278 resultados para GLYCEMIA


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Les patients diabétiques de type 1 (DT1) ont avantage à avoir un bon contrôle glycémique pour réduire les effets négatifs à court et long terme d’un mauvais contrôle glycémique sur leur santé. Pour contrôler leur glycémie, ils doivent prendre de l’insuline, mais il est aussi recommandé qu’ils aient de bonnes habitudes de vie comme une nutrition appropriée et une pratique adéquate d’activité physique. Par contre, les patients DT1 ne suivent généralement pas les recommandations en activité physique et une partie du problème vient de leurs barrières personnelles à un style de vie actif, telle la peur des hypoglycémies. L’utilisation de la pompe comme traitement à l’insuline aide à mieux contrôler la glycémie, plus précisément l’hémoglobine glyquée, que les injections d’insuline, et le dispositif est de plus en plus prescrit chez les enfants et adolescents. Par contre, son impact sur la pratique des activités sédentaire et physique n’est pas encore bien connu. L’objectif de la présente étude est donc de révéler le profil d’activité physique complet, incluant les barrières à l’exercice et les habitudes de vie des parents, des enfants et adolescents DT1, selon leur type de traitement à l’insuline (pompe ou injections). L’étude a été conduite à la clinique d’endocrinologie du Centre hospitalier universitaire de Sainte-Justine (Montréal, Canada). Un questionnaire auto-administré a été complété par 188 patients DT1 âgés de 6 à 17 ans et un de leurs parents. Soixante pourcent des patients étaient des utilisateurs de la pompe à insuline. Il n’y avait pas de différence significative pour aucune des composantes du profil d’activité physique, des habitudes sédentaires et des barrières à l’exercice entre les patients DT1 utilisant les injections et ceux utilisant la pompe. La peur de faire des hypoglycémies était la barrière à l’activité physique principale pour les deux groupes de traitement. Les adolescents dont les parents pratiquaient une plus grande variété d’activités physiques faisaient plus d’activité physique d’intensité moyenne à élevée et passaient moins de temps devant les écrans. En conclusion, le type de traitement n’était pas associé à un style de vie plus sain chez les patients pédiatriques DT1, mais un profil d’activité physique parental varié était le facteur principal d’intérêt pour des habitudes de vie plus saines chez les adolescents DT1.

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Objectives: To analyze if the hypoglycemic therapy prescribed in the Emergency Department adapts to the consensus recommendations available, as well as to assess its clinical impact. Methods: A descriptive observational study, which included patients awaiting hospital admission, who were in the Observation Ward of the Emergency Department and had been previously diagnosed with diabetes mellitus, and were receiving treatment with hypoglycemic drugs at home. The management of antidiabetic treatment and its clinical impact were assessed. Results: 78 patients were included. At admission to the Emergency Department, treatment was modified for 91% of patients, and omitted for 9%. The most prescribed treatment was sliding scale insulin (68%). The treatments prescribed coincided in a 16.7% with the recommendations by the Spanish Society of Emergency Medicine. After intervention by the Pharmacist, the omission descended to 1.3%, and the adaptation to the recommendations increased to 20.5%. Comparing patients whose treatment coincided with the recommendations and those who did not, the clinical impact was respectively: mean glycemia at 24 hours: 138.3 ± 49.5 mg/dL versus 182.7 ± 97.1 mg/dL (p = 0.688); mean rescues with insulin lispro: ± 1.6 versus 1.5 ± 1.8 (p = 0.293); mean units of insulin lispro administered: 4.6 ± 12.7 IU versus 6.6 ± 11.3 IU (p = 0.155). Conclusions: We found antidiabetic prescriptions to have a low adaptation to consensus recommendations. These results are in line with other studies, showing an abuse of sliding scale regimen as single hypoglycemic treatment.

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Introducción: En la actualidad existe un incremento de la población adulta mayor en el Ecuador, donde las tres principales causas de muerte son: diabetes, enfermedades hipertensivas, enfermedades cerebrovasculares. Las mismas que se relacionan etiopatológicamente con el síndrome metabólico. Objetivo: Determinar la prevalencia del síndrome metabólico (SM) en adultos mayores en el cantón Cuenca, 2015. Método y materiales: Se trata de un estudio descriptivo, que se realizó en 387 adultos de ambos sexos mayores de 65 años, en las parroquias urbanas del cantón Cuenca. Se excluyó a los adultos mayores con deficiencia mental, alteraciones del estado de conciencia, impedimento físico o con evidencia de diabetes. Para el levantamiento de los datos se utilizó una encuesta y se realizó pruebas de glicemia en ayunas, colesterol, triglicéridos, lípidos de alta densidad (HDL, high density lipids) y medidas antropométricas, los datos obtenidos fueron analizados estadísticamente mediante EpiInfo, Microsoft Excel 2010 y el software SPSS, y se presentó mediante tablas y gráficos de estadística descriptiva de porcentajes y frecuencias. Resultados: La media de edad fue de 73 años, el 63.57% fueron mujeres y el 36.43% hombres y la mayoría 35.4% tenía un nivel de instrucción de primaria completa. La prevalencia del síndrome metabólico fue del 54.01%, en las mujeres 61.38% y en los hombres 41.13%, la mayoría entre 65 y 74 años con un 53.2% y un 58.14% con estudios incompletos. Según el IMC la mayoría de adultos mayores con SM tenían sobrepeso 49.72% y obesidad. El criterio ATP III más encontrado fue la obesidad abdominal 78.81%, seguido por la disminución sérica de colesterol HDL, 74.42% y presión arterial elevada, 48.32%.

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Introducción: En la actualidad existe un incremento de la población adulta mayor en el Ecuador, donde las tres principales causas de muerte son: diabetes, enfermedades hipertensivas, enfermedades cerebrovasculares. Las mismas que se relacionan etiopatológicamente con el síndrome metabólico. Objetivo: Determinar la prevalencia del síndrome metabólico (SM) en adultos mayores en el cantón Cuenca, 2015. Método y materiales: Se trata de un estudio descriptivo, que se realizó en 387 adultos de ambos sexos mayores de 65 años, en las parroquias urbanas del cantón Cuenca. Se excluyó a los adultos mayores con deficiencia mental, alteraciones del estado de conciencia, impedimento físico o con evidencia de diabetes. Para el levantamiento de los datos se utilizó una encuesta y se realizó pruebas de glicemia en ayunas, colesterol, triglicéridos, lípidos de alta densidad (HDL, high density lipids) y medidas antropométricas, los datos obtenidos fueron analizados estadísticamente mediante EpiInfo, Microsoft Excel 2010 y el software SPSS, y se presentó mediante tablas y gráficos de estadística descriptiva de porcentajes y frecuencias. Resultados: La media de edad fue de 73 años, el 63.57% fueron mujeres y el 36.43% hombres y la mayoría 35.4% tenía un nivel de instrucción de primaria completa. La prevalencia del síndrome metabólico fue del 54.01%, en las mujeres 61.38% y en los hombres 41.13%, la mayoría entre 65 y 74 años con un 53.2% y un 58.14% con estudios incompletos. Según el IMC la mayoría de adultos mayores con SM tenían sobrepeso 49.72% y obesidad. El criterio ATP III más encontrado fue la obesidad abdominal 78.81%, seguido por la disminución sérica de colesterol HDL, 74.42% y presión arterial elevada, 48.32%.

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Les patients atteints de diabète de type 1 (DbT1) semblent sur-traiter leurs hypoglycémies par rapport aux recommandations des Lignes directrices Canadiennes en diabète. Objectifs : 1) Décrire les habitudes des patients DbT1 pour le traitement des hypoglycémies et estimer les impacts sur le profil de risque cardio-métabolique et 2) explorer les excursions glycémiques suite à un traitement d’hypoglycémie qui respecte les recommandations. Méthodologie (analyses secondaires) : Objectif 1 : 121 patients DbT1 ont complété un journal alimentaire et de glycémies de 48 h. Des variables cardio-métaboliques ont été mesurées et un questionnaire sur la peur des hypoglycémies a été complété. Objectif 2 : 57 patients DbT1 ont complété les bras contrôles de notre programme sur le pancréas artificiel (traitement des hypoglycémies standardisé). Les valeurs de glycémie étaient disponibles aux 5 minutes. Résultats : Projet 1 : Les patients ont fait en moyenne 1,45 hypoglycémies/jour et 73% sur-traitaient avec une consommation moyenne de glucides de 32 ± 24 g. Ce sur-traitement est associé avec un plus jeune âge et une peur des hypoglycémies plus importante, mais pas avec un profil de risque cardio-métabolique plus défavorable. Projet 2 : Dans 20% des cas, traiter une hypoglycémie avec 15 g de glucides était efficace pour ramener la glycémie ≥ 4,0 mmol/L en 15 minutes, le temps moyen étant de 24 ± 12 minutes. La proportion d’insuline basale, le temps depuis le dernier repas et la pratique d’activité physique sont les éléments qui semblent avoir le plus d’impact sur l’efficacité du traitement. Conclusion : L’éducation entourant le traitement des hypoglycémies a besoin d’être renforcée et d’autres études sont nécessaires afin de valider les recommandations.

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Les patients atteints de diabète de type 1 (DbT1) semblent sur-traiter leurs hypoglycémies par rapport aux recommandations des Lignes directrices Canadiennes en diabète. Objectifs : 1) Décrire les habitudes des patients DbT1 pour le traitement des hypoglycémies et estimer les impacts sur le profil de risque cardio-métabolique et 2) explorer les excursions glycémiques suite à un traitement d’hypoglycémie qui respecte les recommandations. Méthodologie (analyses secondaires) : Objectif 1 : 121 patients DbT1 ont complété un journal alimentaire et de glycémies de 48 h. Des variables cardio-métaboliques ont été mesurées et un questionnaire sur la peur des hypoglycémies a été complété. Objectif 2 : 57 patients DbT1 ont complété les bras contrôles de notre programme sur le pancréas artificiel (traitement des hypoglycémies standardisé). Les valeurs de glycémie étaient disponibles aux 5 minutes. Résultats : Projet 1 : Les patients ont fait en moyenne 1,45 hypoglycémies/jour et 73% sur-traitaient avec une consommation moyenne de glucides de 32 ± 24 g. Ce sur-traitement est associé avec un plus jeune âge et une peur des hypoglycémies plus importante, mais pas avec un profil de risque cardio-métabolique plus défavorable. Projet 2 : Dans 20% des cas, traiter une hypoglycémie avec 15 g de glucides était efficace pour ramener la glycémie ≥ 4,0 mmol/L en 15 minutes, le temps moyen étant de 24 ± 12 minutes. La proportion d’insuline basale, le temps depuis le dernier repas et la pratique d’activité physique sont les éléments qui semblent avoir le plus d’impact sur l’efficacité du traitement. Conclusion : L’éducation entourant le traitement des hypoglycémies a besoin d’être renforcée et d’autres études sont nécessaires afin de valider les recommandations.

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Objetivo: Establecer la relación entre la exposición ocupacional a altas temperaturas o sobrecarga térmica con el comportamiento fisiológico, metabólico y electrocardiográfico. Métodos: estudio de corte transversal, donde se incluyeron dos grupos (expuesto y no expuesto a altas temperaturas) en una empresa minera, en el departamento de Boyacá, Colombia, en el año 2016. El número de participantes fue de 160 trabajadores del género masculino, grupo expuesto (n=86) y grupo no expuesto (n=74). La exposición ocupacional a sobrecarga térmica se evaluó con el índice de temperatura de globo y bulbo húmedo (TGBH), el comportamiento fisiológico con el índice de costo cardiaco relativo (ICCR) con mediciones de frecuencia cardiaca (FC), el comportamiento metabólico con la determinación del colesterol total (CT), colesterol de alta densidad (C-HDL), colesterol de baja densidad (C-LDL), triglicéridos (TG) y glicemia basal (GL). Las alteraciones electrocardiográficas con la toma de Electrocardiograma de 12 derivaciones. También fueron evaluadas variables antropométricas, tensión arterial, hábitos y antecedentes de enfermedad cardiovascular en ambos grupos. Resultados: incrementos significativos del ICCR (p<0.001) y la carga física (p<0.001) fueron encontrados en los trabajadores expuestos a altas temperaturas. Los índices lipídicos y glicemia, así como los antecedentes personales cardiovasculares, IMC, consumo de cigarrillo y consumo de alcohol, no mostraron significancia. El antecedente familiar de ACV (p=0.043) y el EKG alterado (p=0.011) mostraron una asociación significativa con la exposición a altas temperaturas. El modelo de regresión lineal múltiple explicó la relación entre el incremento del ICCR y la exposición a altas temperaturas (β=4,213, IC 95%: 1.57,6.85) ajustado por variables fisiológicas y electrocardiográficas. Conclusiones: La exposición ocupacional a altas temperaturas, presenta asociación con las alteraciones cardiovasculares a nivel fisiológico y electrocardiográfico, aumentando el ICCR y la carga física de trabajo (GE trabajo).

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Introducción: El tiempo promedio del efecto máximo de la insulina regular rápida en la glucemia postprandial ha sido considerado durante años de 120 minutos. En pacientes con Diabetes Mellitus (DM) que usan insulinas análogas este tiempo y los factores asociados no se encuentran reportados para ser aplicados en el automonitoreo. El objetivo de este estudio fue calcular el tiempo y factores relacionados al efecto máximo de la insulina en la glucemia postprandial. Metodología: Se desarrolló un estudio longitudinal retrospectivo a partir de una fuente secundaria donde se realizó un análisis descriptivo y bivariado con las variables demográficas y clínicas presentes en la población. Resultados: El tiempo promedio del pico máximo de insulina en pacientes con DM1 fue de 78.4 (DE± 16.512) y DM2 75.01(DE± 12.02) minutos. El 75% de la población con DM1 y el 54.2% en DM2 era de sexo femenino, la edad promedio en DM1 era 42.38 años y en DM2 68 años, en cuanto a la categorización del IMC el 50% de la población en DM1 y el 37.5% en DM2 estaban dentro del rango de obesidad y se encontró una relación con respecto al tipo de comida “desayuno-cena” vs el tiempo promedio del efecto máximo de la insulina calculado para ambos grupos (p:0.010). Conclusiones: El tiempo promedio del efecto máximo de la insulina calculado fue menor al tiempo reportado en la literatura clínica de 120 minutos. El tipo de comida principal mostró una relación con el tiempo promedio del efecto máximo en ambos grupos.