation eine enge Verbindung zwischen Menagerie und Kunstkammer belegen, die in der Forschungsliteratur bisher kaum thematisiert wurde. Die Tiersammlung bildete einen räumlich separierten Teil der Sammlungen des kunstsinnigen und naturwissenschaftlich interessierten Fürsten, die ansonsten im Kunsthaus untergebracht waren. Der Menagerie kam die gleiche reichspolitisch repräsentative Bedeutung zu, welche auch die begehbare Sammlung inne hatte. Die von 1764 bis 1785 bestehende Menagerie seines Enkelsohnes, Friedrich II., folgte dagegen anderen Zielsetzungen. Sie ist in Zusammenhang mit pädagogischen und kulturellen Bemühungen seiner Regierung im Sinne des aufgeklärten Absolutismus zu sehen. Ein weiterer Teil der Untersuchung widmet sich dem Kasseler „Tierstück“ von Johann Melchior Roos („Die Menagerie des Landgrafen Carl“, 1722-1728, mhk). Die kunsthistorische Analyse ordnet das Gemälde in die Tradition der niederländischen Sammelbilder des 17. Jahrhunderts ein. Der Maler bedient sich traditioneller Paradiesdarstellungen, welche die Utopie von der friedlichen Koexistenz aller Lebewesen zum Thema haben. Ebenso steht das Kasseler „Tierstück“ als Sammelbild wertvoller gemalter Raritäten den naturhistorisch-enzyklopädischen Stillleben nahe, die bevorzugt Muscheln und Blumenbuketts zeigen. Die Präsentation des Gemäldes als Bestandteil der enzyklopädisch gedachten Naturaliensammlung im „Kunsthaus“ (Ottoneum) ordnet es von Beginn an der begehbaren höfischen Welt zu. Dabei wird die zeitgenössische Wahrnehmung des „Tierstücks“ als kurioses Kunstwerk herausgearbeitet, dem im Ensemble von Naturalia und Artificialia ein universalistisches Bildprogramm zukam. Die Authentizität der im Gemälde dargestellten Tiersammlung lässt sich nicht bestätigen. Der Maler hat mit seiner fiktiven Bildkompilation einen idealen Zustand erzeugt. Als typisches Sammlungsbild ist es eher als Metonymie der Sammlung wahrzunehmen, das seinen Verweiszusammenhang innerhalb der als Mikrokosmos organisierten Sammlung entfalten konnte.
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Resumen tomado de la publicación
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El artículo elabora una crítica a la teoría de la justicia distributiva formulada por John Rawls haciendo énfasis en los principios de la igualdad y de la diferencia. De manera paralela, analiza las tesis feministas y las perspectivas desarrolladas por Iris Marion Young y Nancy Fraser con el objeto de señalar los principales límites de la propuesta de Rawls.
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La monografía presenta la auto-organización sociopolítica como la mejor manera de lograr patrones organizados en los sistemas sociales humanos, dada su naturaleza compleja y la imposibilidad de las tareas computacionales de los regímenes políticos clásico, debido a que operan con control jerárquico, el cual ha demostrado no ser óptimo en la producción de orden en los sistemas sociales humanos. En la monografía se extrapola la teoría de la auto-organización en los sistemas biológicos a las dinámicas sociopolíticas humanas, buscando maneras óptimas de organizarlas, y se afirma que redes complejas anárquicas son la estructura emergente de la auto-organización sociopolítica.
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Este trabajo intenta mostrar, a partir de la experiencia como interlocutor en el Consultorio Social Minuto de Dios (CSMD), las relaciones que se dan entre sus actores (directivas, profesores, practicantes e interloutor) para encontrar si hay distancia entre los discursos y las practicas que se dan.
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El resultado de esta investigación apuntó a los elementos y teorías existentes con los cuales se construyó el marco teórico a la línea de investigación de cultura corporativa de la Universidad del Rosario
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Estudiar el trabajo y la educación en Marx. Expone brevemente la parte metodológica del Marxismo, define sus conceptos fundamentales, el proceso de producción capitalista y sus elementos, después estudia el concepto de hombre en Marx, el trabajo en la sociedad y el hombre nuevo como ideal de hombre marxista y analiza la contribución de la educación al logro de este ideal de hombre. 1) El materialismo histórico es una teoría científica y como tal nos da los medios que nos permiten lograr un conocimiento científico de una realidad concreta. La interpretación marxista de la historia podría llamarse una interpretación antropológica de la historia, es la comprensión de la historia basada en el hecho de que los hombres son autores y actores de su historia. El hombre por su actividad modifica el mundo y la naturaleza que le rodea y se modifica a sí mismo, pero lo hace ya condicionado por su propia naturaleza, por la modalidad de su actividad y por el conjunto de relaciones sociales en que se halla inmerso y que le han sido dadas de ante mano independientemente de su voluntad. 2) Las relaciones fundamentales en toda sociedad son las relaciones de producción, es decir, las relaciones del hombre con la naturaleza y con los demás hombres en su trabajo. En estas relaciones de producción cabe distinguir tres elementos, las condiciones naturales, las técnicas y la división del trabajo social, elementos que son interdependientes y cuyas consecuencias escapan al control y a la voluntad del hombre. 3) La acción del hombre en la historia es la lucha de clases y no la acción de individuos aislados, ya que las fuerzas sociales comprometidas en la lucha de clases son el motor de la historia. 4) En una sociedad de clases, la ideología tiene como finalidad perpetuar o asegurar la dominación de una clase sobre la otra, haciendo que la condición de explotados sea aceptada como algo natural por éstos y que la clase dominante pueda ejercer su explotación también como algo natural. 5) En una sociedad de clases existe además un organismo regulador autónomo, el Estado, encargado de asegurar su estructura jurídica y política, es decir, que el Estado además de cumplir un papel organizativo o administrativo, es un instrumento de presión de las clases dominantes sobre las oprimidas, cumpliendo así una función de dominación política. 6) Con la supresión de la propiedad privada desaparecen los antagonismos entre las clases, se entablan entre los hombres nuevas relaciones, los intereses del individuo no se contraponer a los intereses de la colectividad, se establecen entre los hombres relaciones de cooperación y apoyo. El hombre nuevo no es un hombre encerrado en sí mismo, su ser está abierto a los demás y forma parte de la existencia de los otros. La sociedad no es un ente abstracto por encima de los individuos, es el conjuntos de los individuos sociales. 7) El hombre necesita una educación técnica polivalente, y dicha educación debe servir de iniciación a la utilización y manejo de los instrumentos elementales de todas las ramas del trabajo, y consiguientemente para luchar contra la especialización. La enseñanza orientada en este sentido es, según Marx, la condición previa fundamental para que el hombre haga su vida más digna y más hermosa. 8) En cuanto a la relación entre la educación y el Estado, Marx advierte que la enseñanza puede ser estatal, sin tener que estar bajo control del gobierno. Marx rechaza absolutamente la idea de una educación del pueblo a cargo del Estado, ha de excluirse al gobierno y a la Iglesia de toda influencia sobre la escuela, de este modo la ciencia se libera de las cadenas que los prejuicios de clase y la fuerza del gobierno imponen. Sólo en una sociedad sin clases la educación se verá libre para desarrollar en los hombres sus potencialidades intelectuales y de cualquier otro tipo, sin tener que adoptar posturas de dominación o subordinación en la sociedad. Lo que Marx nos ofrece a través de su obra y también en su concepción de educación, no es sólo una alternativa más, lo que Marx propone es la transformación de este mundo para salvar a la humanidad de la miseria en que está inmerso. Y esto sólo será posible mediante una revolución, la cual está en manos de la clase obrera, porque sólo ella, como clase consciente de su situación alineada, puede salvarse a sí misma y salvar al resto de la humanidad. De aquí su insistencia en la formación de ésta clase y que su concepción educativa sea precisamente ésta y no otra. 2) Para que pueda surgir la sociedad comunista de Marx, resulta imprescindible el desarrollo total del proceso de producción capitalista, porque el capitalismo crea las bases y pone los medios necesarios para que la sociedad comunista sea posible. Sin éste desarrollo de la producción capitalista, no parece pensable el comunismo.